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Confession d'une blondinette

Ajoutée par bravbitt - Lecture : 4822 fois - Notez : ********* - 0 Commentaire(s)

Femmes coquines et infidèles près de chez vous :


1 - La chambre de bonne


J’ouvre les yeux avec difficultés, j’ai mal à la tête. Je suis allongée sur un lit dans une chambre sombre. J’ai l’impression qu’il fait jour, malgré les rideaux qui masquent la lumière naturelle.

Un goût amer dans la gorge, je déglutis, ma salive me semble plus épaisse que d’habitude. J’ouvre la bouche, mais je dois faire un effort pour décoller mes lèvres l’une de l’autre. Ma peau est sèche et mes cheveux poisseux.
Je me relève, une drôle d’odeur de renfermé et de sueur règne dans la pièce. En me relevant, je me rends compte que je suis sur un matelas posé à terre. Je me trouve dans une chambre de bonne avec pour tout mobilier, un lavabo et un miroir crasseux près de la fenêtre.
Je m’assois sur le matelas, prise de panique je me demande ce que je fais là. Je ne me souviens plus de rien. comment j’ai pu atterrir ici?

Je me lève et remarque que je suis entièrement nue, je tire doucement le rideau de la petite fenêtre,
Je suis au dernier étage d‘un immeuble, le temps est gris et la vue donne sur les rails du métro.

Devant le miroir, apparaît une jolie jeune fille, avec des magnifiques yeux bleus un peu rougis par la fatigue, un visage juvénile malgré quelques traits tirés par une nuit agitée.
J’observe ma chevelure blonde légèrement ébouriffée. J’examine mon corps : mes jambes longilignes, mes gros seins en forme de poire, mon ventre plat et mon entrecuisse qui est totalement imberbe. Je me retourne et apprécie mes fesses toutes fermes.

J’ai dû encore boire avec plus que de raison et le gars qui m’a amené ici en a bien profité car je me sens courbaturée de partout.

Je regarde autour de moi, il y a la porte d’entrée, la fenêtre avec le rideau noir, les murs sont blancs jaunis par le temps.
Au bout de quelques minutes, j’ai le regard sur la porte d’entrée et je me demande si je ne serais pas enfermée?
Mais un détail me surprend, j’aperçois le loquet de la serrure qui n’est pas fermé. La porte doit certainement être ouverte? Réflexion faite, je me dis que je ne dois pas traîner ici.

Mais comment faire car je suis complètement nue?
Je me lève et me dirige vers la porte, et là encastré dans le mur un placard intérieur auquel je n’avais pas encore prêté attention.
Tout en fixant ce placard, je prie intérieurement pour qu’il ne soit pas vide, et pour qu’il y est quelques vêtements à me mettre.

J’ouvre le placard, et n’en crois pas mes yeux quand je découvre un sac à main, un sac H&M avec des vêtements féminins, plus un sac avec une paire de chaussure!
Il y aussi une jupe noire et un tee-shirt rose tournés en boule, mais maculés de tâche blanche!?

Après avoir vérifiée que la porte était bien ouverte et sortit ma tête à l’extérieur pour voir si personne ne m’attendait, je passe au lavabo pour me rendre présentable en enlevant toutes ses taches de sperme séchées sur mon corps. Je me débarbouille et me coiffe mieux que bien, et j’enfile une jupe en jean ainsi qu’un caraco soyeux à bretelle rouge et des ballerines argentées que j‘ai trouvée dans les sacs.

Ce n’est pas grand-chose, et c’est sur que je ne vais pas passer inaperçue! parce qu’en plus d’être hyper sexe je ne porte pas de culotte!
Mais bon c’est déjà mieux que rien!

Je récupère le sac à main, laisse la jupe noire et le tee-shirt souillés . N’entendant aucun signe de vie, je sors dans le couloir et commence à descendre les escaliers. J’ai dévalée tous les étages. Je suis arrivée en bas et je n’ai aperçu aucune âme qui vive, la voie est libre et je m’engage dans la rue.



2 - Le métro sexuel


Je me retrouve sur un grand boulevard, je sais que je suis dans le quartier de Picpus à Paris. je reconnais car j’y suis déjà passé en voiture. Je continue sur le boulevard en attendant de trouver le métro le plus proche.
Le regard de tous les hommes et les petits sourires qui en disent longs, me rendent mal à l’aise. J’ai l’impression, quand je les croisent, qu’ils sont tous au courant que je ne porte pas de culotte sous ma jupe?
Alors pour tromper les regards, je fouille dans mon sac à main, trouve ma carte d’identité et un sursaut de lucidité me revient :

Lucie Creuzeau - 18 ans - née à Paris
Jean-Louis Père entrepreneur - Clotilde Mère comptable
Fille unique
Habite a Paris 16ème
Etudiante au Lycée Marie Curie
Meilleure amie Ludivine Marshall


J’arrive enfin à une bouche de métro, j’achète un ticket avec les quelques pièces que je trouve dans mon sac, et prend la direction du métro qui va me ramener chez moi.
Je me sens mieux tout d’un coup. Tous mes souvenirs me reviennent par bride, je suis ailleurs, je souris, contente d’avoir retrouvé la mémoire.
Sur le quai, un homme d’âge mûr bedonnant qui est à côté de moi se met à me sourire.
Je remets la tête dans mon sac, en l’ignorant, je cherche mon téléphone portable.

Le métro aérien arrive à quai, je monte dans la rame suivi du monsieur qui mate sans gêne mes seins qui ne porte pas de soutien-gorge.
C‘est très calme à l’intérieur, il y a juste quelques personnes dans le fond du wagon.
On a changé d’heure et les jours se sont rallongés.
Je m’assois sur une des banquettes à quatre, il n’y a pas grand monde dans notre rame, mais le vieux se met en face de moi, les mains entre ses cuisses.
Je tire sur ma jupette en jean car j’ai complètement oubliée cette histoire de culotte sur le coup!
De toute façon il n’est pas sensé savoir que je n’en porte pas.
J’essaye d’allumer mon téléphone, mais visiblement je n’ai plus de batterie.
Le métro est passé en souterrain.
Je regarde le reflet de l’homme dans la vitre, il me dévisage de haut en bas.
Je continue à trifouiller mon portable et j’aperçois ses mains caresser une bosse à travers son pantalon!
Les stations défilent et toujours personnes qui montent dans notre wagon.
J’ai rangé mon téléphone et je jette un oeil furtif sur les mains qui frotte cette bosse qui semble grossir encore.
Je regarde rapidement mon reflet dans la vitre et comprend vite le monsieur qu’avec cette jupe qui dévoile la totalité de mes jambes et de mes cuisses, ce caraco qui fait ressortir ma poitrine et laisse apparaître le bout de mes tétons, je ne peux que le mettre dans cet état.
Ne sachant pas quoi faire je continue à l’observer jusqu’à que l’on arrive à une station. Les portes s’ouvrent et un couple vient s’asseoir sur la banquette d’à côté. Le vieux se penche un peu et met ses mains sur les genoux pour cacher son érection.
Maintenant il regarde la vitre.
Etrange sensation, j’ai presque du regret qu’il ne continue pas son petit jeu.
Je sais qu’il m’observe à travers la vitre, et je ne sais pas ce qui me prend, je passe ma langue langoureusement au travers de mes lèvres.
L’effet ne se fait pas attendre il se remet en position, les mains entre ses cuisses.
Je fixe son entrejambe, ça lui plaît et il continue à se toucher plus discrètement.
Je ne sais pas ce que j’ai, mais je commence à être excitée de voir ce gros porc dégueulasse se frotter le sexe en me reluquant.
On arrive à une autre station, le couple se lève et descend du wagon, personne d’autre monte. Le métro repart, le vieux monsieur me fixe cette fois. Décontenancée, je baisse le regard et retire sur ma jupe.
Il ne se laisse pas démonter et passe une main dans son pantalon pour se masturber. Je le regarde faire, et commence à sentir une moiteur dans mon entrejambe.
Il sort le bout de sa langue et continue de me dévisager en s’astiquant de plus en plus vite.
Voir ce gros visqueux se palucher en pensant à moi, me rend toute mouillée et je décide de le lui montrer.
Je relève ma jupe lentement tout en le fixant, je repasse ma langue entre mes lèvres plusieurs fois. Il me regarde faire, je me soulève un peu et tire sur ma jupe pour qu’il entrevoit l’éclat de mon petit sexe imberbe!
Il n’en revient pas! il sue de voir une petite jeune, canon comme moi s’exhiber sans culotte devant lui.
Il se jette la tête en avant entre mes cuisses. Je sens sa langue me pénétrer, j’appuie sur sa tête pour qu’il l’enfonce au plus profond de ma chatte.
J’ai envie qu’il me nettoie de toutes ses bites qui m’ont souillée ces derniers temps.
Nous passons une autre station, je regarde mais personne en vue.
Lui ne calcule rien, il a passé ses bras sous mes cuisses et a les mains sur mes belles fesses toutes rondes. Il en profite, il dévore ma minette, il l’embrasse, la titille, l’aspire avec sa bouche, la lèche et l’enfonce avec sa langue, le siège est trempé de sa salive et de ma sécrétion.
Le métro continue sa progression sans perturbation.
Je lâche mes mains de son crâne dégarni.
Il relève la tête, sa bouche est toute baveuse, son front dégouline de sueur, il s’essuie et se rassoit en face de moi, tout en déboutonnant son pantalon.
Je suis toute trempée, son sexe trop poilu est tendu au maximum, je me mets a genoux devant lui, j’attrape sa bite et l’avale entièrement.
Je suis grave excitée, et je vais lui faire la pipe de sa vie à ce vieux bonhomme.
Je remonte lentement en pinçant mes lèvres sur son gland, je commence un va-et-vient de forcené, tout en appuyant ma main sur ses couilles qui me semble pleine à craquer.
Je sens que je vais encore en prendre plein la gueule!
Il n’est pas très propre, sa queue sent un peu la pisse, mais je ne sais pas, ça me rend encore plus folle!
Tout à coup, on entend au microphone : prochain arrêt terminus!
Il met les mains sur ma tête, j’accélère le mouvement, mes lèvres toujours pincées, je me prépare à tout avaler.
Il appuie sur ma tête, j’enfonce ma bouche jusqu’à sentir son gland au plus profond de ma gorge, puis c’est l’explosion!
La première giclée me fait directement avaler sa jouissance, le reste vient fouetter mon palet et mes dents, ma bouche se remplit à ras bord, je déglutis vite pour pouvoir avaler la première gorgée, la deuxième gorgée suivit de près, à la troisième gorgée je me rends compte qu’en fait, il est toujours entrain d’éjaculer dans ma bouche, alors je me concentre pour avaler de plus grosses gorgées de sperme.
Je lève le regard vers le vieux dégueulasse, toujours sa queue dans ma bouche, je déglutis à chaque soubresaut de jute.
Le gros porc, le visage grimaçant est aux anges.
Enfin l’éjaculation se termine et il m’aura fallu une bonne dizaine de gorgées pleines de foutre pour pouvoir tout avaler jusqu’au bout!

Je rentre fière de moi, je n’ai perdu aucune goutte.



3 - Rendez-vous avec Vincent


Heureuse de rentrer dans le studio que mes parents me prêtent, en attendant de finir mes études, je me vautre sur le canapé après avoir pris une longue douche bien chaude.
Je me remémore le temps passé entre mon réveil dans cette chambre glauque et la pipe royale que j’ai pratiquée à ce vieux porc.
J’en souris encore de voir sa gueule d’halluciné!

Je me souviens :

« Il y a deux jours, j’étais parti faire du shopping sur les Champs-Elysée, je portais une jupe noire, un string noir et mon tee-shirt rose sans soutien-gorge.
Ce qui mettait en valeur mes formes et me rendait super sexy.
J’adore voir le regard des hommes se poser sur mes seins pour observer le bout de mes tétons ressortir de sous mon tee-shirt.

J’avais pris un rendez-vous avec un homme d’une quarantaine d’année avec qui je tchattais de temps en temps sur internet.
On avait décidé de se rencontrer devant le Drugstore à 14h30 cette après-midi là.

J‘attends depuis deux minutes et le voilà qui arrive.

- Tu es encore plus belle en vrai que sur photo!

- Ah c’est gentil merci !
- Bonjour Vincent.

- Bonjour Lucie.


On est parti prendre un verre dans un bar lounge et on a discuté un peu de nous pour mieux faire connaissance.

En se découvrant, on en est arrivé à parler de sexe. Il faut dire que c’était notre principal sujet de conversation sur le net.

C’est vraiment un homme sans tabou et de nature pervers.
Je ne le trouve pas spécialement beau, il est même plutôt banal, mais je le trouve intéressant et assez excitant.

Après avoir commandé plusieurs cocktails alcoolisés, il me raconte certaines choses de son expérience et une partie de ses fantasmes les plus fous.
Pendant ce temps-là, la main sous ma minijupe discrètement sans qu’il me voie, je me caresse le clitoris.

- Et toi Lucie, as-tu un fantasme en particulier?

Je réfléchis un moment, et je lui avoue que depuis que j’ai connu le sexe, je ne peux plus m’en passer.

- Vincent, j’ai vraiment l’impression d’être une accroc au sperme, j’aimerais en boire des différents tous les jours!

Je suis folle, n’en croyant pas mes oreilles d’avoir dit cela a un homme que je connais à peine.

Il sourit, ça lui donne une idée.
Il me propose de m’emmener sur une aire d’autoroute en banlieue ou bons nombres d’hommes seraient ravi de se soulager dans ma bouche.

Excitée par ses propos et par l’alcool, j’accepte et nous partons en direction de la banlieue nord.

On a quitté Paris, on roule maintenant sur l’autoroute pour atteindre l’aire de repos.
Je lui demande:
- Il y beaucoup d’hommes a satisfaire quand nous serons là-bas?

- Ooh quelques uns, ça dépend des jours!
- Mais bon, si tu te sens déjà en manque, tu peux toujours commencer par moi?

Une main sur le volant, son autre main défait sa ceinture de pantalon.
Je me penche vers lui pour l’aider à défaire sa braguette.
Je passe ma main sous son caleçon, il bande moyennement.
Je commence à le masturber et sors son sexe tout rasé.
Il a été gâté par la nature de ce point de vue là.
Je commence par faire tournoyer ma langue sur son gland, tout en continuant à le branler.
Il s’endurcit, je descends ma bouche vers ses couilles, je les mordille, les mets dans ma bouche, les recrachent plusieurs fois.
Je relève la tête, regarde Vincent, il double un camion lentement.
Je pose mes lèvres sur son gland et le masturbe avec plus de vigueur.
J’imagine la gueule du routier, voir la scène par la vitre de son camion, une chevelure blonde entre les cuisses de son chauffeur, la jupe relevée jusqu‘aux hanches, le string à l‘air.
Cette vision m’émoustille, je veux son jus maintenant.
Alors j’accélère la branlette, tout en englobant la totalité de son gland.
Je le pompe à fond, ne ralentissant pas la cadence.
Je sais qu’il va craquer, il y a de la salive partout sur ses couilles.
Je continue encore plus fort jusqu’à faire toucher le bout de son gland au fond de ma glotte.
J’entends un rauquement de satisfaction, alors j’attrape ses fesses sous son siège, pour appuyer au maximum mes lèvres contre son ventre et le haut de ses couilles. La puissance de son jet au fond de ma gorge me donne un renvoi, mais j’arrive quand même à rester collée contre ses couilles. Les giclées que je reçois après m’envahissent les joues, j’avale le tout par gorgée en retirant ma bouche tout doucement.

- Wahou, dis donc, t’es une sacrée pompeuse, toi!
- Les mecs du parking vont se régaler!

- Oui merci, tu vois je t’avais prévenu!

Le parking est en vue, on stationne, il y a plusieurs voitures avec des hommes à l’intérieur.

J’avoue que l’endroit n’est pas trop rassurant.
Mais Vincent me met à l’aise, j’ai confiance en lui.
En attendant que ça bouge, il me raconte quelques anecdotes. Il me fait rire et je commence à me détendre, Vincent s’approche de moi, me touche en bas, soulève le tee-shirt pour mordiller mes tétons. Je suis toute trempée.
Il malaxe mes seins, retire ma culotte, et introduit un doigt, puis deux, puis trois dans mon intimité.
Il baise ma petite fente avec sa main, je mouille de plaisir.
J’ai bien compris que les hommes à l’intérieur des voitures, nous épient.

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