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Glamour, luxe... sexe et meurtres
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Femmes coquines et infidèles près de chez vous :
Préface
Dans cette histoire policier érotique il y a attration, trahison, compulsion sexuel, obsession, et meurtres. À partir du moment où Mauricio Valle lui fait découvrir la jouissance avec un homme, Alors, elle avait repoussé tous les interdits qui avaient bloqué sa vie.. L´avocate Anelyse Bittencourt prend des amants (un à la fois) dans le seul but qu’ils la fassent jouir. Le succès n’est pas toujours au rendez-vous, mais comme ces aventures sont toujours à titre provisoire, certains de ses partenaires font, dans sa vie, des passages plus éclairs que d’autres.
Le texte qui suit est sorti de mon imagination fantasmatique. Toute ressemblance avec des faits réels et (ou) des personnes existantes ne serait que pure coïncidence.
Un
La ville de Búzios soie connue pour la majesté de ses paisages et malheureusement dans la rote de la cocaïne, plages de naturismes, folie, sexe, libertinage, et des meurtres. La Sodome et Gomorre brésilienne. Búzios, Le soleil brille l´année entière. Vastes plages vous invitent, une vegetation s´étendent à perdre de vue. Tout ça est à tous les touristes. Et qui sait si vous ne rencontre une célébrité. Il y a pleine de Stars... Porno de luxe, drogues, dopes. putes, pédés, sosie de Stars. Au moin tu va en voir une. Il fait bon vivre à Búzios. C´est le paradise sur terre, on se croit le Jardin de l`Eden. Un endroit que les policiers font des miracles en éliminant les crimes. Rio de Janeiro ou se régne Le crime organisé. Drogues, rackets, prostitution. Un lieu ou les Camés rôdent en quête de marijuana.
Anelyse Bittencourt se savait dès sa adolescence d´être un peu étrange. Brune, Yeux bleus, d´une beauté hors du commun. Avec ses parents célébres médecins spécialistes en chirurgie plastique.
Elle avait une beauté naturelle et un toutes les personnes sentaient immédiatement attirés pour elle, un sourire parfait. Elle a suffisement d´audace pour briller dans les grandes villes. Anelyse avait un sens de la mode incroyable qui la démarque et vraiment des autres femmes. La belle brune avait beaucoup de classe et de style. Un sourire ravager, Elle passait deux heures chaque matin dans la salle de bains pour se rendre désirable. Elle se maquillait bien trop. Dépensait des fortunes dans des lingeries qu’elle laissait entrevoir. L’autre possédait une tenue différente pour chaque jour de l’année. Ça passait aux hommes.
Elle était une vraie faiseuse de mode. Elle savourait toutes les attentions pour l´instant elle n´a d´yeux que un concours de beauté. Tout le monde savait qu´elle réussait dans la vie. Anelyse a été une personne attentionnée, qui aimait s´amuser et profiter la vie. Elle était três intelligente, demeurant dans un appartement qu´occupait tout une étage au Leblon – Rio de Janeiro. Elle est grand avec un physique de mannequin, elle a d´ailleurs été reine de beauté à une époque elle a remporté le concours de miss Rio de Janeiro. Tout avait se passe três vite dans la vie de Anelyse Bittencourt. Mais la vie est toujours pleine d´imprevus. Elle est apresenté à Mauricio Valle qui était fasciné par sa beauté. Elle savait qu´il était un milliardé et l´envie d´elle c´était qu´il la mene chez lui, ou chez parents. Ses rêves étaient en train de se réaliser.
Après une journée fraîche et ensoleillée, le ciel de ce début de soirée s’était assombri. Une grosse voiture s’invita dans la rue des Acacias et cérémonieusement, elle la remonta pour s’arrêter à la hauteur du 37.
Quelques longues minutes s’écoulèrent avant que la conductrice ne descende. Ses cheveux étaient attachés hauts derrière sa nuque. Sur son bras, recouvrant sa pochette, un petit gilet noir.
Anelyse traversa fièrement la rue sur ses talons hauts… Elle portait une petite robe de lin noir sans manche qui s’arrêtait à la moitié de ses cuisses. Son soutien-gorge confinait exagérément sa poitrine pour en mettre le sillon en valeur. Les escarpins rouges choisis sont aussi du plus bel effet et montrent un contraste saisissant avec le noir et mettent en valeur l’ensemble.
Elle sonna brièvement au portail et entra, avant de remonter la petite allée jusqu’à l’escalier qui la menait au perron. Alors que ses doigts allaient frapper à la vieille porte, Quand elle remarque que lês clés étaient sur La serrure et La porte était ouverte. Quand elle l´appelait tout em avançant dans L´énorme maison. Était devant le vieil homme en costume-cravate.
- Anelyse?
Rapidement, il détailla la robe. un air de défi et un sourire charmant. Le choc de ce cul imposant moulé dans une robe noire, laissant deviner les coutures de la culotte. Ce gros cul qui ondulait au gré de sa montée le laissa sans voix,
- Bonsoir Antonio! Vous allez bien?
- Vous êtes magnifique.
- C’est moi qui vous fais cet effet?
- Euh, bégaya-t-il.
Ils remontèrent le petit couloir en direction du salon. Quelque chose la perturba et elle ralentit le pas, alors qu’Antonio entrait dans le salon. Anelyse fronça les sourcils et Antonio anticipe:
- Les choses se sont accélérées.
Antonio détailla les cuisses fermes et croisées. Il prit place en face de Anelyse. Il se versa le soda dans un simple verre et ils trinquèrent aux jours meilleurs.
- Vous êtes venue sans culotte…
- Je vous ai obéi!
Anelyse tendit subtilement ses fesses et écarta légèrement les cuisses, avant de s’immobiliser. Elle ferma les yeux. Ses lèvres se décollèrent légèrement et elle poussa un léger soupir de culpabilité.
- Le contact de votre sexe au bout de mes doigts est… divin.
Les genoux écartés du vieil homme. Antonio regarda ce ventre qui avait abrité la vie, il leva la main et le caressa du bout des doigts…
- Vous me faites mal!
- Salope! Votre croupe mériterait d’être saillie par un vrai mâle! Mérite pas être Miss.
- Quand je vous dis que rien ne me résiste! Alors, Antonio qui est la salope?
- Non… Je ne voulais pas dire cela… Pardonnez-moi Anelyse.
Dans cette position indécente, insolente, elle recula vers lui, lentement… Le visage du vieil homme s’illumina.
- Oh, mon dieu!
Dans cette position indécente, insolente, elle recula vers lui, lentement… Sa respiration devenait souffrance. Le visage du vieil homme s’illumina et il tombe mort. Elle avait empoisonné la boison avec cinq viagres, Fatale... Fatale... Fatale... Cette nuit-là, au 17 de la rue des Acacias, la lumière du salon resta allumée toute la nuit.
Anelyse est une fille qu’on remarque. Elle est arrivée depuis un peu plus d’un an dans cette ville pleine de charme. Elle est venue y faire ses études, et découvre au fil des mois les plaisirs de l’indépendance fraîchement acquise de ses parents. Elle porte une petite robe rouge. Fluide, mais près du corps, sans manches avec deux larges bretelles. Lorsqu’elle bouge, il peut apercevoir la naissance de ses seins et ainsi constater qu’elle ne porte pas de soutien-gorge. Elle semble aimer l’inconnu, avoir soif de sensations et lui inspire un sentiment de liberté teinté d’une pointe de rébellion. Un de ses plaisirs consiste en de longues balades solitaires à travers la ville. Quand elle marche, elle aime promener son regard sur les gens. Elle cherche à capter le regard du passant, elle espère y déceler une étincelle, un signe. Elle cherche l’excitation dans ce micro-flirt, le temps d’une seconde. Elle éprouve une certaine ébriété à marcher au milieu des gens, surtout la nuit. El le aime voir les gens vivre, croiser leur regard et continuer son chemin, l’esprit enflammé par toute une série de scénarios érotiques. Parfois, il arrive qu’elle ne continue pas son chemin. Alors, elle cherche à suivre les pas d’une personne dont le regard particulièrement intense a éveillé en elle curiosité et désir. Elle s’approche, frôle le propriétaire de ces yeux envoûtants, le dépasse. Plus loin, elle l’attend, à nouveau capte son regard, lui répond, promet plein de belles choses. Il ralentit, il hésite, intrigué, tenté, mais bien trop craintif que tout ce petit manège ne soit qu’un fruit de son imagination.
Anelyse Bittencourt porte des lunettes de soleil et une robe légère qui lui donne un charme fou. Elle prend ses aises et, d’un mouvement gracieux, remonte ses pieds sur une chaise, elle semble s’abandonner aux rayons du soleil, la brise légère fait flotter le tissu de sa robe et lui découvre des cuisses bronzées. Elle avait enfilé une robe bleue droite à épaules nues, avec bustier élastique, et arrivant légèrement au-dessus des genoux. Elle est légère et elle peut facilement ôter le haut en deux secondes, ce qui peut se révéler très pratique. C’est vrai qu’en contre-jour, avec sa robe légère, ça doit révéler diverses petites choses. D’ailleurs, qu’ai-je à cacher ?
L’atmosphère s’échauffe, l’avoir déjà remarquée, alors qu’elle se baladait, à cause de sa démarche si caractéristique. Elle entrenait de bonnes relations dans l´haute societé carioca. Circulait pour la vie dans une Porshe Carrera, jaune cadeau de son diplome de droits pour l ´Université Estácio de Sá de ses parents. Elle avait tout la vie devant elle et était heureuse, amycale et dynamique, Toute le monde l´apprécié. Elle avait un futur prometeur et aurait pu faire de grandes choses. Elle avait envisagé une spécialité en criminalité sociale. Avec sa réussi elle fait des envieuses travers la société. Sa carrière professionnelle comme avocate criminelle avait fasciné tous ses amis qu´elle allait travailler dans les grands affaires et problèmes judiciers. Mais elle voulait aussi se marier.
Mauricio Alavarez da Cunha, était le fils d´un gros entreprenneur d´acier tombe amoureux d´elle et voulait se marier avec elle. Anelyse Bittencourt , 25ans, 1 m75, longes jambes, un corps parfait, et une soif de sexe. Elle avait une difficulté enorme en aimer quelqu´un. Elle jamais a aimé personne. Elle était une jeune femme totalement vicieuse en sexe. Deux ou trois fois par semaine elle a appelé un prostitutié pour sacier ses désirs sexuels. Elle les choisait par la taille de ses bites.
Elle avait trouvé dans l´université trois ans avant Mauricio Alavarez de Souza, 24ans, brun, beau, 1 m 80, administrateur industrier, fils du roi de l´acier. Propriéteur de la plus grande Sidurirgie du pays. Il avait un três bon poste dans l´industrie de son père. Rapidement ils avaient commencé sortir ensemble. La relation était parfaite, voyages à Paris, plages naturistes, carnaval et etc... Ils avaient découvert ensemble les premiers émois de la sexualité. Ils s’amusaient aussi à s’échanger ce plaisir en se branlant l’un l’autre dans une complicité qui excluait toute culpabilité ou vice. Elle voulait un mec d´elle qui soie mieux équipé que Mauricio. À partir de ça elle avait découverte la différence d´une petite bite et d´une grosse bite et qu´était est d’une infidélité pathologique. Elle avait faite avec lui sa première relation avec Mauricio. Jusque le moment qu´il allait confesser amoureux d´elle. C´était une passion ancienne. À l´époque il avait resté troublé avec elle. En fin de compte elle a mis son soutien-seins, des bas autofixants, des souliers à talons aiguille, une mini jupette vraiment courte et un chemisier un peu trop transparent. Quelques bijoux et un maquillage discret, valorisé par son rouge à lèvres rose pailleté brillant, lui donnent cette apparence de pute de luxe qu’elle revendique dans certains cas. La soirée commençait très bien, quoiqu’un peu rapidement. C’est Mauricio qui a proposé l’apéritif pour calmer le jeu. La belle Anelyse s’est assise à ses cotes et l’accoudoir pour refroidir provisoirement l’atmosphère. Il a ouvert la première bouteille de champagne à la santé de Anelyse. L’ambiance un peu trop « alors on baise », s’est petit à petit transformée, plus cool, sexuelle certes, mais cool.
- Cette jupette te est à ravir, ton corps est mis en valeur comme jamais, tes mystères étaient parfaitement justifiés. Anelyse, je suis amoureux de vous. Je veux me marier avec vous.
- Impossible.
- Mais... Pourquoi?
- Je ne veux pas me marier, maintenant...
- Je suis riche, tu le sais...
- Moi aussi.. Il n´est pas ça, le problème.
- Comme tu voudras, de toute façon, je t’adore dans cette robe. C´est quoi, alors? Insiste Mauricio.
- Tu exagères. Desolée...Tu as une petite bite. Je veux plus que ça. J´aime beaucoup de sexe. Je suis une vicieuse. Desolée.
Trois ans avait se passé... Mauricio avait été une experience sexuelle homosexuel pendant deux ans, Malgré tout, Mauricio continuait à vouler se marier avec la bella Anelyse. Elle savait de tout que s´est passé avec lui. Dans l´haute société, ça était normal. Il l´avait vu dans le Jokey Club et immédiatement tombé à son charme. Il la détaille lentement, grande et mince avec ses cheveux longs, clairs, presques blonds. Elle brillait d´ecart singulier. Une petire robe qui laisse apprécier les jambes de danseuse de Anelyse. Il connaît si bien son corps qu’il devine même la ligne de son string noir sous la robe. Elle croisa son regard et lui sourit. Il avait perdu cette déesse. Du bruit et dês gens Il a regarde avec un intérê amusé. Elle était fine et precieuse comme le jour. Il l´avait vue pour la première fois et le temps semblait avoir glissé sur elle. Anelyse était toujours souriante et en même temps lointaine comme la nuit. Elle parut émerger d´un revê. Ses yeux bleus r éflétaient une nostalgie incertaine. Il était fou d´elle. Anelyse le regarde tandis qu´une nostalgie violente et insoupçonnée s´insinuait en elle. Il avait l´air fatigué. Alors, elle le regarde avec un douceur infini dans ses yeux. Son regard était insondable. Alors, il s´approche d´elle.
Deux
- Ça vas, Anelyse? Je ne l´ai vue depuis des années.
- Ca vas bien, Mauricio.
- J´ai remarqué que tu es qulqu´un d´imprevisible.
- Au fait.
- J´ai longtemps hésité, dit-il.
- Il y a trois ans.
- Qu´est-ce que tu vas faire?
- Je ne sais pas. Combien de temps tu veux ma compahnie?
- Une nuit peut-être plus, je ne sais pas encore.
- La nuit est douce, Trop douce. Tu finis d´arriver de Barcelone.
- Comment tu sais?
- Par les journaux. Ils sont trop préoccupés avec toi.
- J´ai loingtemps hesite, dit-il.
Mauricio était seul fils. Il avait tombé amoureux de Anelyse. Il pensait qu´il serait três heureux ensemble. Il est beau riche, élégant, cultivé, en plus de toutes ses qualités humaines. Elle semble sogneuse, mais Il avait dans son regard une luer attentive. Bien entendu elle n´a pas manque de lui faire savoir qu´elle acceptait se marier avec lui seulement avec un mariage ouverte. Sexualités independent et la division totale de l´argent. 200 mil dollares par an de mariage. Ils semblaient former un couple harmonieux, mais Il faut de méfier des apparences. Elle avait un témperement explosif mais dans le bon sens du terme. Elle gravitée autour du luxe, du glamour et de libertinage. C’est là que Mauricio lui a révélé ses penchants vers le candaulisme et que lui-même profitait avec grand plaisir à ses penchants.
- J’ai bien réfléchi. Tu es belle. Anelyse, que tu es belle! Je serai le plus heureux des hommes si… J´accept ses conditions. Je veux me marier avec vous immédiatement, dit Mauricio.
- Ok. Nous devons se marier en Las Vegas, sans fêtes sans des invites. Nous serons un couple très libre. Chacun peut « regarder » ailleurs.
- J’ai trouvé mon equilibre avec toi. Complètement d´accord.
- J’ai toujours eu une envie, plus ou moins cachée dans le fond de mon esprit, c’est de voir ma femme faire l´amour avec d´autre. •
- Tu veux dire que tu aimerais voir un gars me caresser et me branler en public? Devant tout le monde? Tu n’en serais même pas jaloux?
- Exactement! Ça me fait super-bander que d’y penser. Et jaloux, pas du tout, je serais le plus heureux des maris.
- En fait tu voudrais que je fasse les préliminaires avec un gars, pour finir, je suppose, par baiser avec lui, devant toi. En clair, voudrais-tu que ils baisaient en trio? Ou préférerait-il qu´elle prenne un amant? Avec ou sans lui?
- Comment tu le veux.
- Patience, mon amour. Tout vient à temps pour qui sait attendre. Je mets facilement des décolletés profonds. J’aime voir les regards des hommes s’exciter en me regardant. Et toi, que fais-tu? Tu les suces aussi?
- J´aimerais beaucoup.
- Tu sais, j’aime être sans rien sous ma robe. J’aime sentir une légère brise caresser ma petite chatte, ça me rend toute chose. Et j’aime savoir être nue sous ma robe au milieu des gens sans qu’ils ne s’en doutent, mais j’aime me dire que certains l’ont peut-être remarqué. Ça m’excite terriblement.
Un mois plus tard ils étaient mariés. Ils semble être faits l´un pour l´autre. Le couple rapidement devenue três influent. Elle avait fait um mariage des contes de fées. Tous les deux riches et créatifs. Un mariage parfait, pour un couple parfait. Le mari voit à quel point elle avait l´air heureuse. Il jamais vu sourire comme ça. C´était indeniablement le plus beau jour de sa vie. C´est ça qu´elle voulait. Anelyse était le genre de femme dont rêvent tous les hommes. Elle était exeptionnellent belle.
Avec une libertée dans le mariage ils allaient prend des risques. À chaque rendez-vous, on discute, on rit et surtout on baise comme des fous. On adore ça tous les deux, on aime essayer plein de choses différentes, et on a un petit côté exhib... Tout en ayant des relations sexuelles avec l´époux, il l’arrivait de prendre un autre amant. La plupart du temps, il s’agit de fréquentations moins torrides et plus conventionnelles. Elle avait se montré comme une femme raisonnable et réservée. L’homme doit la séduire, la conquérir, l’apprivoiser.
Mauricio son époux ne la reconnaît pas si bien qu’il le croit, sinon il saurait qu´elle adore reluquer les sexes d’hommes, que ce soit dans les films pornos, les sites où les mecs montrent leur queue pour la comparer, ou encore même ceux qui urinent avec leur engin dehors. Il l’arrive parfois quand elle était toute seule dans une galerie marchande de faire mine de se tromper en entrant dans les toilettes pour hommes pour apercevoir le pénis de ceux qui utilisent l’urinoir, d’un peu loin pour ne pas recevoir de gouttes. Avec le temps cette femme extravertie se referme sur elle même et sombre dans une depression. Ses amis plus proches savaient que sa vie était en train de s´effrondrer. Son mari avait senti quelque chose avait changé. Elle avait beaucoup de secrets. Alors elle avait pense en avoir un amant fixe lui permetait de se sentir mieux et renforcer sa confiance. C´était une maniére d´obtenir toute l´attention dont elle avait besoin. Elle était determinée à chang er de vie, une glorie hypotétique pour elle. Un femme magnifique avec sex-appel qu´allait se exhiber sur le facebook. Elle était un atout dans sa manche, c´était bien sa beauté physique représentant des défis, son but était de conquérir tous les hommes qui lui plaisait.
Le printemps prenait doucement ses marques. Depuis quelques semaines déjà, le lever du jour s’accompagnait de l’agréable symphonie des chants d’oiseaux. L’air était plus doux et les parfums de fleurs venaient à nouveau se répandre en une multitude de rubans insaisissables.
La petite robe d’été jaune paille qui tombait à mi-cuisse dessinait parfaitement sa silhouette. Elle se sentait bien, se sentait belle… La belle brune était seule. Elle voulait tout découvrir. Elle avait toujours été attirée par l’érotisme et elle n’a pas peur de le dire, par la pornographie. L brune a suivi la mode, la technologie, passant des livres, aux sex-shops pour arriver à cet univers sans limites de l’érotisme (et plus) sur internet. Dans l´époque Anelyse avait un rencontre sur l´internet. Anelyse est três jolie à l´époque. Elle était tout le temps joyeuse, réel, souriait beaucoup. Elle était le rêve de tous les hommes. Belle, intelligente, élégante, tout mâle à portée de regard devait avoir envie de la conquérir. Elle allait trouvé Pedro, charmeur et séduisant ça averé être un prédateur en ligne sans pieté. Elle avait donc tout loisir de l’observer. 1,80 m, brun, en brosse, des épaules assez larges, il a l’air musclé. Jusqu´où ira-t-elle pour ressouvir ses désir s pervers. Souvent elle était sûre qu´il a proposé d´aller boire un verre. Elle certaine qu´il l´a trouvé gentille, extravertie, intélligente. Avec lui, elle pouvait être-même. Elle s sentait épanouie dans sa compagnie. Son mari connaît trop bien ses petites faiblesses.
Dans la maison ou vivaient Anelyse et Mauricio Valle. Il y avait un grand garage et plusieurs voitures de luxe garées. Elle avait une vie de revê avec une gouvernement qui s´occupait de lês femmes de ménage. Sa vie était sortir au Shopping , déjeuner ou dîner, malheuresement les fins heureuses n´existe souvent dans les contes de fées dans la réalité. Alors elle a commencé s´éloigner de la maison et dans un festival d´exhibitionnisme et sexe de hasard. La belle brune avait faite la connaissence d´une jeune homme qu´elle avait vu à deux reprises et avait sorti avec lui et elle avait aimé beaucoup la baise avec lui. Dès la première fois où ils faisaient l’amour, C’était un feu d’artifice. Elle regardait son corps harmonieux, musclé, attirant avec son pieu à présent au repos mais d’où il émane toujours une force virile, une assurance de jouissance. Il est pleinement satisfait de sa réceptivité autant qu´elle l`était de sa prestation. Ils renouvelent plusieurs fois ces momen ts, voire ces nuits, torrides. C’est lui qui lui propose le système de « copain-copine de baise » : baiser sans attache et sans obligation. Elle accepte tout de suite et, dès cet instant, Elle se sent encore plus libérée, totalement à l’aise avec lui pour tenter des positions acrobatiques, des jeux incongrus, des postures particulièrement impudiques et obscènes. Il s´appelait Pedro.
- On ne peut pas échapper à l´amour.
C´est ça comme ça qu´il l´a trouvée. C´était une jeune femme qui a besoin de vivre la vie et il était l´homme qui la voulait.
- Donne moi ton numéro et tu me tairais, dit-il.
Après ça ils sont devenus amis et amants. Ils étaientt tout le temps en train de se parler et ils étaient inséparables des de Le premier jour. La relation entre eux s´épanouit, Il font face à d´étranges obstacles. Dieu, qu’elle est belle dans sa petite robe d’été avec ses jolis talons qui ont toujours le pouvoir de l’exciter. Un régal pour les yeux, la robe s’arrête deux à trois centimètres au-dessous des fesses et met en valeur ses courbes et ses jambes, à merveille!
- J´aimerais de te présenter à mon mari. Ca te dit?
- Tu es folle. Je ne peux pás, désolé.
- Pourquoi? Oui, Mauricio, mon époux aimerait venir nous rejoindre plutôt que de se cacher. Moi aussi d’ailleurs.
- C´est trop dangereux. Il est un homme puissant. Nous ne pouvons pas faire la même chose que tout le monde.
- Soie fort et corageux. Rien de problème, Il est un mari liberal.
Pedro et Anelyse sont iirésistiblement attirés l´un vers l´autre dès le début ils s´entendent à merveilles. Elle a plongé La tetê la première l´idyle que devient vite serieuse. Maintenant il était dans sa voiture. Une belle Porshe Jaune Carrera.
Peu causants au début du trajet, il est quand même à peine 7 h du matin ils écoutent plutôt d’un air distrait de la musique et comme par échanger des banalités sur le trafic qui se densifie à l’approche de dans ce moment elle dirige sur l´avenue des Amériques quand il parle avec elle:
- Tourne-là, allez, allez, tourne-là.
- Ça va? Demanda-t-elle préoccupée.
- Oui Je crois qu´on nous suivait.
- Oui, ça?
- Pas de gens, La police, les enquêteur, tourne encore maintenant. Ton mari est jaloux?
- Non... Il n´importe avec moi. Il est trop préoccupé avec ses affaires. Tu es comme un chien blessé.
Deux jours plus tard la situation deviant encore plus étrange, Alors Il était persuaté que les inspectêurs qui enquêtait sur le trafic de drogue. Le jour suivant elle voit sur une petite table un révolver,
- Quoi est ça?
- Une arme pour me protéger.
- Tu es un héros ou un bandit?
- Tour les deux.
Il ne son pas oublier que pour elle il ne s´agissait que d´une aventure à ce que son mari considerait que n´était que des excentricités à ses yeux. Maintenant elle savait qu´elle jouait avec le feu. Il était charismatique son énergie était três attirante. C´était comme une forme de séduction tout em subtilite. Elle le regardait dans les yeux et elle avait eu l´impression de voir l´universe entier.
Il jamais savait quand elle était sérieuse, Elle changé personnalitté en un quart de seconde. Lá, il a laissé entrevoir son véritable visage, C´est n´est pas la partie emergée d´iceberg. Anelyse n´a pas aucun limite. Elle se comportait comme ça dans toutes ses relations.
Dans sa maison le couple se parlent.
- Tu es super belle dans ta robe. Vous êtes très jolie, et vos jambes toutes bronzées sont splendides,Tu dois y aller sans culotte.
- Pourquoi pas? Pour un voyeur, je suis sûr qu’il aimerait bien tout voir.
- C’est vrai, c’est un de mes fantasmes, tu vas te masturber alors? Tu veux vraiment qu’il me prenne? C´est une drogue bien douce. J’aime le sexe. La longueur des cornes de mon mari devrait être proportionnelle aux sexes des mes amants.
- C´est d´en profiter tant que tu veux. J’adore ce que vous m’offrez…
- Arrête, flatteur. Ne t’avise pas d’arrêter maintenant!
- Tu me fais heureux, comme un voyeur que je suis.
- Et donc tu proposes quoi concrètement?,
- Bah, qu’on se caresse, tous les deux en même temps!
- Pedro est mon amant pendant un temps, lui dit Anelyse.
- Et à présent, qu’est-il ?
- Un bon copain et, à l’occasion, un excellent amant, juste pour un coup en passant. N’est-ce pas mon chéri qu’il arrive que nous baisions ensemble, reprit-elle à voix haute, ce qui me mit dans l’embarras.
- C’est de plus en plus rare.
Trois
Son épouse l’a proposé d’aller dans un bar cocktail, ensuite elle avait avisé l´adresse à son amant Pedro. L’ambiance est douce, feutrée, la musique est agréable. Les tables regroupant quelques familles, des couples et quelques hommes seuls appartenant à ces catégories professionnelles, Elle s’aperçut très vite du regard des hommes, certains regardaient les seins. Un nombre non négligeable de jeunes filles en fleur avec l´air de putes, Elles aussi, sont aussi presentes. Anelyse était au visage joliment ovale, au petit nez pointu, aux sensuelles lèvres rouges. Elle a un corps sublime, vu sa minceur qui contraste avec la générosité de sa poitrine. Un petit tour de cou de perles blanches, des boucles d’oreilles assorties, elle sera sexy, parfaite.
Il avoue que tout cela participe à son plaisir, son excitation, de la voir ainsi vêtue et d’imaginer toutes les sensations qu’elle doit ressentir.
- Tu es superbe, lui dis-je en déposant un tendre baiser sur sa jolie bouche.
- Ah !? On dirait que l’endroit est très visité, je me trompe?
- Ce… n’est pas faux… Ce soir, je ferai tout ce que tu voudras, lui murmure-t-il
- Comment tu me trouves? Pas vulgaire, j’espère?
- Tu es superbe. Tu es une très belle femme et que tu as des seins fabuleux.
- C’est moi qui te fais cet effet?
- Oui. Ça t’étonne ? Tout le monde te trouve incroyablement sexy.
- C’est une façon de montrer à l’autre qui est le maître du jeu.
.
Elle est toujours bien maquillée et superbement coiffée. Elle sait qu’elle est belle et l’assume. Assurément une très belle proie pour un chasseur amateur de femmes épanouies. En face d´elle a une table vide à l´écart, Il y avait des gens insaisissables. Pourtant elle avait changé. Son sourire il sentait une tension imprécise. Il avait effectivement beaucoup de gens La plupart se pressant au bar. Elle regardait autour d´elle comme pour chercher quelque chose. C´est avec surprise qu´elle a vu arriver son amant. Pedro allait s´assit juste sur la table devant eux, Son regard croisa le sien et elle esquissa un sourire, comme un salut. La brune se détendait et se sentait légère. Elle a commencé à se sentir bien. Elle le fixait inténsement, mais ses yeux restaient insondable. Il eut du mal à soutenir son regard, Son mari persuadé qu’il s’agit d’un rien, d’un geste, d’un regard ou d’une parole, d’un tremblement de la lippe, d’un tic quelconque, d’une vague exhalaison, d’une faço n d’arquer le sourcil en souriant, de la conjonction improbable de plusieurs de ces éléments ou de quelque chose d’indéfini, bref d’un élément anodin dont on dira beaucoup plus tard à force de le voir réitéré : c’est certes énervant, mais ça fait son charme.
- Ça marhe bien, tous les soirs c´est noir du monde, dit-elle.
Ses yeux étaient flous comme si elle suivait un autre revê. Elle eut un geste comme pour balayer des pensées penible, C´était um autre monde pour le milliardaire bourgeois qui l´évoquait. Un monde qui lui était étrange. Mais Il parut deviner sa pensée. Curieusement Il n´avait penséqu`à cette eventualité. Le bar était dans la pénumbre. Elle avait son l´ait obstiné des grandes jours. Puis une saveur singulière faite d’un zeste d’excitation qui conjugue les charmes de la provocation et une montée d’adrénaline. Une robe dépourvue de dessous facilite alors indéniablement ces écarts. Elle se considère une exhibitionniste, cependant quand un zélé sectateur englue ses guibolles du feu de ses prunelles, Elle porte une robe aussi, d’un vert pomme élégant à fleurs rouges, un décolleté qui montre la naissance de ses mignons gros nichons bien ronds ainsi que de chaussures assorties à talons hauts. Ça accentue le côté pute des dames. Elle a mis aussi un soutien-gorge, car sa poitr ine est dressée et gonflée. Le désir frissonne et décolle. Sont amant est là, maintenant, à les admirer, longues et superbement fuselées, splendidement halées quand il constate et profite du spectacle avec volupté. À tel point qu’une vague de chaleur lui traverse et Pedro se sent bander en un dixième de seconde. Il était plus petit, extrêmement musclé et paraissait particulièrement viril. Son cerveau, qui n’est pas le plus con, vient d’envoyer instinctivement un litre de sang dans sa queue. Tout n’est plus qu’envie et désirs. Elle adore ce moment de proximité complice et de tendresse. Ses longs cheveux clairs ondulent maintenant sur ses épaules et jusqu’au bas de son dos. Le mari apprécie sa chevelure, c’est plus féminin et tellement sensuel. Qu’elle est belle et désirable!
- Je pense que le jeune homme devant nous s’est rendu compte de votre beauté, il la regarde avec insistance et je pense même qu’il a tout vu. Mais que t’arrive-t-il, ma chérie?
- Délicieusement agréable. Rien, mon amour. C’est pour toi, j’ai envie de te faire plaisir. Je crois que vous ne comprendriez pas… Je t’expliquerai plus tard.
- Oui, oui, mais ce plaisir sera pour nous deux. Passons aux choses sérieuses, voici un premier mec. Écarte bien les cuisses que le mec puisse tout voir.
- Tu es prêt ? Dans ce cas, profites-en bien!
- Oui, même impatient, mon amour. Alors… je croise et je décroise, Euh, à force de croiser, il se pourrait que ma robe soit remontée assez pour dévoiler le haut de mes bas et la pointe d’une jarretelle.
- Je fantasme aussi beaucoup d’accord, mais rien de tout cela n’est réel. Sois patient, tu ne vas pas en revenir.
- Quand même, fantasmer d’être cocu? Allez petit cocu, regarde ta femme faire la chienne !
- Je me permets. Tu m´attend ici. Je ne vais pas tarder à rentrer.
- Tu veux être baisée?
- Oui. Je vais aller aux toilettes, Le jeune homme allait me suivre d’ici une minute, ça va pimenter sûrement notre mariage.
- Quelle femme, quel appétit! Ma femme. Tu vas leur donner le spectacle de leur vie.
Sans jeu de mots, Surexcitée elle fait un signe au jeune homme de la suivre. Puis, elle se leve, embrasse son mari et se dirige au fond où se trouve une porte donnant sur un escalier. En bas Pedro arriva et poussa la porte insonorisée et Anelyse sentit um souffre chaude sur elle. Anelyse avait envie de lui, elle a envie qu’il fasse l’amour avec elle, sans tierce personne. Dans Le couloir, il l’embrasse avec passion. Il met une main entre ses jambes et lui masse la chatte à travers les vêtements, elle réprime un frisson, puis ses doigts viennent masser son púbis. Elle sent qu´elle commence à mouiller.
De retour au Bar, Le truc le plus plaisant, c’est lui qui l’ai remarqué. Il avait tout capté. Enfin, ça l’a plu. Anelyse regarde la montre et sourit. Elle était aux anges, Des filaments de sperme coulent de sa chatte. Son sperme ne coule que le long de ses jambes. Satisfaite et comblée.
- Bravo! Belle réussite!
- C´est La meilleure baise de ma vie. Merci, mon amour pour ce soir, c’était merveilleux!
- Je suis sûr que ça te plairait. Et tu t´ aimé l´ expérience, non?
- Oui... Il dit qu’il veut me revoir, qu’il est amoureux de moi. Il est un étalon d´autre monde. T´es le meilleur des maris. J’espère qu’il te donnera autant de plaisir qu’il m’en a donné. Il est très facile à vivre, tu verras et comme il veut se caser, c’est une occasion en or.
- Tu sais, je ne souhaite pas le partager.
- Les agréables moments que nous passions ensemble. J’aime beaucoup faire l’amour avec toi, même si Pedro est un amant qui m’apporte des jouissances intenses.
En arrivant à la maison, enfin elle a confesse qu´elle avait invite Pedro à venir chez eux. Pedro ne perd pas de temps Il appelle Anelyse depuis de quelques jours plus tard.
Une semaine plus tard. Du haut de son 1,75 m pour 66 kg, elle exhibe une longue chevelure brune ce qu’elle aime exhiber le plus c’est surtout son 95B et son minou entièrement épilé.
Dans la maison, Elle semblait dangereuse et mysterieuse. La demeure était une espèce de temple ou sanctuaire didié à beauté d´elle. Il y a sur les murs photos énormes d´elle partout. Le luxe d´endroit est superbe. Il avait compris à quel point son mari est entiché d´elle. Il avait de mal à comprendre comment les choses avaient se liberé totalement de la part de son mari.
- Merci, d´être venu, dit elle.
L’alcool commence à faire ses effets et Il a de plus en plus envie d’elle. Pedro revient quelque temps après, la soirée suit son cours normalement, il me semble que Pedro a remarqué qu’elle est nue sous la robe.
- Je suis um peu préoccupé.
- Oh, tu sais bien que je sais être persuasive, mon chéri.
Ils se embrassent comme deux amoureux. Le mari les regarda sans comprendre. Anelyse voit Pedro ouvrir sa braguette pour laisser apparaître un dard tout en majesté. Il voit son regard déjà brillant regarder vers l’engin dès qu’il se fait visible. Sa main qui flatte sa bite et son regard qui va de Anelyse à son engin en dit assez sur le si… Il croyait insensible à la tentation d´une femme adultère. Elle vivait une expérience proche du fantasme réalisé. Mariée, mais s’avouant que son mari et elle avaient un accord de liberté. Couple moderne! Bref la belle vie. Tendrement, comme un souffle, elle fit glisser sa bouche sur son front, sur ses paupières, sur ses oreilles. Elle explora chaque parcelle de son visage, mordilla le lobe de son oreille, lécha de la pointe de la langue la ligne de sa mâchoire. Il avait les lèvres entrouvertes et là où elle était assise, elle sentait son érection durcir. Il ne resta pas immobile et posa les mains sur ses hanches. L´amant l’attira à lui et la fit basculer, saisissant un téton entre ses lèvres. Pedro se retrouva en équilibre précaire, à quatre pattes au-dessus de lui, les mains dans ses cheveux, tandis qu’il lui suçait les seins. Elle gémit et se mordit la lèvre, sentant l’excitation lui nouer le bas du ventre. Les grandes mains de Pedro descendirent sur ses fesses,
Elle se libéra, recula plus bas sur le lit qu’il caressa langoureusement. Le mari assiste à tout excité avec les images. Elle avait fantasmé sur son amant chez-elle dès le premier instant.
Elle referma la main sur la verge tendue devant elle, et fit trois grands mouvements de haut en bas sur la peau souple, appréciant la longueur et la largeur de l’organe. Elle avait envie de le goûter. Sa bouche glissa sous le sexe, sur les testicules, déposa des baisers à la base de la verge, puis humectant ses lèvres, elle donna un grand coup de langue, de bas en haut. Pedro poussa un soupir, resserra les doigts dans ses cheveux. Elle prit ça comme un encouragement, et saisit le gland dans sa bouche. Maintenant le miroir. Le fameux miroir.
- Tu vois le miroir. C’est une glace sans tain et mon mari est derrière se masturbant au assistir à tout. Il est un voyeur. Je sais que le mari aime regarder sa femme avec un autre et que ce subterfuge lui permet de réaliser son fantasme confortablement. J’apprends aussi qu’il aimerait bien nous rejoindre, pour regarder, mais aussi pour participer… Si je le veux bien… J’hésite à peine. Ma seule inquiétude étant de savoir si je réussirais à bander avec le mari à côté.
- Tu veux dire qu’il nous regarde? Là maintenant? Depuis qu’on est arrivées?
- Oui, maintenant et les autres fois.
- Avant aussi, mais…
- Mais il aime beaucoup nous regarder.
- Ohhh!
- Il nous trouve très belles. Surtout toi. Mon cadeau, c’est mon mari. Comme je le disais tu es libre de l’accepter ou pas.
Pedro pensait avoir atteint le paradis avec la femme. Ce n’était qu’une étape avec son époux comme partenaire invité. Je n’avais jamais fait, ni même imaginé, de trio. C’est quelque chose!
Dire qu’il y a un peu d’émulation entre les hommes est une vérité. Mais une bonne émulation. Pedro n’arrive toujours pas à comprendre comment une femme peut accepter deux mandrins, côté à côté, se parlant à travers une paroi fine afin de lui apporter des jouissances multiples. Alors, elle fait un signe à son époux de venir. Ce jeu était construit selon ses fantasmes et ses envies. Ils avaient déjà tellement détaillé ces instants, tellement été excités de les imaginer, que d’être sur le point de les réaliser engendrait une tension intérieure énorme, mélange de stress, d’anxiété et d’excitation.
Encore une minute et trente secondes. Interminable! Il ouvre la porte. Une femme consentante! Elle est nue. Elle lui lance son plus beau sourire. Pedro dont le bâton est horizontal, tendu et luisant. Une beauté de voir l’homme avancer, se cambrer un peu pour proposer sa bite aux lèvres de son épouse, Tout le monde fait ça!
- Quelle bonne idée d’avoir invité « Pedro ».
- Oui, je le sens bien. Merci, mon amour, de nous avoir laissés seuls un petit moment…
- Pas de quoi, le bonheur de ma petite femme fait aussi mon bonheur… Ben… ce n’est pas toujours facile, tu sais… Il faut savoir franchir le pas, et c’est le plus difficile.
- On est ensemble alors ? murmura-t-il.
- Oui, on est ensemble, approuva-t-elle. Chéri... Venez, s’il vous plaît. Tu vois que j’avais raison, c´est une grosse bite. T’es quand même fou, Pedro!
- Fou de toi, c’est certain!
Quatre
Il était la présence d’un autre homme pour qu’elle se réalise totalement. La belle épouse embrasse l´amant à pleine bouche. Sa langue est fougueuse, agile, tonique, un peu trop. Essoufflée de l’être pressée, sans doute aussi stressée par l’interdit, elle a besoin de reprendre sa respiration. Sess lèvres se séparent, s’éloignent de quelques centimètres, juste assez pour qu´elle puisse bien le voir. Voir ses yeux lui prendre, avant que son corps ne passe à son tour à l’action. Perdus dans l’infini, ils contemplaient la lune, les étoiles, elles brillent de mille feux, de dix mille feux, de milliards de feux! Son amant adore explorer ton corps…
Il est revenu sur le tapis un jour où par jeu, Les corps se cherchent. Anelyse a son époux poussé vers la bite de Pedro pour s’associer à sa pipe sans sentiment de culpabilité pour ses plaisirs partagés. Des prédateurs qui jouent à séduire les conjoints… Une main branle le bâton gluant tout en le guidant vers une gorge hésitante. L´épouse ne peut ignorer ce qui va se passer. La tige glisse de ses lèvres. Mauricio le suce. Sa bouche est déformée par la taille de l’engin. Il suce la bite de l´amant de sa femme avidement..
- Alors tu as aimé qu’il te lèche et que je regarde?
- Oui beaucoup, mais il a bien failli ne rien se passer.
Le mari placé ainsi, sa gorge est destinée à recueillir la liqueur d’amour. C’était il y a… Une éternité…
- Putain que c’est bon! Plus tendre qu’une chatte. C’est bon Toi aussi tu apprécies ma femme, non?
- Oui, d’accord, mais c’est comme un guet-apens.
- Tu peux y aller. Baise-lui la bouche, devant moi.
Elle gémit, les yeux fermés, perdue dans un plaisir que tout son corps exprime. Les cuisses largement ouvertes, les jambes repliées avec les pieds sur le lit qui lui font pousser son bassin vers sa maîtresse, quémandant encore plus. Et Pedro a la tête perdue entre les cuisses. L´époux devine que sa langue et ses lèvres sont les artisans de ce plaisir. Mais aussi une main qui montre qu’un ou deux doigts se sont glissés dans la chatte et probablement que de l’intérieur ils s’activent. Et aussi l’autre main qui caresse un sein, le malaxe, l’écrase pour en faire pointer encore plus le téton déjà bien excité. Un téton qu’elle roule entre ses doigts et qui ajoute des gémissements aux gémissements. Et Anelyse qui appuie si fort sur la tête de son lécheur qu’elle doit avoir du mal à respirer. Et L´épouse qui se cambre dans un dernier effort pour que la jouissance explose. Ce n’est qu’il est le centre de ce couple, pervers peut-être, mais en tout cas pas avare de plaisir procuré.
- C’est bon. Vous êtes bien gros. Je vous sens bien, C’est bon… Baise-moi… Remplis-moi avec ta grosse queue… Je suis une salope…
Maintenant Pedro la baise intensement, Elle est belle. Ses yeux brillent. Son visage est brillant. Reste de transpiration. Preuve de plaisir. Son visage est tout près du sien. La sueur, la salive, le foutre de son amant en font un tableau obscène.
- Ouiiii !… J’aime ça comme ça! Doucement!… Encore!… N’arrêtez pas s’il vous plaît! Oui, j’aime ça, j’adore… Je me sens… Rempliée, comblée, salope, c’est dingue! Ah oui que c’est bon! Oh que c’est génial! Oui… Défoncez-moi!… À fond… Complètement.
- Alors, fais-toi plaisir, laisse-toi aller! Nous les hommes, on s’occupe du reste!
Le époux contemple sa femme qui est à la fois pleine de son sperme, de celui d’un autre. Mais c’est elle, vicieuse parmi les vicieuses qui se colle à moi. Elle l’embrasse, voilà la cúmplice d´une felacion. C’est alors qu´il réalise que lui ne lèche pas que de la cyprine de l´amant de son épouse. Un sacré cochon dans son style, mais elle n’en doutait point!
- Alors dans ce cas, je suis qui moi? Un cocu? Oui cocu, quoique pas encore, mais c’est sur une bonne voie, cocu souhaité pour pouvoir me servir de cette infidélité pour un plaisir voyeur.
- Tu promets de ne pas te moquer ou de te choquer.
- Maintenant il faut tout me dire.
- Tu ne crois pas qu’on a dépassé ce stade?
- C’est vrai…
lI sait son mari est au courant qu´il est son amant.. Elle veut aller plus loin dans ce jeu. Anelyse a pris comme une plaisanterie son accord qu’elle puisse elle aussi le revoir. Elle est de nouveau assise dans le salon pour siroter la bouteille de cognac.
- Tu as gagné au loto. Pedro est fou de toi. Il est dingue de toi.
- T’es vraiment bizarre, toi… Je le suis de lui.
- Tu préfères que je sois bizarre ou que je t’explique à l’ancienne qu’une femme ne doit même pas songer à un autre homme que le sien ?
- Vu comme ça… Tu aime sucer sa bite.
- Si j’ose le faire… Oui, pourquoi pas…
- Eh bien, si tu oses, je n’aurais rien contre… Je t’aime très fort, mon petit cocu.
Mauricio a échoué à la séduire, mais a cependant créé un climat favorable aux confidences. Mélange d’alcool, de confidences et des incitations d´elle avec son amant. Putain, il est parfait dans son rôle. Elle le sentait bien pour cela. Elle l’a manipulé… Quel jeu joue-t-elle? Pedro au savoir qu´elle était une avocate lui avait confesse qu´il était un trafiquant de drogue. Que il avait quelques problèmes dans la justice. Alors elle avait commencé à travailler en as défense. Un jour il avait disparu. Elle alors, allait appeler la Police:
- Allô... C´est Anelyse Bittencourt avocate criminelle. Mon client Pedro de Souza a disparu. Il avait hier un rencontre avec moi dans la justice et il a disparu. Il n´est pas rentré plus. Quand tu as un nouvelle avise-moi.
- Ok, Madame. Je suis sûre qu´il va bien. Il répond dans la justice sur le quoi?
- Trafique de drogue.
- Je n´arrête pas d´appeler, Il ne répond pas.
Pedro Alvarez de Souza ne rentre pas. Deux jour plus tard 1 h 30 du matin, une voiture arrête dans le banlieuse pour Le chauffeur pisser. Au faire ses nécessites naturels il voit quelque chose étrange près de lui. Au véridier Il a perçu un corps d´un homme. Il appele la Police que rapidement arrive au local. Les policiers voient la victime au sol. Elle était étalée face contre terre et menotté. Il s´agite d´un jeune homme d´environ 25-26 ans. La Police soupçonne immédiatement d´un crime commis pour trafiquants de drogue.
- C´est une guerre de máfia, dit l´enquetêur.
- Ça ressemble énormement à un enlèvement, Ils ont pense qu´il avait été assassiné pour une raison précise. Le meurtre present les caracteristiques d´un crime organisé, dit le périte criminel.
Le corps avait été larguée. La mafia controlait toute la ville du Rio de Janeiro. Des crimes étaient commis partout. La Police avait perdue tout le côntrole. Il en fait de leur point de vue dans leur esprit. Était il croyait de commettre le meurtre parfait?
- Il a été mort par un revolver calibre 38, dit le périte.
Ils trouvent le número de Annelyse dans le portable qu´avait été trouvé avec le corps. Plus tard arrivent deux enquêteurs dans la maison de Anelyse:
- Nous somme de la Police et nous voulons parler avec Annelyne Bittencourt.
- Oui... C´est moi. Vous pouvez entrer, s´il vous plaît.
- Merci. Il y a une denonce de disparition d´un de ses clients. C´est lui?
Alors l´agent lui montre une photo du corps de la victime crivé de balles à elle. Immédiatement il est identifié comme Pedro de Souza.
- Malheureusement, oui...
- Vous savez qui lui voulait Du mal? Avait-il des ennemis?
- Je pense qu´il fait des choses, Il n´et pas vraiment fier.
- Quoi donc?
- Il voulait l´argent facile. Il était un trafiquant de drogue.
- Alors Il a été victime de la máfia. C´était un escroc...
- Non... C´était l´homme le plus adorable que j´ai jamais rencontré. J´ai éviter la prison plusieurs fois.
- Et sa famille?
- Il jamais parlé de sa famille. Mais je vais montrer à cet assassin cruel allait savoir qui est la proie qui est le prédateur. Je suis une avocate professionnel et je vais investiguer l´auteur du crime.
Cinq
Plus tarda au arriver le mari ils s´embrassent et partageons ce chagrin au sel lacrymal sans honte et sans pudeur. Ainsi fut fait dans un mélange de salive et de sanglots qui donna à ses lèvres une saveur indéfinissable. Anelyse sentait beaucoup de rage, de haine par La mort de son amant. Elle se sent atrocement coupable. Elle savait qu´il faisait et rien fait pour l´aider. Un être cher assassiné elle revivait encore et encore. Elle se trouvait à vivre une nuit sans fin.
Les policiers a perçu que c´était une amour fatal, qu´elle était à bord d´une crise de nerfs. Alors, ils allaient jusque le bureau de son mari, un illustre homme d´affaires du Rio de Janeiro. La central de la compagnie Siderurgique de Volta Redonda était une architeture moderne dans le sud de la ville merveilleuse. C´était une personalité plutôt extravagant, em prennant son travail au sérieux sa fortune s´élevait à au moins des milliards de dollars. Il avait une vue confortable, Voitures de luxe, maison de plage, lear-jet, hélicoptère et etc... Il avait dit aux policiers ”je n´a pas rien à voir avec les clients de mon épouse”. Puis il tourne le dos aux policiers et disparu dans les couloirs.
Ça l´attriste est que son amant n´est plus présent dans sa vie. Dans les funerailles de lui elle l´a promis vengeance.
L´avocate Anelyse Bittencourt allait acheter une pistolet 9mmm et elle allait à une école de tirs. Puis elle découvre l´endroit où Pedro a été gérant. Elle voulait cocaïne. Puis de l´acheter elle montre une foto de Pedro au trafiquant et lui demande pourquoi Il avait été assassiné. Avant que l´homme parle elle lui donne une billet de 100 dollars, puis plus 100, puis plus 100.
Alors Il l´explique que Pedro avait volé le chef du trafic. Alors elle lui donna plus 200 dollars.
- Le nom du chef du trafic?
- Il parle, Igor Stalent, L´américain. Il est un homme três dangereux.
- Moi aussi. Où je peux le trouve? Où il habite? Lui donne plus 100.
- Il avait se vait se demenagé à Angra dos Reis.
Trois jour après elle ouvre le journal et vit la photo du trafiquant qu´elle avait parlé, mort sur la sable de la plage. Une avise sur le corps, X9 c´est un code de quelqu´un qui vend information. Plus une victime du américain. La haine augment plus. Elle ne pensait qu`à une chose. Tuer l´assassin de Pedro. Alors elle allait se pressé en aller à Angra dos Reis. Une ville éloignée du centre 90 km. Pour l´internet elle avait logé un appartement devant la mer et une salle comme son bureau au centre d´Angra. Elle immédiatement se vicie en cocaïne. Alors elle allait à “Angra dos Reis”. Après une heure avec sa Porsche jaune. elle était là. La ville se trouve au litoral sud de Rio de Janeiro. C´est une ville três tranquille tranquille, três pitoresque ou tout le monde se connaît. Quando on arrive dans La ville, on voit La place principale. C´est un três bel endroit comme on voit sur les carte postales. On peut y admirer ses magnifiques lots, tours, chex blanc qui monte droit jus qu- au ciel.
Les gens se retrouvaient tous les week-end dans la plage. Sur la mer paraît Monaco pour la quantité de yates de luxe ancré sur la baie. Son mari a un ancré en Búzios, L´autre extremité du litoral. Region de retraites de miliardaires. Lá Il y a plus des maisons de change plus que de banques. Endroit formidable. C´est une ville charmante. Um parour de golf, des restaurants et tout un tas de boutique de grifes affamés sur le long de la rue principale. Là plus part dês habitants, vieux hommes d´affaires de l´haute societé. Un endroit où les gens promenent leur chien. Le soir ou les voisins se parlent et s´entendent bien entre eux. Un paradise qu´attire gens du monde entier. Elle avait vu passer deux merveilleux prototypes de la masculinité. Ils étaient beaux à en faire damner un saint. L’un avait la peau d’ébène, il était merveilleusement bien bâti. Le second, plus fin, avait la peau dorée magnifique des hommes de l’Inde.
Son mari voulait savoir jusqu´où irez son petit jeu. Elle était três séduisante avec un joli visage. Avec 130.000 dolars dans une valise et une photo de Pedro dans son porfeuille. La proche étape será en entrer dans le monde du crime en “Angre des Rois”.
Elle s’installe derrière le volant et elle fixe son GPS sur le pare-brise en pensant qu’il est seulement vingt-et-une heure, et le difficile « toute seule » commence à l’envahir. Le soleil 35º. Il est si bon de sentir sa chaleur sur sa peau. De caresser son corps chaud lorsqu’il vient d’être baigné par l’astre des lumières. Bon sang, que ferions-nous sans lui ? L’été est sa période favorite de l’année. Le retour des vêtements légers si agréables à porter. On dit du printemps qu’elle est la saison des amours. Peut-être. On en voit de belles choses. Alors la machine à fantasmes se met en route… Combien de fois elle avait regardé ces hommes passer devant moi avec leur sexe dans leur maillot de bain, ces surfeurs se changer à même la plage dans leur combinaison moulante? Puis il y a toutes ces femmes qui derrière leur bikini semblent pour ainsi dire nues. Leur abricot prêt à être cueilli. Bien sûr, elle n’aborde pas les adeptes du monokini, ni même les camps de nudistes. volley, foot avec les Italiens, nage, quelques visites touristiques, et elle ne voit pas le temps passer. Moi, oui. Elle était assez bronzée comme ça. Elle allait venir de terminer leur première semaine
Elle est dans la ville et allait achèter drogue à un endroit éloigné du centre information d´un chauffeur de taxi. Elle achete La cocaïne et aspire un peu immédiatement. Puis, elle se retour au trafiquant et lui montre une billet de 100 dollars. Où je peu rencontrer Igor. Au voir l´argent Il brillait les yeux, mais hésite.
- Comment voulez-vous que je vous aide?
- J’ai besoin que vous m’aidiez… Tiens... Peu de problème. Il tombe avant de vous.
Il prend l´argent et montre le restaurant près de Lá. il est du tuer à gages de lui. L´homme de confiance de Igor, Il s´appelle Roque Nascimento.
- Il est sinistre dit-il.
- Moi aussi, dit-elle tournant les dos et se dirigeant au restaurant.
Elle a entré dans le restaurant et allait direct aux toilettes. Elle apparut enfin, magnifique dans cette robe bretelle bleue à motifs rouges s’arrêtant cinq centimètres au-dessus des genoux. Les bretelles se croisaient dans le dos et offraient un joli mi-dos nu ainsi qu’un décolleté mettant harmonieusement la poitrine en valeur. Quelqu´un lui dis qu´elle était magnifique et diablement désirable.
Dès 17 heures le vendredi, tous les serveurs étaient à pied d’œuvre pour positionner les bouteilles d’alcool et les doseurs associes. Lorsqu´elle est sortie, elle retrouvait la pièce des lavabos qui était commune aux deux sexes. Elle se trouvait être en face de Roque, Son cœur bat à tout rompre. Elle s’est remaquillé les yeux; la bouche est recouverte d’un rouge luisant, lui donnant des lèvres pulpeuses. Son parfum l’enivre. pas beau avec sa peau sombre et ses muscles saillants. Il lui sourit de toutes ses dents. Elle doit le sentir car elle jette un coup d’œil vers lui, plonge ses yeux dans les siens, tentant de lui faire baisser les yeux sans y parvenir, puis l’ignore royalement. Peu importe, il continue à la fixer; le jeu l’amuse.
- Bien entendu, ça me plaît. Vous êtes superbe… superbe, et délicieusement sexy!
- Ton corps parle pour toi.
- Vous n’avez pas cessé de me mater dès que j´arrive.
- Vous aimez exciter les hommes, n’est-ce pas…
- Vous avez de très jolies jambes, ou plutôt de très belles cuisses…
- Salaud, vous m’avez excitée comme une folle dans cette toilette;
Elle se mit face à lui pour attacher sur sa poitrine l’agrafe située à l’arrière du léger vêtement avant de le tourner et d’ajuster les deux bonnets sur ses seins. Oups! Il faillis avaler sa salive de travers... Il se sécha les mains avant elle et se plaça derrière elle. Tout en la regardant dans le miroir, il entreprit de caresser son dos et ses épaules en les effleurant. Ses gestes étaient à la fois doux et assurés. Ses grandes mains étaient expertes. Il était fasciné pour des jambes interminables, longues, fines, des mollets galbés, des cuisses fuselées. Perfection absolue.
Anelyse une brune aux yeux bleus envoûtants, toujours très provocatrice n’était pas à l’aise, elle rechigna un peu. Roque avait plongé son nez dans la culotte et semblait enivré par l’odeur.
- Vous êtes trempée, petite cochonne, votre culotte est à tordre !
- Tu peux y goûter si tu veux.
- C’est tranquille ici, Tu es belle, Madame, terriblement belle et obscène, une merveilleuse femelle, dit le Black.
Roque était aux anges, ravi d’avoir su faire de la belle brune la vraie chienne dont il rêvait, capable de tout pour satisfaire son plaisir. Il était tellement hypnotisé par le désir que lui provoquait cette caresse ahurissante qu’il se laissait complètement faire.
- Je vais te baiser! Ta chatte dégouline, tu sens la femelle en chaleur. Tu as envie d’une bite, n’est-ce pas, une bonne bite bien dure!
- Prends-moi, s’il te plaît, vite.
- Tu veux quoi, Madame?
- Te sentir, en moi. Oh, tu es si vicieux… Je veux… Ta queue! Ouiii, profond, loin ; je veux la sentir dans ma chatte, je veux qu’elle me remplisse… Dit-elle dans un souffle.
- Ouiii, tu me remplis. Bourre-moi fort, vas-y !
- Ta chatte me suce la bite, Madame, c’est délicieux.
Il sent une giclée de mouille chaude lui brûler la queue.
Il la baisait bien.
Ils étaient face à l’océan en bout de terrasse, certes un peu éloignés de l’agitation de la salle de restaurant, mais entre nous, presque à l’écart du monde, ses conversations bercées par le flux et reflux des vagues. Bizarrement, il n’y avait quasiment que nous sur la terrasse qui allait en se prolongeant vers l’immensité de l’eau, la plupart des clients s’étant installés à l’intérieur. il susurrait des incantations qui, même inconnues à ses oreilles, semblaient exprimer tout l’érotisme. Elle est folle pour les blacks.
- Puis-je vous aider?
- Oui... Je veux savoir comment trouver Igor Stalen.
- Qu´est-ce que vous voulez de lui.
- Tu ne va pas croire, mais je veux baiser avec lui.
- Pourquoi tu pense que je allais lui donner cette information?
- Je suis une avocate criminelle. En 10 minutes seulement j´ai consulteé ses arquives crminales dans l´internet: Roque nascimento, noir, fort, 1m 90 un casier pleine de crimes. Trois mandats de prisons pour meurtres. Tueur à gages.
Six
- Tu dois mourir dans votre restaurant si vous ne me dire qui tué le gérant du trafic du Leblon Pedro Alvarez. J´ai une pistolet pointé à vos couilles sous la table. Commence à parler.
- C´est moi que tué Pedro au Leblon. Igor tu vas le trouver à ce soir dans le Club Mediterrané... Mais, Il va te tuer. Alors faite vite, sans me faire souffrir.
- Ah oui... Comme vous. Pedro était mon amante et je suis puissante. C´est un tir sur ta belle bite te plus deux sur ton visage. Le monde pas besoins de monstre.
- S´il vous plaît... Ses dernièrs mots avant de tomber mort devant les clients.
Elle avait parti vite de la scène du crime. Les agents de police et l´ambulance sont en route. Une situation d´urgence les premiers minutes sont cruciales au moment. C´est stressant sous le coup de l´adrenaline.
Puis de se changer dans son appartement, elle allait ensuite au Club Mediterrané. Elle porte une petite robe rouge. Fluide, mais près du corps, sans manches avec deux larges bretelles. Lorsqu’elle bouge, il peut apercevoir la naissance de ses seins et ainsi constater qu’elle ne porte pas de soutien-gorge. Elle semble aimer l’inconnu, avoir soif de sensations et lui inspire un sentiment de liberté teinté d’une pointe de rébellion. Quand elle marche, elle aime promener son regard sur les gens. Elle cherche à capter le regard du passant, elle espère y déceler une étincelle, un signe. Elle cherche l’excitation dans ce micro-flirt, le temps d’une seconde. Elle éprouve une certaine ébriété à marcher au milieu des gens, surtout la nuit.
Elle aime voir les gens vivre, croiser leur regard et continuer son chemin, l’esprit enflammé par toute une série de scénarios érotiques. quelques hommes attirés par sa silhouette sculpturale, finalement elle manipulera, utilisera comme instruments de plaisir. L’atmosphère s’échauffe, l’avoir déjà remarquée, alors qu’elle se baladait, à cause de sa démarche si caractéristique. Il se tient au bar écrivant sur son portable et sourit. L’ambiance était électronique sous les néons bleus et roses. Des corps emmêlés et endiablés. Des ombres dans le rouge des néons qui ne souhaitent qu’une chose seulement: ne pas mourir. Des corps gigotaient leur propre fin du monde en extase, ça sautillait et ça criait, ça folâtrait et ça proclamait : « Vous êtes mes meilleurs amis du monde ! » soit en espagnol, soit en anglais.
Les gens observent encore à cette heure-ci, sirotant leur verre, les tables sont encore disponibles. Un serveur lui montre Igor Stalent toute souriant également, elle appréciait son charme. Sa stature en imposait et son air grave l’inquiéta. Il était séduisant, il plaisait aux femmes, mais au la voir Il a reste fasciné par sa beauté. Imméatement il se laisse draguer par une belle femme brune en tenue sexy. De as part C’est un rêve érotique qui a dû l’éveiller. Le serveur arrive il est hypnotisé par le spectacle, il ne voit pas encore ses tétons, mais ses seins sont à moitié découverts, son entre seins est offert, et ses tétons pointent durement sous la soie, il peut voir que son décolleté finit sous la table, ta robe étant entrouverte, il ne trouve plus ses mots et devient tout rouge… Le serveur avait l’air déçu de ne pas s’être aussi bien rincé l’œil qu’à son passage précédent, même si ton décolleté en ferait tout de même bander plus d’un… Excité par ton audace et sa vorac ité sexuelle!
- Je voudrais me venger… Le piéger. Me venger… Me venger! Mais comment ? Mais le mal est fait, pensait-t-elle.
Sa tenue exhibait ses seins et ses jambes bronzées. Les autres clients, hommes et femmes, ne sont pas restés insensibles à ses charmes et tout le monde l’a reluquée plus ou moins discrètement. Certains l’ont même littéralement déshabillée du regard comme Igor, un bel américain célibataire, qui l’a ouvertement draguée. Par ses postures, Anelyse est bien entrée dans son jeu et n’a pas caché son attirance pour ce beau mec. Elle a toujours faible pour les hommes dangereux.
- Tu es donc libre? insista-t-il encore.
- Libre? Je suis seule, oui! En tout cas, j’espère pas pour longtemps, pouffa-t-elle, souhaitant des rencontres intéressantes. Tu me trouves belle?
- Tu es magnifique! Je peux vous inviter à boire un verre? Pourquoi es-tu ici à parler avec moi?
- Pour rencontrer un homme qui pourra m’aider à réaliser mes fantasmes et assouvir mes envies les plus secrètes.
- Vous n’avez pas peur que le loup mange le petit chaperon rouge?
- Non, car c’est un gentil loup.
- Vous ne dansez pas?
- Je n’ai pas la tête à ça.
- Vous êtes magnifique! Une vraie femme!
- M-merci…
Ils discutent de tout, et ce soir, il est particulièrement rieur, Il avait une voix grave et rauque. Elle sourit, encore, mais je sens une pointe de complicité naître dans ses yeux maintenant.
- Nous allons où?
- J’ai autre chose en tête! Dans un bois. J’ai une envie folle de vous faire l’amour contre un arbre!
- Vous avez de ces idées!
- Oui, j’ai toujours de ces idées, comme celle de vous demander, là maintenant, de relever votre robe afin que je puisse contempler votre belle chatte!
- Regardez plutôt la route! Vous êtes un sacré pervers dans votre genre!
- Ah, on dirait que nous ne sommes pas seuls. Ils sont garés à droite, allons à gauche.
- On est où ici?
- Un coin tranquille, avec beaucoup d’herbe, des bosquets et quelques arbres, avec en général peu de monde dans le coin. Ici, c’est très bien…
Igor Stalen venait de garer sa voiture dans un endroit peu fréquenté, un petit bois situé en bordure de la ville.
- Tu m’excites trop avec tes jolies jambes!
- Tu es prêt à tout pour moi?
- Oui.
- Oh oui, j’aime être votre objet.
- Félicitations; tu es décidément une très bonne soumise! T’es comme les vaches: l’herbe est plus verte ailleurs! C’est plus fort que toi, n’est-ce pas?
- Euh… oui…
La voiture est maintenant garée au milieu des bois. C´était nuit déjà, le temps se prête aux canailleries! Endroit avec des paysages boisés est le genre de bourcage ou personne ne risque s´aventurer pendant la nuit. En effet, notre voiture se gare sur un parking, coincé entre la route et la rivière. Parking, c’est vite dit, une sorte de chemin de terre assez large. Ilt explique:
- C’est un petit bois pas très fréquenté; d’ailleurs, il n’est pas aménagé, contrairement aux autres des alentours. Donc pas de danger ou si peu.
- Il n’est pas bien grand, ce bois, entre la route et la rivière… Étrange mais agréable idée! C’est vous qui m’avez suggéré l’idée.
- Nous sommes à la pointe du triangle, il s’évase beaucoup plus quand on s’enfonce dedans, mais il n’est pas bien grand, en effet. Allons-y!
Il posa la main sur le genou de Anelyse et releva sa robe jusqu’à découvrir totalement ses cuisses. Il coupa le moteur et se tourna vers Anelyse qu´a une main dans son sac tous le temps elle lui demanda.
- Vous savez que vous êtes magnifique? Vous êtes une femme ravissante, à me faire perdre la tetê, surtout nue au milieu des bois! Non, non, il y a quelque chose qui ne va pas! Mieux que ça, petit pute!
- Comment ça. C’est dingue tout ce truc! Tu as la main toujours dans ton sac.
- Tu as tué Pedro, pourquoi?
- Qui est vous? La pute de Pedro? Vous êtes cynique! Que désirez-vous? T’es vraiment une grosse pute dans ton genre !
- Et toi un monstre. Tu n´as pas notion de danger. Vous, bien sûr! Roque n´existe plus. Et toi aussi, je te veux! Je suis la femme de Pedro qui va te mener aux enfers. En réalité tu vas mourir.
Dans ce moment elle revela l´arme et il a tenté reagir mais Il a reçu le première balle sur plein visage et efface, Elle tire plus deux fois.
- Tu vas baiser le diable aux enfers. Tu ne mate plus personne,
Elle ouvre la porte et il tombe lourde par terre, dehor... Alors elle passe au lieu du chauffeur et nettoye le sang sur le volant avec un mouchoir de papier elle allume le moteur et part vite avec la voiture de la victime. Plus tard... c’est la foule, des gyrophares, des rubans orange et blanc. Accès interdit.
- Circulez s’il vous plaît.
Plus une chapitre d´une histoire d´horreur. De La cólera l´erreur est humaine, mais individus les plus monstrueux sont capable de commettre des péchés mortels.
Plusieurs jours plus tard, même qu´elle soie suspecte l´autorité a besoins de preuve. La suspect est três belle d´une classe sociale élévée qui vient d´une famille tradictionnel. Alors elle est invité à arriver dans la central d´humicidies. Elle avait arrivé déguisée de reine en grand style vutue Christan Dior, sac Louis Vuiton et portant des bijoux três chéres dans une limosine avec chauffeur particuler. La prense était là. Elle était une célébrité. Le Chef de Police a perçu qu´elle était toujours calme et détendre. Dans la Police le téléphone n´arrête plus de sonner. Premier, c´était le Ministre de la Justice de Brasilia demandant un attention spéciale à elle.
- Les balles calibres 9mm trouvés dans les deux corps sortirent de la même arme.
- Tu as une arme de ce calibre?
- Oui, dit-elle,. La voilà par l´analyse.
- Ils étaient les deux plus dangereux du pays. Vous pourait devenir cible des trafiquantes.
- Je suis un vase mauvais, vase mauvais pas casse.
Son mari aussi se révéle comme le proprietaire de la siderurgique de “Volta Redonda” que est près de là, et son legitime époux veulent savoir que son épouse faisait dans la Police. Comment épurer les épisodes avec une énorme pression. Les enquêteurs doivent remonter une piste numérique jaloné d´échecs sentimentaux. La Police avait la conviction qu´elle était une véritable psychopate qu´a plaisir en tuer. Ou pire, une serial-killer. La témoigne du crime du restaurant avait été abattu `pour des balles de pistolet par une belle femme deux jous après le crime. Depuis ça, personnes veulent parler sur les crimes. Quatre mois plus tard les forces de l´ordre ont fait peu de progrès. C´est pire que tout... Il n´y a pas de preuves contre la socialite assassine. La police n´a pas d´autres témoins.
Elle a mis son chemisier long, léger, fin, celui avec un tissu très finement rayé, satiné, si doux au toucher. Boutonné assez haut, son col en V n’est pas très évasé, et ses longs cheveux roux couvrent entièrement son décolleté trop étroit. Au-dessus de ses grandes bottes en cuir marron et de ses longues jambes fines, elle porte sa minirobe en jean, celle qui se ferme sur le devant, avec des boutons Kaporal voyants, tous bien fermés de haut en bas. Pour le moment. Une vision rapide, éphémère. Un cul fantomatique de chair parmi les nus sculptés, la belle fée aux globes galbés.
Puis de éliminer deux assassins de Pedro, elle était de retour au Rio de Janeiro. Elle voulait d´autant plus que tuer le chef du crime organisé du Rio de Janeiro, Marcelo 171. Alors... Il méfie qu´il será le proche â être mort et part au attaque. Il est complêtement paranoïaque. Un drame est en train de se joure. C´est une course contre la montre, Dans un moment elle était en train de briller un feu rouge. Six hommes fortement armes l´attend dans l´avenue Brésil, porte d´entrée au centre ville. Le mari l´attend mais elle pas arrive. Puis de trois jours il demande action de la police, Puis de plusieurs jours les enquêteurs pensent avoir enfin une piste concrète dans La sphère de la disparition de la belle socialite. La Porsche Carrera jaune crivée de balles et bruillée a été retrouvé dans l´oest d´État dans une direction opposé on se croyait la voiture calcinée l´autre bout de l´État grace au numéro de série. Ils ont pu identifier qu´il s´agissait bien la voiture de la soci alite. Alors quelque chose de plus grave avait pu se produire et qu´elle n´était pas moins il n´y a aucune trace de depouile dans le coffre de la voiture. Ce moment aucune excuse le mari était sur à 99% qu´elle était morte pour une bonne raison. Mais en puis de trois polices differentes qui enquêtent le quoi de réel qu´avait arrivé, réalité l´histoire était autre. Alors vient la surprise. Un homme qui vend hot-dog sur la plage de Copacabana. Il affirmait qu´une belle brune fut victime de tentative d´enlevement des bandits du CV ( Commandement Rouge). Il avait dit aux enquêteurs que la belle femme a descendu de la voiture près de lui d´arme sur main. Elle avait repondu aux tirs des bandits. C´était des tirs partout. La situation est grave. C´était um attentat contre as vie. Elle avait pénsé qu´elle allait mourir. Un bandit près d´elle avait tombe mort par terre dans une maré de sang. Il était étendu sur le ventre, C´était étrange.
La scène était terrifiante. Il faudra dês années pour conaître La vérité. Um jour la justice enfin va être fait. Elle avait entré dans un taxi et a disparu. Les bandits avait fait le secours et ils avaient pu mener la voiture. Il y avait plusiers capsules de balles partout que donnent l´idée de que s´est passé là. Il avait précisement qu´elle avait sortie ilése de la fusillade. La police arrive vite au Rogério 171. Il avec um passe violent de plusieurs homicides avait l´ordre de prison contre lui.. Il est détenu pour tentative d´homicide et il est emporté pour les policiers à penitentiaire Bangu-1.
Sept
Trois jours après il est trouvé mort dans la cellule. Il avait plus de 40 coups de couteau. Comme La cause de la mort l´assassin a parlé que se traitait d´une affaire personnelle. Il son déjà quinze jours que Anelyse était disparue. Son mari a commencé à voir cette affaire de disparition de son épouse sous autre angle. La Police avait informé le mari qu´avec la morte du chef du crime organisé. La disparition de son épouse jamais será elucide.
Au entrer dans le taxi Anelyse monte en le remerciant tandis qu’il s’engage à s’asseoir sur le siège central C’était une position stratégique que n’offrent que peu de véhicules et dont elle vous invite à profiter. En outre, elle n’aurait pas ainsi l’impression de vous inspirer une quelconque frayeur, alors elle dit au chauffeur.
- Allez, vite...Vite
- Vous êtes policer? Demande l´homme au voir elle changer tirs avec les bandits.
- Avocate, socialite, j´ai porte de l´arme.
- Superbe... Vous réussi un combate avec six bandits. Qui est le predateur et qui est la proie?
- En vérité... Je ne sais plus. Je pense que c´est tout la même chose. C´est la vie. Une histoire d´amour de vie et de mort.
- Où je vous deposé? Madame, s´il vous plaît. Tu peux me faire confiance.
- Búzios... J´ai maison d´été en Búzios. Je sais... Les voilà 300 dollars pour son service.
- Parfaitement, Madame. Vos désirs sont des ordres.
- Moi, Anelyse. Comment tu t´appelle?
- Arnaldo. Je suis un policier militar, j´ai le taxi pour agmenter l´argent. Le bandit qu´allait le tuer pour le dos j´ai l´eliminé.
- C´est pour ça que j´ai sorti intacte. Vous-êtes mon ange de garde.
- Non... C´est mon devoir comme militaire. Tu es marié Arnaldo?
- Celibataire. Je suis un solitaire.
- Tu ne l´es plus. Tu as moi. Vous êtes un homme beau.
- Merci beaucoup.
- Je suis mariée avec Mauricio Du Valle.
- Qui? Le propriétaire de la Siderurgique?
- Lui même.
- C´est l´entrepreneur plus grand du Rio de Janeiro. Le chef du Commande Rouge, il va être trouvé mort rapidement..
Elle avait l obserait a aille 1 mètre 80, séduisant athlétique, elle aurait pu avoir n´importe quelle femme à son bras. Il avait trouvé Anelyse une déesse de beauté.
- Tu n´a pas besoin d´un garde de dos?
- Oui, mais avant tu as de passer pour la preuve d´habilité.
- Du quoi, Madame?
- Habilité sexuel. Je vous trouve très séduisant. Les yeux sur mes jambes, il faillit dire quelque chose.
- Ouvres tes jambes largement et me montre ta chatte, s´il vous plaît.
- Mais tu es fou, il n’en est pas question! Imagine que quelqu’un s’en aperçoive…, Pour qui vais-je passer?
- Mais j’espère bien que ce sera le cas! L’idée que tu puisses te faire me plaît… S’il te plaît, mon ange, tu ne risques pas grand-chose et ça me ferait vraiment plaisir.
- Tu n’es qu’un pervers, Je les ai écartées un peu plus! Regrde... N’était-ce pas ce que tu espérais?
- Tu es vraiment très belle. C’est trop tôt pour te dire que j’ai très envie de rester avec toi ce soir?
- Tu aimes ce que tu vois ?
- Je… Je… Vous êtes sublime.
- Tss tss, je suis juste une dame un peu grasse avec une forte poitrine.
- Je vous trouve magnifique, laissez-moi voir encore.
Elle avait s´est installé sur le banc vêtue d’une robe bleue courte, sexy au tissu très fin qui vous enveloppe et met en valeur, magnifiquement, vos formes féminines, elle crosait et decroisait lentement ses longues jambes laissant naturellement sa robe monter sur se cuisses. Tout d’un coup, son regard se fige sur son bas-ventre. Il a dû voir son minou. “ Quelle merveille! ” Le voyeur semble devenir nerveux, il la mitraille désormais sans plus chercher la discrétion. Il se délecte de l’image de son corps épilé, tellement sexy. Il pique un fard et lui souffle:
- Euh, vous n’avez pas de culotte?
- Non, quand il fait chaud, je n’en mets pas.
- Ah, intéressant. Oui, tu me fais bander si tu veux savoir… Tu me rends dingue. Vous devez aviser son mari que tu es en Búzios?
- Pas besoin, il me découvre rapidement. Non... Maintenant je veux de tranquilité. Il aime que j´ai amants.
- Alors Il est bissexuel.
- Comment tu sais, ça?
- C´est la façon de voir les choses.
- Je n´ai jamais entendu quelqu´un parler comme ça.
- Peu de gens parlent de cette façon. J´ai besoin urgent de 1000 dollars d´allieurs, J´ai 300, je besoin seulement de 700.
- Pourquoi veux-tu?
- Pour payer ma voiture au banque. Il y a un demande de recherche et appréhesion.Elle fouille dans son sac et...
- Les voilà les 700. C´est un cadeau pour le bon policier que tu es...
Elle avait tout de suite été sous le charme de cet être viril, séduisant et séducteur, les circonstances faisant d´elle une proie facile. Arnaldo s´est dit qu´ il avait peut-être une mine d´or.
- Il y a une autre femme dans ta vie!
- Et moi, que suis-je donc dans tout ça? Tu sais que je suis très attiré par ta magnifique poitrine, ton splendide minou et ton joli petit cul.
- Toi, tu es une jolie fleur tout juste éclose, dont la sensualité doit être poussée bien au-delà des limites que tu connais, et qui es d’une incroyable réceptivité érotique!
Búzios située sur la region des lacs litoral fluminense dans l´état du Rio de Janeiro, c´est un paradise naturel.,. Une region entouré de paysages, parmi les plus magnifiques du monde. Brigitte Bardot a une maison d´été là. Mais derrière cette beauté à couper le souffle et la divise d´une ville rêve en de paix et d´amour libre. C´est un endroit ou tout le monde baise avec tout le monde. Personne est de personne. L´enver du décor se revele d´une libertinage general. Les monts de Búzios sont recouverts par la fôret et leurs pentes sont três escarpées. Certains endroits dans cette chaîne de montagnes de três difficile accès. Elle est pleine de cultures différentes. Cette pluralité que devien cette ville intéressante.
- Je ne vous avais pas dit qu’elle était magnifique cette maison? Certes le parc aurait besoin d’un jardinier à plein temps, mais regardez comme le bâtiment est magnifique. Ces fenêtres surtout sont… Observa Arnaldo.
La vue est magnifique. De cette position surélevée, il voit la mer au loin. Ils arrivent dans une vaste pièce qui fait visiblement office de salon et de salle à manger. Mais ce soir, il y a eu quelques changements, les tables ont été repoussées contre les murs et en plus des fauteuils et du canapé, au sol gisent divers matelas et d’innombrables coussins, le tout savamment réparti.
Le matin de jour suivant le téléphone de la maison sonne.
- Allô! Anelyse?
- Oui, en chair et en os. cette fois, et presque en dehors de toute clandestinité à sa grande satisfaction.
- Comment es- tu? Je te croyais fachée.
- Pas de tout. Heureuse.Je me pensais que tu reveillée avant midi dix.
- Comment as-tu découvri que je suis ici?
- Le garde de la rue m´avais avise. Tu es três bien par une femme qu´avait bien échappé de la mort.
- Maintenant, jê suis bien et bien accompagnée.
- Qui est-il?
- Un policier militaire. Il a une bite fantastique. Il avait me sauvé La vie dans la fusilage de hier soir.
- Intéressant.
- Il est mon heróis.
- J’arrive bientôt, mon amour! Je veux que vous me disiez tout ce qui vous passe par la tête, je veux savoir ce que vous ressentez, le plaisir, le désir, les fantasmes, les idées folles, tout.
- Je… je ne sais pas si je vais oser…
- Un enfer, peut-être, mais pavé de bonnes intentions.
- C’est pas drôle. On pourrait continuer ce petit jeu, faire comme si tu ne savais pas.
À elle de trouver les bons gestes, le bon rythme, les bons mots pour qu’il devienne torride… Ils avaient arrivés à la maison d´été de Anelyse. Le bâtiment avait beaucoup de charme. Les glycines et les rosiers grimpants tressaient des colliers coloriés le long des saillies de la toiture.
Anelyse avait confiance em lui. Le mari commence à noter un changement chez sa femme. Mais elle est manupulatrice.
Anelyse se regardait dans la glace, tournant sur d´elle-même en culotte et soutien. La vue était encore agréable, les seins gros, fermes, assez hauts les hanches et les fesses encore attirante!
Dans a énorme maison devant la mer, Anelyse était nue, allongée au milieu du lit, jambes écartées, totalement offerte, elle regardait l’homme qui allait la posséder. La lumière lui permettrait de mieux observer son visage d’ange, de mieux chercher à deviner ses courbes à travers le fin tissu du drap.
Mais ce n’était pas suffisant, comme une chienne en chaleur elle sollicitait sa présence. Ses lèvres étaient humides, légèrement écartées. Une petite chiffonnade de peaux tendres s’étalait aux pourtours de sa vulve, remontait encapuchonner le clitoris, puis redescendait encercler l’ouverture rose du vagin. Il allait de connaître bien ce corps étalé sur le lit, grand ouvert, c’était celui de Anelyse. Et nue parfois devant lui, sa vulve l’avait toujours étonnée par la grandeur et le beau drapé de ses petites lèvres. Là, maintenant, ses chairs s’ouvraient libres, libérées, offrant l’ouverture rose de son intimité et dévoilant le petit bouton turgide de son clitoris joliment encagoulé d’un mignon petit bonnet de peau. La belle brume gémissait remuant brusquement sur le lit.
- Cette nuit, je suis pleine de désirs, je pense trop à ta queue et je dois me soulager pour pouvoir m´endormir.
Il la léche comme personne. Tournant la tête de droite à gauche violemment, sans aucune pudeur, les jambes ouvertes, elle s’abandonnait… gémissant et criant son plaisir.
Cela n’était plus un jeu! Son regard fut de suite attiré par la verge de Arnaldo en pleine érection, qui lui sortait du ventre comme un épieu. C’était la première fois qu´il la voyait entièrement dévêtue! On a beau dire, mais le spectacle d’un femme nue ne les laisse pas indifférentes! Il sortait complètement et replongeait entre les lèvres humides, le collet du gland gonflant par ses poussées le pubis recouvert d’une fine pilosité noire. Les testicules gonflés carillonnaient sur les cuisses d´elle en venant claquer sur la rosette de l’anus et sur les fesses offertes.
- Attends! Ne bouge pas ! lui demandait-il.
- Oui, pénètre… plus loin… Ouchhh… Arnaldo, nonnnnn… Tu es trop gros! Oh, oui, c’est bon… Ohhh, mon Dieu!
Sa voix me sortait d’un rêve fou… Alors, elle le vit commencer lentement de longs va-et-vient, distendant la vulve, retirant son érection presque complètement et la repoussant puissamment dans l’étroit sexe. Puis le plaisir surgit, rapide, torride, et il s’en aperçut et accéléra le mouvement. Il entendait déjà les petits cris de plaisir et le long feulement d´elle lorsque le sperme giclerait en elle, et dégoulinerait le long de ses cuisses sous la puissante poussée de la verge… Le mec qui avait l’air de retenir son orgasme depuis un certain temps retirait doucement son sexe du vagin de la belle. Et elle jouirait, elle jouirait comme une folle.
- Ohh, Arnaldo, tu m’as rendue folle! J´adore ce que tu m’as fait !
- Mais d’où t’est tout à coup venu ce désir? Je ne jamais vu une femme jouir comme ça!
Huit
Avec un petit frisson, le mari arrêta la voiture devant la propriété. C´était véhicule luxueux noir. L’occupante d’une quarantaine d’années. Franchissant la porte du hall entrouverte, Mauricio pénétra dans la cuisine. Puis, sans plus aucune allusion à ce qui s’était déroulé la veille au soir, il tourna les talons, le guida vers la piscine.
C´était le dimanche, elle était à poil sur le transat à bord de la piscine quand son mari arrive. L’odeur de marée, le souffle du vent, la brise marine emplit la maison. Arnaldo la regardait avide. Il hypnotisé, se rendit soudain compte qu’il ne bandait même pas, par respect devant tant de beauté sans doute… Le pubis bien dessiné, garni de poils noirs soyeux se livrait à son regard. Entre ses cuisses, son sexe débordait. Les petites lèvres, assez brunes et plus longues que chez la majorité des filles se chiffonnaient à l’orée de la vulve. Le ventre plat se creusait par à-coup sous sa respiration saccadée. Un immense sentiment de tendresse envahit Arnaldo devant ce corps exposé, exhibé sans retenue. Son mari l’embrassait.
- Eh bien ma chérie! Tu es en forme ce soir. Quelle rapidité!
- C´est Arnaldo le responsable pour cela. Tu as vraiment envie de assistir il me baiser ce soir, mon petit mari, susurra-t-elle?
- Bien sûr, répliqua Mauricio. Tu es ravissante ce jour.
- Merci, tu n’es pas mal non plus!
- Peut-être, mais toi, tu es… Rayonnante ! Voilà le mot que je cherchats, rayonnante.
- Tu vas me faire rougir.
- Tu n’en seras que plus belle.
- Pourquoi tous ces compliments?
- Parce que tu les mérites amplement.
- Et vous, ça vous a plu?
- Bon Dieu que c’est bon de trouver mon épouse bien.
- Je ne dirai jamais assez à quel point tu es merveilleuse.
- Non, vous n’allez pas les applaudir quand même?
- Je t’aime.
- Bien sûr que ça m’a plu! Voir ma femme servir de vide-couille, c’est… Génial! C’est vraiment le mot ! Laissez-vous aller, de toute façon, vous êtes une adorable salope !
- M-moi?
- Oui, vous ! Vous êtes en train de baiser avec un autre homme que votre mari, et en plus, juste sous son nez ! Comment croyez-vous qu’on appelle les femmes qui font ça ? Répondez!
- Des… des salopes…
- Oui, des salopes. Et comment les appelle-t-on aussi?
- Des… putes… C’est justement le problème. J’ai l’impression d’être droguée au sexe. Oui, des putes. Et encore? Oui, tout ça. Et vous, vous êtes… Vous êtes quoi? Avec un mari cocu pédeé.. Veux-tu qu’il te prenne? Qu’elle est grosse et dure! Qu’elle est grosse! Qu’elle est belle, !a ajouté l´épouse, dans un souffle.
- C’est une drogue bien douce… Chérie, je… Je suis peut-être allé trop loin. Il n’y a pas de problème, j’ai aimé moi te voir te faire caresser par un mec! Tu sais que c’est mon fantasme de…
- Un cocu a bien droit à des compensations! Il est beau. Sa queue est une merveille. Si tu dis oui, je pourrai vous regarder. Réaliser un rêve. Te voir avec un homme. Dis oui, chéri.
- Je te sens bien triste, ma chérie. Un peu de nostalgie?
- Oui, un peu. Je ne sais pas pourquoi.
Son mari s’installe confortablement dans son coin de la piscine, il est indubitablement voyeur. Elle est devenue peu à peu perverse… Bonne épouse, comme toute femme elle avait ses désirs, ses fantasmes qu’elle ne livrait pas. Si elle tenait à lui, elle lui en aurait parlé, même à mots voilés, qu’il comprenne, qu’il devine. Arnaldo épiait maintenant chacun de ses gestes, essayant d’y voir un signe, une invitation. Un sentiment d’impuissance et de tristesse le submergea. Le mari pourrait observer comme un voyeur. « Un voyeur ». Elle s’agite de plus en plus autour de son amant, ses fesses claquent sur ses cuisses. Avec ses yeux mi-clos, sa bouche ouverte, ses joues rougies, son cou tendu, ses cheveux qui voltigent, ses seins qui s’agitent, elle est érotique en diable!
- Ohhh! mais c’est le paradis ici! s’exclama Arnaldo fasciné.
- Ça, mon chéri, c’est la stratégie féminine! Si tu veux passer de bonnes vacances avec nous, c’était nécessaire!
- Mauricio, tu connais Arnaldo, il est passé hier à l’improviste.
- Ravi, Mauricio de votre connaissence. Je suis un pro de la sécurité… Une sorte de Clint Eastwood des temps modernes !
- Dis, ma femme si tu as envie que quelqu’un va te baiser, tu es libre ce soir?
- Asseyez-vous lentement afin de bien sentir ma queue entrer en vous. C’est vous qui allez contrôler l’effet de mon dard en vous. C’est vous qui allez prendre votre plaisir en remuant dessus.
- Vous voulez que je…?
- Oui, à vous de prendre l’initiative. Vous aimez faire plaisir à votre mari, n’est-ce pas. Mais il s’agit aussi de vous faire plaisir. Conjuguons les deux. Dit Arnaldo.
- Dis, tu as envie que je lui regarde se faire prendre par mon amant, t’en as envie? Et si on diversifiait les rôles pour changer un peu? Je t’offre à mon amant. Qu’est-ce que tu en dis, chéri?
- Vous avez quoi comme idée? Elle me plaît ta grosse bite. Saute-moi, baise-moi et prends-moi comme tu voudras.
- Allez, retourne-toi maintenant, montre-nous ton petit cul , à mon amant, Ça m’excite terriblement de te voir comme ça, tout offerte, avec le cul bien ouvert devant mon baiseur, dit l´épouse.
Le ton est impérieux et je ne peux qu’obéir.
- Pas mal, c’est bien ferme tout ça, dit le mari en se fessant un peu plus fort pour tester la réactivité musculaire du postérieur, dit le mari qui veut être enculé.
- Oui, comme cela… Maintenant, écarte ton cul avec les mains. Montre-nous bien tout.
- Approche-toi de mon baiseur et mets-lui la queue dans la bouche de mon mari. Oui, oui! Vas-y, mon chéri, pompe-le!
Elle jette un coup d’œil à son mari, celui-ci lui fait signe de s’exécuter. Nu, Mauricio, le mari de Anelyse se dirigea vers le baiseur de sa femme à quatre pattes, Son visage n’est qu’à quelques centimètres de son sexe d’où coule le mélange de leurs plaisirs. Mauricio saisit sa queue et enfourna le gland dans sa bouche. La circonférence de l’engin lui créa au début quelques difficultés, mais il s’y habitua progressivement et finit par arriver à l’engloutir en bonne partie. Car l´épouse se régalait à observer son époux ainsi, la bouche pleine de la colonne de chair! Ses lèvres coulissaient autour du pieu planté dans sa bouche, la salive coulait, bavant sur son menton. Arnaldo observait, tétanisé. Sa main s’agita un peu plus sur la verge raidie de Arnaldo à en faire mal.
- Lèche-lui les couilles! Suce-le bien, mon amour, tu aimes ça, hein, les grosses queues! Ordonne Anelyse à ton époux.
- Qu’elle est bonne! Qu’elle est grosse!
- Ton époux peut bien jouer aux soumis. Montre à ton épouse comme ça te plaît de sucer son amant. Quel bon suceur, ton mari, chérie… Vise un peu comme il me pompe bien à fond!
- Défonce-le bien fort en levrette, chéri, dit-elle à son amant.
- Regarde-moi, Anelyse, il va m’enculer, tu verras sa verge s’agiter dans mon cul, me remplir…
Rapidement il positionna la tête de son gland devant l’anus de sa petite femme et se dressa sur ses jambes. Accroupi, elle avait une parfaite vision de la situation. Tant mieux! Le reste se déroula au ralenti, Elle vit le sphincter se refermer après le passage du gland, et suivit la progression de la moitié de la queue dans l’anus de son mari. Elle voyait la verge du mec progresser. L’anneau de chair devait l’étrangler et son époux relevait la tête la bouche de plus en plus ouverte. , Arnaldo la matait, nue, exposée, les yeux fixés sur son sexe. L´époux gémit de plaisir.
- Ohhh … Mon Dieu! C’est bon, … J’aime ta queue…
- J’adore voir la queue dans ton cul! C’est magnifique, dit l´épouse.
- C´est très bon... Non! Ne t’arrête pas! Tu n’as pas le droit de me laisser ainsi après ce que tu viens de faire! J’ai trop envie de jouir.
- Il te baise bien mon amour! Tu le sens!
- Oh oui encore!
- Vous êtes totalement fous tous les deux! Vous allez me faire mourir de plaisir! Cette fois je vais exploser, t’inonder! s’écria Arnaldo.
Elle s’imaginait vue de dos, l’anus ouvert. Plantée en plein milieu des fesses, une queue sortait, raide, dure, enfoncée à fond. Et c’est elle qui avait accepté la situation où elle se trouvait. Le baiseur observait le regard de Anelyse qui suivait les mouvements de la verge en lui, entrant, sortant, plissant et déplissant la barrière crispée de ses reins.
Il était trop tard pour dire non. Il avait déjà tout vu. La tige l’entubait, elle se sentait vaguement humilié, mais terriblement excité. Il sentait que l´enculeur allait jouir. L´amant de son épouse allait lui gicler son foutre dans le cul,
Mais Il a éjaculé dedans! Il sent le sperme, elle s’est en lui regardant! Et ce soir voilà que son mari a été sodomisé masturbé. Ainsi est enculé le mari par l’amant de son épouse. Mais qui s’en plaint? C’est bon. Le plaisir est intense, il faut absolument qu´il lui satisfasse.
- Ohhh, ton sperme, tu m’inondes… Tu m’as fait jouir par derrière, je n’avais jamais réussi comme maintenant. Mais… tu es gros…
- Et toi tu es bien étroite! M’en fous, je suis si bien en toi! J’ai joui comme une fou… Mon Dieu, je n’ai jamais vécu cela, dit Arnaldo.
- Ta bite est grosse. Tu es vraiment fou toi! Arnaldo serve à tous les deux. Il est parfait à nos désirs. Observa l´épouse.
- Je suis três satisfait. J’ai été prise d’une envie pressante. Une vraie. Elle est à toi, Arnaldo!
- Tu es un amour! Je crois vraiment que tu m´aime.
Anelyse porte une petite robe d’été très jolie, elle lui dit rapidement où se trouvent le café et le petit déjeuner puis file avec son amant. Elle étaitt une riche reine de beauté qui faisait part de l´elite du Rio de Janeiro.
C’était un soir de juillet, un de ces soirs où les repas s’éternisent dehors sur la terrasse. Le mari avait ramené quelques bouteilles d’un excellent champagne. Une tenue adaptée à la chaleur de la saison avec un brin de coquinerie. Elle avait sorti sa robe légère qui lui plaît tant, celle qui se boutonne ou se déboutonne complètement par-devant. Assise près de son amant, l´épouse a relevé sa robe courte en haut des cuisses. Elle a mis son soutien-gorge en dentelle blanche transparente qui tout en maintenant ses seins lourds, les laisse apparaître sous le délicat tissu. Et pour le bas, un classique string assorti au haut. Ses jambes croisées, immenses, dissimulaient le reste…
- Tu es belle et totalement impudique dit le mari.
- Tu veux maintenant diriger le jeu !
- T’as vu comme elle est heureuse? Demande l´amant d´elle.
- Oui, je vois ça, dit le mari.
- Alors tu t’es masturbé en pensant à moi? me dit-elle avec un petit sourire narquois.
- Oui, Madame.
- Arrête de m’appeler « madame » et regarde-moi. Regarde-moi et caresse-toi.
Depuis dimanche deux jours déjà sa vie a changé complètement. Finie la déprime, elle ne voit plus que le bon côté des choses. Elle avait l’impression d’avoir changé de planète: les couleurs sont plus vives, les gens qui m’ignoraient sont aimables avec elle; même les tâches les plus ingrates deviennent faciles à supporter. Le cocu de mari aussi est heureux. Heureux que sa femme soit heureuse, et il se sens lui-même heureux de contribuer à leur bonheur du soir. Tout le monde y trouve son compte. Physiquement, L´amant d´elle, Arnaldo, c’est le mari en un peu plus jeune, un peu plus large, un peu plus beau et un peu moins dégarni.
Là, elle se laisse offerte au regard d’un autre homme et semble apprécier. Anelyse sent que ses pulsions exhibitionnistes sont exacerbées ce soir, elle a envie de se montrer et rien que d’y penser l’excite profondément. L´époux reprend un peu de champagne et s’installe bien profondément dans son fauteuil comme voyeur. Un souffle chaud fait se balancer les branches tombantes du saule, créant ainsi une ambiance romantique qu’apprécie Anelyse. La brune osait alors déboutonner un peu plus le haut de as petite robe. Devant l’absence de réaction hostile, elle lui découvre complètement sa poitrine. Arnaldo, le amant n’en croyait pas ses yeux.
- Tu n’aimes pas? lui répondis-je en lui pinçant un peu les tétons.
Elle avait maintenant les seins libres, offerts au regard de son amant qui n’en perdait pas une miette. La robe a vite suivi. La main de Arnaldo allait et venait sur la bosse qui déformait son pantalon. Son excitation s’exacerbe, elle se sent en chaleur. Balayées ses ultimes barrières, elle veut de la bite, être prise comme une chienne et se faire sauvagement baiser. Quel délice de voir sa femme consentant à s’offrir ainsi devant le mari.
Neuf
Cette nuit - là, son amant l’a prise en levrette. Mais, à sa grande surprise, il en a profité pour l’administrer des claques bruyantes sur les fesses. C’était cinglant, et elle avait vivement protesté. Mais, profitant de sa force et de sa position dominante, il a continué à lui fesser. Étrangement, elle s´est rendu compte que cela stimulait son plaisir et que finalement c’était plus bruyant que vraiment douloureux. Ce fut à son tour de se contracter et d’éjaculer au plus profond de son sexe déclenchant le plus intense des orgasmes quí´il a jamais connus… Elle s’est affalée sur lui en arrière, reprenant son souffle. Du sperme lui coulait partout sur les jambes…
- À genoux. Pour toi, le moment est venu.
- Oui, baiseur. Inflige-moi ce qui est juste.
Le jeu se met en place. L´amant s´approche du mari et attrape sa tête par les cheveux, lui donne sa queue à bouffer, son gland déforme ses joues. Il fait la nettoyage avec sa langue. la caresse, sans vergogne, avec un plaisir non feint, qu’il lui caresse le sexe, mais un spectacle vivant, très vivant, et terriblement érotique: sous les yeux de son épouse, La queue, puis de net,
- Maintenant, c´est moi... Il m’a fait jouir comme jamais, ma chatte est fatiguée… suce-moi plutôt. Enfonce ta langue dans mon vagin, le plus loin que tu peux.
Il léche le sexe de son épouse pleine de foutre. La scène est torride et magique! Il l’a procuré un orgasme particulièrement intense cette nuit-là. C’était d’une sensualité torride.
- As-tu aimé?
- Quoi donc?
- Te faire baiser par mon amant…, As-tu aimé?
- Oh oui… Incomparable! Oh, mais que c’était bon! Je suis vraiment confus...
La belle Anelyse Bittencourt avait besoin d´une figure masculine. Son mari pas de temps à elle. Arnaldo avait là vécu les mêmes épreuves qu´elle. Il était toujours avec elle. La nuit suivante...
Seul dans son lit, Arnaldo en proie à une tempête de sentiments divers. La jalousie, certes, mais aussi le désir exigeant, impérieux et pervers qui entretient son érection. Comment a-t-il pu pas rejoindre le mari et l´épouse dans son lit? Et son érection qui ne faiblit pas. Que doit-il faire? Aller dans la chambre de couple? Mon imagination galope. Comme un somnambule, il se lève et entre dans le salon. Son érection est encore plus douloureuse… Quelle injustice!
Alors, il allait vers la chambre, entrouvre la porte et aperçoit la scène érotique. Il s´approche silencieusement, elle était complètement nue. il faut en profiter… Il monte sur le lit et, sans rien dire. Dans la chambre du couple est sombre, noir. Il allait se réfugier dans la chambre conjugale. Il lui sourit, dépose un baiser délicat sur ses lèvres, puis prends sa main pour la poser sur ses seins. Il s´embrent à pleine bouche, les mains d´amant parcourent la géographie de son corps, en effleurent les monts et en fouillent les ravins, traînent sur son clitoris, en provoquant force gémissements et autres feulements. Anelyse à s’allonger sur le dos et écarter ses cuisses pour diriger sa bite dressée, bien raide vers l’entrée de son con et l’empale. Il sent sa chatte se resserrer sur sa queue. Elle sentit la bite écarteler ses chairs. Il montant et descendant en rythme pour mieux plonger sa queue au fond du ventre de la femme, ce qu’elle semble fort apprécier, si l’on en croit ses cris. Le mari est révéillé et se masturbe Il entend le bruit… on dirait des plaintes, des gémissements… des gémissements de femme… de femme qui baise! Les gémissements se font plus intenses, deviennent des petits cris, qui commencent à l’échauffer. Pendant que il défonce vigoureusement la femme, de plus en plus fort, de plus en plus rapidement. Le mari contemple le visage de son épouse, son sourire crispé par le plaisir, qui crie de plus en plus fort… L´amant jouit juste après en elle; Le mari vit bien son foutre gicler de la chatte de son épouse, jaillir sur notre couvre-lit…
- Baise-moi, moi aussi… Tu devras être un peu patient, Alors qu´il est plat ventre pour être enculé.
Son mari est une pute que son amant encule sans retenue.
Son mari est une salope qui n’a plus aucune pudeur, aucune honte. Son époux crie que son amant est gros, est fort, qu’il lui fait du bien, que son cul est à lui. L´épouse était sûre qu’il a aimé. Elle avait réalisé son fantasme de le voir prise par un autre. La soirée va être chaude, très chaude.
- As-tu aimé mon amour? As-tu aimé voir un autre me prendre comme nous l’imaginons parfois tous les deux? J’espère que tu as apprécié. À tout à l’heure, je t’aime.
Dans l´après midi de jour suivant.
- Tu m’as encore acheté une nouvelle robe rouge de grife? demande sa femme alors qu’elle découvre sur notre lit la robe noire l´étiquette d´un styliste célébre et toute simple qu´il a déposé.
- Je ne compte plus les robes, chemisiers, lingerie, collants, etc. que je lui offre régulièrement. Généralement ces cadeaux sont l’expression de ses envies de la voir se montrer pour son plus grand plaisir.
Elle l’essaye, la glissant directement sur la peau. La construction irrégulière au crochet délimite des zones où la peau est nettement visible.
C’est l’été et le beau temps est de la partie. Maîtresse sort de la chambre vêtue d’une robe similaire à celle de Mireille Darc dans Le grand brune avec une chaussure noire, si ce n’est que le décolleté dans le dos est encore plus profond et que le buste est couvert par une dentelle qui laisse voir ses seins. Sur le devant, une grande fente monte jusqu’au nombril, dévoilant le sexe nu et lisse de Maîtresse lorsqu’elle marche ou s’assied. La belle Anelyse porte un pantalon dégageant les fesses et le sexe. Il est complété par une poche qui englobe ses couilles, tenue par un cordon qui se balance contre ses fesses à chaque pas et qui ne cache pas le rosebud enfoncé entre ses fesses. Maîtresse la fait enfiler un gilet court en cuir souple. Sans avoir les cuisses écartées, seule l’ombre de la robe empêchait de voir son intimité.
- Je vois que tu es prête. Tu es magnifique dans cette nouvelle robe. Elle te va à ravir. Je vois que tout est prête, dit-il. Tu es une vraie fée.
Cela l’amuse beaucoup au début pendant l’apéro. La femme, briève adultère cette nuit, mais pour la bonne cause, se transforme en perverse. Elle avait peut-être tort. Elle se verrait bien avec une queue en bouche. Celle de son amant, pourquoi pas! Mais ce sera pour plus tard. Rien que d’imaginer son mari suçant son amant, lui fait ruisseler.
Rien que de penser à Arnaldo glissant sa queue dans le cul de son époux la fait frissonner. Cochonne. Salope. Perverse. Pute. Oh que c’est bon de se lâcher.
- Je vais te faire plaisir ce soir, mon chéri… Ouvre bien les yeux.
- J’ai l’impression d’être une adolescente qui se fait draguer par un petit jeune, dit Arnaldo l´amant de son épouse.
- Ça peut peut-être s’arranger, dit le mari. Vous savez nous sommes, Anelyse et moi, depuis peu un couple très ouvert où chacun est libre. Tu es content, je vois. J’ai tenu ma promesse!
- J’espère que tu vas jouir un maximum, mon chéri. Ne t’inquiète pas, je suis entre de bonnes mains. Admire comment mon amant est bien monté. Dis-moi tout ce qui se passe dans ta tête.
- Je sais et je vous en suis reconnaissante, mais c’était si inhabituel, si improbable que je voulais vous demander. De garder le secret. Oui! De ne jamais rien dire à personne, même sous la menace. Oui!
- Bien sûr, vous me connaissez maintenant.
La chaleur, La musique de Serge Gainsbourg, l’alcool font leur effet. Anelyse est super excitée. Elle caresse la verge qui grandit et palpite. Elle est douce. Le gland est libéré de sa gaine.
Elle ne peut pas la voir, mais elle en découvre la diversité. La hampe longue et même les bourses. Sa femme branle doucement son amant.
- Va, mon chéri, baise-la bien. Il faut qu’elle se souvienne toute sa vie de son passage ici. Oui ! Profond. Fais-la jouir, mais retiens-toi, après je veux que tu la reprennes comme une cochonne, une salope emportée par son plaisir.
Il est si raide et je suis encore si humide qu´il la pénètre sans difficulté. Sa queue palpite dans son vagin. Il est gros. Il est long. Ses fesses trouvent ses hanches. Elle se penche vers lui. Elle ondule du ventre pour le masser de l’intérieur. Sa main enserre sa tête, mais c’est pour se rapprocher. Ses lèvres découvrent les siennes. Sa langue bataille avec sa langue. Elle dois sentir le foutre, mais cela ne lui déplaît pas. Mais elle se redresse. Elle veut se prendre sur lui. Elle s’active. Il lui caresse la poitrine. Oh, que Anelyse voudrait pouvoir crier son plaisir. Tout son corps doit resplendir.
- Ohhhhh. Je suis remplie. Remplie par gros bâtons de chair.
Anelyse doit devenir une femme dépravée, car cela lui plaît. Savoir que son mari prend son pied avec son amant qu’il s’en doute est presque une jouissance. C’est ridicule. Pourquoi ne pas…
- Tu m’as fait vivre un moment d’une intensité rare, j’accepterais avec plaisir de partager mon amant avec toi, mon amour. dit l´épouse.
- Mon amour, je t’aime, plus que ma vie. Mais cette expérience nous a transformés, nous devons en tenir compte.
Toujours dans les bras du amant, Elle s’adresse à son mari en se tournant un regard mutin.
Déjà, il a hâte d’être à ce soir de découvrir les turpitudes de nouvel amant avec son épouse. La journée va être longue, très, très longue.
Le soir tombait doucement sur un Búzios écrasé de chaleur. L’air était desséché comme le vagin d’une grand-mère et l’atmosphère devenait de plus en plus irrespirable. Mauricio Valle, mari de Anelyse Bittencourt arrivait d´une voyage d´affaires à New York City et allait directement à Búzios.
Anelyse allumait son téléphone, trois messages m’y attendaient…, Les trois de son mari.
- J’ai passé une magnifique soirée, tu me manques déjà!
- J’ai besoin de toi, Anelyse, réponds-moi s’il te plaît!
- Quand pourrais-je te revoir? Je t’aime!
- Je suis au aéroport du Galeão. J´arrive,
Trois heures plus tard. Il arrête sa Volvo noire devant la maison. Quand Il arrive, la porte était entrouverte. Il est entré et il est appelé Anelyse et Arnaldo son amant. Dans s´avançant dans la maison il s´approche de la chambre et découvre une scène de crimes terrifante. La reine de la beauté et son amant Arnaldo ont tous les deux sauvagement assassinés. Il y avait sang partout dans la chambre. L´épouse du milliardaire avait été abattue pas balles apparement s´agissait de l´oeuvre des tuers à gages. De nombreuses rumeurs courraient quant aux motivations exctes bien que la victime soit souvent le motifs de conversations. Les raisons sont bien differents cette fois. Elle se retrouvait mêlé à trois enquêts pour meurtres.
- Ah mon Dieu!
Par le mari, c´était horrible. Mort depuis peu, pas encore de rigidité cadavérique… Et en face de lui. Il soupçonnait du chef du trafic de drogue de la favela de la Rocinha. Lá, avait se fini un mariage heureux de cinq ans.
Son épouse avait les mains attachés dans dos avec des rallones électriques et une courroie comme Miles été partiellement nuit. La police a conclu qu´elle avait dû victime d´agressions sexuelles.
- C’est ma femme… Je connais ma femme Elle est morte, assassinée. J’aimerais que vous trouviez les coupables.
- Les victimes ont été attaqués probablement pas de vagabonds ou peut-être des clans. C´est chose de professionnel. Nous allons retrouves par vous, qui est l´autre? Demande le policier.
- L´amant et garde dos d´elle. Oui, je suis mari cocu, mais je découvre que j’adore ça!
- Il me faut un début, une piste, dit l´autre.
- Nous devrions peut-être jouer le jeu.
- Comment ça?
Dix
- J’ai mis au point un plan. Trouver le substitute de Igor Stamp dans le trafic de drogue de la favela da Rocinha. C´est lui le responsable purs ces meurtres.
- C´est bonne l´idée. Mais pourquoi il faisait tout ça?
- Anelyse était une vicieuse en cocaïne. Elle avait tué Igor en Angra dos Reis. Elle avait enpeché le vol contre elle tuant deux trafiquants de drogue.
- Alors, c´est une vengeance.
- Encore une victime du système actuel… Le trafic de drogue domine le pays. C’est follement romantique et épouvante, tout cela, l’amour et la mort, l’amour dans la mort. Ces seins, je vais en faire des œuvres d’arts que l’on exposera ensuite dans un musée! Dit Le mari.
- Vous avez un admirable sens de l’humour, dit l´enquêteur.
L´entrepreneur était um peu arrogant et cela se voyait dans sa façon de se comporter. Il avait un l´air intrépide.
Les enquêteurs passent la chambre au peigne fin à recherche d´indices. Ils avaient été executés d´une balle derrière la tetê. Ils ont découvrit que l´arme du crime était un revolver de calibre 38. L´arme usée en executions pour les chefs de trafic de drogue. Il n´y avait ni ADN, ni enpreinte digitale et ni d´autres índices matérials. Ils esperaient vraiment pouvoir identifiés, les armes qui avait été utilisé pour commetre ces meurtres. Elle était visiblement comme une femme qui abusait des drogues.
Pour les policiers le meurtres de sang froide c´était un régler de comptes des trafiquants de drogue. Une chose qu´avait attiré l´attention des enquêteurs c´est la vitre cassé l´arrière de la maison. Ils avaient supposé que les tueurs s´étaient s´introduit dans la maison etavait entendu Anelyse et Arnaldo. Ce qu´ils avaient du les permetre de les prendre par surprise. Plus terrifiant encore visiblement c´était elle, la proie des tueurs. Il fut mort pour brûle d´arquive. Ils ne savaient qu´il était un policier militar mais ils savaient exactement ce qu´ils faisaient. La belle femme était três probablement la cible des meurtriers. Ça semblait être une drôle de coïncidence. C´était elle la proie des tuers. Les gens de Búzios étaient sous le choc face à ce double meurtre. La Police Militaire était entière en deuil.
L´un des témoins dit avoit vu deux motards en motos puissantes qui seraient garés devant la maison de Anelyse. La mera vait registrés l´un des bandits que tiré une balle sur la tetê du policier militaire. Puis des meurtres au retourner à se motos avant de repartir. Tour les deux étaient habillés de noir. Ils portaient des casques à visière teintée. Les assassinats avaient été commus avec prémeditation. Face à une affaire complique les policiers allaient jusque imagens de videos surveillance que revelait tout que s´était passé, pas de doutes. Les tueurs étaient à service du trafic de drogue,
Il faisait tout pour elle. Ils devienent inséparable. Arnaldo et Anelyse étaient ensemble à trois mois. La relation à trois se consacré avec la permition du mari de lui faire compagnie à son épouse. Content de la satisfaire, de lui donner l’un de ces instants charnels qu’elle recherchait, de combler le vide d’amour habitant sa demeure… Le policier Arnaldo savait du risque d´accompagner une femme qui était marqué par mourir.
- Il y a quatre suspects!
- Selon la police
- J’aimerais lui parler, dit un voisin.
- Ah bon ? Alors asseyez-vous. Où étiez-vous le jour des morts?*
- Ici, chez moi. Je n’ai pas bougé de la journée.
La témoin avait affirmé... Il faisait déjà presque nuit qu´ils étaient arrivés armés de AK-47 armes de guerre. Et ils avaient entrés dans la residence. Ils furent registre par des caméras de surveillance. Quand elle avait ouvri la porte le bandit l´attrapé et il l´a immediatement jetés au sol, Il y avait un autre type cagoulé dans un angle au salon près du lampadaire. Ensuite Arnaldo avait éte dominé par autre bandit. Elle était terrifiée, terrorisée, elle avait tellement peur. La brune a pense...” Est-ce qu´il vont me tuer?” Elle se demandait ce qu´elle pourait faire pour sorti de cette situation. Ça s´est passé à la fois extrêmement vite ça. et extrêmement lente. Ses mains attachées sur dos il ils les menent sur le lit dans la chambre.
- Qui est tu?
- Le fantôme de Noel.
- Quand nous y arrivons vous parlez avec quelqu´un. Tu appelais à ton mari?
- Non.
- Qui est l´autre?
- C´est mon amant et garde de dos.
- Tu es une pute. Tu te fais sauter des qu´il avait le dos tourné?
- Qu´est-ce que tu as à voir avec ça?
- Tu vas voir.
- Tu vas pourrir ta vie pour ça, Non... Elle pleura,
Tour les images avaient été gravés sur les caméras de surveillance.
Les 4 bandits faisaient sexe avec elle avant de la tuer. Elle avait reste sous la torture qu´il voulaient l´argent d´elle, La victime avait les doigts écrasés pour tenaille. C´était l’incarnation de la perversité en personne. Comme l’aurait fait Tarantino dans ses films d´horreurs, Le policer était comme Charles Bronson dans « la grande évasion », il creusait un tunnel du temps en elle vers une liberté sensuelle et sensorielle, vers une terre promise où les fleuves charrieraient le plaisir charnel. Mais tout cela, c’est une autre histoire… Le chef du trafic de drogue de la Rocinha était le principal suspect. Les investigations a montré que trois leaders du trafic, de la máfia avaient été assassinés pour l´avocate Anelyse Bittencourt. La Police avait trouvé un mape d´invasion de la Rocinha. Elle organisait une mission d´attaque avec l´aide des milicies (ex-policiers) avec Arnaldo para assassiner le chef actuel Reynaldo Medeiros. Il vait cherché la Police à demander garanti e de vie, mais il jamais arrivé à centrale d´homicides. La prense avait dénoncé à l´époque que la mort de Reynaldo Medeiros avait couté au puissant entreprenneur d´acier 100.000 dollars. À partir de ça, Mauricio Valle l´ennemi n° 1 des trafiquants de drogue. Sera que la sardine allait avaler un requin? L´histoire doit suivre.
Suivre...
Fin
Ivan Ribeiro Lagos
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Dans cette histoire policier érotique il y a attration, trahison, compulsion sexuel, obsession, et meurtres. À partir du moment où Mauricio Valle lui fait découvrir la jouissance avec un homme, Alors, elle avait repoussé tous les interdits qui avaient bloqué sa vie.. L´avocate Anelyse Bittencourt prend des amants (un à la fois) dans le seul but qu’ils la fassent jouir. Le succès n’est pas toujours au rendez-vous, mais comme ces aventures sont toujours à titre provisoire, certains de ses partenaires font, dans sa vie, des passages plus éclairs que d’autres.
Le texte qui suit est sorti de mon imagination fantasmatique. Toute ressemblance avec des faits réels et (ou) des personnes existantes ne serait que pure coïncidence.
Un
La ville de Búzios soie connue pour la majesté de ses paisages et malheureusement dans la rote de la cocaïne, plages de naturismes, folie, sexe, libertinage, et des meurtres. La Sodome et Gomorre brésilienne. Búzios, Le soleil brille l´année entière. Vastes plages vous invitent, une vegetation s´étendent à perdre de vue. Tout ça est à tous les touristes. Et qui sait si vous ne rencontre une célébrité. Il y a pleine de Stars... Porno de luxe, drogues, dopes. putes, pédés, sosie de Stars. Au moin tu va en voir une. Il fait bon vivre à Búzios. C´est le paradise sur terre, on se croit le Jardin de l`Eden. Un endroit que les policiers font des miracles en éliminant les crimes. Rio de Janeiro ou se régne Le crime organisé. Drogues, rackets, prostitution. Un lieu ou les Camés rôdent en quête de marijuana.
Anelyse Bittencourt se savait dès sa adolescence d´être un peu étrange. Brune, Yeux bleus, d´une beauté hors du commun. Avec ses parents célébres médecins spécialistes en chirurgie plastique.
Elle avait une beauté naturelle et un toutes les personnes sentaient immédiatement attirés pour elle, un sourire parfait. Elle a suffisement d´audace pour briller dans les grandes villes. Anelyse avait un sens de la mode incroyable qui la démarque et vraiment des autres femmes. La belle brune avait beaucoup de classe et de style. Un sourire ravager, Elle passait deux heures chaque matin dans la salle de bains pour se rendre désirable. Elle se maquillait bien trop. Dépensait des fortunes dans des lingeries qu’elle laissait entrevoir. L’autre possédait une tenue différente pour chaque jour de l’année. Ça passait aux hommes.
Elle était une vraie faiseuse de mode. Elle savourait toutes les attentions pour l´instant elle n´a d´yeux que un concours de beauté. Tout le monde savait qu´elle réussait dans la vie. Anelyse a été une personne attentionnée, qui aimait s´amuser et profiter la vie. Elle était três intelligente, demeurant dans un appartement qu´occupait tout une étage au Leblon – Rio de Janeiro. Elle est grand avec un physique de mannequin, elle a d´ailleurs été reine de beauté à une époque elle a remporté le concours de miss Rio de Janeiro. Tout avait se passe três vite dans la vie de Anelyse Bittencourt. Mais la vie est toujours pleine d´imprevus. Elle est apresenté à Mauricio Valle qui était fasciné par sa beauté. Elle savait qu´il était un milliardé et l´envie d´elle c´était qu´il la mene chez lui, ou chez parents. Ses rêves étaient en train de se réaliser.
Après une journée fraîche et ensoleillée, le ciel de ce début de soirée s’était assombri. Une grosse voiture s’invita dans la rue des Acacias et cérémonieusement, elle la remonta pour s’arrêter à la hauteur du 37.
Quelques longues minutes s’écoulèrent avant que la conductrice ne descende. Ses cheveux étaient attachés hauts derrière sa nuque. Sur son bras, recouvrant sa pochette, un petit gilet noir.
Anelyse traversa fièrement la rue sur ses talons hauts… Elle portait une petite robe de lin noir sans manche qui s’arrêtait à la moitié de ses cuisses. Son soutien-gorge confinait exagérément sa poitrine pour en mettre le sillon en valeur. Les escarpins rouges choisis sont aussi du plus bel effet et montrent un contraste saisissant avec le noir et mettent en valeur l’ensemble.
Elle sonna brièvement au portail et entra, avant de remonter la petite allée jusqu’à l’escalier qui la menait au perron. Alors que ses doigts allaient frapper à la vieille porte, Quand elle remarque que lês clés étaient sur La serrure et La porte était ouverte. Quand elle l´appelait tout em avançant dans L´énorme maison. Était devant le vieil homme en costume-cravate.
- Anelyse?
Rapidement, il détailla la robe. un air de défi et un sourire charmant. Le choc de ce cul imposant moulé dans une robe noire, laissant deviner les coutures de la culotte. Ce gros cul qui ondulait au gré de sa montée le laissa sans voix,
- Bonsoir Antonio! Vous allez bien?
- Vous êtes magnifique.
- C’est moi qui vous fais cet effet?
- Euh, bégaya-t-il.
Ils remontèrent le petit couloir en direction du salon. Quelque chose la perturba et elle ralentit le pas, alors qu’Antonio entrait dans le salon. Anelyse fronça les sourcils et Antonio anticipe:
- Les choses se sont accélérées.
Antonio détailla les cuisses fermes et croisées. Il prit place en face de Anelyse. Il se versa le soda dans un simple verre et ils trinquèrent aux jours meilleurs.
- Vous êtes venue sans culotte…
- Je vous ai obéi!
Anelyse tendit subtilement ses fesses et écarta légèrement les cuisses, avant de s’immobiliser. Elle ferma les yeux. Ses lèvres se décollèrent légèrement et elle poussa un léger soupir de culpabilité.
- Le contact de votre sexe au bout de mes doigts est… divin.
Les genoux écartés du vieil homme. Antonio regarda ce ventre qui avait abrité la vie, il leva la main et le caressa du bout des doigts…
- Vous me faites mal!
- Salope! Votre croupe mériterait d’être saillie par un vrai mâle! Mérite pas être Miss.
- Quand je vous dis que rien ne me résiste! Alors, Antonio qui est la salope?
- Non… Je ne voulais pas dire cela… Pardonnez-moi Anelyse.
Dans cette position indécente, insolente, elle recula vers lui, lentement… Le visage du vieil homme s’illumina.
- Oh, mon dieu!
Dans cette position indécente, insolente, elle recula vers lui, lentement… Sa respiration devenait souffrance. Le visage du vieil homme s’illumina et il tombe mort. Elle avait empoisonné la boison avec cinq viagres, Fatale... Fatale... Fatale... Cette nuit-là, au 17 de la rue des Acacias, la lumière du salon resta allumée toute la nuit.
Anelyse est une fille qu’on remarque. Elle est arrivée depuis un peu plus d’un an dans cette ville pleine de charme. Elle est venue y faire ses études, et découvre au fil des mois les plaisirs de l’indépendance fraîchement acquise de ses parents. Elle porte une petite robe rouge. Fluide, mais près du corps, sans manches avec deux larges bretelles. Lorsqu’elle bouge, il peut apercevoir la naissance de ses seins et ainsi constater qu’elle ne porte pas de soutien-gorge. Elle semble aimer l’inconnu, avoir soif de sensations et lui inspire un sentiment de liberté teinté d’une pointe de rébellion. Un de ses plaisirs consiste en de longues balades solitaires à travers la ville. Quand elle marche, elle aime promener son regard sur les gens. Elle cherche à capter le regard du passant, elle espère y déceler une étincelle, un signe. Elle cherche l’excitation dans ce micro-flirt, le temps d’une seconde. Elle éprouve une certaine ébriété à marcher au milieu des gens, surtout la nuit. El le aime voir les gens vivre, croiser leur regard et continuer son chemin, l’esprit enflammé par toute une série de scénarios érotiques. Parfois, il arrive qu’elle ne continue pas son chemin. Alors, elle cherche à suivre les pas d’une personne dont le regard particulièrement intense a éveillé en elle curiosité et désir. Elle s’approche, frôle le propriétaire de ces yeux envoûtants, le dépasse. Plus loin, elle l’attend, à nouveau capte son regard, lui répond, promet plein de belles choses. Il ralentit, il hésite, intrigué, tenté, mais bien trop craintif que tout ce petit manège ne soit qu’un fruit de son imagination.
Anelyse Bittencourt porte des lunettes de soleil et une robe légère qui lui donne un charme fou. Elle prend ses aises et, d’un mouvement gracieux, remonte ses pieds sur une chaise, elle semble s’abandonner aux rayons du soleil, la brise légère fait flotter le tissu de sa robe et lui découvre des cuisses bronzées. Elle avait enfilé une robe bleue droite à épaules nues, avec bustier élastique, et arrivant légèrement au-dessus des genoux. Elle est légère et elle peut facilement ôter le haut en deux secondes, ce qui peut se révéler très pratique. C’est vrai qu’en contre-jour, avec sa robe légère, ça doit révéler diverses petites choses. D’ailleurs, qu’ai-je à cacher ?
L’atmosphère s’échauffe, l’avoir déjà remarquée, alors qu’elle se baladait, à cause de sa démarche si caractéristique. Elle entrenait de bonnes relations dans l´haute societé carioca. Circulait pour la vie dans une Porshe Carrera, jaune cadeau de son diplome de droits pour l ´Université Estácio de Sá de ses parents. Elle avait tout la vie devant elle et était heureuse, amycale et dynamique, Toute le monde l´apprécié. Elle avait un futur prometeur et aurait pu faire de grandes choses. Elle avait envisagé une spécialité en criminalité sociale. Avec sa réussi elle fait des envieuses travers la société. Sa carrière professionnelle comme avocate criminelle avait fasciné tous ses amis qu´elle allait travailler dans les grands affaires et problèmes judiciers. Mais elle voulait aussi se marier.
Mauricio Alavarez da Cunha, était le fils d´un gros entreprenneur d´acier tombe amoureux d´elle et voulait se marier avec elle. Anelyse Bittencourt , 25ans, 1 m75, longes jambes, un corps parfait, et une soif de sexe. Elle avait une difficulté enorme en aimer quelqu´un. Elle jamais a aimé personne. Elle était une jeune femme totalement vicieuse en sexe. Deux ou trois fois par semaine elle a appelé un prostitutié pour sacier ses désirs sexuels. Elle les choisait par la taille de ses bites.
Elle avait trouvé dans l´université trois ans avant Mauricio Alavarez de Souza, 24ans, brun, beau, 1 m 80, administrateur industrier, fils du roi de l´acier. Propriéteur de la plus grande Sidurirgie du pays. Il avait un três bon poste dans l´industrie de son père. Rapidement ils avaient commencé sortir ensemble. La relation était parfaite, voyages à Paris, plages naturistes, carnaval et etc... Ils avaient découvert ensemble les premiers émois de la sexualité. Ils s’amusaient aussi à s’échanger ce plaisir en se branlant l’un l’autre dans une complicité qui excluait toute culpabilité ou vice. Elle voulait un mec d´elle qui soie mieux équipé que Mauricio. À partir de ça elle avait découverte la différence d´une petite bite et d´une grosse bite et qu´était est d’une infidélité pathologique. Elle avait faite avec lui sa première relation avec Mauricio. Jusque le moment qu´il allait confesser amoureux d´elle. C´était une passion ancienne. À l´époque il avait resté troublé avec elle. En fin de compte elle a mis son soutien-seins, des bas autofixants, des souliers à talons aiguille, une mini jupette vraiment courte et un chemisier un peu trop transparent. Quelques bijoux et un maquillage discret, valorisé par son rouge à lèvres rose pailleté brillant, lui donnent cette apparence de pute de luxe qu’elle revendique dans certains cas. La soirée commençait très bien, quoiqu’un peu rapidement. C’est Mauricio qui a proposé l’apéritif pour calmer le jeu. La belle Anelyse s’est assise à ses cotes et l’accoudoir pour refroidir provisoirement l’atmosphère. Il a ouvert la première bouteille de champagne à la santé de Anelyse. L’ambiance un peu trop « alors on baise », s’est petit à petit transformée, plus cool, sexuelle certes, mais cool.
- Cette jupette te est à ravir, ton corps est mis en valeur comme jamais, tes mystères étaient parfaitement justifiés. Anelyse, je suis amoureux de vous. Je veux me marier avec vous.
- Impossible.
- Mais... Pourquoi?
- Je ne veux pas me marier, maintenant...
- Je suis riche, tu le sais...
- Moi aussi.. Il n´est pas ça, le problème.
- Comme tu voudras, de toute façon, je t’adore dans cette robe. C´est quoi, alors? Insiste Mauricio.
- Tu exagères. Desolée...Tu as une petite bite. Je veux plus que ça. J´aime beaucoup de sexe. Je suis une vicieuse. Desolée.
Trois ans avait se passé... Mauricio avait été une experience sexuelle homosexuel pendant deux ans, Malgré tout, Mauricio continuait à vouler se marier avec la bella Anelyse. Elle savait de tout que s´est passé avec lui. Dans l´haute société, ça était normal. Il l´avait vu dans le Jokey Club et immédiatement tombé à son charme. Il la détaille lentement, grande et mince avec ses cheveux longs, clairs, presques blonds. Elle brillait d´ecart singulier. Une petire robe qui laisse apprécier les jambes de danseuse de Anelyse. Il connaît si bien son corps qu’il devine même la ligne de son string noir sous la robe. Elle croisa son regard et lui sourit. Il avait perdu cette déesse. Du bruit et dês gens Il a regarde avec un intérê amusé. Elle était fine et precieuse comme le jour. Il l´avait vue pour la première fois et le temps semblait avoir glissé sur elle. Anelyse était toujours souriante et en même temps lointaine comme la nuit. Elle parut émerger d´un revê. Ses yeux bleus r éflétaient une nostalgie incertaine. Il était fou d´elle. Anelyse le regarde tandis qu´une nostalgie violente et insoupçonnée s´insinuait en elle. Il avait l´air fatigué. Alors, elle le regarde avec un douceur infini dans ses yeux. Son regard était insondable. Alors, il s´approche d´elle.
Deux
- Ça vas, Anelyse? Je ne l´ai vue depuis des années.
- Ca vas bien, Mauricio.
- J´ai remarqué que tu es qulqu´un d´imprevisible.
- Au fait.
- J´ai longtemps hésité, dit-il.
- Il y a trois ans.
- Qu´est-ce que tu vas faire?
- Je ne sais pas. Combien de temps tu veux ma compahnie?
- Une nuit peut-être plus, je ne sais pas encore.
- La nuit est douce, Trop douce. Tu finis d´arriver de Barcelone.
- Comment tu sais?
- Par les journaux. Ils sont trop préoccupés avec toi.
- J´ai loingtemps hesite, dit-il.
Mauricio était seul fils. Il avait tombé amoureux de Anelyse. Il pensait qu´il serait três heureux ensemble. Il est beau riche, élégant, cultivé, en plus de toutes ses qualités humaines. Elle semble sogneuse, mais Il avait dans son regard une luer attentive. Bien entendu elle n´a pas manque de lui faire savoir qu´elle acceptait se marier avec lui seulement avec un mariage ouverte. Sexualités independent et la division totale de l´argent. 200 mil dollares par an de mariage. Ils semblaient former un couple harmonieux, mais Il faut de méfier des apparences. Elle avait un témperement explosif mais dans le bon sens du terme. Elle gravitée autour du luxe, du glamour et de libertinage. C’est là que Mauricio lui a révélé ses penchants vers le candaulisme et que lui-même profitait avec grand plaisir à ses penchants.
- J’ai bien réfléchi. Tu es belle. Anelyse, que tu es belle! Je serai le plus heureux des hommes si… J´accept ses conditions. Je veux me marier avec vous immédiatement, dit Mauricio.
- Ok. Nous devons se marier en Las Vegas, sans fêtes sans des invites. Nous serons un couple très libre. Chacun peut « regarder » ailleurs.
- J’ai trouvé mon equilibre avec toi. Complètement d´accord.
- J’ai toujours eu une envie, plus ou moins cachée dans le fond de mon esprit, c’est de voir ma femme faire l´amour avec d´autre. •
- Tu veux dire que tu aimerais voir un gars me caresser et me branler en public? Devant tout le monde? Tu n’en serais même pas jaloux?
- Exactement! Ça me fait super-bander que d’y penser. Et jaloux, pas du tout, je serais le plus heureux des maris.
- En fait tu voudrais que je fasse les préliminaires avec un gars, pour finir, je suppose, par baiser avec lui, devant toi. En clair, voudrais-tu que ils baisaient en trio? Ou préférerait-il qu´elle prenne un amant? Avec ou sans lui?
- Comment tu le veux.
- Patience, mon amour. Tout vient à temps pour qui sait attendre. Je mets facilement des décolletés profonds. J’aime voir les regards des hommes s’exciter en me regardant. Et toi, que fais-tu? Tu les suces aussi?
- J´aimerais beaucoup.
- Tu sais, j’aime être sans rien sous ma robe. J’aime sentir une légère brise caresser ma petite chatte, ça me rend toute chose. Et j’aime savoir être nue sous ma robe au milieu des gens sans qu’ils ne s’en doutent, mais j’aime me dire que certains l’ont peut-être remarqué. Ça m’excite terriblement.
Un mois plus tard ils étaient mariés. Ils semble être faits l´un pour l´autre. Le couple rapidement devenue três influent. Elle avait fait um mariage des contes de fées. Tous les deux riches et créatifs. Un mariage parfait, pour un couple parfait. Le mari voit à quel point elle avait l´air heureuse. Il jamais vu sourire comme ça. C´était indeniablement le plus beau jour de sa vie. C´est ça qu´elle voulait. Anelyse était le genre de femme dont rêvent tous les hommes. Elle était exeptionnellent belle.
Avec une libertée dans le mariage ils allaient prend des risques. À chaque rendez-vous, on discute, on rit et surtout on baise comme des fous. On adore ça tous les deux, on aime essayer plein de choses différentes, et on a un petit côté exhib... Tout en ayant des relations sexuelles avec l´époux, il l’arrivait de prendre un autre amant. La plupart du temps, il s’agit de fréquentations moins torrides et plus conventionnelles. Elle avait se montré comme une femme raisonnable et réservée. L’homme doit la séduire, la conquérir, l’apprivoiser.
Mauricio son époux ne la reconnaît pas si bien qu’il le croit, sinon il saurait qu´elle adore reluquer les sexes d’hommes, que ce soit dans les films pornos, les sites où les mecs montrent leur queue pour la comparer, ou encore même ceux qui urinent avec leur engin dehors. Il l’arrive parfois quand elle était toute seule dans une galerie marchande de faire mine de se tromper en entrant dans les toilettes pour hommes pour apercevoir le pénis de ceux qui utilisent l’urinoir, d’un peu loin pour ne pas recevoir de gouttes. Avec le temps cette femme extravertie se referme sur elle même et sombre dans une depression. Ses amis plus proches savaient que sa vie était en train de s´effrondrer. Son mari avait senti quelque chose avait changé. Elle avait beaucoup de secrets. Alors elle avait pense en avoir un amant fixe lui permetait de se sentir mieux et renforcer sa confiance. C´était une maniére d´obtenir toute l´attention dont elle avait besoin. Elle était determinée à chang er de vie, une glorie hypotétique pour elle. Un femme magnifique avec sex-appel qu´allait se exhiber sur le facebook. Elle était un atout dans sa manche, c´était bien sa beauté physique représentant des défis, son but était de conquérir tous les hommes qui lui plaisait.
Le printemps prenait doucement ses marques. Depuis quelques semaines déjà, le lever du jour s’accompagnait de l’agréable symphonie des chants d’oiseaux. L’air était plus doux et les parfums de fleurs venaient à nouveau se répandre en une multitude de rubans insaisissables.
La petite robe d’été jaune paille qui tombait à mi-cuisse dessinait parfaitement sa silhouette. Elle se sentait bien, se sentait belle… La belle brune était seule. Elle voulait tout découvrir. Elle avait toujours été attirée par l’érotisme et elle n’a pas peur de le dire, par la pornographie. L brune a suivi la mode, la technologie, passant des livres, aux sex-shops pour arriver à cet univers sans limites de l’érotisme (et plus) sur internet. Dans l´époque Anelyse avait un rencontre sur l´internet. Anelyse est três jolie à l´époque. Elle était tout le temps joyeuse, réel, souriait beaucoup. Elle était le rêve de tous les hommes. Belle, intelligente, élégante, tout mâle à portée de regard devait avoir envie de la conquérir. Elle allait trouvé Pedro, charmeur et séduisant ça averé être un prédateur en ligne sans pieté. Elle avait donc tout loisir de l’observer. 1,80 m, brun, en brosse, des épaules assez larges, il a l’air musclé. Jusqu´où ira-t-elle pour ressouvir ses désir s pervers. Souvent elle était sûre qu´il a proposé d´aller boire un verre. Elle certaine qu´il l´a trouvé gentille, extravertie, intélligente. Avec lui, elle pouvait être-même. Elle s sentait épanouie dans sa compagnie. Son mari connaît trop bien ses petites faiblesses.
Dans la maison ou vivaient Anelyse et Mauricio Valle. Il y avait un grand garage et plusieurs voitures de luxe garées. Elle avait une vie de revê avec une gouvernement qui s´occupait de lês femmes de ménage. Sa vie était sortir au Shopping , déjeuner ou dîner, malheuresement les fins heureuses n´existe souvent dans les contes de fées dans la réalité. Alors elle a commencé s´éloigner de la maison et dans un festival d´exhibitionnisme et sexe de hasard. La belle brune avait faite la connaissence d´une jeune homme qu´elle avait vu à deux reprises et avait sorti avec lui et elle avait aimé beaucoup la baise avec lui. Dès la première fois où ils faisaient l’amour, C’était un feu d’artifice. Elle regardait son corps harmonieux, musclé, attirant avec son pieu à présent au repos mais d’où il émane toujours une force virile, une assurance de jouissance. Il est pleinement satisfait de sa réceptivité autant qu´elle l`était de sa prestation. Ils renouvelent plusieurs fois ces momen ts, voire ces nuits, torrides. C’est lui qui lui propose le système de « copain-copine de baise » : baiser sans attache et sans obligation. Elle accepte tout de suite et, dès cet instant, Elle se sent encore plus libérée, totalement à l’aise avec lui pour tenter des positions acrobatiques, des jeux incongrus, des postures particulièrement impudiques et obscènes. Il s´appelait Pedro.
- On ne peut pas échapper à l´amour.
C´est ça comme ça qu´il l´a trouvée. C´était une jeune femme qui a besoin de vivre la vie et il était l´homme qui la voulait.
- Donne moi ton numéro et tu me tairais, dit-il.
Après ça ils sont devenus amis et amants. Ils étaientt tout le temps en train de se parler et ils étaient inséparables des de Le premier jour. La relation entre eux s´épanouit, Il font face à d´étranges obstacles. Dieu, qu’elle est belle dans sa petite robe d’été avec ses jolis talons qui ont toujours le pouvoir de l’exciter. Un régal pour les yeux, la robe s’arrête deux à trois centimètres au-dessous des fesses et met en valeur ses courbes et ses jambes, à merveille!
- J´aimerais de te présenter à mon mari. Ca te dit?
- Tu es folle. Je ne peux pás, désolé.
- Pourquoi? Oui, Mauricio, mon époux aimerait venir nous rejoindre plutôt que de se cacher. Moi aussi d’ailleurs.
- C´est trop dangereux. Il est un homme puissant. Nous ne pouvons pas faire la même chose que tout le monde.
- Soie fort et corageux. Rien de problème, Il est un mari liberal.
Pedro et Anelyse sont iirésistiblement attirés l´un vers l´autre dès le début ils s´entendent à merveilles. Elle a plongé La tetê la première l´idyle que devient vite serieuse. Maintenant il était dans sa voiture. Une belle Porshe Jaune Carrera.
Peu causants au début du trajet, il est quand même à peine 7 h du matin ils écoutent plutôt d’un air distrait de la musique et comme par échanger des banalités sur le trafic qui se densifie à l’approche de dans ce moment elle dirige sur l´avenue des Amériques quand il parle avec elle:
- Tourne-là, allez, allez, tourne-là.
- Ça va? Demanda-t-elle préoccupée.
- Oui Je crois qu´on nous suivait.
- Oui, ça?
- Pas de gens, La police, les enquêteur, tourne encore maintenant. Ton mari est jaloux?
- Non... Il n´importe avec moi. Il est trop préoccupé avec ses affaires. Tu es comme un chien blessé.
Deux jours plus tard la situation deviant encore plus étrange, Alors Il était persuaté que les inspectêurs qui enquêtait sur le trafic de drogue. Le jour suivant elle voit sur une petite table un révolver,
- Quoi est ça?
- Une arme pour me protéger.
- Tu es un héros ou un bandit?
- Tour les deux.
Il ne son pas oublier que pour elle il ne s´agissait que d´une aventure à ce que son mari considerait que n´était que des excentricités à ses yeux. Maintenant elle savait qu´elle jouait avec le feu. Il était charismatique son énergie était três attirante. C´était comme une forme de séduction tout em subtilite. Elle le regardait dans les yeux et elle avait eu l´impression de voir l´universe entier.
Il jamais savait quand elle était sérieuse, Elle changé personnalitté en un quart de seconde. Lá, il a laissé entrevoir son véritable visage, C´est n´est pas la partie emergée d´iceberg. Anelyse n´a pas aucun limite. Elle se comportait comme ça dans toutes ses relations.
Dans sa maison le couple se parlent.
- Tu es super belle dans ta robe. Vous êtes très jolie, et vos jambes toutes bronzées sont splendides,Tu dois y aller sans culotte.
- Pourquoi pas? Pour un voyeur, je suis sûr qu’il aimerait bien tout voir.
- C’est vrai, c’est un de mes fantasmes, tu vas te masturber alors? Tu veux vraiment qu’il me prenne? C´est une drogue bien douce. J’aime le sexe. La longueur des cornes de mon mari devrait être proportionnelle aux sexes des mes amants.
- C´est d´en profiter tant que tu veux. J’adore ce que vous m’offrez…
- Arrête, flatteur. Ne t’avise pas d’arrêter maintenant!
- Tu me fais heureux, comme un voyeur que je suis.
- Et donc tu proposes quoi concrètement?,
- Bah, qu’on se caresse, tous les deux en même temps!
- Pedro est mon amant pendant un temps, lui dit Anelyse.
- Et à présent, qu’est-il ?
- Un bon copain et, à l’occasion, un excellent amant, juste pour un coup en passant. N’est-ce pas mon chéri qu’il arrive que nous baisions ensemble, reprit-elle à voix haute, ce qui me mit dans l’embarras.
- C’est de plus en plus rare.
Trois
Son épouse l’a proposé d’aller dans un bar cocktail, ensuite elle avait avisé l´adresse à son amant Pedro. L’ambiance est douce, feutrée, la musique est agréable. Les tables regroupant quelques familles, des couples et quelques hommes seuls appartenant à ces catégories professionnelles, Elle s’aperçut très vite du regard des hommes, certains regardaient les seins. Un nombre non négligeable de jeunes filles en fleur avec l´air de putes, Elles aussi, sont aussi presentes. Anelyse était au visage joliment ovale, au petit nez pointu, aux sensuelles lèvres rouges. Elle a un corps sublime, vu sa minceur qui contraste avec la générosité de sa poitrine. Un petit tour de cou de perles blanches, des boucles d’oreilles assorties, elle sera sexy, parfaite.
Il avoue que tout cela participe à son plaisir, son excitation, de la voir ainsi vêtue et d’imaginer toutes les sensations qu’elle doit ressentir.
- Tu es superbe, lui dis-je en déposant un tendre baiser sur sa jolie bouche.
- Ah !? On dirait que l’endroit est très visité, je me trompe?
- Ce… n’est pas faux… Ce soir, je ferai tout ce que tu voudras, lui murmure-t-il
- Comment tu me trouves? Pas vulgaire, j’espère?
- Tu es superbe. Tu es une très belle femme et que tu as des seins fabuleux.
- C’est moi qui te fais cet effet?
- Oui. Ça t’étonne ? Tout le monde te trouve incroyablement sexy.
- C’est une façon de montrer à l’autre qui est le maître du jeu.
.
Elle est toujours bien maquillée et superbement coiffée. Elle sait qu’elle est belle et l’assume. Assurément une très belle proie pour un chasseur amateur de femmes épanouies. En face d´elle a une table vide à l´écart, Il y avait des gens insaisissables. Pourtant elle avait changé. Son sourire il sentait une tension imprécise. Il avait effectivement beaucoup de gens La plupart se pressant au bar. Elle regardait autour d´elle comme pour chercher quelque chose. C´est avec surprise qu´elle a vu arriver son amant. Pedro allait s´assit juste sur la table devant eux, Son regard croisa le sien et elle esquissa un sourire, comme un salut. La brune se détendait et se sentait légère. Elle a commencé à se sentir bien. Elle le fixait inténsement, mais ses yeux restaient insondable. Il eut du mal à soutenir son regard, Son mari persuadé qu’il s’agit d’un rien, d’un geste, d’un regard ou d’une parole, d’un tremblement de la lippe, d’un tic quelconque, d’une vague exhalaison, d’une faço n d’arquer le sourcil en souriant, de la conjonction improbable de plusieurs de ces éléments ou de quelque chose d’indéfini, bref d’un élément anodin dont on dira beaucoup plus tard à force de le voir réitéré : c’est certes énervant, mais ça fait son charme.
- Ça marhe bien, tous les soirs c´est noir du monde, dit-elle.
Ses yeux étaient flous comme si elle suivait un autre revê. Elle eut un geste comme pour balayer des pensées penible, C´était um autre monde pour le milliardaire bourgeois qui l´évoquait. Un monde qui lui était étrange. Mais Il parut deviner sa pensée. Curieusement Il n´avait penséqu`à cette eventualité. Le bar était dans la pénumbre. Elle avait son l´ait obstiné des grandes jours. Puis une saveur singulière faite d’un zeste d’excitation qui conjugue les charmes de la provocation et une montée d’adrénaline. Une robe dépourvue de dessous facilite alors indéniablement ces écarts. Elle se considère une exhibitionniste, cependant quand un zélé sectateur englue ses guibolles du feu de ses prunelles, Elle porte une robe aussi, d’un vert pomme élégant à fleurs rouges, un décolleté qui montre la naissance de ses mignons gros nichons bien ronds ainsi que de chaussures assorties à talons hauts. Ça accentue le côté pute des dames. Elle a mis aussi un soutien-gorge, car sa poitr ine est dressée et gonflée. Le désir frissonne et décolle. Sont amant est là, maintenant, à les admirer, longues et superbement fuselées, splendidement halées quand il constate et profite du spectacle avec volupté. À tel point qu’une vague de chaleur lui traverse et Pedro se sent bander en un dixième de seconde. Il était plus petit, extrêmement musclé et paraissait particulièrement viril. Son cerveau, qui n’est pas le plus con, vient d’envoyer instinctivement un litre de sang dans sa queue. Tout n’est plus qu’envie et désirs. Elle adore ce moment de proximité complice et de tendresse. Ses longs cheveux clairs ondulent maintenant sur ses épaules et jusqu’au bas de son dos. Le mari apprécie sa chevelure, c’est plus féminin et tellement sensuel. Qu’elle est belle et désirable!
- Je pense que le jeune homme devant nous s’est rendu compte de votre beauté, il la regarde avec insistance et je pense même qu’il a tout vu. Mais que t’arrive-t-il, ma chérie?
- Délicieusement agréable. Rien, mon amour. C’est pour toi, j’ai envie de te faire plaisir. Je crois que vous ne comprendriez pas… Je t’expliquerai plus tard.
- Oui, oui, mais ce plaisir sera pour nous deux. Passons aux choses sérieuses, voici un premier mec. Écarte bien les cuisses que le mec puisse tout voir.
- Tu es prêt ? Dans ce cas, profites-en bien!
- Oui, même impatient, mon amour. Alors… je croise et je décroise, Euh, à force de croiser, il se pourrait que ma robe soit remontée assez pour dévoiler le haut de mes bas et la pointe d’une jarretelle.
- Je fantasme aussi beaucoup d’accord, mais rien de tout cela n’est réel. Sois patient, tu ne vas pas en revenir.
- Quand même, fantasmer d’être cocu? Allez petit cocu, regarde ta femme faire la chienne !
- Je me permets. Tu m´attend ici. Je ne vais pas tarder à rentrer.
- Tu veux être baisée?
- Oui. Je vais aller aux toilettes, Le jeune homme allait me suivre d’ici une minute, ça va pimenter sûrement notre mariage.
- Quelle femme, quel appétit! Ma femme. Tu vas leur donner le spectacle de leur vie.
Sans jeu de mots, Surexcitée elle fait un signe au jeune homme de la suivre. Puis, elle se leve, embrasse son mari et se dirige au fond où se trouve une porte donnant sur un escalier. En bas Pedro arriva et poussa la porte insonorisée et Anelyse sentit um souffre chaude sur elle. Anelyse avait envie de lui, elle a envie qu’il fasse l’amour avec elle, sans tierce personne. Dans Le couloir, il l’embrasse avec passion. Il met une main entre ses jambes et lui masse la chatte à travers les vêtements, elle réprime un frisson, puis ses doigts viennent masser son púbis. Elle sent qu´elle commence à mouiller.
De retour au Bar, Le truc le plus plaisant, c’est lui qui l’ai remarqué. Il avait tout capté. Enfin, ça l’a plu. Anelyse regarde la montre et sourit. Elle était aux anges, Des filaments de sperme coulent de sa chatte. Son sperme ne coule que le long de ses jambes. Satisfaite et comblée.
- Bravo! Belle réussite!
- C´est La meilleure baise de ma vie. Merci, mon amour pour ce soir, c’était merveilleux!
- Je suis sûr que ça te plairait. Et tu t´ aimé l´ expérience, non?
- Oui... Il dit qu’il veut me revoir, qu’il est amoureux de moi. Il est un étalon d´autre monde. T´es le meilleur des maris. J’espère qu’il te donnera autant de plaisir qu’il m’en a donné. Il est très facile à vivre, tu verras et comme il veut se caser, c’est une occasion en or.
- Tu sais, je ne souhaite pas le partager.
- Les agréables moments que nous passions ensemble. J’aime beaucoup faire l’amour avec toi, même si Pedro est un amant qui m’apporte des jouissances intenses.
En arrivant à la maison, enfin elle a confesse qu´elle avait invite Pedro à venir chez eux. Pedro ne perd pas de temps Il appelle Anelyse depuis de quelques jours plus tard.
Une semaine plus tard. Du haut de son 1,75 m pour 66 kg, elle exhibe une longue chevelure brune ce qu’elle aime exhiber le plus c’est surtout son 95B et son minou entièrement épilé.
Dans la maison, Elle semblait dangereuse et mysterieuse. La demeure était une espèce de temple ou sanctuaire didié à beauté d´elle. Il y a sur les murs photos énormes d´elle partout. Le luxe d´endroit est superbe. Il avait compris à quel point son mari est entiché d´elle. Il avait de mal à comprendre comment les choses avaient se liberé totalement de la part de son mari.
- Merci, d´être venu, dit elle.
L’alcool commence à faire ses effets et Il a de plus en plus envie d’elle. Pedro revient quelque temps après, la soirée suit son cours normalement, il me semble que Pedro a remarqué qu’elle est nue sous la robe.
- Je suis um peu préoccupé.
- Oh, tu sais bien que je sais être persuasive, mon chéri.
Ils se embrassent comme deux amoureux. Le mari les regarda sans comprendre. Anelyse voit Pedro ouvrir sa braguette pour laisser apparaître un dard tout en majesté. Il voit son regard déjà brillant regarder vers l’engin dès qu’il se fait visible. Sa main qui flatte sa bite et son regard qui va de Anelyse à son engin en dit assez sur le si… Il croyait insensible à la tentation d´une femme adultère. Elle vivait une expérience proche du fantasme réalisé. Mariée, mais s’avouant que son mari et elle avaient un accord de liberté. Couple moderne! Bref la belle vie. Tendrement, comme un souffle, elle fit glisser sa bouche sur son front, sur ses paupières, sur ses oreilles. Elle explora chaque parcelle de son visage, mordilla le lobe de son oreille, lécha de la pointe de la langue la ligne de sa mâchoire. Il avait les lèvres entrouvertes et là où elle était assise, elle sentait son érection durcir. Il ne resta pas immobile et posa les mains sur ses hanches. L´amant l’attira à lui et la fit basculer, saisissant un téton entre ses lèvres. Pedro se retrouva en équilibre précaire, à quatre pattes au-dessus de lui, les mains dans ses cheveux, tandis qu’il lui suçait les seins. Elle gémit et se mordit la lèvre, sentant l’excitation lui nouer le bas du ventre. Les grandes mains de Pedro descendirent sur ses fesses,
Elle se libéra, recula plus bas sur le lit qu’il caressa langoureusement. Le mari assiste à tout excité avec les images. Elle avait fantasmé sur son amant chez-elle dès le premier instant.
Elle referma la main sur la verge tendue devant elle, et fit trois grands mouvements de haut en bas sur la peau souple, appréciant la longueur et la largeur de l’organe. Elle avait envie de le goûter. Sa bouche glissa sous le sexe, sur les testicules, déposa des baisers à la base de la verge, puis humectant ses lèvres, elle donna un grand coup de langue, de bas en haut. Pedro poussa un soupir, resserra les doigts dans ses cheveux. Elle prit ça comme un encouragement, et saisit le gland dans sa bouche. Maintenant le miroir. Le fameux miroir.
- Tu vois le miroir. C’est une glace sans tain et mon mari est derrière se masturbant au assistir à tout. Il est un voyeur. Je sais que le mari aime regarder sa femme avec un autre et que ce subterfuge lui permet de réaliser son fantasme confortablement. J’apprends aussi qu’il aimerait bien nous rejoindre, pour regarder, mais aussi pour participer… Si je le veux bien… J’hésite à peine. Ma seule inquiétude étant de savoir si je réussirais à bander avec le mari à côté.
- Tu veux dire qu’il nous regarde? Là maintenant? Depuis qu’on est arrivées?
- Oui, maintenant et les autres fois.
- Avant aussi, mais…
- Mais il aime beaucoup nous regarder.
- Ohhh!
- Il nous trouve très belles. Surtout toi. Mon cadeau, c’est mon mari. Comme je le disais tu es libre de l’accepter ou pas.
Pedro pensait avoir atteint le paradis avec la femme. Ce n’était qu’une étape avec son époux comme partenaire invité. Je n’avais jamais fait, ni même imaginé, de trio. C’est quelque chose!
Dire qu’il y a un peu d’émulation entre les hommes est une vérité. Mais une bonne émulation. Pedro n’arrive toujours pas à comprendre comment une femme peut accepter deux mandrins, côté à côté, se parlant à travers une paroi fine afin de lui apporter des jouissances multiples. Alors, elle fait un signe à son époux de venir. Ce jeu était construit selon ses fantasmes et ses envies. Ils avaient déjà tellement détaillé ces instants, tellement été excités de les imaginer, que d’être sur le point de les réaliser engendrait une tension intérieure énorme, mélange de stress, d’anxiété et d’excitation.
Encore une minute et trente secondes. Interminable! Il ouvre la porte. Une femme consentante! Elle est nue. Elle lui lance son plus beau sourire. Pedro dont le bâton est horizontal, tendu et luisant. Une beauté de voir l’homme avancer, se cambrer un peu pour proposer sa bite aux lèvres de son épouse, Tout le monde fait ça!
- Quelle bonne idée d’avoir invité « Pedro ».
- Oui, je le sens bien. Merci, mon amour, de nous avoir laissés seuls un petit moment…
- Pas de quoi, le bonheur de ma petite femme fait aussi mon bonheur… Ben… ce n’est pas toujours facile, tu sais… Il faut savoir franchir le pas, et c’est le plus difficile.
- On est ensemble alors ? murmura-t-il.
- Oui, on est ensemble, approuva-t-elle. Chéri... Venez, s’il vous plaît. Tu vois que j’avais raison, c´est une grosse bite. T’es quand même fou, Pedro!
- Fou de toi, c’est certain!
Quatre
Il était la présence d’un autre homme pour qu’elle se réalise totalement. La belle épouse embrasse l´amant à pleine bouche. Sa langue est fougueuse, agile, tonique, un peu trop. Essoufflée de l’être pressée, sans doute aussi stressée par l’interdit, elle a besoin de reprendre sa respiration. Sess lèvres se séparent, s’éloignent de quelques centimètres, juste assez pour qu´elle puisse bien le voir. Voir ses yeux lui prendre, avant que son corps ne passe à son tour à l’action. Perdus dans l’infini, ils contemplaient la lune, les étoiles, elles brillent de mille feux, de dix mille feux, de milliards de feux! Son amant adore explorer ton corps…
Il est revenu sur le tapis un jour où par jeu, Les corps se cherchent. Anelyse a son époux poussé vers la bite de Pedro pour s’associer à sa pipe sans sentiment de culpabilité pour ses plaisirs partagés. Des prédateurs qui jouent à séduire les conjoints… Une main branle le bâton gluant tout en le guidant vers une gorge hésitante. L´épouse ne peut ignorer ce qui va se passer. La tige glisse de ses lèvres. Mauricio le suce. Sa bouche est déformée par la taille de l’engin. Il suce la bite de l´amant de sa femme avidement..
- Alors tu as aimé qu’il te lèche et que je regarde?
- Oui beaucoup, mais il a bien failli ne rien se passer.
Le mari placé ainsi, sa gorge est destinée à recueillir la liqueur d’amour. C’était il y a… Une éternité…
- Putain que c’est bon! Plus tendre qu’une chatte. C’est bon Toi aussi tu apprécies ma femme, non?
- Oui, d’accord, mais c’est comme un guet-apens.
- Tu peux y aller. Baise-lui la bouche, devant moi.
Elle gémit, les yeux fermés, perdue dans un plaisir que tout son corps exprime. Les cuisses largement ouvertes, les jambes repliées avec les pieds sur le lit qui lui font pousser son bassin vers sa maîtresse, quémandant encore plus. Et Pedro a la tête perdue entre les cuisses. L´époux devine que sa langue et ses lèvres sont les artisans de ce plaisir. Mais aussi une main qui montre qu’un ou deux doigts se sont glissés dans la chatte et probablement que de l’intérieur ils s’activent. Et aussi l’autre main qui caresse un sein, le malaxe, l’écrase pour en faire pointer encore plus le téton déjà bien excité. Un téton qu’elle roule entre ses doigts et qui ajoute des gémissements aux gémissements. Et Anelyse qui appuie si fort sur la tête de son lécheur qu’elle doit avoir du mal à respirer. Et L´épouse qui se cambre dans un dernier effort pour que la jouissance explose. Ce n’est qu’il est le centre de ce couple, pervers peut-être, mais en tout cas pas avare de plaisir procuré.
- C’est bon. Vous êtes bien gros. Je vous sens bien, C’est bon… Baise-moi… Remplis-moi avec ta grosse queue… Je suis une salope…
Maintenant Pedro la baise intensement, Elle est belle. Ses yeux brillent. Son visage est brillant. Reste de transpiration. Preuve de plaisir. Son visage est tout près du sien. La sueur, la salive, le foutre de son amant en font un tableau obscène.
- Ouiiii !… J’aime ça comme ça! Doucement!… Encore!… N’arrêtez pas s’il vous plaît! Oui, j’aime ça, j’adore… Je me sens… Rempliée, comblée, salope, c’est dingue! Ah oui que c’est bon! Oh que c’est génial! Oui… Défoncez-moi!… À fond… Complètement.
- Alors, fais-toi plaisir, laisse-toi aller! Nous les hommes, on s’occupe du reste!
Le époux contemple sa femme qui est à la fois pleine de son sperme, de celui d’un autre. Mais c’est elle, vicieuse parmi les vicieuses qui se colle à moi. Elle l’embrasse, voilà la cúmplice d´une felacion. C’est alors qu´il réalise que lui ne lèche pas que de la cyprine de l´amant de son épouse. Un sacré cochon dans son style, mais elle n’en doutait point!
- Alors dans ce cas, je suis qui moi? Un cocu? Oui cocu, quoique pas encore, mais c’est sur une bonne voie, cocu souhaité pour pouvoir me servir de cette infidélité pour un plaisir voyeur.
- Tu promets de ne pas te moquer ou de te choquer.
- Maintenant il faut tout me dire.
- Tu ne crois pas qu’on a dépassé ce stade?
- C’est vrai…
lI sait son mari est au courant qu´il est son amant.. Elle veut aller plus loin dans ce jeu. Anelyse a pris comme une plaisanterie son accord qu’elle puisse elle aussi le revoir. Elle est de nouveau assise dans le salon pour siroter la bouteille de cognac.
- Tu as gagné au loto. Pedro est fou de toi. Il est dingue de toi.
- T’es vraiment bizarre, toi… Je le suis de lui.
- Tu préfères que je sois bizarre ou que je t’explique à l’ancienne qu’une femme ne doit même pas songer à un autre homme que le sien ?
- Vu comme ça… Tu aime sucer sa bite.
- Si j’ose le faire… Oui, pourquoi pas…
- Eh bien, si tu oses, je n’aurais rien contre… Je t’aime très fort, mon petit cocu.
Mauricio a échoué à la séduire, mais a cependant créé un climat favorable aux confidences. Mélange d’alcool, de confidences et des incitations d´elle avec son amant. Putain, il est parfait dans son rôle. Elle le sentait bien pour cela. Elle l’a manipulé… Quel jeu joue-t-elle? Pedro au savoir qu´elle était une avocate lui avait confesse qu´il était un trafiquant de drogue. Que il avait quelques problèmes dans la justice. Alors elle avait commencé à travailler en as défense. Un jour il avait disparu. Elle alors, allait appeler la Police:
- Allô... C´est Anelyse Bittencourt avocate criminelle. Mon client Pedro de Souza a disparu. Il avait hier un rencontre avec moi dans la justice et il a disparu. Il n´est pas rentré plus. Quand tu as un nouvelle avise-moi.
- Ok, Madame. Je suis sûre qu´il va bien. Il répond dans la justice sur le quoi?
- Trafique de drogue.
- Je n´arrête pas d´appeler, Il ne répond pas.
Pedro Alvarez de Souza ne rentre pas. Deux jour plus tard 1 h 30 du matin, une voiture arrête dans le banlieuse pour Le chauffeur pisser. Au faire ses nécessites naturels il voit quelque chose étrange près de lui. Au véridier Il a perçu un corps d´un homme. Il appele la Police que rapidement arrive au local. Les policiers voient la victime au sol. Elle était étalée face contre terre et menotté. Il s´agite d´un jeune homme d´environ 25-26 ans. La Police soupçonne immédiatement d´un crime commis pour trafiquants de drogue.
- C´est une guerre de máfia, dit l´enquetêur.
- Ça ressemble énormement à un enlèvement, Ils ont pense qu´il avait été assassiné pour une raison précise. Le meurtre present les caracteristiques d´un crime organisé, dit le périte criminel.
Le corps avait été larguée. La mafia controlait toute la ville du Rio de Janeiro. Des crimes étaient commis partout. La Police avait perdue tout le côntrole. Il en fait de leur point de vue dans leur esprit. Était il croyait de commettre le meurtre parfait?
- Il a été mort par un revolver calibre 38, dit le périte.
Ils trouvent le número de Annelyse dans le portable qu´avait été trouvé avec le corps. Plus tard arrivent deux enquêteurs dans la maison de Anelyse:
- Nous somme de la Police et nous voulons parler avec Annelyne Bittencourt.
- Oui... C´est moi. Vous pouvez entrer, s´il vous plaît.
- Merci. Il y a une denonce de disparition d´un de ses clients. C´est lui?
Alors l´agent lui montre une photo du corps de la victime crivé de balles à elle. Immédiatement il est identifié comme Pedro de Souza.
- Malheureusement, oui...
- Vous savez qui lui voulait Du mal? Avait-il des ennemis?
- Je pense qu´il fait des choses, Il n´et pas vraiment fier.
- Quoi donc?
- Il voulait l´argent facile. Il était un trafiquant de drogue.
- Alors Il a été victime de la máfia. C´était un escroc...
- Non... C´était l´homme le plus adorable que j´ai jamais rencontré. J´ai éviter la prison plusieurs fois.
- Et sa famille?
- Il jamais parlé de sa famille. Mais je vais montrer à cet assassin cruel allait savoir qui est la proie qui est le prédateur. Je suis une avocate professionnel et je vais investiguer l´auteur du crime.
Cinq
Plus tarda au arriver le mari ils s´embrassent et partageons ce chagrin au sel lacrymal sans honte et sans pudeur. Ainsi fut fait dans un mélange de salive et de sanglots qui donna à ses lèvres une saveur indéfinissable. Anelyse sentait beaucoup de rage, de haine par La mort de son amant. Elle se sent atrocement coupable. Elle savait qu´il faisait et rien fait pour l´aider. Un être cher assassiné elle revivait encore et encore. Elle se trouvait à vivre une nuit sans fin.
Les policiers a perçu que c´était une amour fatal, qu´elle était à bord d´une crise de nerfs. Alors, ils allaient jusque le bureau de son mari, un illustre homme d´affaires du Rio de Janeiro. La central de la compagnie Siderurgique de Volta Redonda était une architeture moderne dans le sud de la ville merveilleuse. C´était une personalité plutôt extravagant, em prennant son travail au sérieux sa fortune s´élevait à au moins des milliards de dollars. Il avait une vue confortable, Voitures de luxe, maison de plage, lear-jet, hélicoptère et etc... Il avait dit aux policiers ”je n´a pas rien à voir avec les clients de mon épouse”. Puis il tourne le dos aux policiers et disparu dans les couloirs.
Ça l´attriste est que son amant n´est plus présent dans sa vie. Dans les funerailles de lui elle l´a promis vengeance.
L´avocate Anelyse Bittencourt allait acheter une pistolet 9mmm et elle allait à une école de tirs. Puis elle découvre l´endroit où Pedro a été gérant. Elle voulait cocaïne. Puis de l´acheter elle montre une foto de Pedro au trafiquant et lui demande pourquoi Il avait été assassiné. Avant que l´homme parle elle lui donne une billet de 100 dollars, puis plus 100, puis plus 100.
Alors Il l´explique que Pedro avait volé le chef du trafic. Alors elle lui donna plus 200 dollars.
- Le nom du chef du trafic?
- Il parle, Igor Stalent, L´américain. Il est un homme três dangereux.
- Moi aussi. Où je peux le trouve? Où il habite? Lui donne plus 100.
- Il avait se vait se demenagé à Angra dos Reis.
Trois jour après elle ouvre le journal et vit la photo du trafiquant qu´elle avait parlé, mort sur la sable de la plage. Une avise sur le corps, X9 c´est un code de quelqu´un qui vend information. Plus une victime du américain. La haine augment plus. Elle ne pensait qu`à une chose. Tuer l´assassin de Pedro. Alors elle allait se pressé en aller à Angra dos Reis. Une ville éloignée du centre 90 km. Pour l´internet elle avait logé un appartement devant la mer et une salle comme son bureau au centre d´Angra. Elle immédiatement se vicie en cocaïne. Alors elle allait à “Angra dos Reis”. Après une heure avec sa Porsche jaune. elle était là. La ville se trouve au litoral sud de Rio de Janeiro. C´est une ville três tranquille tranquille, três pitoresque ou tout le monde se connaît. Quando on arrive dans La ville, on voit La place principale. C´est un três bel endroit comme on voit sur les carte postales. On peut y admirer ses magnifiques lots, tours, chex blanc qui monte droit jus qu- au ciel.
Les gens se retrouvaient tous les week-end dans la plage. Sur la mer paraît Monaco pour la quantité de yates de luxe ancré sur la baie. Son mari a un ancré en Búzios, L´autre extremité du litoral. Region de retraites de miliardaires. Lá Il y a plus des maisons de change plus que de banques. Endroit formidable. C´est une ville charmante. Um parour de golf, des restaurants et tout un tas de boutique de grifes affamés sur le long de la rue principale. Là plus part dês habitants, vieux hommes d´affaires de l´haute societé. Un endroit où les gens promenent leur chien. Le soir ou les voisins se parlent et s´entendent bien entre eux. Un paradise qu´attire gens du monde entier. Elle avait vu passer deux merveilleux prototypes de la masculinité. Ils étaient beaux à en faire damner un saint. L’un avait la peau d’ébène, il était merveilleusement bien bâti. Le second, plus fin, avait la peau dorée magnifique des hommes de l’Inde.
Son mari voulait savoir jusqu´où irez son petit jeu. Elle était três séduisante avec un joli visage. Avec 130.000 dolars dans une valise et une photo de Pedro dans son porfeuille. La proche étape será en entrer dans le monde du crime en “Angre des Rois”.
Elle s’installe derrière le volant et elle fixe son GPS sur le pare-brise en pensant qu’il est seulement vingt-et-une heure, et le difficile « toute seule » commence à l’envahir. Le soleil 35º. Il est si bon de sentir sa chaleur sur sa peau. De caresser son corps chaud lorsqu’il vient d’être baigné par l’astre des lumières. Bon sang, que ferions-nous sans lui ? L’été est sa période favorite de l’année. Le retour des vêtements légers si agréables à porter. On dit du printemps qu’elle est la saison des amours. Peut-être. On en voit de belles choses. Alors la machine à fantasmes se met en route… Combien de fois elle avait regardé ces hommes passer devant moi avec leur sexe dans leur maillot de bain, ces surfeurs se changer à même la plage dans leur combinaison moulante? Puis il y a toutes ces femmes qui derrière leur bikini semblent pour ainsi dire nues. Leur abricot prêt à être cueilli. Bien sûr, elle n’aborde pas les adeptes du monokini, ni même les camps de nudistes. volley, foot avec les Italiens, nage, quelques visites touristiques, et elle ne voit pas le temps passer. Moi, oui. Elle était assez bronzée comme ça. Elle allait venir de terminer leur première semaine
Elle est dans la ville et allait achèter drogue à un endroit éloigné du centre information d´un chauffeur de taxi. Elle achete La cocaïne et aspire un peu immédiatement. Puis, elle se retour au trafiquant et lui montre une billet de 100 dollars. Où je peu rencontrer Igor. Au voir l´argent Il brillait les yeux, mais hésite.
- Comment voulez-vous que je vous aide?
- J’ai besoin que vous m’aidiez… Tiens... Peu de problème. Il tombe avant de vous.
Il prend l´argent et montre le restaurant près de Lá. il est du tuer à gages de lui. L´homme de confiance de Igor, Il s´appelle Roque Nascimento.
- Il est sinistre dit-il.
- Moi aussi, dit-elle tournant les dos et se dirigeant au restaurant.
Elle a entré dans le restaurant et allait direct aux toilettes. Elle apparut enfin, magnifique dans cette robe bretelle bleue à motifs rouges s’arrêtant cinq centimètres au-dessus des genoux. Les bretelles se croisaient dans le dos et offraient un joli mi-dos nu ainsi qu’un décolleté mettant harmonieusement la poitrine en valeur. Quelqu´un lui dis qu´elle était magnifique et diablement désirable.
Dès 17 heures le vendredi, tous les serveurs étaient à pied d’œuvre pour positionner les bouteilles d’alcool et les doseurs associes. Lorsqu´elle est sortie, elle retrouvait la pièce des lavabos qui était commune aux deux sexes. Elle se trouvait être en face de Roque, Son cœur bat à tout rompre. Elle s’est remaquillé les yeux; la bouche est recouverte d’un rouge luisant, lui donnant des lèvres pulpeuses. Son parfum l’enivre. pas beau avec sa peau sombre et ses muscles saillants. Il lui sourit de toutes ses dents. Elle doit le sentir car elle jette un coup d’œil vers lui, plonge ses yeux dans les siens, tentant de lui faire baisser les yeux sans y parvenir, puis l’ignore royalement. Peu importe, il continue à la fixer; le jeu l’amuse.
- Bien entendu, ça me plaît. Vous êtes superbe… superbe, et délicieusement sexy!
- Ton corps parle pour toi.
- Vous n’avez pas cessé de me mater dès que j´arrive.
- Vous aimez exciter les hommes, n’est-ce pas…
- Vous avez de très jolies jambes, ou plutôt de très belles cuisses…
- Salaud, vous m’avez excitée comme une folle dans cette toilette;
Elle se mit face à lui pour attacher sur sa poitrine l’agrafe située à l’arrière du léger vêtement avant de le tourner et d’ajuster les deux bonnets sur ses seins. Oups! Il faillis avaler sa salive de travers... Il se sécha les mains avant elle et se plaça derrière elle. Tout en la regardant dans le miroir, il entreprit de caresser son dos et ses épaules en les effleurant. Ses gestes étaient à la fois doux et assurés. Ses grandes mains étaient expertes. Il était fasciné pour des jambes interminables, longues, fines, des mollets galbés, des cuisses fuselées. Perfection absolue.
Anelyse une brune aux yeux bleus envoûtants, toujours très provocatrice n’était pas à l’aise, elle rechigna un peu. Roque avait plongé son nez dans la culotte et semblait enivré par l’odeur.
- Vous êtes trempée, petite cochonne, votre culotte est à tordre !
- Tu peux y goûter si tu veux.
- C’est tranquille ici, Tu es belle, Madame, terriblement belle et obscène, une merveilleuse femelle, dit le Black.
Roque était aux anges, ravi d’avoir su faire de la belle brune la vraie chienne dont il rêvait, capable de tout pour satisfaire son plaisir. Il était tellement hypnotisé par le désir que lui provoquait cette caresse ahurissante qu’il se laissait complètement faire.
- Je vais te baiser! Ta chatte dégouline, tu sens la femelle en chaleur. Tu as envie d’une bite, n’est-ce pas, une bonne bite bien dure!
- Prends-moi, s’il te plaît, vite.
- Tu veux quoi, Madame?
- Te sentir, en moi. Oh, tu es si vicieux… Je veux… Ta queue! Ouiii, profond, loin ; je veux la sentir dans ma chatte, je veux qu’elle me remplisse… Dit-elle dans un souffle.
- Ouiii, tu me remplis. Bourre-moi fort, vas-y !
- Ta chatte me suce la bite, Madame, c’est délicieux.
Il sent une giclée de mouille chaude lui brûler la queue.
Il la baisait bien.
Ils étaient face à l’océan en bout de terrasse, certes un peu éloignés de l’agitation de la salle de restaurant, mais entre nous, presque à l’écart du monde, ses conversations bercées par le flux et reflux des vagues. Bizarrement, il n’y avait quasiment que nous sur la terrasse qui allait en se prolongeant vers l’immensité de l’eau, la plupart des clients s’étant installés à l’intérieur. il susurrait des incantations qui, même inconnues à ses oreilles, semblaient exprimer tout l’érotisme. Elle est folle pour les blacks.
- Puis-je vous aider?
- Oui... Je veux savoir comment trouver Igor Stalen.
- Qu´est-ce que vous voulez de lui.
- Tu ne va pas croire, mais je veux baiser avec lui.
- Pourquoi tu pense que je allais lui donner cette information?
- Je suis une avocate criminelle. En 10 minutes seulement j´ai consulteé ses arquives crminales dans l´internet: Roque nascimento, noir, fort, 1m 90 un casier pleine de crimes. Trois mandats de prisons pour meurtres. Tueur à gages.
Six
- Tu dois mourir dans votre restaurant si vous ne me dire qui tué le gérant du trafic du Leblon Pedro Alvarez. J´ai une pistolet pointé à vos couilles sous la table. Commence à parler.
- C´est moi que tué Pedro au Leblon. Igor tu vas le trouver à ce soir dans le Club Mediterrané... Mais, Il va te tuer. Alors faite vite, sans me faire souffrir.
- Ah oui... Comme vous. Pedro était mon amante et je suis puissante. C´est un tir sur ta belle bite te plus deux sur ton visage. Le monde pas besoins de monstre.
- S´il vous plaît... Ses dernièrs mots avant de tomber mort devant les clients.
Elle avait parti vite de la scène du crime. Les agents de police et l´ambulance sont en route. Une situation d´urgence les premiers minutes sont cruciales au moment. C´est stressant sous le coup de l´adrenaline.
Puis de se changer dans son appartement, elle allait ensuite au Club Mediterrané. Elle porte une petite robe rouge. Fluide, mais près du corps, sans manches avec deux larges bretelles. Lorsqu’elle bouge, il peut apercevoir la naissance de ses seins et ainsi constater qu’elle ne porte pas de soutien-gorge. Elle semble aimer l’inconnu, avoir soif de sensations et lui inspire un sentiment de liberté teinté d’une pointe de rébellion. Quand elle marche, elle aime promener son regard sur les gens. Elle cherche à capter le regard du passant, elle espère y déceler une étincelle, un signe. Elle cherche l’excitation dans ce micro-flirt, le temps d’une seconde. Elle éprouve une certaine ébriété à marcher au milieu des gens, surtout la nuit.
Elle aime voir les gens vivre, croiser leur regard et continuer son chemin, l’esprit enflammé par toute une série de scénarios érotiques. quelques hommes attirés par sa silhouette sculpturale, finalement elle manipulera, utilisera comme instruments de plaisir. L’atmosphère s’échauffe, l’avoir déjà remarquée, alors qu’elle se baladait, à cause de sa démarche si caractéristique. Il se tient au bar écrivant sur son portable et sourit. L’ambiance était électronique sous les néons bleus et roses. Des corps emmêlés et endiablés. Des ombres dans le rouge des néons qui ne souhaitent qu’une chose seulement: ne pas mourir. Des corps gigotaient leur propre fin du monde en extase, ça sautillait et ça criait, ça folâtrait et ça proclamait : « Vous êtes mes meilleurs amis du monde ! » soit en espagnol, soit en anglais.
Les gens observent encore à cette heure-ci, sirotant leur verre, les tables sont encore disponibles. Un serveur lui montre Igor Stalent toute souriant également, elle appréciait son charme. Sa stature en imposait et son air grave l’inquiéta. Il était séduisant, il plaisait aux femmes, mais au la voir Il a reste fasciné par sa beauté. Imméatement il se laisse draguer par une belle femme brune en tenue sexy. De as part C’est un rêve érotique qui a dû l’éveiller. Le serveur arrive il est hypnotisé par le spectacle, il ne voit pas encore ses tétons, mais ses seins sont à moitié découverts, son entre seins est offert, et ses tétons pointent durement sous la soie, il peut voir que son décolleté finit sous la table, ta robe étant entrouverte, il ne trouve plus ses mots et devient tout rouge… Le serveur avait l’air déçu de ne pas s’être aussi bien rincé l’œil qu’à son passage précédent, même si ton décolleté en ferait tout de même bander plus d’un… Excité par ton audace et sa vorac ité sexuelle!
- Je voudrais me venger… Le piéger. Me venger… Me venger! Mais comment ? Mais le mal est fait, pensait-t-elle.
Sa tenue exhibait ses seins et ses jambes bronzées. Les autres clients, hommes et femmes, ne sont pas restés insensibles à ses charmes et tout le monde l’a reluquée plus ou moins discrètement. Certains l’ont même littéralement déshabillée du regard comme Igor, un bel américain célibataire, qui l’a ouvertement draguée. Par ses postures, Anelyse est bien entrée dans son jeu et n’a pas caché son attirance pour ce beau mec. Elle a toujours faible pour les hommes dangereux.
- Tu es donc libre? insista-t-il encore.
- Libre? Je suis seule, oui! En tout cas, j’espère pas pour longtemps, pouffa-t-elle, souhaitant des rencontres intéressantes. Tu me trouves belle?
- Tu es magnifique! Je peux vous inviter à boire un verre? Pourquoi es-tu ici à parler avec moi?
- Pour rencontrer un homme qui pourra m’aider à réaliser mes fantasmes et assouvir mes envies les plus secrètes.
- Vous n’avez pas peur que le loup mange le petit chaperon rouge?
- Non, car c’est un gentil loup.
- Vous ne dansez pas?
- Je n’ai pas la tête à ça.
- Vous êtes magnifique! Une vraie femme!
- M-merci…
Ils discutent de tout, et ce soir, il est particulièrement rieur, Il avait une voix grave et rauque. Elle sourit, encore, mais je sens une pointe de complicité naître dans ses yeux maintenant.
- Nous allons où?
- J’ai autre chose en tête! Dans un bois. J’ai une envie folle de vous faire l’amour contre un arbre!
- Vous avez de ces idées!
- Oui, j’ai toujours de ces idées, comme celle de vous demander, là maintenant, de relever votre robe afin que je puisse contempler votre belle chatte!
- Regardez plutôt la route! Vous êtes un sacré pervers dans votre genre!
- Ah, on dirait que nous ne sommes pas seuls. Ils sont garés à droite, allons à gauche.
- On est où ici?
- Un coin tranquille, avec beaucoup d’herbe, des bosquets et quelques arbres, avec en général peu de monde dans le coin. Ici, c’est très bien…
Igor Stalen venait de garer sa voiture dans un endroit peu fréquenté, un petit bois situé en bordure de la ville.
- Tu m’excites trop avec tes jolies jambes!
- Tu es prêt à tout pour moi?
- Oui.
- Oh oui, j’aime être votre objet.
- Félicitations; tu es décidément une très bonne soumise! T’es comme les vaches: l’herbe est plus verte ailleurs! C’est plus fort que toi, n’est-ce pas?
- Euh… oui…
La voiture est maintenant garée au milieu des bois. C´était nuit déjà, le temps se prête aux canailleries! Endroit avec des paysages boisés est le genre de bourcage ou personne ne risque s´aventurer pendant la nuit. En effet, notre voiture se gare sur un parking, coincé entre la route et la rivière. Parking, c’est vite dit, une sorte de chemin de terre assez large. Ilt explique:
- C’est un petit bois pas très fréquenté; d’ailleurs, il n’est pas aménagé, contrairement aux autres des alentours. Donc pas de danger ou si peu.
- Il n’est pas bien grand, ce bois, entre la route et la rivière… Étrange mais agréable idée! C’est vous qui m’avez suggéré l’idée.
- Nous sommes à la pointe du triangle, il s’évase beaucoup plus quand on s’enfonce dedans, mais il n’est pas bien grand, en effet. Allons-y!
Il posa la main sur le genou de Anelyse et releva sa robe jusqu’à découvrir totalement ses cuisses. Il coupa le moteur et se tourna vers Anelyse qu´a une main dans son sac tous le temps elle lui demanda.
- Vous savez que vous êtes magnifique? Vous êtes une femme ravissante, à me faire perdre la tetê, surtout nue au milieu des bois! Non, non, il y a quelque chose qui ne va pas! Mieux que ça, petit pute!
- Comment ça. C’est dingue tout ce truc! Tu as la main toujours dans ton sac.
- Tu as tué Pedro, pourquoi?
- Qui est vous? La pute de Pedro? Vous êtes cynique! Que désirez-vous? T’es vraiment une grosse pute dans ton genre !
- Et toi un monstre. Tu n´as pas notion de danger. Vous, bien sûr! Roque n´existe plus. Et toi aussi, je te veux! Je suis la femme de Pedro qui va te mener aux enfers. En réalité tu vas mourir.
Dans ce moment elle revela l´arme et il a tenté reagir mais Il a reçu le première balle sur plein visage et efface, Elle tire plus deux fois.
- Tu vas baiser le diable aux enfers. Tu ne mate plus personne,
Elle ouvre la porte et il tombe lourde par terre, dehor... Alors elle passe au lieu du chauffeur et nettoye le sang sur le volant avec un mouchoir de papier elle allume le moteur et part vite avec la voiture de la victime. Plus tard... c’est la foule, des gyrophares, des rubans orange et blanc. Accès interdit.
- Circulez s’il vous plaît.
Plus une chapitre d´une histoire d´horreur. De La cólera l´erreur est humaine, mais individus les plus monstrueux sont capable de commettre des péchés mortels.
Plusieurs jours plus tard, même qu´elle soie suspecte l´autorité a besoins de preuve. La suspect est três belle d´une classe sociale élévée qui vient d´une famille tradictionnel. Alors elle est invité à arriver dans la central d´humicidies. Elle avait arrivé déguisée de reine en grand style vutue Christan Dior, sac Louis Vuiton et portant des bijoux três chéres dans une limosine avec chauffeur particuler. La prense était là. Elle était une célébrité. Le Chef de Police a perçu qu´elle était toujours calme et détendre. Dans la Police le téléphone n´arrête plus de sonner. Premier, c´était le Ministre de la Justice de Brasilia demandant un attention spéciale à elle.
- Les balles calibres 9mm trouvés dans les deux corps sortirent de la même arme.
- Tu as une arme de ce calibre?
- Oui, dit-elle,. La voilà par l´analyse.
- Ils étaient les deux plus dangereux du pays. Vous pourait devenir cible des trafiquantes.
- Je suis un vase mauvais, vase mauvais pas casse.
Son mari aussi se révéle comme le proprietaire de la siderurgique de “Volta Redonda” que est près de là, et son legitime époux veulent savoir que son épouse faisait dans la Police. Comment épurer les épisodes avec une énorme pression. Les enquêteurs doivent remonter une piste numérique jaloné d´échecs sentimentaux. La Police avait la conviction qu´elle était une véritable psychopate qu´a plaisir en tuer. Ou pire, une serial-killer. La témoigne du crime du restaurant avait été abattu `pour des balles de pistolet par une belle femme deux jous après le crime. Depuis ça, personnes veulent parler sur les crimes. Quatre mois plus tard les forces de l´ordre ont fait peu de progrès. C´est pire que tout... Il n´y a pas de preuves contre la socialite assassine. La police n´a pas d´autres témoins.
Elle a mis son chemisier long, léger, fin, celui avec un tissu très finement rayé, satiné, si doux au toucher. Boutonné assez haut, son col en V n’est pas très évasé, et ses longs cheveux roux couvrent entièrement son décolleté trop étroit. Au-dessus de ses grandes bottes en cuir marron et de ses longues jambes fines, elle porte sa minirobe en jean, celle qui se ferme sur le devant, avec des boutons Kaporal voyants, tous bien fermés de haut en bas. Pour le moment. Une vision rapide, éphémère. Un cul fantomatique de chair parmi les nus sculptés, la belle fée aux globes galbés.
Puis de éliminer deux assassins de Pedro, elle était de retour au Rio de Janeiro. Elle voulait d´autant plus que tuer le chef du crime organisé du Rio de Janeiro, Marcelo 171. Alors... Il méfie qu´il será le proche â être mort et part au attaque. Il est complêtement paranoïaque. Un drame est en train de se joure. C´est une course contre la montre, Dans un moment elle était en train de briller un feu rouge. Six hommes fortement armes l´attend dans l´avenue Brésil, porte d´entrée au centre ville. Le mari l´attend mais elle pas arrive. Puis de trois jours il demande action de la police, Puis de plusieurs jours les enquêteurs pensent avoir enfin une piste concrète dans La sphère de la disparition de la belle socialite. La Porsche Carrera jaune crivée de balles et bruillée a été retrouvé dans l´oest d´État dans une direction opposé on se croyait la voiture calcinée l´autre bout de l´État grace au numéro de série. Ils ont pu identifier qu´il s´agissait bien la voiture de la soci alite. Alors quelque chose de plus grave avait pu se produire et qu´elle n´était pas moins il n´y a aucune trace de depouile dans le coffre de la voiture. Ce moment aucune excuse le mari était sur à 99% qu´elle était morte pour une bonne raison. Mais en puis de trois polices differentes qui enquêtent le quoi de réel qu´avait arrivé, réalité l´histoire était autre. Alors vient la surprise. Un homme qui vend hot-dog sur la plage de Copacabana. Il affirmait qu´une belle brune fut victime de tentative d´enlevement des bandits du CV ( Commandement Rouge). Il avait dit aux enquêteurs que la belle femme a descendu de la voiture près de lui d´arme sur main. Elle avait repondu aux tirs des bandits. C´était des tirs partout. La situation est grave. C´était um attentat contre as vie. Elle avait pénsé qu´elle allait mourir. Un bandit près d´elle avait tombe mort par terre dans une maré de sang. Il était étendu sur le ventre, C´était étrange.
La scène était terrifiante. Il faudra dês années pour conaître La vérité. Um jour la justice enfin va être fait. Elle avait entré dans un taxi et a disparu. Les bandits avait fait le secours et ils avaient pu mener la voiture. Il y avait plusiers capsules de balles partout que donnent l´idée de que s´est passé là. Il avait précisement qu´elle avait sortie ilése de la fusillade. La police arrive vite au Rogério 171. Il avec um passe violent de plusieurs homicides avait l´ordre de prison contre lui.. Il est détenu pour tentative d´homicide et il est emporté pour les policiers à penitentiaire Bangu-1.
Sept
Trois jours après il est trouvé mort dans la cellule. Il avait plus de 40 coups de couteau. Comme La cause de la mort l´assassin a parlé que se traitait d´une affaire personnelle. Il son déjà quinze jours que Anelyse était disparue. Son mari a commencé à voir cette affaire de disparition de son épouse sous autre angle. La Police avait informé le mari qu´avec la morte du chef du crime organisé. La disparition de son épouse jamais será elucide.
Au entrer dans le taxi Anelyse monte en le remerciant tandis qu’il s’engage à s’asseoir sur le siège central C’était une position stratégique que n’offrent que peu de véhicules et dont elle vous invite à profiter. En outre, elle n’aurait pas ainsi l’impression de vous inspirer une quelconque frayeur, alors elle dit au chauffeur.
- Allez, vite...Vite
- Vous êtes policer? Demande l´homme au voir elle changer tirs avec les bandits.
- Avocate, socialite, j´ai porte de l´arme.
- Superbe... Vous réussi un combate avec six bandits. Qui est le predateur et qui est la proie?
- En vérité... Je ne sais plus. Je pense que c´est tout la même chose. C´est la vie. Une histoire d´amour de vie et de mort.
- Où je vous deposé? Madame, s´il vous plaît. Tu peux me faire confiance.
- Búzios... J´ai maison d´été en Búzios. Je sais... Les voilà 300 dollars pour son service.
- Parfaitement, Madame. Vos désirs sont des ordres.
- Moi, Anelyse. Comment tu t´appelle?
- Arnaldo. Je suis un policier militar, j´ai le taxi pour agmenter l´argent. Le bandit qu´allait le tuer pour le dos j´ai l´eliminé.
- C´est pour ça que j´ai sorti intacte. Vous-êtes mon ange de garde.
- Non... C´est mon devoir comme militaire. Tu es marié Arnaldo?
- Celibataire. Je suis un solitaire.
- Tu ne l´es plus. Tu as moi. Vous êtes un homme beau.
- Merci beaucoup.
- Je suis mariée avec Mauricio Du Valle.
- Qui? Le propriétaire de la Siderurgique?
- Lui même.
- C´est l´entrepreneur plus grand du Rio de Janeiro. Le chef du Commande Rouge, il va être trouvé mort rapidement..
Elle avait l obserait a aille 1 mètre 80, séduisant athlétique, elle aurait pu avoir n´importe quelle femme à son bras. Il avait trouvé Anelyse une déesse de beauté.
- Tu n´a pas besoin d´un garde de dos?
- Oui, mais avant tu as de passer pour la preuve d´habilité.
- Du quoi, Madame?
- Habilité sexuel. Je vous trouve très séduisant. Les yeux sur mes jambes, il faillit dire quelque chose.
- Ouvres tes jambes largement et me montre ta chatte, s´il vous plaît.
- Mais tu es fou, il n’en est pas question! Imagine que quelqu’un s’en aperçoive…, Pour qui vais-je passer?
- Mais j’espère bien que ce sera le cas! L’idée que tu puisses te faire me plaît… S’il te plaît, mon ange, tu ne risques pas grand-chose et ça me ferait vraiment plaisir.
- Tu n’es qu’un pervers, Je les ai écartées un peu plus! Regrde... N’était-ce pas ce que tu espérais?
- Tu es vraiment très belle. C’est trop tôt pour te dire que j’ai très envie de rester avec toi ce soir?
- Tu aimes ce que tu vois ?
- Je… Je… Vous êtes sublime.
- Tss tss, je suis juste une dame un peu grasse avec une forte poitrine.
- Je vous trouve magnifique, laissez-moi voir encore.
Elle avait s´est installé sur le banc vêtue d’une robe bleue courte, sexy au tissu très fin qui vous enveloppe et met en valeur, magnifiquement, vos formes féminines, elle crosait et decroisait lentement ses longues jambes laissant naturellement sa robe monter sur se cuisses. Tout d’un coup, son regard se fige sur son bas-ventre. Il a dû voir son minou. “ Quelle merveille! ” Le voyeur semble devenir nerveux, il la mitraille désormais sans plus chercher la discrétion. Il se délecte de l’image de son corps épilé, tellement sexy. Il pique un fard et lui souffle:
- Euh, vous n’avez pas de culotte?
- Non, quand il fait chaud, je n’en mets pas.
- Ah, intéressant. Oui, tu me fais bander si tu veux savoir… Tu me rends dingue. Vous devez aviser son mari que tu es en Búzios?
- Pas besoin, il me découvre rapidement. Non... Maintenant je veux de tranquilité. Il aime que j´ai amants.
- Alors Il est bissexuel.
- Comment tu sais, ça?
- C´est la façon de voir les choses.
- Je n´ai jamais entendu quelqu´un parler comme ça.
- Peu de gens parlent de cette façon. J´ai besoin urgent de 1000 dollars d´allieurs, J´ai 300, je besoin seulement de 700.
- Pourquoi veux-tu?
- Pour payer ma voiture au banque. Il y a un demande de recherche et appréhesion.Elle fouille dans son sac et...
- Les voilà les 700. C´est un cadeau pour le bon policier que tu es...
Elle avait tout de suite été sous le charme de cet être viril, séduisant et séducteur, les circonstances faisant d´elle une proie facile. Arnaldo s´est dit qu´ il avait peut-être une mine d´or.
- Il y a une autre femme dans ta vie!
- Et moi, que suis-je donc dans tout ça? Tu sais que je suis très attiré par ta magnifique poitrine, ton splendide minou et ton joli petit cul.
- Toi, tu es une jolie fleur tout juste éclose, dont la sensualité doit être poussée bien au-delà des limites que tu connais, et qui es d’une incroyable réceptivité érotique!
Búzios située sur la region des lacs litoral fluminense dans l´état du Rio de Janeiro, c´est un paradise naturel.,. Une region entouré de paysages, parmi les plus magnifiques du monde. Brigitte Bardot a une maison d´été là. Mais derrière cette beauté à couper le souffle et la divise d´une ville rêve en de paix et d´amour libre. C´est un endroit ou tout le monde baise avec tout le monde. Personne est de personne. L´enver du décor se revele d´une libertinage general. Les monts de Búzios sont recouverts par la fôret et leurs pentes sont três escarpées. Certains endroits dans cette chaîne de montagnes de três difficile accès. Elle est pleine de cultures différentes. Cette pluralité que devien cette ville intéressante.
- Je ne vous avais pas dit qu’elle était magnifique cette maison? Certes le parc aurait besoin d’un jardinier à plein temps, mais regardez comme le bâtiment est magnifique. Ces fenêtres surtout sont… Observa Arnaldo.
La vue est magnifique. De cette position surélevée, il voit la mer au loin. Ils arrivent dans une vaste pièce qui fait visiblement office de salon et de salle à manger. Mais ce soir, il y a eu quelques changements, les tables ont été repoussées contre les murs et en plus des fauteuils et du canapé, au sol gisent divers matelas et d’innombrables coussins, le tout savamment réparti.
Le matin de jour suivant le téléphone de la maison sonne.
- Allô! Anelyse?
- Oui, en chair et en os. cette fois, et presque en dehors de toute clandestinité à sa grande satisfaction.
- Comment es- tu? Je te croyais fachée.
- Pas de tout. Heureuse.Je me pensais que tu reveillée avant midi dix.
- Comment as-tu découvri que je suis ici?
- Le garde de la rue m´avais avise. Tu es três bien par une femme qu´avait bien échappé de la mort.
- Maintenant, jê suis bien et bien accompagnée.
- Qui est-il?
- Un policier militaire. Il a une bite fantastique. Il avait me sauvé La vie dans la fusilage de hier soir.
- Intéressant.
- Il est mon heróis.
- J’arrive bientôt, mon amour! Je veux que vous me disiez tout ce qui vous passe par la tête, je veux savoir ce que vous ressentez, le plaisir, le désir, les fantasmes, les idées folles, tout.
- Je… je ne sais pas si je vais oser…
- Un enfer, peut-être, mais pavé de bonnes intentions.
- C’est pas drôle. On pourrait continuer ce petit jeu, faire comme si tu ne savais pas.
À elle de trouver les bons gestes, le bon rythme, les bons mots pour qu’il devienne torride… Ils avaient arrivés à la maison d´été de Anelyse. Le bâtiment avait beaucoup de charme. Les glycines et les rosiers grimpants tressaient des colliers coloriés le long des saillies de la toiture.
Anelyse avait confiance em lui. Le mari commence à noter un changement chez sa femme. Mais elle est manupulatrice.
Anelyse se regardait dans la glace, tournant sur d´elle-même en culotte et soutien. La vue était encore agréable, les seins gros, fermes, assez hauts les hanches et les fesses encore attirante!
Dans a énorme maison devant la mer, Anelyse était nue, allongée au milieu du lit, jambes écartées, totalement offerte, elle regardait l’homme qui allait la posséder. La lumière lui permettrait de mieux observer son visage d’ange, de mieux chercher à deviner ses courbes à travers le fin tissu du drap.
Mais ce n’était pas suffisant, comme une chienne en chaleur elle sollicitait sa présence. Ses lèvres étaient humides, légèrement écartées. Une petite chiffonnade de peaux tendres s’étalait aux pourtours de sa vulve, remontait encapuchonner le clitoris, puis redescendait encercler l’ouverture rose du vagin. Il allait de connaître bien ce corps étalé sur le lit, grand ouvert, c’était celui de Anelyse. Et nue parfois devant lui, sa vulve l’avait toujours étonnée par la grandeur et le beau drapé de ses petites lèvres. Là, maintenant, ses chairs s’ouvraient libres, libérées, offrant l’ouverture rose de son intimité et dévoilant le petit bouton turgide de son clitoris joliment encagoulé d’un mignon petit bonnet de peau. La belle brume gémissait remuant brusquement sur le lit.
- Cette nuit, je suis pleine de désirs, je pense trop à ta queue et je dois me soulager pour pouvoir m´endormir.
Il la léche comme personne. Tournant la tête de droite à gauche violemment, sans aucune pudeur, les jambes ouvertes, elle s’abandonnait… gémissant et criant son plaisir.
Cela n’était plus un jeu! Son regard fut de suite attiré par la verge de Arnaldo en pleine érection, qui lui sortait du ventre comme un épieu. C’était la première fois qu´il la voyait entièrement dévêtue! On a beau dire, mais le spectacle d’un femme nue ne les laisse pas indifférentes! Il sortait complètement et replongeait entre les lèvres humides, le collet du gland gonflant par ses poussées le pubis recouvert d’une fine pilosité noire. Les testicules gonflés carillonnaient sur les cuisses d´elle en venant claquer sur la rosette de l’anus et sur les fesses offertes.
- Attends! Ne bouge pas ! lui demandait-il.
- Oui, pénètre… plus loin… Ouchhh… Arnaldo, nonnnnn… Tu es trop gros! Oh, oui, c’est bon… Ohhh, mon Dieu!
Sa voix me sortait d’un rêve fou… Alors, elle le vit commencer lentement de longs va-et-vient, distendant la vulve, retirant son érection presque complètement et la repoussant puissamment dans l’étroit sexe. Puis le plaisir surgit, rapide, torride, et il s’en aperçut et accéléra le mouvement. Il entendait déjà les petits cris de plaisir et le long feulement d´elle lorsque le sperme giclerait en elle, et dégoulinerait le long de ses cuisses sous la puissante poussée de la verge… Le mec qui avait l’air de retenir son orgasme depuis un certain temps retirait doucement son sexe du vagin de la belle. Et elle jouirait, elle jouirait comme une folle.
- Ohh, Arnaldo, tu m’as rendue folle! J´adore ce que tu m’as fait !
- Mais d’où t’est tout à coup venu ce désir? Je ne jamais vu une femme jouir comme ça!
Huit
Avec un petit frisson, le mari arrêta la voiture devant la propriété. C´était véhicule luxueux noir. L’occupante d’une quarantaine d’années. Franchissant la porte du hall entrouverte, Mauricio pénétra dans la cuisine. Puis, sans plus aucune allusion à ce qui s’était déroulé la veille au soir, il tourna les talons, le guida vers la piscine.
C´était le dimanche, elle était à poil sur le transat à bord de la piscine quand son mari arrive. L’odeur de marée, le souffle du vent, la brise marine emplit la maison. Arnaldo la regardait avide. Il hypnotisé, se rendit soudain compte qu’il ne bandait même pas, par respect devant tant de beauté sans doute… Le pubis bien dessiné, garni de poils noirs soyeux se livrait à son regard. Entre ses cuisses, son sexe débordait. Les petites lèvres, assez brunes et plus longues que chez la majorité des filles se chiffonnaient à l’orée de la vulve. Le ventre plat se creusait par à-coup sous sa respiration saccadée. Un immense sentiment de tendresse envahit Arnaldo devant ce corps exposé, exhibé sans retenue. Son mari l’embrassait.
- Eh bien ma chérie! Tu es en forme ce soir. Quelle rapidité!
- C´est Arnaldo le responsable pour cela. Tu as vraiment envie de assistir il me baiser ce soir, mon petit mari, susurra-t-elle?
- Bien sûr, répliqua Mauricio. Tu es ravissante ce jour.
- Merci, tu n’es pas mal non plus!
- Peut-être, mais toi, tu es… Rayonnante ! Voilà le mot que je cherchats, rayonnante.
- Tu vas me faire rougir.
- Tu n’en seras que plus belle.
- Pourquoi tous ces compliments?
- Parce que tu les mérites amplement.
- Et vous, ça vous a plu?
- Bon Dieu que c’est bon de trouver mon épouse bien.
- Je ne dirai jamais assez à quel point tu es merveilleuse.
- Non, vous n’allez pas les applaudir quand même?
- Je t’aime.
- Bien sûr que ça m’a plu! Voir ma femme servir de vide-couille, c’est… Génial! C’est vraiment le mot ! Laissez-vous aller, de toute façon, vous êtes une adorable salope !
- M-moi?
- Oui, vous ! Vous êtes en train de baiser avec un autre homme que votre mari, et en plus, juste sous son nez ! Comment croyez-vous qu’on appelle les femmes qui font ça ? Répondez!
- Des… des salopes…
- Oui, des salopes. Et comment les appelle-t-on aussi?
- Des… putes… C’est justement le problème. J’ai l’impression d’être droguée au sexe. Oui, des putes. Et encore? Oui, tout ça. Et vous, vous êtes… Vous êtes quoi? Avec un mari cocu pédeé.. Veux-tu qu’il te prenne? Qu’elle est grosse et dure! Qu’elle est grosse! Qu’elle est belle, !a ajouté l´épouse, dans un souffle.
- C’est une drogue bien douce… Chérie, je… Je suis peut-être allé trop loin. Il n’y a pas de problème, j’ai aimé moi te voir te faire caresser par un mec! Tu sais que c’est mon fantasme de…
- Un cocu a bien droit à des compensations! Il est beau. Sa queue est une merveille. Si tu dis oui, je pourrai vous regarder. Réaliser un rêve. Te voir avec un homme. Dis oui, chéri.
- Je te sens bien triste, ma chérie. Un peu de nostalgie?
- Oui, un peu. Je ne sais pas pourquoi.
Son mari s’installe confortablement dans son coin de la piscine, il est indubitablement voyeur. Elle est devenue peu à peu perverse… Bonne épouse, comme toute femme elle avait ses désirs, ses fantasmes qu’elle ne livrait pas. Si elle tenait à lui, elle lui en aurait parlé, même à mots voilés, qu’il comprenne, qu’il devine. Arnaldo épiait maintenant chacun de ses gestes, essayant d’y voir un signe, une invitation. Un sentiment d’impuissance et de tristesse le submergea. Le mari pourrait observer comme un voyeur. « Un voyeur ». Elle s’agite de plus en plus autour de son amant, ses fesses claquent sur ses cuisses. Avec ses yeux mi-clos, sa bouche ouverte, ses joues rougies, son cou tendu, ses cheveux qui voltigent, ses seins qui s’agitent, elle est érotique en diable!
- Ohhh! mais c’est le paradis ici! s’exclama Arnaldo fasciné.
- Ça, mon chéri, c’est la stratégie féminine! Si tu veux passer de bonnes vacances avec nous, c’était nécessaire!
- Mauricio, tu connais Arnaldo, il est passé hier à l’improviste.
- Ravi, Mauricio de votre connaissence. Je suis un pro de la sécurité… Une sorte de Clint Eastwood des temps modernes !
- Dis, ma femme si tu as envie que quelqu’un va te baiser, tu es libre ce soir?
- Asseyez-vous lentement afin de bien sentir ma queue entrer en vous. C’est vous qui allez contrôler l’effet de mon dard en vous. C’est vous qui allez prendre votre plaisir en remuant dessus.
- Vous voulez que je…?
- Oui, à vous de prendre l’initiative. Vous aimez faire plaisir à votre mari, n’est-ce pas. Mais il s’agit aussi de vous faire plaisir. Conjuguons les deux. Dit Arnaldo.
- Dis, tu as envie que je lui regarde se faire prendre par mon amant, t’en as envie? Et si on diversifiait les rôles pour changer un peu? Je t’offre à mon amant. Qu’est-ce que tu en dis, chéri?
- Vous avez quoi comme idée? Elle me plaît ta grosse bite. Saute-moi, baise-moi et prends-moi comme tu voudras.
- Allez, retourne-toi maintenant, montre-nous ton petit cul , à mon amant, Ça m’excite terriblement de te voir comme ça, tout offerte, avec le cul bien ouvert devant mon baiseur, dit l´épouse.
Le ton est impérieux et je ne peux qu’obéir.
- Pas mal, c’est bien ferme tout ça, dit le mari en se fessant un peu plus fort pour tester la réactivité musculaire du postérieur, dit le mari qui veut être enculé.
- Oui, comme cela… Maintenant, écarte ton cul avec les mains. Montre-nous bien tout.
- Approche-toi de mon baiseur et mets-lui la queue dans la bouche de mon mari. Oui, oui! Vas-y, mon chéri, pompe-le!
Elle jette un coup d’œil à son mari, celui-ci lui fait signe de s’exécuter. Nu, Mauricio, le mari de Anelyse se dirigea vers le baiseur de sa femme à quatre pattes, Son visage n’est qu’à quelques centimètres de son sexe d’où coule le mélange de leurs plaisirs. Mauricio saisit sa queue et enfourna le gland dans sa bouche. La circonférence de l’engin lui créa au début quelques difficultés, mais il s’y habitua progressivement et finit par arriver à l’engloutir en bonne partie. Car l´épouse se régalait à observer son époux ainsi, la bouche pleine de la colonne de chair! Ses lèvres coulissaient autour du pieu planté dans sa bouche, la salive coulait, bavant sur son menton. Arnaldo observait, tétanisé. Sa main s’agita un peu plus sur la verge raidie de Arnaldo à en faire mal.
- Lèche-lui les couilles! Suce-le bien, mon amour, tu aimes ça, hein, les grosses queues! Ordonne Anelyse à ton époux.
- Qu’elle est bonne! Qu’elle est grosse!
- Ton époux peut bien jouer aux soumis. Montre à ton épouse comme ça te plaît de sucer son amant. Quel bon suceur, ton mari, chérie… Vise un peu comme il me pompe bien à fond!
- Défonce-le bien fort en levrette, chéri, dit-elle à son amant.
- Regarde-moi, Anelyse, il va m’enculer, tu verras sa verge s’agiter dans mon cul, me remplir…
Rapidement il positionna la tête de son gland devant l’anus de sa petite femme et se dressa sur ses jambes. Accroupi, elle avait une parfaite vision de la situation. Tant mieux! Le reste se déroula au ralenti, Elle vit le sphincter se refermer après le passage du gland, et suivit la progression de la moitié de la queue dans l’anus de son mari. Elle voyait la verge du mec progresser. L’anneau de chair devait l’étrangler et son époux relevait la tête la bouche de plus en plus ouverte. , Arnaldo la matait, nue, exposée, les yeux fixés sur son sexe. L´époux gémit de plaisir.
- Ohhh … Mon Dieu! C’est bon, … J’aime ta queue…
- J’adore voir la queue dans ton cul! C’est magnifique, dit l´épouse.
- C´est très bon... Non! Ne t’arrête pas! Tu n’as pas le droit de me laisser ainsi après ce que tu viens de faire! J’ai trop envie de jouir.
- Il te baise bien mon amour! Tu le sens!
- Oh oui encore!
- Vous êtes totalement fous tous les deux! Vous allez me faire mourir de plaisir! Cette fois je vais exploser, t’inonder! s’écria Arnaldo.
Elle s’imaginait vue de dos, l’anus ouvert. Plantée en plein milieu des fesses, une queue sortait, raide, dure, enfoncée à fond. Et c’est elle qui avait accepté la situation où elle se trouvait. Le baiseur observait le regard de Anelyse qui suivait les mouvements de la verge en lui, entrant, sortant, plissant et déplissant la barrière crispée de ses reins.
Il était trop tard pour dire non. Il avait déjà tout vu. La tige l’entubait, elle se sentait vaguement humilié, mais terriblement excité. Il sentait que l´enculeur allait jouir. L´amant de son épouse allait lui gicler son foutre dans le cul,
Mais Il a éjaculé dedans! Il sent le sperme, elle s’est en lui regardant! Et ce soir voilà que son mari a été sodomisé masturbé. Ainsi est enculé le mari par l’amant de son épouse. Mais qui s’en plaint? C’est bon. Le plaisir est intense, il faut absolument qu´il lui satisfasse.
- Ohhh, ton sperme, tu m’inondes… Tu m’as fait jouir par derrière, je n’avais jamais réussi comme maintenant. Mais… tu es gros…
- Et toi tu es bien étroite! M’en fous, je suis si bien en toi! J’ai joui comme une fou… Mon Dieu, je n’ai jamais vécu cela, dit Arnaldo.
- Ta bite est grosse. Tu es vraiment fou toi! Arnaldo serve à tous les deux. Il est parfait à nos désirs. Observa l´épouse.
- Je suis três satisfait. J’ai été prise d’une envie pressante. Une vraie. Elle est à toi, Arnaldo!
- Tu es un amour! Je crois vraiment que tu m´aime.
Anelyse porte une petite robe d’été très jolie, elle lui dit rapidement où se trouvent le café et le petit déjeuner puis file avec son amant. Elle étaitt une riche reine de beauté qui faisait part de l´elite du Rio de Janeiro.
C’était un soir de juillet, un de ces soirs où les repas s’éternisent dehors sur la terrasse. Le mari avait ramené quelques bouteilles d’un excellent champagne. Une tenue adaptée à la chaleur de la saison avec un brin de coquinerie. Elle avait sorti sa robe légère qui lui plaît tant, celle qui se boutonne ou se déboutonne complètement par-devant. Assise près de son amant, l´épouse a relevé sa robe courte en haut des cuisses. Elle a mis son soutien-gorge en dentelle blanche transparente qui tout en maintenant ses seins lourds, les laisse apparaître sous le délicat tissu. Et pour le bas, un classique string assorti au haut. Ses jambes croisées, immenses, dissimulaient le reste…
- Tu es belle et totalement impudique dit le mari.
- Tu veux maintenant diriger le jeu !
- T’as vu comme elle est heureuse? Demande l´amant d´elle.
- Oui, je vois ça, dit le mari.
- Alors tu t’es masturbé en pensant à moi? me dit-elle avec un petit sourire narquois.
- Oui, Madame.
- Arrête de m’appeler « madame » et regarde-moi. Regarde-moi et caresse-toi.
Depuis dimanche deux jours déjà sa vie a changé complètement. Finie la déprime, elle ne voit plus que le bon côté des choses. Elle avait l’impression d’avoir changé de planète: les couleurs sont plus vives, les gens qui m’ignoraient sont aimables avec elle; même les tâches les plus ingrates deviennent faciles à supporter. Le cocu de mari aussi est heureux. Heureux que sa femme soit heureuse, et il se sens lui-même heureux de contribuer à leur bonheur du soir. Tout le monde y trouve son compte. Physiquement, L´amant d´elle, Arnaldo, c’est le mari en un peu plus jeune, un peu plus large, un peu plus beau et un peu moins dégarni.
Là, elle se laisse offerte au regard d’un autre homme et semble apprécier. Anelyse sent que ses pulsions exhibitionnistes sont exacerbées ce soir, elle a envie de se montrer et rien que d’y penser l’excite profondément. L´époux reprend un peu de champagne et s’installe bien profondément dans son fauteuil comme voyeur. Un souffle chaud fait se balancer les branches tombantes du saule, créant ainsi une ambiance romantique qu’apprécie Anelyse. La brune osait alors déboutonner un peu plus le haut de as petite robe. Devant l’absence de réaction hostile, elle lui découvre complètement sa poitrine. Arnaldo, le amant n’en croyait pas ses yeux.
- Tu n’aimes pas? lui répondis-je en lui pinçant un peu les tétons.
Elle avait maintenant les seins libres, offerts au regard de son amant qui n’en perdait pas une miette. La robe a vite suivi. La main de Arnaldo allait et venait sur la bosse qui déformait son pantalon. Son excitation s’exacerbe, elle se sent en chaleur. Balayées ses ultimes barrières, elle veut de la bite, être prise comme une chienne et se faire sauvagement baiser. Quel délice de voir sa femme consentant à s’offrir ainsi devant le mari.
Neuf
Cette nuit - là, son amant l’a prise en levrette. Mais, à sa grande surprise, il en a profité pour l’administrer des claques bruyantes sur les fesses. C’était cinglant, et elle avait vivement protesté. Mais, profitant de sa force et de sa position dominante, il a continué à lui fesser. Étrangement, elle s´est rendu compte que cela stimulait son plaisir et que finalement c’était plus bruyant que vraiment douloureux. Ce fut à son tour de se contracter et d’éjaculer au plus profond de son sexe déclenchant le plus intense des orgasmes quí´il a jamais connus… Elle s’est affalée sur lui en arrière, reprenant son souffle. Du sperme lui coulait partout sur les jambes…
- À genoux. Pour toi, le moment est venu.
- Oui, baiseur. Inflige-moi ce qui est juste.
Le jeu se met en place. L´amant s´approche du mari et attrape sa tête par les cheveux, lui donne sa queue à bouffer, son gland déforme ses joues. Il fait la nettoyage avec sa langue. la caresse, sans vergogne, avec un plaisir non feint, qu’il lui caresse le sexe, mais un spectacle vivant, très vivant, et terriblement érotique: sous les yeux de son épouse, La queue, puis de net,
- Maintenant, c´est moi... Il m’a fait jouir comme jamais, ma chatte est fatiguée… suce-moi plutôt. Enfonce ta langue dans mon vagin, le plus loin que tu peux.
Il léche le sexe de son épouse pleine de foutre. La scène est torride et magique! Il l’a procuré un orgasme particulièrement intense cette nuit-là. C’était d’une sensualité torride.
- As-tu aimé?
- Quoi donc?
- Te faire baiser par mon amant…, As-tu aimé?
- Oh oui… Incomparable! Oh, mais que c’était bon! Je suis vraiment confus...
La belle Anelyse Bittencourt avait besoin d´une figure masculine. Son mari pas de temps à elle. Arnaldo avait là vécu les mêmes épreuves qu´elle. Il était toujours avec elle. La nuit suivante...
Seul dans son lit, Arnaldo en proie à une tempête de sentiments divers. La jalousie, certes, mais aussi le désir exigeant, impérieux et pervers qui entretient son érection. Comment a-t-il pu pas rejoindre le mari et l´épouse dans son lit? Et son érection qui ne faiblit pas. Que doit-il faire? Aller dans la chambre de couple? Mon imagination galope. Comme un somnambule, il se lève et entre dans le salon. Son érection est encore plus douloureuse… Quelle injustice!
Alors, il allait vers la chambre, entrouvre la porte et aperçoit la scène érotique. Il s´approche silencieusement, elle était complètement nue. il faut en profiter… Il monte sur le lit et, sans rien dire. Dans la chambre du couple est sombre, noir. Il allait se réfugier dans la chambre conjugale. Il lui sourit, dépose un baiser délicat sur ses lèvres, puis prends sa main pour la poser sur ses seins. Il s´embrent à pleine bouche, les mains d´amant parcourent la géographie de son corps, en effleurent les monts et en fouillent les ravins, traînent sur son clitoris, en provoquant force gémissements et autres feulements. Anelyse à s’allonger sur le dos et écarter ses cuisses pour diriger sa bite dressée, bien raide vers l’entrée de son con et l’empale. Il sent sa chatte se resserrer sur sa queue. Elle sentit la bite écarteler ses chairs. Il montant et descendant en rythme pour mieux plonger sa queue au fond du ventre de la femme, ce qu’elle semble fort apprécier, si l’on en croit ses cris. Le mari est révéillé et se masturbe Il entend le bruit… on dirait des plaintes, des gémissements… des gémissements de femme… de femme qui baise! Les gémissements se font plus intenses, deviennent des petits cris, qui commencent à l’échauffer. Pendant que il défonce vigoureusement la femme, de plus en plus fort, de plus en plus rapidement. Le mari contemple le visage de son épouse, son sourire crispé par le plaisir, qui crie de plus en plus fort… L´amant jouit juste après en elle; Le mari vit bien son foutre gicler de la chatte de son épouse, jaillir sur notre couvre-lit…
- Baise-moi, moi aussi… Tu devras être un peu patient, Alors qu´il est plat ventre pour être enculé.
Son mari est une pute que son amant encule sans retenue.
Son mari est une salope qui n’a plus aucune pudeur, aucune honte. Son époux crie que son amant est gros, est fort, qu’il lui fait du bien, que son cul est à lui. L´épouse était sûre qu’il a aimé. Elle avait réalisé son fantasme de le voir prise par un autre. La soirée va être chaude, très chaude.
- As-tu aimé mon amour? As-tu aimé voir un autre me prendre comme nous l’imaginons parfois tous les deux? J’espère que tu as apprécié. À tout à l’heure, je t’aime.
Dans l´après midi de jour suivant.
- Tu m’as encore acheté une nouvelle robe rouge de grife? demande sa femme alors qu’elle découvre sur notre lit la robe noire l´étiquette d´un styliste célébre et toute simple qu´il a déposé.
- Je ne compte plus les robes, chemisiers, lingerie, collants, etc. que je lui offre régulièrement. Généralement ces cadeaux sont l’expression de ses envies de la voir se montrer pour son plus grand plaisir.
Elle l’essaye, la glissant directement sur la peau. La construction irrégulière au crochet délimite des zones où la peau est nettement visible.
C’est l’été et le beau temps est de la partie. Maîtresse sort de la chambre vêtue d’une robe similaire à celle de Mireille Darc dans Le grand brune avec une chaussure noire, si ce n’est que le décolleté dans le dos est encore plus profond et que le buste est couvert par une dentelle qui laisse voir ses seins. Sur le devant, une grande fente monte jusqu’au nombril, dévoilant le sexe nu et lisse de Maîtresse lorsqu’elle marche ou s’assied. La belle Anelyse porte un pantalon dégageant les fesses et le sexe. Il est complété par une poche qui englobe ses couilles, tenue par un cordon qui se balance contre ses fesses à chaque pas et qui ne cache pas le rosebud enfoncé entre ses fesses. Maîtresse la fait enfiler un gilet court en cuir souple. Sans avoir les cuisses écartées, seule l’ombre de la robe empêchait de voir son intimité.
- Je vois que tu es prête. Tu es magnifique dans cette nouvelle robe. Elle te va à ravir. Je vois que tout est prête, dit-il. Tu es une vraie fée.
Cela l’amuse beaucoup au début pendant l’apéro. La femme, briève adultère cette nuit, mais pour la bonne cause, se transforme en perverse. Elle avait peut-être tort. Elle se verrait bien avec une queue en bouche. Celle de son amant, pourquoi pas! Mais ce sera pour plus tard. Rien que d’imaginer son mari suçant son amant, lui fait ruisseler.
Rien que de penser à Arnaldo glissant sa queue dans le cul de son époux la fait frissonner. Cochonne. Salope. Perverse. Pute. Oh que c’est bon de se lâcher.
- Je vais te faire plaisir ce soir, mon chéri… Ouvre bien les yeux.
- J’ai l’impression d’être une adolescente qui se fait draguer par un petit jeune, dit Arnaldo l´amant de son épouse.
- Ça peut peut-être s’arranger, dit le mari. Vous savez nous sommes, Anelyse et moi, depuis peu un couple très ouvert où chacun est libre. Tu es content, je vois. J’ai tenu ma promesse!
- J’espère que tu vas jouir un maximum, mon chéri. Ne t’inquiète pas, je suis entre de bonnes mains. Admire comment mon amant est bien monté. Dis-moi tout ce qui se passe dans ta tête.
- Je sais et je vous en suis reconnaissante, mais c’était si inhabituel, si improbable que je voulais vous demander. De garder le secret. Oui! De ne jamais rien dire à personne, même sous la menace. Oui!
- Bien sûr, vous me connaissez maintenant.
La chaleur, La musique de Serge Gainsbourg, l’alcool font leur effet. Anelyse est super excitée. Elle caresse la verge qui grandit et palpite. Elle est douce. Le gland est libéré de sa gaine.
Elle ne peut pas la voir, mais elle en découvre la diversité. La hampe longue et même les bourses. Sa femme branle doucement son amant.
- Va, mon chéri, baise-la bien. Il faut qu’elle se souvienne toute sa vie de son passage ici. Oui ! Profond. Fais-la jouir, mais retiens-toi, après je veux que tu la reprennes comme une cochonne, une salope emportée par son plaisir.
Il est si raide et je suis encore si humide qu´il la pénètre sans difficulté. Sa queue palpite dans son vagin. Il est gros. Il est long. Ses fesses trouvent ses hanches. Elle se penche vers lui. Elle ondule du ventre pour le masser de l’intérieur. Sa main enserre sa tête, mais c’est pour se rapprocher. Ses lèvres découvrent les siennes. Sa langue bataille avec sa langue. Elle dois sentir le foutre, mais cela ne lui déplaît pas. Mais elle se redresse. Elle veut se prendre sur lui. Elle s’active. Il lui caresse la poitrine. Oh, que Anelyse voudrait pouvoir crier son plaisir. Tout son corps doit resplendir.
- Ohhhhh. Je suis remplie. Remplie par gros bâtons de chair.
Anelyse doit devenir une femme dépravée, car cela lui plaît. Savoir que son mari prend son pied avec son amant qu’il s’en doute est presque une jouissance. C’est ridicule. Pourquoi ne pas…
- Tu m’as fait vivre un moment d’une intensité rare, j’accepterais avec plaisir de partager mon amant avec toi, mon amour. dit l´épouse.
- Mon amour, je t’aime, plus que ma vie. Mais cette expérience nous a transformés, nous devons en tenir compte.
Toujours dans les bras du amant, Elle s’adresse à son mari en se tournant un regard mutin.
Déjà, il a hâte d’être à ce soir de découvrir les turpitudes de nouvel amant avec son épouse. La journée va être longue, très, très longue.
Le soir tombait doucement sur un Búzios écrasé de chaleur. L’air était desséché comme le vagin d’une grand-mère et l’atmosphère devenait de plus en plus irrespirable. Mauricio Valle, mari de Anelyse Bittencourt arrivait d´une voyage d´affaires à New York City et allait directement à Búzios.
Anelyse allumait son téléphone, trois messages m’y attendaient…, Les trois de son mari.
- J’ai passé une magnifique soirée, tu me manques déjà!
- J’ai besoin de toi, Anelyse, réponds-moi s’il te plaît!
- Quand pourrais-je te revoir? Je t’aime!
- Je suis au aéroport du Galeão. J´arrive,
Trois heures plus tard. Il arrête sa Volvo noire devant la maison. Quand Il arrive, la porte était entrouverte. Il est entré et il est appelé Anelyse et Arnaldo son amant. Dans s´avançant dans la maison il s´approche de la chambre et découvre une scène de crimes terrifante. La reine de la beauté et son amant Arnaldo ont tous les deux sauvagement assassinés. Il y avait sang partout dans la chambre. L´épouse du milliardaire avait été abattue pas balles apparement s´agissait de l´oeuvre des tuers à gages. De nombreuses rumeurs courraient quant aux motivations exctes bien que la victime soit souvent le motifs de conversations. Les raisons sont bien differents cette fois. Elle se retrouvait mêlé à trois enquêts pour meurtres.
- Ah mon Dieu!
Par le mari, c´était horrible. Mort depuis peu, pas encore de rigidité cadavérique… Et en face de lui. Il soupçonnait du chef du trafic de drogue de la favela de la Rocinha. Lá, avait se fini un mariage heureux de cinq ans.
Son épouse avait les mains attachés dans dos avec des rallones électriques et une courroie comme Miles été partiellement nuit. La police a conclu qu´elle avait dû victime d´agressions sexuelles.
- C’est ma femme… Je connais ma femme Elle est morte, assassinée. J’aimerais que vous trouviez les coupables.
- Les victimes ont été attaqués probablement pas de vagabonds ou peut-être des clans. C´est chose de professionnel. Nous allons retrouves par vous, qui est l´autre? Demande le policier.
- L´amant et garde dos d´elle. Oui, je suis mari cocu, mais je découvre que j’adore ça!
- Il me faut un début, une piste, dit l´autre.
- Nous devrions peut-être jouer le jeu.
- Comment ça?
Dix
- J’ai mis au point un plan. Trouver le substitute de Igor Stamp dans le trafic de drogue de la favela da Rocinha. C´est lui le responsable purs ces meurtres.
- C´est bonne l´idée. Mais pourquoi il faisait tout ça?
- Anelyse était une vicieuse en cocaïne. Elle avait tué Igor en Angra dos Reis. Elle avait enpeché le vol contre elle tuant deux trafiquants de drogue.
- Alors, c´est une vengeance.
- Encore une victime du système actuel… Le trafic de drogue domine le pays. C’est follement romantique et épouvante, tout cela, l’amour et la mort, l’amour dans la mort. Ces seins, je vais en faire des œuvres d’arts que l’on exposera ensuite dans un musée! Dit Le mari.
- Vous avez un admirable sens de l’humour, dit l´enquêteur.
L´entrepreneur était um peu arrogant et cela se voyait dans sa façon de se comporter. Il avait un l´air intrépide.
Les enquêteurs passent la chambre au peigne fin à recherche d´indices. Ils avaient été executés d´une balle derrière la tetê. Ils ont découvrit que l´arme du crime était un revolver de calibre 38. L´arme usée en executions pour les chefs de trafic de drogue. Il n´y avait ni ADN, ni enpreinte digitale et ni d´autres índices matérials. Ils esperaient vraiment pouvoir identifiés, les armes qui avait été utilisé pour commetre ces meurtres. Elle était visiblement comme une femme qui abusait des drogues.
Pour les policiers le meurtres de sang froide c´était un régler de comptes des trafiquants de drogue. Une chose qu´avait attiré l´attention des enquêteurs c´est la vitre cassé l´arrière de la maison. Ils avaient supposé que les tueurs s´étaient s´introduit dans la maison etavait entendu Anelyse et Arnaldo. Ce qu´ils avaient du les permetre de les prendre par surprise. Plus terrifiant encore visiblement c´était elle, la proie des tueurs. Il fut mort pour brûle d´arquive. Ils ne savaient qu´il était un policier militar mais ils savaient exactement ce qu´ils faisaient. La belle femme était três probablement la cible des meurtriers. Ça semblait être une drôle de coïncidence. C´était elle la proie des tuers. Les gens de Búzios étaient sous le choc face à ce double meurtre. La Police Militaire était entière en deuil.
L´un des témoins dit avoit vu deux motards en motos puissantes qui seraient garés devant la maison de Anelyse. La mera vait registrés l´un des bandits que tiré une balle sur la tetê du policier militaire. Puis des meurtres au retourner à se motos avant de repartir. Tour les deux étaient habillés de noir. Ils portaient des casques à visière teintée. Les assassinats avaient été commus avec prémeditation. Face à une affaire complique les policiers allaient jusque imagens de videos surveillance que revelait tout que s´était passé, pas de doutes. Les tueurs étaient à service du trafic de drogue,
Il faisait tout pour elle. Ils devienent inséparable. Arnaldo et Anelyse étaient ensemble à trois mois. La relation à trois se consacré avec la permition du mari de lui faire compagnie à son épouse. Content de la satisfaire, de lui donner l’un de ces instants charnels qu’elle recherchait, de combler le vide d’amour habitant sa demeure… Le policier Arnaldo savait du risque d´accompagner une femme qui était marqué par mourir.
- Il y a quatre suspects!
- Selon la police
- J’aimerais lui parler, dit un voisin.
- Ah bon ? Alors asseyez-vous. Où étiez-vous le jour des morts?*
- Ici, chez moi. Je n’ai pas bougé de la journée.
La témoin avait affirmé... Il faisait déjà presque nuit qu´ils étaient arrivés armés de AK-47 armes de guerre. Et ils avaient entrés dans la residence. Ils furent registre par des caméras de surveillance. Quand elle avait ouvri la porte le bandit l´attrapé et il l´a immediatement jetés au sol, Il y avait un autre type cagoulé dans un angle au salon près du lampadaire. Ensuite Arnaldo avait éte dominé par autre bandit. Elle était terrifiée, terrorisée, elle avait tellement peur. La brune a pense...” Est-ce qu´il vont me tuer?” Elle se demandait ce qu´elle pourait faire pour sorti de cette situation. Ça s´est passé à la fois extrêmement vite ça. et extrêmement lente. Ses mains attachées sur dos il ils les menent sur le lit dans la chambre.
- Qui est tu?
- Le fantôme de Noel.
- Quand nous y arrivons vous parlez avec quelqu´un. Tu appelais à ton mari?
- Non.
- Qui est l´autre?
- C´est mon amant et garde de dos.
- Tu es une pute. Tu te fais sauter des qu´il avait le dos tourné?
- Qu´est-ce que tu as à voir avec ça?
- Tu vas voir.
- Tu vas pourrir ta vie pour ça, Non... Elle pleura,
Tour les images avaient été gravés sur les caméras de surveillance.
Les 4 bandits faisaient sexe avec elle avant de la tuer. Elle avait reste sous la torture qu´il voulaient l´argent d´elle, La victime avait les doigts écrasés pour tenaille. C´était l’incarnation de la perversité en personne. Comme l’aurait fait Tarantino dans ses films d´horreurs, Le policer était comme Charles Bronson dans « la grande évasion », il creusait un tunnel du temps en elle vers une liberté sensuelle et sensorielle, vers une terre promise où les fleuves charrieraient le plaisir charnel. Mais tout cela, c’est une autre histoire… Le chef du trafic de drogue de la Rocinha était le principal suspect. Les investigations a montré que trois leaders du trafic, de la máfia avaient été assassinés pour l´avocate Anelyse Bittencourt. La Police avait trouvé un mape d´invasion de la Rocinha. Elle organisait une mission d´attaque avec l´aide des milicies (ex-policiers) avec Arnaldo para assassiner le chef actuel Reynaldo Medeiros. Il vait cherché la Police à demander garanti e de vie, mais il jamais arrivé à centrale d´homicides. La prense avait dénoncé à l´époque que la mort de Reynaldo Medeiros avait couté au puissant entreprenneur d´acier 100.000 dollars. À partir de ça, Mauricio Valle l´ennemi n° 1 des trafiquants de drogue. Sera que la sardine allait avaler un requin? L´histoire doit suivre.
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Fin
Ivan Ribeiro Lagos
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