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Julie et Moi 2
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Femmes coquines et infidèles près de chez vous :
J'avais eu du mal à attendre le mercredi.
Julie m'avait fixé rendez-vous chez elle en début d'après-midi, cette fois. Seules 72 heures me séparaient de ce moment, mais il m'était difficile de penser à autre chose qu'à son petit cul. J'avais toujours eu envie de la sodomiser (entre autres choses...) mais, à l'époque, elle jouait les difficiles et ne m'avait jamais accordé cette faveur. Une forme de pudeur qui m'avait causé un peu de souci à l'époque, d'autant plus qu'elle se manifestait également dans d'autres domaines, comme sa vêture plutôt sage. N'allez pas croire qu'elle n'aimait pas le sexe, non. Elle pouvait même être assez excitante au lit, mais, par exemple, elle ne parlait jamais quand nous faisions l'amour et ne demandait jamais rien ou presque. Moi qui rêvait de l'entendre me demander de lui enfoncer ma grosse bite dans son anus.
J'étais passé tout près d'y arriver une fois. Un soir, il était tard, nous revenions de je ne sais pas trop où dans sa voiture. J'avais une main posée sur sa cuisse pendant qu'elle conduisait et je voyais bien qu'elle avait du mal à garder ses pieds convenablement posés sur ses pédales. Elle arrêta la voiture dans une petite rue, au-dessus d'un escalier, vestige de vieux remparts. Nous avions fait l'amour là, dans sa voiture. Je pense qu'elle était sûre que personne ne pourrait nous surprendre, cette rue étant déserte à une heure pareille. J'avais essayé de lui mettre un doigt dans l'anus pendant que je la baisais. Elle n'avait pas réagi et j'étais presqu'arrivé à lui enfoncer quand elle se retourna brusquement. Non qu"elle était fachée, mais elle venait de jouir et cherchait à s'empêcher de crier en plaquant sa bouche contre la mienne.
Peut-être se serait-elle laissé faire ce jour-là ? Toujours est-il que cela n'arriva pas. Mauvais timing...
Autant dire que, dans l'attente de retourner la voir, son cul m'obsédait continuellement. Je l'imaginais sans cesse se faisant prendre dans toutes les positions, par ma queue, bien sûr, mais aussi par toutes sortes d'autres choses, dont les bougies que je lui avais allégrémenr fait enfiler, et même par d'autres bites que la mienne. J'avais la queue perpétuellement érigée et je devais sans cesse me retenir de ne pas me branler en pensant à tout ce que je lui ferais une fois que je la reverrai. Non pas que je déteste me branler, loin de là, mais j'avais envie de sauver un maximum de sperme pour son joli visage.
Finalement, le mercredi arriva et je sonnais à sa porte.
Je l'entendis crier : "C'est ouvert ! Rentre." et passais donc son seuil.
Je montais les escaliers, à gauche après l'entrée, et arrivais dans son salon. Elle était gentiment assise dans un divan, m'attendant visiblement. Elle était complètement nue, les rideaux grands ouverts.
- "Je t'attendais impatiemment.", me dit-elle. "Ca fait deux heures que je suis à poil. Je crois qu'un ou deux mecs m'ont vue. J'espère que ça leur aura donné des idées."
Quelle entrée en matière ! En deux secondes, ma bite, pourtant déjà bien excitée, avait atteint des proportions gigantesques. Je la regardais quelques instants, de haut en bas. Ses pieds nus, ses longues jambes pâles, sa petite chatte récemment rasée, son piercing au nombril (le seul qu'elle portait quand nous sortions ensemble), les deux autres piercings plus récents qu'elle s'était fait poser aux têtons, ses seins, menus mais lourds, son beau visage. Tout en elle me donnait envie de la prendre sauvagement.
- "Assieds-toi," fit-elle en tapotant un des coussins du canapé.
Je m'assis à côté d'elle et lui demandait si elle allait bien, comme si tout était normal.
- "A part que tu ne m'as pas dit bonjour, oui."
Je souris.
- "Bonjour Julie.", dis-je en m'avançant pour lui faire la bise.
Elle ne me laissa pas le temps de déposer un baiser sur sa joue et colla sa bouche contre la mienne, enfonçant sa langue à l'intérieur. Un long baiser, sauvage et puissant, qui la laissa un instant pantelante.
- "J'avais envie.", me dit-elle. "Ca fait trop longtemps que j'attends et j'avais vraiment fort envie." Elle passa sa main sur l'entrejambe de mon pantalon. "Je vois que je t'ai manqué. Je vois que ta petite pute t'a manqué et que ta grosse bite à déjà envie de la défoncer. Je vois que ta queue est déjà toute dure. Tu as envie de la mettre dans ma petite chatte ? Ou dans ma bouche ? Je te la sucerai à fond, tu sais, comme la bonne petite salope soumise que je suis. Je ferais tout ce que tu voudras. Tu pourras me prendre mon petit cul aussi. J'en ai envie, de ta grosse queue dans mon cul, le plus profond que tu peux. J'ai envie de me faire enculer à fond aujourd'hui. J'ai envie qu'on se fasse un bon porno tous les deux et que tu me fasses jouir comme une chienne."
- "Mmmmh," grommellais-je. "C'est de ça que tu as envie, petite pute ?"
- "Oui," me répondit-elle. "Je veux être une grosse salope, je veux être ta grosse salope. Dis-moi ce que tu veux que je fasse et je le ferai. N'aie pas peur d'être cochon, c'est ce dont j'ai envie."
- "Bouge pas.", lui dis-je.
Je descendis jusqu'à sa chambre, bien décidé à y trouver quelques accessoires pour pimenter ses envies.
Je trouvais rapidement une paire de bottines brunes, s'arrêtant en haut du mollet et que je savais lui aller à ravir, et un petit foulard assorti. Décidant de lui trouver au moins une pièce de lingerie, je fouillais un de ses tiroirs et y trouvais rapidement ce que je cherchais. Une petite culotte blanche, très fine et délicate, un petit machin de rien du tout qui révèlerait plus sa chatte qu'il ne le cacherait. Puis, je remontai.
Julie avait eu du mal à m'attendre. Elle était toujours dans le divan, mais ses jambes étaient largement écartées et elle se caressait le clitoris avec un index. Je lui dis de s'habiller et lui tendis les petites pièces de vêtement que j'avais ramené. Elle passa une langue rouge sur ses lèvres et s'exécuta.
- "Tu es vraiment une belle salope.", dis-je une fois qu'elle eut revêtu ses accessoires.
- "Oui. Tu n'imagines même pas comme je peux être pute. Tu n'as pas la moindre idée de la grosse cochonne que je suis. J'ai tout le temps envie de me faire défoncer comme la dernières des catins. Ma chatte est toute mouillée en permanence, toujours prête à jouir, toujours prête à accueillir une grosse bite bien dure. Et mon cul me démange tout le temps. J'ai perpétuellement envie d'y mettre des choses. Ce matin, j'ai dû me branler deux fois tellement j'étais excitée parce que tu venais, tellement je savais que tu allais me faire faire des cochonneries."
- "Tu t'es branlée en m'attendant ?", minaudais-je. "J'aurais été curieux de voir ça."
Elle me regarda avec son meilleur air de pute.
- "Tu veux que je te montre ?", dit-elle. Elle se coucha par terre et écarta largement les jambes.
- "J'ai commencé par me caresser les lèvres à travers ma petite culotte, comme ça.", commenta-t-elle en joignant le geste à la parole. "Puis, j'ai doucement écarté ma petite culotte, pour pouvoir atteindre mon clito. Et je l'ai branlé avec ces deux doigts." Elle me montra l'index et le majeur de sa main droite, qu'elle fit descendre jusqu'à son entrecuisses, pour pouvoir se masturber devant mes yeux excités. "Puis, j'ai glissé deux autres doigts dedans, comme ça, le plus profond que je pouvais. Je n'étais pas ici, sinon j'aurais pris quelque chose pour remplacer mes doigts, mais c'était bon quand même."
- "Et tu étais où comme ça ?"
- "Dans ma voiture. J'étais garée devant une banque en ville, mais personne n'est passé."
Elle me sourit d'un air particulièrement vicieux et plongea deux doigts de sa main gauche dans sa chatte. Avec les deux autres, cela lui en faisait maintenant quatre et elle continuait à écarter au maximum ses grandes lèvres, tout en branlant son petit clito entre ses deux pouces maintenant suffisamment rapprochés.
- "Non, personne n'est passé.", souffla-t-elle. "Dommage !"
Ces mots m'excitèrent trop. Je me défis de mon pantalon et commençait à faire aller et venir ma main sur ma bite en la regardant faire et en l'écoutant tenir un langage de vraie salope. Un langage qu'elle n'aurait jamais utilisé auparavant mais qui maintenant ne semblait avoir d'autre effet sur elle que de la rendre encore plus chaude et prête à tout.
Il était temps de faire quelque chose qui la rendrait vraiment totalement salope maintenant et je me dirigeais vers le bureau où je savais qu'elle rangeait ses bougies, ses belles et longues bougies qu'elle s'était enfoncée dans le cul l'autre jour. Dieu du ciel, comme j'étais excité. Comme j'étais content que la sage Julie soit devenue une telle pute, cochonne, avide d'expérience et désireuse de se soumettre à la moindre de mes idées perverses.
- "Enfin !", souffla-t-elle en me voyant faire. "J'ai crû que tu ne déciderais jamais."
J'ouvris le tiroir et sortis la boîte à bougies. Elles étaient toujours en place, mais il y avait une nouveauté extrêmement intèressante dans cette boîte. Une nouveauté très excitante que Julie (qui avait par là un peu pris la main dans notre jeu) avait gardé en réserve. Une surprise qui faillit bien me faire jouir tout de suite, là, sur le bureau.
Je me tournais vers elle et la regardait concupiscemment.
- "Mets-toi à quatre pattes.", dis-je.
Elle obéit.
- "Viens jusqu'ici maintenant."
Elle avança, sur ses genous et sur ses mains. Son foulard touchait le sol et ses belles bottines râclaient les lattes du parquet. Elle mit une éternité pour me rejoindre, c'est du moins ce qu'il me sembla. Pendant tout le temps qu'elle avançait, elle ne cessa de tortiller son beau cul et de se lècher les lèvres avec appètit.
Arrivée devant moi, je lui tirais la tête en arrière et fourrais ma queue dans sa bouche. Elle me suça quelques instants, conscienseument. Mais, tout comme moi, elle savait que ce n'est pas ma bite que j'avais envie de la voir sucer.
Je sortis donc ce que j'avais trouvé dans sa boîte à bougies.
C'était un gode, de belles proportions. De couleur chair, avec un gland bien marqué et des veines apparentes, il faisait environ 22 centimètres de long et entre quatre et cinq centimètres de diamètre. Il n'y avait pas de ventouse à sa base, mais celle-ci était tellement large que l'objet devait pouvoir tenit debout sans aucune aide.
Je lui fourrai rapidement entre ses belles lèvres de branleuse et elle l'avala avec application, faisant rentrer une quantité impressionante de l'objet à l'intérieur de sa bouche. Elle salivait puissament et de petits filets de bave coulaient de son menton jusqu'au sol où ils formaient une petite mare. Je fis aller et venir l'objet, comme si elle faisait une pipe à une vraie bite. Ses yeux roulaient dans tous les sens, mais elle garda le gode dans sa bouche. Sa salive dégoulinait partout maintenant; le sol en était couvert, tout comme ses lèvres et son menton, et le foulard qu'elle avait autour du cou paraissait bien humide lui aussi.
Je déposais alors le gode debout sur le parquet, bien droit sur sa base. Comme prévu, il ne vacilla pas.
- "Continue à le sucer.", lui dis-je. "Ne t'arrête pas."
Elle garda l'objet en bouche tandis que je retournais dans sa chambre. J'avais reperé un peignoir qui convenait à mes intentions. Je ne pris pas le peignoir lui-même, non, juste la ceinture qui le fermait.
Une fois remonté, je constatais que Julie n'avait pas arrêté de sucer le gros gode. Elle était à quatre pattes devant lui, la tête empalée sur cette grosse tige de plastique de vingt-deux centimètres. Enfin, je dis à quatre pattes, mais, en réalité, ce serait plutôt à trois, une de ses mains étant occupée à aller et venir entre ses jambes, frottant avec vigueur sa fente qui, elle aussi, dégoulinait.
Je la reculai un peu, pour qu'elle puisse lècher le gode au lieu de l'avaler. Elle le fit avec plaisir mais j'attrapai ses deux bras et lui attachai les mains derrière le dos, la forçant à poser sa tête sur le sol. Ses cheveux et son foulard trainaient maintenant dans la salive et s'en imprégnaient, mais cela ne l'empêcha pas de continuer à flatter de la langue le bel engin. Je la contemplais un instant dans cette position, m'émerveillait du magnifique air de salope qu'avait maintenant ma prude et timide Julie. Puis je me mis derrière elle, la redressai légèrement afin de la mettre dans la bonne position et lui déchirai sa petite culotte blanche.
Elle poussa un gémissement de plaisir et d'anticipation. Je lui caressai les fesses quelques instants avant de les écarter. Son anus était aussi ouvert que sa chatte et ne semblait demander qu'à être rempli. J'approchai ma bite de son cul et la frottai contre son petit trou. Elle n'arrêtai pas de remuer au rythme de mes mouvements et, rapidement, après quelques coups de rein, je fus à l'intérieur de son petit cul. Je me mis à aller et venir lentement, profitant de chaque instant de cette sodomie et enfonçant toujours un peu plus profondément ma queue. Elle n'arrêta pas de lècher le godemiché durant tout ce temps, mais finit par devoir arrêter, quand je me mis aller plus rapidement dans son petit cul. Je sentais les parois de celui-ci se contracter autour de ma bite et compris qu'elle allait partir. Je réussis à me contenir suffisament pour la faire jouis trois ou quatre fois. Elle n'arrêtait pas de profèrer des obscénités, de tenir un disours de cochonne que je n'avais jamais espèré l'entendre tenir auparavant..
- "Vas-y encule-moi à fond. démonte-moi le cul comme la bonne pute que je suis. Une bonne pute qui aime avoir une bite bien dure dans son cul, qui jouit quand on la sodomise, comme la dernière des trainées. Je veux que tu me défonces l'anus toute la journée, je veux sentir ta queue me remplir à l'intérieur. De la sentir comme ça, ça m'excite à fond, ça me donne envie de faire encore plus de saletés, d'être encore plus pute que je ne le suis. Je suis une salope qui aime avoir des choses dans le cul, n'importe quoi, tant que ce soit gros et dur. Oh, j'adore me faire enculer. Plus vite, je veux la sentir encore plus profond. J'aime ça..."
J'aurais voulu ne jamais m'arrêter de faire aller et venir ma bite à l'intérieur de son petit trou béant, mais, à force de la ramoner et de l'entendre dire des cochonneries, je sentis que j'allais jouir. Je me retirai rapidement et attendis un instant, regardant ma belle perverse de Julie, ses cheveux et son foulard trempés, sa petite culotte déchirée autour de sa taille, ses jolies bottines brunes aux pieds, reprendre son souffle. Je la fis mettre à genoux, devant ma bite et, après quelques brefs mouvements sur celle-ci, éjaculai.
J'avais bien fait de me réserver pour elle car ce fût une véritable marée qui inonda son visage. Je n'arrêtai pas de jouir, en jets de plus en plus longs et forts, me semblait-il. Le premier la toucha à la joue gauche, formant une trainée de foutre blanc qui allait de la pointe de ses lèvres au lobe de l'oreille, qui était maintenant recouvert de sperme. Son nez et sa lèvre supérieure furent inondés ensuite par une nouvelle giclée. Le sperme dégoulinait de la racine de son nez et finit par aboutir à l'intérieur de sa bouche qu'elle avait gardée entrouverte. La suivante atteignit une de ses paupières et son front, qu'elle zébra de quelques trainées. Quelques gouttes éparses touchèrent aussi ses pomettes et ses cheveux, où elle se mélangèrent à la salive. Le jet suivant fut le plus impressionnant : en un instant, sa joue droite, depuis sa pomette jusqu'à sa mâchoire fut recouverte d'une belle pâte blanche qui se mit immédiatement à dégouliner de son menton et à tomber sur ses seins piercés. Elle était magnifique, la prude Julie, elle était comme elle aurait toujours dû être. Les dernières quelques gouttes qui me restaient finirent dans sa bouche, qu'elle avait fini par ouvrir tout grand. Elle les avala et me regarda, satisfaite et heureuse.
Je décidai alors de mettre la dernière touche à cette séance et d'utiliser le dernier accessoire dont j'avais envie de me servir aujourd'hui.
- "Retourne sucer ce gode.", lui dis-je.
Elle s'exécuta et je me dirigeai vers une étagère. Dessus, il y avait une caméra vidéo que je mis en marche. Je filmai quelques minutes Julie, à quatre pattes, les mains attachées derrière le dos, le visage dégoulinant d'un sperme qui formait de grandes trainées entre sa bouche et le sol, la culotte déchirée, en train de sucer ce godemiché. J'avais du mal à l'imaginer plus salope que ça, et ça me plaisait de la voir ainsi.
Et, manifestement, ça lui plaisait aussi. Elle suça le gode avec application, sans quitter la caméra des yeux. Ses yeux pétillaient de plaisir et elle avait l'air plus prête-à-tout que jamais. Cela ne manqua pas de m'exciter et je sentis ma queue se regonfler instantanément. Je continuai à la filmer d'une main, tout en me branlant de l'autre, et je ne tardai pas à jouir une deuxième fois. J'avais laissé une bonne partie de mes réserves dans la première faciale, mais je lui laissai encore quelques trainées supplémentaires et fraîches sur sa pomette et sa joue gauches. Je n'oubliai pas de la filmer pendant tout ce temps et ne m'arrêtai que quand le gode finit par tomber.
La séquence vidéo dure un bon quart d'heure. Souvent, je la regarde tout seul et à chaque fois, ma verge ne manque pas de se durcir et il faut que je me branle en regardant Julie, ma salope de Julie, exécuter toutes ces cochonneries bien crades devant la caméra. Un de ces quatre, il faudra que je lui demande de venir la mater chez moi. Je suis sûr que ce sera le prélude idéal pour une soirée passionnante.
(à suivre)
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Julie m'avait fixé rendez-vous chez elle en début d'après-midi, cette fois. Seules 72 heures me séparaient de ce moment, mais il m'était difficile de penser à autre chose qu'à son petit cul. J'avais toujours eu envie de la sodomiser (entre autres choses...) mais, à l'époque, elle jouait les difficiles et ne m'avait jamais accordé cette faveur. Une forme de pudeur qui m'avait causé un peu de souci à l'époque, d'autant plus qu'elle se manifestait également dans d'autres domaines, comme sa vêture plutôt sage. N'allez pas croire qu'elle n'aimait pas le sexe, non. Elle pouvait même être assez excitante au lit, mais, par exemple, elle ne parlait jamais quand nous faisions l'amour et ne demandait jamais rien ou presque. Moi qui rêvait de l'entendre me demander de lui enfoncer ma grosse bite dans son anus.
J'étais passé tout près d'y arriver une fois. Un soir, il était tard, nous revenions de je ne sais pas trop où dans sa voiture. J'avais une main posée sur sa cuisse pendant qu'elle conduisait et je voyais bien qu'elle avait du mal à garder ses pieds convenablement posés sur ses pédales. Elle arrêta la voiture dans une petite rue, au-dessus d'un escalier, vestige de vieux remparts. Nous avions fait l'amour là, dans sa voiture. Je pense qu'elle était sûre que personne ne pourrait nous surprendre, cette rue étant déserte à une heure pareille. J'avais essayé de lui mettre un doigt dans l'anus pendant que je la baisais. Elle n'avait pas réagi et j'étais presqu'arrivé à lui enfoncer quand elle se retourna brusquement. Non qu"elle était fachée, mais elle venait de jouir et cherchait à s'empêcher de crier en plaquant sa bouche contre la mienne.
Peut-être se serait-elle laissé faire ce jour-là ? Toujours est-il que cela n'arriva pas. Mauvais timing...
Autant dire que, dans l'attente de retourner la voir, son cul m'obsédait continuellement. Je l'imaginais sans cesse se faisant prendre dans toutes les positions, par ma queue, bien sûr, mais aussi par toutes sortes d'autres choses, dont les bougies que je lui avais allégrémenr fait enfiler, et même par d'autres bites que la mienne. J'avais la queue perpétuellement érigée et je devais sans cesse me retenir de ne pas me branler en pensant à tout ce que je lui ferais une fois que je la reverrai. Non pas que je déteste me branler, loin de là, mais j'avais envie de sauver un maximum de sperme pour son joli visage.
Finalement, le mercredi arriva et je sonnais à sa porte.
Je l'entendis crier : "C'est ouvert ! Rentre." et passais donc son seuil.
Je montais les escaliers, à gauche après l'entrée, et arrivais dans son salon. Elle était gentiment assise dans un divan, m'attendant visiblement. Elle était complètement nue, les rideaux grands ouverts.
- "Je t'attendais impatiemment.", me dit-elle. "Ca fait deux heures que je suis à poil. Je crois qu'un ou deux mecs m'ont vue. J'espère que ça leur aura donné des idées."
Quelle entrée en matière ! En deux secondes, ma bite, pourtant déjà bien excitée, avait atteint des proportions gigantesques. Je la regardais quelques instants, de haut en bas. Ses pieds nus, ses longues jambes pâles, sa petite chatte récemment rasée, son piercing au nombril (le seul qu'elle portait quand nous sortions ensemble), les deux autres piercings plus récents qu'elle s'était fait poser aux têtons, ses seins, menus mais lourds, son beau visage. Tout en elle me donnait envie de la prendre sauvagement.
- "Assieds-toi," fit-elle en tapotant un des coussins du canapé.
Je m'assis à côté d'elle et lui demandait si elle allait bien, comme si tout était normal.
- "A part que tu ne m'as pas dit bonjour, oui."
Je souris.
- "Bonjour Julie.", dis-je en m'avançant pour lui faire la bise.
Elle ne me laissa pas le temps de déposer un baiser sur sa joue et colla sa bouche contre la mienne, enfonçant sa langue à l'intérieur. Un long baiser, sauvage et puissant, qui la laissa un instant pantelante.
- "J'avais envie.", me dit-elle. "Ca fait trop longtemps que j'attends et j'avais vraiment fort envie." Elle passa sa main sur l'entrejambe de mon pantalon. "Je vois que je t'ai manqué. Je vois que ta petite pute t'a manqué et que ta grosse bite à déjà envie de la défoncer. Je vois que ta queue est déjà toute dure. Tu as envie de la mettre dans ma petite chatte ? Ou dans ma bouche ? Je te la sucerai à fond, tu sais, comme la bonne petite salope soumise que je suis. Je ferais tout ce que tu voudras. Tu pourras me prendre mon petit cul aussi. J'en ai envie, de ta grosse queue dans mon cul, le plus profond que tu peux. J'ai envie de me faire enculer à fond aujourd'hui. J'ai envie qu'on se fasse un bon porno tous les deux et que tu me fasses jouir comme une chienne."
- "Mmmmh," grommellais-je. "C'est de ça que tu as envie, petite pute ?"
- "Oui," me répondit-elle. "Je veux être une grosse salope, je veux être ta grosse salope. Dis-moi ce que tu veux que je fasse et je le ferai. N'aie pas peur d'être cochon, c'est ce dont j'ai envie."
- "Bouge pas.", lui dis-je.
Je descendis jusqu'à sa chambre, bien décidé à y trouver quelques accessoires pour pimenter ses envies.
Je trouvais rapidement une paire de bottines brunes, s'arrêtant en haut du mollet et que je savais lui aller à ravir, et un petit foulard assorti. Décidant de lui trouver au moins une pièce de lingerie, je fouillais un de ses tiroirs et y trouvais rapidement ce que je cherchais. Une petite culotte blanche, très fine et délicate, un petit machin de rien du tout qui révèlerait plus sa chatte qu'il ne le cacherait. Puis, je remontai.
Julie avait eu du mal à m'attendre. Elle était toujours dans le divan, mais ses jambes étaient largement écartées et elle se caressait le clitoris avec un index. Je lui dis de s'habiller et lui tendis les petites pièces de vêtement que j'avais ramené. Elle passa une langue rouge sur ses lèvres et s'exécuta.
- "Tu es vraiment une belle salope.", dis-je une fois qu'elle eut revêtu ses accessoires.
- "Oui. Tu n'imagines même pas comme je peux être pute. Tu n'as pas la moindre idée de la grosse cochonne que je suis. J'ai tout le temps envie de me faire défoncer comme la dernières des catins. Ma chatte est toute mouillée en permanence, toujours prête à jouir, toujours prête à accueillir une grosse bite bien dure. Et mon cul me démange tout le temps. J'ai perpétuellement envie d'y mettre des choses. Ce matin, j'ai dû me branler deux fois tellement j'étais excitée parce que tu venais, tellement je savais que tu allais me faire faire des cochonneries."
- "Tu t'es branlée en m'attendant ?", minaudais-je. "J'aurais été curieux de voir ça."
Elle me regarda avec son meilleur air de pute.
- "Tu veux que je te montre ?", dit-elle. Elle se coucha par terre et écarta largement les jambes.
- "J'ai commencé par me caresser les lèvres à travers ma petite culotte, comme ça.", commenta-t-elle en joignant le geste à la parole. "Puis, j'ai doucement écarté ma petite culotte, pour pouvoir atteindre mon clito. Et je l'ai branlé avec ces deux doigts." Elle me montra l'index et le majeur de sa main droite, qu'elle fit descendre jusqu'à son entrecuisses, pour pouvoir se masturber devant mes yeux excités. "Puis, j'ai glissé deux autres doigts dedans, comme ça, le plus profond que je pouvais. Je n'étais pas ici, sinon j'aurais pris quelque chose pour remplacer mes doigts, mais c'était bon quand même."
- "Et tu étais où comme ça ?"
- "Dans ma voiture. J'étais garée devant une banque en ville, mais personne n'est passé."
Elle me sourit d'un air particulièrement vicieux et plongea deux doigts de sa main gauche dans sa chatte. Avec les deux autres, cela lui en faisait maintenant quatre et elle continuait à écarter au maximum ses grandes lèvres, tout en branlant son petit clito entre ses deux pouces maintenant suffisamment rapprochés.
- "Non, personne n'est passé.", souffla-t-elle. "Dommage !"
Ces mots m'excitèrent trop. Je me défis de mon pantalon et commençait à faire aller et venir ma main sur ma bite en la regardant faire et en l'écoutant tenir un langage de vraie salope. Un langage qu'elle n'aurait jamais utilisé auparavant mais qui maintenant ne semblait avoir d'autre effet sur elle que de la rendre encore plus chaude et prête à tout.
Il était temps de faire quelque chose qui la rendrait vraiment totalement salope maintenant et je me dirigeais vers le bureau où je savais qu'elle rangeait ses bougies, ses belles et longues bougies qu'elle s'était enfoncée dans le cul l'autre jour. Dieu du ciel, comme j'étais excité. Comme j'étais content que la sage Julie soit devenue une telle pute, cochonne, avide d'expérience et désireuse de se soumettre à la moindre de mes idées perverses.
- "Enfin !", souffla-t-elle en me voyant faire. "J'ai crû que tu ne déciderais jamais."
J'ouvris le tiroir et sortis la boîte à bougies. Elles étaient toujours en place, mais il y avait une nouveauté extrêmement intèressante dans cette boîte. Une nouveauté très excitante que Julie (qui avait par là un peu pris la main dans notre jeu) avait gardé en réserve. Une surprise qui faillit bien me faire jouir tout de suite, là, sur le bureau.
Je me tournais vers elle et la regardait concupiscemment.
- "Mets-toi à quatre pattes.", dis-je.
Elle obéit.
- "Viens jusqu'ici maintenant."
Elle avança, sur ses genous et sur ses mains. Son foulard touchait le sol et ses belles bottines râclaient les lattes du parquet. Elle mit une éternité pour me rejoindre, c'est du moins ce qu'il me sembla. Pendant tout le temps qu'elle avançait, elle ne cessa de tortiller son beau cul et de se lècher les lèvres avec appètit.
Arrivée devant moi, je lui tirais la tête en arrière et fourrais ma queue dans sa bouche. Elle me suça quelques instants, conscienseument. Mais, tout comme moi, elle savait que ce n'est pas ma bite que j'avais envie de la voir sucer.
Je sortis donc ce que j'avais trouvé dans sa boîte à bougies.
C'était un gode, de belles proportions. De couleur chair, avec un gland bien marqué et des veines apparentes, il faisait environ 22 centimètres de long et entre quatre et cinq centimètres de diamètre. Il n'y avait pas de ventouse à sa base, mais celle-ci était tellement large que l'objet devait pouvoir tenit debout sans aucune aide.
Je lui fourrai rapidement entre ses belles lèvres de branleuse et elle l'avala avec application, faisant rentrer une quantité impressionante de l'objet à l'intérieur de sa bouche. Elle salivait puissament et de petits filets de bave coulaient de son menton jusqu'au sol où ils formaient une petite mare. Je fis aller et venir l'objet, comme si elle faisait une pipe à une vraie bite. Ses yeux roulaient dans tous les sens, mais elle garda le gode dans sa bouche. Sa salive dégoulinait partout maintenant; le sol en était couvert, tout comme ses lèvres et son menton, et le foulard qu'elle avait autour du cou paraissait bien humide lui aussi.
Je déposais alors le gode debout sur le parquet, bien droit sur sa base. Comme prévu, il ne vacilla pas.
- "Continue à le sucer.", lui dis-je. "Ne t'arrête pas."
Elle garda l'objet en bouche tandis que je retournais dans sa chambre. J'avais reperé un peignoir qui convenait à mes intentions. Je ne pris pas le peignoir lui-même, non, juste la ceinture qui le fermait.
Une fois remonté, je constatais que Julie n'avait pas arrêté de sucer le gros gode. Elle était à quatre pattes devant lui, la tête empalée sur cette grosse tige de plastique de vingt-deux centimètres. Enfin, je dis à quatre pattes, mais, en réalité, ce serait plutôt à trois, une de ses mains étant occupée à aller et venir entre ses jambes, frottant avec vigueur sa fente qui, elle aussi, dégoulinait.
Je la reculai un peu, pour qu'elle puisse lècher le gode au lieu de l'avaler. Elle le fit avec plaisir mais j'attrapai ses deux bras et lui attachai les mains derrière le dos, la forçant à poser sa tête sur le sol. Ses cheveux et son foulard trainaient maintenant dans la salive et s'en imprégnaient, mais cela ne l'empêcha pas de continuer à flatter de la langue le bel engin. Je la contemplais un instant dans cette position, m'émerveillait du magnifique air de salope qu'avait maintenant ma prude et timide Julie. Puis je me mis derrière elle, la redressai légèrement afin de la mettre dans la bonne position et lui déchirai sa petite culotte blanche.
Elle poussa un gémissement de plaisir et d'anticipation. Je lui caressai les fesses quelques instants avant de les écarter. Son anus était aussi ouvert que sa chatte et ne semblait demander qu'à être rempli. J'approchai ma bite de son cul et la frottai contre son petit trou. Elle n'arrêtai pas de remuer au rythme de mes mouvements et, rapidement, après quelques coups de rein, je fus à l'intérieur de son petit cul. Je me mis à aller et venir lentement, profitant de chaque instant de cette sodomie et enfonçant toujours un peu plus profondément ma queue. Elle n'arrêta pas de lècher le godemiché durant tout ce temps, mais finit par devoir arrêter, quand je me mis aller plus rapidement dans son petit cul. Je sentais les parois de celui-ci se contracter autour de ma bite et compris qu'elle allait partir. Je réussis à me contenir suffisament pour la faire jouis trois ou quatre fois. Elle n'arrêtait pas de profèrer des obscénités, de tenir un disours de cochonne que je n'avais jamais espèré l'entendre tenir auparavant..
- "Vas-y encule-moi à fond. démonte-moi le cul comme la bonne pute que je suis. Une bonne pute qui aime avoir une bite bien dure dans son cul, qui jouit quand on la sodomise, comme la dernière des trainées. Je veux que tu me défonces l'anus toute la journée, je veux sentir ta queue me remplir à l'intérieur. De la sentir comme ça, ça m'excite à fond, ça me donne envie de faire encore plus de saletés, d'être encore plus pute que je ne le suis. Je suis une salope qui aime avoir des choses dans le cul, n'importe quoi, tant que ce soit gros et dur. Oh, j'adore me faire enculer. Plus vite, je veux la sentir encore plus profond. J'aime ça..."
J'aurais voulu ne jamais m'arrêter de faire aller et venir ma bite à l'intérieur de son petit trou béant, mais, à force de la ramoner et de l'entendre dire des cochonneries, je sentis que j'allais jouir. Je me retirai rapidement et attendis un instant, regardant ma belle perverse de Julie, ses cheveux et son foulard trempés, sa petite culotte déchirée autour de sa taille, ses jolies bottines brunes aux pieds, reprendre son souffle. Je la fis mettre à genoux, devant ma bite et, après quelques brefs mouvements sur celle-ci, éjaculai.
J'avais bien fait de me réserver pour elle car ce fût une véritable marée qui inonda son visage. Je n'arrêtai pas de jouir, en jets de plus en plus longs et forts, me semblait-il. Le premier la toucha à la joue gauche, formant une trainée de foutre blanc qui allait de la pointe de ses lèvres au lobe de l'oreille, qui était maintenant recouvert de sperme. Son nez et sa lèvre supérieure furent inondés ensuite par une nouvelle giclée. Le sperme dégoulinait de la racine de son nez et finit par aboutir à l'intérieur de sa bouche qu'elle avait gardée entrouverte. La suivante atteignit une de ses paupières et son front, qu'elle zébra de quelques trainées. Quelques gouttes éparses touchèrent aussi ses pomettes et ses cheveux, où elle se mélangèrent à la salive. Le jet suivant fut le plus impressionnant : en un instant, sa joue droite, depuis sa pomette jusqu'à sa mâchoire fut recouverte d'une belle pâte blanche qui se mit immédiatement à dégouliner de son menton et à tomber sur ses seins piercés. Elle était magnifique, la prude Julie, elle était comme elle aurait toujours dû être. Les dernières quelques gouttes qui me restaient finirent dans sa bouche, qu'elle avait fini par ouvrir tout grand. Elle les avala et me regarda, satisfaite et heureuse.
Je décidai alors de mettre la dernière touche à cette séance et d'utiliser le dernier accessoire dont j'avais envie de me servir aujourd'hui.
- "Retourne sucer ce gode.", lui dis-je.
Elle s'exécuta et je me dirigeai vers une étagère. Dessus, il y avait une caméra vidéo que je mis en marche. Je filmai quelques minutes Julie, à quatre pattes, les mains attachées derrière le dos, le visage dégoulinant d'un sperme qui formait de grandes trainées entre sa bouche et le sol, la culotte déchirée, en train de sucer ce godemiché. J'avais du mal à l'imaginer plus salope que ça, et ça me plaisait de la voir ainsi.
Et, manifestement, ça lui plaisait aussi. Elle suça le gode avec application, sans quitter la caméra des yeux. Ses yeux pétillaient de plaisir et elle avait l'air plus prête-à-tout que jamais. Cela ne manqua pas de m'exciter et je sentis ma queue se regonfler instantanément. Je continuai à la filmer d'une main, tout en me branlant de l'autre, et je ne tardai pas à jouir une deuxième fois. J'avais laissé une bonne partie de mes réserves dans la première faciale, mais je lui laissai encore quelques trainées supplémentaires et fraîches sur sa pomette et sa joue gauches. Je n'oubliai pas de la filmer pendant tout ce temps et ne m'arrêtai que quand le gode finit par tomber.
La séquence vidéo dure un bon quart d'heure. Souvent, je la regarde tout seul et à chaque fois, ma verge ne manque pas de se durcir et il faut que je me branle en regardant Julie, ma salope de Julie, exécuter toutes ces cochonneries bien crades devant la caméra. Un de ces quatre, il faudra que je lui demande de venir la mater chez moi. Je suis sûr que ce sera le prélude idéal pour une soirée passionnante.
(à suivre)
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2009-09-30 17:59:01 - gg85 Très beau récit,j'espère qu'il aura une suite j'ai connu une fille et notre relation sexuelle à démarré doucement et s'est transformée en relation SM car elle aimait que je la fesse au départ et petit à petit je lui ai fait connaitre d'autres sévices avec des pinces à linge et des poids pour étirer le bout de ses seins et aussi l'emmener en centre commercial avec un oeuf vibrant commandé à distance pour la faire jouir,bien sur enjupe assez courte avec talon haut et sans sous vêtement.je vais essayer de mettre cela en forme pour la raconter .Voila comment pourrait évoluer ta relation avec Julie surtout qu'elle ne veut rien te refuser.Abientôt |
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