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La dolce bita
Ajoutée par Al Saint Bois - Lecture : 3664 fois - Notez :









Femmes coquines et infidèles près de chez vous :
La Dolce Bita
Stoïque et rêveur, il laissait difficilement imaginer ce qui pouvait bien lui passer par la tête. Etendu sur le sofa, à contre jour de la lumière tamisée, la blancheur de sa nudité dégageait un parfum sensuel, mâle et envoûtant, ensorcelant de désirs sexuels, celui d’une image lointaine et inaccessible que l’on pouvait dévorer uniquement pour le plaisir des yeux. Les doigts brûlants attirés par cette icône, frustré de ne pouvoir la toucher au risque de la faire disparaître, je m’aventurais à faire un pas dans sa direction. Imperturbable, il feignait d’ignorer ma présence. Mon cœur battait la chamade si fort qu’il devait l’entendre, même à trois pas de moi, une distance si courte qui, pourtant me paraissait faire des kilomètres.
S’il tournait la tête dans ma direction, il s’apercevrait que mon érection déformait mon peignoir. Mon sexe était tellement tendu qu’il en faisait mal, une douleur si subtile et délicieuse qu’elle en devenait obsédante. Plus rien ne comptait. Ma volonté de soulagement était centrée sur la raideur de ma verge et les frissons électriques de mes couilles.
« Soulage-moi ! », Pensais-je au plus profond de mon âme.
Comme si mon appel avait été entendu, il tourna la tête dans ma direction et il eut un petit sourire en coin. Ses yeux noirs brillants de malice me laissaient croire qu’il avait enfin compris. Il tendit la main droite. Elle vint se poser juste en dessous de mes couilles. Au contact chaud de ses doigts, un grand frisson dont la naissance centrée sur les poils hérissés de mon sexe se diffusa sur tout mon corps et déclencha chez moi des tremblements incontrôlés. Mes oreilles bourdonnaient au supplice. La contraction de mon anus devenait insupportable. Les pointes de mes seins rayonnaient de sensibilité. Mon gland tellement gonflé et tendu allait exploser si rien n’allait le calmer.
Mon sang n’a fait qu’un tour lorsqu’il se saisit enfin de ma verge. Une main lente et enveloppante qui feignait une branlette. Son va et vient était si lent qu’ils me paraissait durer une éternité. Un ralenti interminable. Ses yeux brillants et toujours son sourire en coin me faisaient comprendre qu’il était le maître du jeu et quel que soit l’intensité et l’urgence de mon plaisir, il ne fera que suivre l’improvisation de sa fantaisie.
Il laissa tomber ma queue pour se relever. D’un geste lent, il passa de la position couchée à la position assise juste devant mon ventre. Dans son mouvement il écarta les jambes, et j’admirais de ma hauteur la beauté de son « entrejambe ». La parfaite symétrie de sa pilosité pubienne se détachait artistiquement de ce beau corps complètement imberbe. Il reprit ma queue qu’il continua lentement à branler.
Son sexe posé négligemment sur le bord du sofa feignait de me narguer tout comme son attitude indifférente à cette situation que je trouvais excitante. La fine peau satinée aux reliefs veineux de sa verge m’obligea à ravaler ma salive de gourmand face à une gâterie inaccessible sur le moment. Au comble de l’extase, il goba mon gland d’une bouche chaude et humide. Il entreprit de le sucer comme on suce vulgairement une sucette. Je vis sa verge se détendre et s’étirer. Elle sortait enfin de son hibernation pour offrir à mes yeux le merveilleux spectacle de sa longue érection. Les palpitations sanguines de son érection gonflaient son gland par des mouvements irréguliers, me laissant la triste impression qu’elle se moquait de moi. Salope. Grosse salope !
Concentré dans mes regrets, j’ai pas vu arriver la scène qui allait suivre : Il ouvrit grand la bouche et goba entièrement ma queue jusqu’à la racine. Je me senti partir comme aspiré dans un trou noir. Une chaleur torride m’envahi des pieds à la tête sans me laisser au passage un seul poil de sec… J’étais aux anges. Le bonheur suprême d’une éjaculation puissante au fond de sa gorge, si puissante qu’elle a certainement fini sa course dans son estomac. En sortant ma verge confuse et reconnaissante de ce merveilleux cadeau, il me branla une dernière fois pour en tirer la lie du nectar des dieux. Le dernier jet spermatique fut tout aussi puissant que les précédents. Le jet de la dernière goutte passa au-dessus de sa tête pour finir sa course juste derrière le sofa… Quel talent !
Pas encore saturé de ce sublime orgasme, je n’étais pas arrivé au bout de mes surprises. Tout en accompagnant d’une main experte la décompression de ma verge, il glissa l’autre main de derrière mes couilles endolories, et, d’un majeur savamment vicieux et suffisamment lubrifié, il me pénétra l’anus avec une violence inouïe. La surprenante douleur me fit perdre mes esprits. Dans mon évanouissement, je m’étais affalé. Il a certainement du m’assister dans ma chute, je me retrouvais à genoux devant lui, et comme s’il avait décidé de me faire du bouche à bouche pour me sauver d’une quelconque asphyxie, il était entrain de me rouler une pelle si profonde et si langoureuse que j’en perdis le souffle.
Epoustouflant, ce garçon était génial, et ses initiatives des plus originales. Je n’étais pas encore arrivé au bout de mes surprises.
Satisfait et comme rassasié de ses exploits, il s’adossa au sofa. Il était presque couché devant moi. Ses genoux coinçaient mes épaules, et toujours avec les yeux brillants et le sourire en coin, il souhaitait ainsi que je devine la suite des événements. J’étais stupéfait du spectacle qui s’offrait à mes yeux. A vingt centimètres de mon visage, splendide et orgueilleuse, comme si elle voulait toucher les étoiles, sa verge longue et droite pas très stable sur ses deux couilles, semblait toujours me narguer.
Il passa une jambe au-dessus de ma tête, se retourna, et vint se mettre à genoux, toujours sur le sofa, devant moi, m’offrant ainsi l’excitante vision de son cul. Il se pencha en avant, et son cul vint se poser juste sous mon nez. Je sentais sa chaleur et toutes les odeurs suaves d’un corps masculin en délire.
« Vas-y, bouffe-moi le cul ! » Dit-il.
Quel bonheur. Je pouvais toucher, sentir, masser, sucer ce merveilleux corps. Assouvir mes yeux, mes mains, ma langue, et mon corps tout entier à le frotter contre le sien pour lui voler un peu de cette excitation qui transpirait de tous ses pores.
Un joli cul rien que pour moi que j’allais bouffer pour mon plaisir. Un gros suçon sur son anus le fit gémir. « Humm… ». D’une langue polissonne, je décidais de forcer sa rondelle. « Humm… Encore, vas-y, humm… ». Ma langue fouillait ses entrailles à la recherche de je ne sais quoi, mais qu’il était bon de l’enfoncer dans cet endroit si chaud et si étroit.
Je le sentis se remuer d’une manière incompatible avec les grands travaux de fouilles que j’avais commencés. D’où j’étais, je ne voyais pas grand chose. Ma main droite se glissa entre ses cuisses en direction des mouvements inquiétants pour finir sur sa main qui branlait d’un geste frénétique son manche prêt à exploser.
« Hey ! C’est pour moi tout ça, arrête tes conneries, je vais m’en occuper. ».
« Ha… j’en peux plus, je viens… »
En gémissant sur le « je viens », il s’est relevé pour mieux profiter de toute la longueur de sa queue et éjaculer sur le dossier du sofa. La vision de ses fesses contractées en mouvements synchronisés à la puissance de ses jets, comme s’il voulait éjaculer plus haut et plus fort, à eu pour effet de me faire bander encore plus raide que la dernière fois. La sensation agréable de petits picotements sur mon gland développa en moi mon instinct trivial de bête en rut. Mon salut ne pouvait venir que de la pénétration de ce joli petit cul posé juste en face. Il continuait de se branler en haletant de bonheur. Ses gémissements et son souffle allaient crescendo jusqu’au terme de son orgasme. J’étais toujours à genoux, et je ne pouvais me contenter du spectacle verso d’une branlette. En me relevant, j’étais enfin à la hauteur de la situation. De mes mains je tâtais ses miches, et les écartaient le plus possible, comme si je voulais le déchirer en deux en partant du bas de son dos. Sa petite fleur complètement décontractée semblait vouloir me parler ou alors elle cherchait à aspirer en vain quelque chose d’inaccessible. Serait-elle en apnée ? Je déconne ! Son orgasme n’était pas tout à fait terminé. Mon gland posé sur sa rondelle déconfite et d’un pas dressé ne demandait qu’à se mettre à l’abri. Sans forcer, d’un petit basculement du bassin, je vis disparaître complètement ma verge dans son cul. Il eut un sursaut de surprise en poussant un cri timide et approbateur. « Ha…Oui…Hummm…. ». Mes mains posées sur ses hanches, je le sentis tressaillir de tout son corps. Il en avait la chair de poule. Pour mieux profiter de cette enculade, les fesses collées sur mon bassin, que je retenais fermement de mes mains, il entreprit de faire des mouvements circulaires comme s’il voulait agrandir son trou. Dieu que c’était bon de le sentir bouger contre moi ainsi, avec ma queue enserrée au fond de son croupion et distribuer de l’extase à qui en veux-tu en voilà !
Collé à lui j’avais l’impression de ne faire plus qu’un. Un type avec quatre jambes deux têtes quatre bras et une seule bite, la sienne, que je commençais à branler d’une main étonnée. La pénétration anale associée à une petite branlette a eu pour effet de provoquer chez lui une nouvelle érection. Positionné comme ça derrière lui, j’aurais pu croire me branler moi-même. Sa queue était plus grosse, plus longue et plus généreuse que la mienne. Il me vint l’envie délicate de la voir et pourquoi pas de la sucer. Me branler les amygdales avec ce bijou extraordinaire devait être sensationnel. Du moins je le croyais. Je me sentis contraint et forcé d’avaler ma salive au risque de m’étouffer.
D’un coup brusque, je le fis pivoter dans l’autre sens. Etonné, il ne comprenait pas pourquoi j’arrêtais là notre collaboration intime. Ses fesses surélevées sur mes mains, la raie grande ouverte, j’avais enfin le coté face. L’envie me vint de plonger encore une fois ma langue dans son fion puis d’avaler une de ses couilles. Elles étaient conséquentes. La bouche grande ouverte il me restait peu de place pour autre chose. En passant à l’autre couille, je me rendis compte qu’il n’en finissait pas de gémir. « Je vais te défoncer le cul et te dévorer la bite mon vieux », pensais-je. Enfin, la récompense suprême : Son magnifique gland emplissait à lui tout seul la cavité de ma bouche. Vaille que vaille, j’avais décidé de tout bouffer.
Lentement, très lentement j’entamais la pénétration de sa longue colonne dans ma bouche. Un peu coincé au passage des amygdales que je sentais écrasées, un petit mouvement du cou fut nécessaire pour laisser le passage libre. Arrivé dans mon pharynx je découvris une nouveauté jusqu’alors jamais éprouvée : J’étais en apnée. Sa grosse et longue queue bouchait tout. En plein apprentissage, je compris qu’il était inutile et prétentieux de vouloir tout bouffer d’un seul coup. Pour réussir, je devais simuler un coït buccal. Le va et vient progressif et en profondeur me permettait de respirer par le nez sur le « vient ». Je pus enfin me délecter de plaisir lorsque mes lèvres arrivèrent à la racine de son sexe. Enfilé d’un seul trait, très profond dans ma gorge, je jubilais à l’idée d’avoir tout engloutis. Lui, il soupirait de plaisir avec des « ho » et des « ha ». Il venait certainement lui aussi de découvrir de nouvelles sensations. Avec une queue comme celle-là, à par des branlettes magistrales, des sucées simulées, et des pénétrations du bout du gland, dès qu’il souhaitait aller plus loin, il devait décourager et faire fuir ses partenaires. J’en étais persuadé.
Profites-en mon vieux, elle me fait pas peur la tienne, et je vais t’achever. Après quelques minutes de gorge profonde, la séance bien qu’excitante, devenait pour moi douloureuse. Je n’avais pas l’habitude de manger si gros et de malmener ainsi la naissance de mon tube digestif. En sortant la totale, belle bite rouge de confusion, la largeur de mes deux mains ne suffisaient pas à l’envelopper entièrement. En serrant très fort, je le terminais par une sacrée branlette. Les prémices de son orgasme que je sentais de mes mains gonfler violemment sa verge jusqu’à la limite de l’explosion m’excitaient encore plus. Sublime libération. Le premier jet de sperme vint se perdre sur le plafond. Rapidement, je lâchais ma prise pour écarter ses jambes et me laisser la voie libre pour une magnifique pénétration anale. Il reprit sa masturbation. L’effet de ma verge dans ses profondeurs ajoutait à son plaisir qui n’en finissait plus. Son ventre luisait de sperme, et il se tortillait dans tous les sens. Moi j’en pouvais plus. Ma verge coincée dans cet anus qu’il contractait à chaque jet de sperme, et le va-et-vient rapide et sulfureux qui commençait à anesthésier mon cerveau, je sentis la douce et enivrante chaleur de l'orgasme me brûler les couilles et tout ce qui va avec.
Dans la violence de l’orgasme, ma verge était sortie de son fourreau. Je continuais machinalement mon va-et-vient sur son sexe et j’éjaculais avec vivacité sur son ventre où nos deux spermes se mélangeaient en dégoulinant artistiquement sur le relief de ses muscles abdominaux.
Le souffle haletant, petit à petit nous reprîmes nos esprits. La violence de nos orgasmes nous avait décalés d’une dimension, celle du plaisir extrême. Nos verges accolées l’une contre l’autre, repues et luisantes de foutre, semblaient se remercier mutuellement, et pourquoi pas, se faire de tendres câlins respectueux. Nos couilles électrifiées échangeaient leurs sentiments dans un face à face discret et attendrissant.
Mes yeux plongés dans son regard noir et profond traduisant un sentiment léger et admiratif de ce qu’il venait de vivre.
« C’est beau, c’est bon l’amour » Dans un long soupir, il crut bon de rajouter : « Putain, qu’elle baise… ! ».
« Drelin…drelin…drelin… » La sonnerie du téléphone rompit le charme sensuel du dernier spasme orgasmique…
« Bonjour, vous êtes bien chez moi, et moi je n’y suis pas. Laissez un message sur cette putain de machine, et si j’arrive à l’utiliser correctement, je ne manquerai pas de vous rappeler. A bientôt »
Une voix familière se fit entendre après le bip de la messagerie.
-Sim…Simon…Mon poussin…si t’es là réponds…t’es pas là …c’est pas grave, je te ramène tes chemises du pressing…je suis en bas de l’immeuble, j’arriiiive. Comme d’habitude tu les trouveras dans l’armoire de ta chambre. A bientôt mon amour….
- Putain ma mère, vite, habille-toi !
- Merde ! Où t’as mis mes fringues…
Devant l’urgence de la situation il fallait faire vite. Maman n’allait pas tarder à ouvrir la porte d’entrée. J’entendais déjà le bruit conquérant de la clé tourner dans la serrure.
- Grouille, va vite te planquer dans la salle de bain…Bouge ton cul…Meeeerde…
Synchronisés comme des voleurs en fuites, il partit en direction de la salle de bain, pendant que moi j’enfilais mon peignoir et qu’à cet instant ma mère entra.
- Ben, Simon qu’est-ce que tu fais là ? ? Houlàlà…T’es malade mon amour ?
- Non maman, pourquoi ?
- Je te trouve, un samedi après-midi, en peignoir et dans l’obscurité alors qu’il fait si beau dehors….Qu’est-ce qui t’arrive mon poussin ?
- Heu…rien maman, je suis très fatigué, j’ai fait une petite sieste…
Les bras encombrés d’un paquet en plastique souple contenant mes chemises fraîchement sorties du pressing, elle se dirigea d’un pas alerte en direction de ma chambre.
- Tu travailles trop Simon, quelques jours de vacances ne te feront pas de mal….
Une fois seul dans le séjour, j’en profitais pour balayer d’un grand coup d’œil le désordre installé dans la pièce. J’essayais de me brailler correctement. Je savais pertinemment que je n’avais pas le temps de remettre de l’ordre, encore moins de ranger le sceau à champagne où siégeait outrageusement le cul en l’air une bouteille de champagne désespérément vide. Au pied du sofa, posés là négligemment des vêtements qui n’étaient vraisemblablement pas les miens, et, Oh putain ! Une grosse tâche humide brillante et dégoulinante de sperme sur son dossier. D’un coup de pied furtif, J’ai eu juste le temps d’envoyer sous le sofa les vêtements importuns avant que maman ne revienne de la chambre. Comble du désespoir, elle vint s’asseoir sur le sofa juste devant la trace de mon infortune. Je pouvais déplorer le sourire agacé de maman avec vue en contre plongée de la magnifique auréole, persistante et méprisante, authentifiée d’une indécence éjaculatoire mais ô combien jubilatoire.
- Ecoute, tu travaille trop Simon, tu ne prends pas assez de bon temps…Tu devrais…
D’un mouvement giratoire de la tête, en constatant de l’état d’insalubrité de mon séjour représentant lamentablement un désordre amoureux, elle suspendit sa tirade. Son visage se décomposa et se transforma en un rictus agacé. Ses réactions imprévisibles me laissaient redouter le pire. Après s’être demandée si elle devait fuir ou entamer le ménage complet de mon appartement, elle reprit une apparence presque normale, se leva brusquement en continuant sa tirade qui avait brusquement changé d’orientation, je crois qu’elle avait compris. Elle se dirigeât vers la salle de bain.
- … continuer à prendre du bon temps…. Tu as raison d’en profiter…Tu es encore jeune…Pas encore marié…
- Non…pas la salle de B…
Trop tard, elle y était déjà ! Le buste plié en deux sur la corbeille à linge, elle parti à la recherche d’éventuelles chemises sales nécessitant un rafraîchissement ‘via’ le pressing. Les jambes flageolantes, les yeux fermés et le cœur meurtri, j’attendais impuissant le cri d’horreur de ma mère découvrant un homme nu dans ma salle de bain. Elle en ressortit heureuse les bras chargés de tissus enchevêtrés aux couleurs pastel de mes chemises de la semaine, tout en continuant à son humeur ses bons conseils sur la vie. Elle se dirigea d’un pas alerte en direction de la porte de sortie.
- Je suis rassurée de te voir en bonne santé… A bientôt mon amour…
Le « à bientôt mon amour » s’adressait au palier car elle était déjà dehors. J’étais pétrifié. Sûr et certain qu’elle avait découvert la vérité. J’étais troublé et confus. J’avais du mal à imaginer une quelconque explication avec maman. L’air hagard, Il sorti de la salle de bain.
- Elle s’est tirée… ?
- T’étais où ? Elle t’a vu ?
- Je ne crois pas, j’étais caché dans la baignoire derrière le rideau de douche…
- Puuufff…
Les yeux pleins de malice, il cru bon de rajouter en imitant ma mère juste pour m’achever :
- Mon poussin…
- Fais pas chier !
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Stoïque et rêveur, il laissait difficilement imaginer ce qui pouvait bien lui passer par la tête. Etendu sur le sofa, à contre jour de la lumière tamisée, la blancheur de sa nudité dégageait un parfum sensuel, mâle et envoûtant, ensorcelant de désirs sexuels, celui d’une image lointaine et inaccessible que l’on pouvait dévorer uniquement pour le plaisir des yeux. Les doigts brûlants attirés par cette icône, frustré de ne pouvoir la toucher au risque de la faire disparaître, je m’aventurais à faire un pas dans sa direction. Imperturbable, il feignait d’ignorer ma présence. Mon cœur battait la chamade si fort qu’il devait l’entendre, même à trois pas de moi, une distance si courte qui, pourtant me paraissait faire des kilomètres.
S’il tournait la tête dans ma direction, il s’apercevrait que mon érection déformait mon peignoir. Mon sexe était tellement tendu qu’il en faisait mal, une douleur si subtile et délicieuse qu’elle en devenait obsédante. Plus rien ne comptait. Ma volonté de soulagement était centrée sur la raideur de ma verge et les frissons électriques de mes couilles.
« Soulage-moi ! », Pensais-je au plus profond de mon âme.
Comme si mon appel avait été entendu, il tourna la tête dans ma direction et il eut un petit sourire en coin. Ses yeux noirs brillants de malice me laissaient croire qu’il avait enfin compris. Il tendit la main droite. Elle vint se poser juste en dessous de mes couilles. Au contact chaud de ses doigts, un grand frisson dont la naissance centrée sur les poils hérissés de mon sexe se diffusa sur tout mon corps et déclencha chez moi des tremblements incontrôlés. Mes oreilles bourdonnaient au supplice. La contraction de mon anus devenait insupportable. Les pointes de mes seins rayonnaient de sensibilité. Mon gland tellement gonflé et tendu allait exploser si rien n’allait le calmer.
Mon sang n’a fait qu’un tour lorsqu’il se saisit enfin de ma verge. Une main lente et enveloppante qui feignait une branlette. Son va et vient était si lent qu’ils me paraissait durer une éternité. Un ralenti interminable. Ses yeux brillants et toujours son sourire en coin me faisaient comprendre qu’il était le maître du jeu et quel que soit l’intensité et l’urgence de mon plaisir, il ne fera que suivre l’improvisation de sa fantaisie.
Il laissa tomber ma queue pour se relever. D’un geste lent, il passa de la position couchée à la position assise juste devant mon ventre. Dans son mouvement il écarta les jambes, et j’admirais de ma hauteur la beauté de son « entrejambe ». La parfaite symétrie de sa pilosité pubienne se détachait artistiquement de ce beau corps complètement imberbe. Il reprit ma queue qu’il continua lentement à branler.
Son sexe posé négligemment sur le bord du sofa feignait de me narguer tout comme son attitude indifférente à cette situation que je trouvais excitante. La fine peau satinée aux reliefs veineux de sa verge m’obligea à ravaler ma salive de gourmand face à une gâterie inaccessible sur le moment. Au comble de l’extase, il goba mon gland d’une bouche chaude et humide. Il entreprit de le sucer comme on suce vulgairement une sucette. Je vis sa verge se détendre et s’étirer. Elle sortait enfin de son hibernation pour offrir à mes yeux le merveilleux spectacle de sa longue érection. Les palpitations sanguines de son érection gonflaient son gland par des mouvements irréguliers, me laissant la triste impression qu’elle se moquait de moi. Salope. Grosse salope !
Concentré dans mes regrets, j’ai pas vu arriver la scène qui allait suivre : Il ouvrit grand la bouche et goba entièrement ma queue jusqu’à la racine. Je me senti partir comme aspiré dans un trou noir. Une chaleur torride m’envahi des pieds à la tête sans me laisser au passage un seul poil de sec… J’étais aux anges. Le bonheur suprême d’une éjaculation puissante au fond de sa gorge, si puissante qu’elle a certainement fini sa course dans son estomac. En sortant ma verge confuse et reconnaissante de ce merveilleux cadeau, il me branla une dernière fois pour en tirer la lie du nectar des dieux. Le dernier jet spermatique fut tout aussi puissant que les précédents. Le jet de la dernière goutte passa au-dessus de sa tête pour finir sa course juste derrière le sofa… Quel talent !
Pas encore saturé de ce sublime orgasme, je n’étais pas arrivé au bout de mes surprises. Tout en accompagnant d’une main experte la décompression de ma verge, il glissa l’autre main de derrière mes couilles endolories, et, d’un majeur savamment vicieux et suffisamment lubrifié, il me pénétra l’anus avec une violence inouïe. La surprenante douleur me fit perdre mes esprits. Dans mon évanouissement, je m’étais affalé. Il a certainement du m’assister dans ma chute, je me retrouvais à genoux devant lui, et comme s’il avait décidé de me faire du bouche à bouche pour me sauver d’une quelconque asphyxie, il était entrain de me rouler une pelle si profonde et si langoureuse que j’en perdis le souffle.
Epoustouflant, ce garçon était génial, et ses initiatives des plus originales. Je n’étais pas encore arrivé au bout de mes surprises.
Satisfait et comme rassasié de ses exploits, il s’adossa au sofa. Il était presque couché devant moi. Ses genoux coinçaient mes épaules, et toujours avec les yeux brillants et le sourire en coin, il souhaitait ainsi que je devine la suite des événements. J’étais stupéfait du spectacle qui s’offrait à mes yeux. A vingt centimètres de mon visage, splendide et orgueilleuse, comme si elle voulait toucher les étoiles, sa verge longue et droite pas très stable sur ses deux couilles, semblait toujours me narguer.
Il passa une jambe au-dessus de ma tête, se retourna, et vint se mettre à genoux, toujours sur le sofa, devant moi, m’offrant ainsi l’excitante vision de son cul. Il se pencha en avant, et son cul vint se poser juste sous mon nez. Je sentais sa chaleur et toutes les odeurs suaves d’un corps masculin en délire.
« Vas-y, bouffe-moi le cul ! » Dit-il.
Quel bonheur. Je pouvais toucher, sentir, masser, sucer ce merveilleux corps. Assouvir mes yeux, mes mains, ma langue, et mon corps tout entier à le frotter contre le sien pour lui voler un peu de cette excitation qui transpirait de tous ses pores.
Un joli cul rien que pour moi que j’allais bouffer pour mon plaisir. Un gros suçon sur son anus le fit gémir. « Humm… ». D’une langue polissonne, je décidais de forcer sa rondelle. « Humm… Encore, vas-y, humm… ». Ma langue fouillait ses entrailles à la recherche de je ne sais quoi, mais qu’il était bon de l’enfoncer dans cet endroit si chaud et si étroit.
Je le sentis se remuer d’une manière incompatible avec les grands travaux de fouilles que j’avais commencés. D’où j’étais, je ne voyais pas grand chose. Ma main droite se glissa entre ses cuisses en direction des mouvements inquiétants pour finir sur sa main qui branlait d’un geste frénétique son manche prêt à exploser.
« Hey ! C’est pour moi tout ça, arrête tes conneries, je vais m’en occuper. ».
« Ha… j’en peux plus, je viens… »
En gémissant sur le « je viens », il s’est relevé pour mieux profiter de toute la longueur de sa queue et éjaculer sur le dossier du sofa. La vision de ses fesses contractées en mouvements synchronisés à la puissance de ses jets, comme s’il voulait éjaculer plus haut et plus fort, à eu pour effet de me faire bander encore plus raide que la dernière fois. La sensation agréable de petits picotements sur mon gland développa en moi mon instinct trivial de bête en rut. Mon salut ne pouvait venir que de la pénétration de ce joli petit cul posé juste en face. Il continuait de se branler en haletant de bonheur. Ses gémissements et son souffle allaient crescendo jusqu’au terme de son orgasme. J’étais toujours à genoux, et je ne pouvais me contenter du spectacle verso d’une branlette. En me relevant, j’étais enfin à la hauteur de la situation. De mes mains je tâtais ses miches, et les écartaient le plus possible, comme si je voulais le déchirer en deux en partant du bas de son dos. Sa petite fleur complètement décontractée semblait vouloir me parler ou alors elle cherchait à aspirer en vain quelque chose d’inaccessible. Serait-elle en apnée ? Je déconne ! Son orgasme n’était pas tout à fait terminé. Mon gland posé sur sa rondelle déconfite et d’un pas dressé ne demandait qu’à se mettre à l’abri. Sans forcer, d’un petit basculement du bassin, je vis disparaître complètement ma verge dans son cul. Il eut un sursaut de surprise en poussant un cri timide et approbateur. « Ha…Oui…Hummm…. ». Mes mains posées sur ses hanches, je le sentis tressaillir de tout son corps. Il en avait la chair de poule. Pour mieux profiter de cette enculade, les fesses collées sur mon bassin, que je retenais fermement de mes mains, il entreprit de faire des mouvements circulaires comme s’il voulait agrandir son trou. Dieu que c’était bon de le sentir bouger contre moi ainsi, avec ma queue enserrée au fond de son croupion et distribuer de l’extase à qui en veux-tu en voilà !
Collé à lui j’avais l’impression de ne faire plus qu’un. Un type avec quatre jambes deux têtes quatre bras et une seule bite, la sienne, que je commençais à branler d’une main étonnée. La pénétration anale associée à une petite branlette a eu pour effet de provoquer chez lui une nouvelle érection. Positionné comme ça derrière lui, j’aurais pu croire me branler moi-même. Sa queue était plus grosse, plus longue et plus généreuse que la mienne. Il me vint l’envie délicate de la voir et pourquoi pas de la sucer. Me branler les amygdales avec ce bijou extraordinaire devait être sensationnel. Du moins je le croyais. Je me sentis contraint et forcé d’avaler ma salive au risque de m’étouffer.
D’un coup brusque, je le fis pivoter dans l’autre sens. Etonné, il ne comprenait pas pourquoi j’arrêtais là notre collaboration intime. Ses fesses surélevées sur mes mains, la raie grande ouverte, j’avais enfin le coté face. L’envie me vint de plonger encore une fois ma langue dans son fion puis d’avaler une de ses couilles. Elles étaient conséquentes. La bouche grande ouverte il me restait peu de place pour autre chose. En passant à l’autre couille, je me rendis compte qu’il n’en finissait pas de gémir. « Je vais te défoncer le cul et te dévorer la bite mon vieux », pensais-je. Enfin, la récompense suprême : Son magnifique gland emplissait à lui tout seul la cavité de ma bouche. Vaille que vaille, j’avais décidé de tout bouffer.
Lentement, très lentement j’entamais la pénétration de sa longue colonne dans ma bouche. Un peu coincé au passage des amygdales que je sentais écrasées, un petit mouvement du cou fut nécessaire pour laisser le passage libre. Arrivé dans mon pharynx je découvris une nouveauté jusqu’alors jamais éprouvée : J’étais en apnée. Sa grosse et longue queue bouchait tout. En plein apprentissage, je compris qu’il était inutile et prétentieux de vouloir tout bouffer d’un seul coup. Pour réussir, je devais simuler un coït buccal. Le va et vient progressif et en profondeur me permettait de respirer par le nez sur le « vient ». Je pus enfin me délecter de plaisir lorsque mes lèvres arrivèrent à la racine de son sexe. Enfilé d’un seul trait, très profond dans ma gorge, je jubilais à l’idée d’avoir tout engloutis. Lui, il soupirait de plaisir avec des « ho » et des « ha ». Il venait certainement lui aussi de découvrir de nouvelles sensations. Avec une queue comme celle-là, à par des branlettes magistrales, des sucées simulées, et des pénétrations du bout du gland, dès qu’il souhaitait aller plus loin, il devait décourager et faire fuir ses partenaires. J’en étais persuadé.
Profites-en mon vieux, elle me fait pas peur la tienne, et je vais t’achever. Après quelques minutes de gorge profonde, la séance bien qu’excitante, devenait pour moi douloureuse. Je n’avais pas l’habitude de manger si gros et de malmener ainsi la naissance de mon tube digestif. En sortant la totale, belle bite rouge de confusion, la largeur de mes deux mains ne suffisaient pas à l’envelopper entièrement. En serrant très fort, je le terminais par une sacrée branlette. Les prémices de son orgasme que je sentais de mes mains gonfler violemment sa verge jusqu’à la limite de l’explosion m’excitaient encore plus. Sublime libération. Le premier jet de sperme vint se perdre sur le plafond. Rapidement, je lâchais ma prise pour écarter ses jambes et me laisser la voie libre pour une magnifique pénétration anale. Il reprit sa masturbation. L’effet de ma verge dans ses profondeurs ajoutait à son plaisir qui n’en finissait plus. Son ventre luisait de sperme, et il se tortillait dans tous les sens. Moi j’en pouvais plus. Ma verge coincée dans cet anus qu’il contractait à chaque jet de sperme, et le va-et-vient rapide et sulfureux qui commençait à anesthésier mon cerveau, je sentis la douce et enivrante chaleur de l'orgasme me brûler les couilles et tout ce qui va avec.
Dans la violence de l’orgasme, ma verge était sortie de son fourreau. Je continuais machinalement mon va-et-vient sur son sexe et j’éjaculais avec vivacité sur son ventre où nos deux spermes se mélangeaient en dégoulinant artistiquement sur le relief de ses muscles abdominaux.
Le souffle haletant, petit à petit nous reprîmes nos esprits. La violence de nos orgasmes nous avait décalés d’une dimension, celle du plaisir extrême. Nos verges accolées l’une contre l’autre, repues et luisantes de foutre, semblaient se remercier mutuellement, et pourquoi pas, se faire de tendres câlins respectueux. Nos couilles électrifiées échangeaient leurs sentiments dans un face à face discret et attendrissant.
Mes yeux plongés dans son regard noir et profond traduisant un sentiment léger et admiratif de ce qu’il venait de vivre.
« C’est beau, c’est bon l’amour » Dans un long soupir, il crut bon de rajouter : « Putain, qu’elle baise… ! ».
« Drelin…drelin…drelin… » La sonnerie du téléphone rompit le charme sensuel du dernier spasme orgasmique…
« Bonjour, vous êtes bien chez moi, et moi je n’y suis pas. Laissez un message sur cette putain de machine, et si j’arrive à l’utiliser correctement, je ne manquerai pas de vous rappeler. A bientôt »
Une voix familière se fit entendre après le bip de la messagerie.
-Sim…Simon…Mon poussin…si t’es là réponds…t’es pas là …c’est pas grave, je te ramène tes chemises du pressing…je suis en bas de l’immeuble, j’arriiiive. Comme d’habitude tu les trouveras dans l’armoire de ta chambre. A bientôt mon amour….
- Putain ma mère, vite, habille-toi !
- Merde ! Où t’as mis mes fringues…
Devant l’urgence de la situation il fallait faire vite. Maman n’allait pas tarder à ouvrir la porte d’entrée. J’entendais déjà le bruit conquérant de la clé tourner dans la serrure.
- Grouille, va vite te planquer dans la salle de bain…Bouge ton cul…Meeeerde…
Synchronisés comme des voleurs en fuites, il partit en direction de la salle de bain, pendant que moi j’enfilais mon peignoir et qu’à cet instant ma mère entra.
- Ben, Simon qu’est-ce que tu fais là ? ? Houlàlà…T’es malade mon amour ?
- Non maman, pourquoi ?
- Je te trouve, un samedi après-midi, en peignoir et dans l’obscurité alors qu’il fait si beau dehors….Qu’est-ce qui t’arrive mon poussin ?
- Heu…rien maman, je suis très fatigué, j’ai fait une petite sieste…
Les bras encombrés d’un paquet en plastique souple contenant mes chemises fraîchement sorties du pressing, elle se dirigea d’un pas alerte en direction de ma chambre.
- Tu travailles trop Simon, quelques jours de vacances ne te feront pas de mal….
Une fois seul dans le séjour, j’en profitais pour balayer d’un grand coup d’œil le désordre installé dans la pièce. J’essayais de me brailler correctement. Je savais pertinemment que je n’avais pas le temps de remettre de l’ordre, encore moins de ranger le sceau à champagne où siégeait outrageusement le cul en l’air une bouteille de champagne désespérément vide. Au pied du sofa, posés là négligemment des vêtements qui n’étaient vraisemblablement pas les miens, et, Oh putain ! Une grosse tâche humide brillante et dégoulinante de sperme sur son dossier. D’un coup de pied furtif, J’ai eu juste le temps d’envoyer sous le sofa les vêtements importuns avant que maman ne revienne de la chambre. Comble du désespoir, elle vint s’asseoir sur le sofa juste devant la trace de mon infortune. Je pouvais déplorer le sourire agacé de maman avec vue en contre plongée de la magnifique auréole, persistante et méprisante, authentifiée d’une indécence éjaculatoire mais ô combien jubilatoire.
- Ecoute, tu travaille trop Simon, tu ne prends pas assez de bon temps…Tu devrais…
D’un mouvement giratoire de la tête, en constatant de l’état d’insalubrité de mon séjour représentant lamentablement un désordre amoureux, elle suspendit sa tirade. Son visage se décomposa et se transforma en un rictus agacé. Ses réactions imprévisibles me laissaient redouter le pire. Après s’être demandée si elle devait fuir ou entamer le ménage complet de mon appartement, elle reprit une apparence presque normale, se leva brusquement en continuant sa tirade qui avait brusquement changé d’orientation, je crois qu’elle avait compris. Elle se dirigeât vers la salle de bain.
- … continuer à prendre du bon temps…. Tu as raison d’en profiter…Tu es encore jeune…Pas encore marié…
- Non…pas la salle de B…
Trop tard, elle y était déjà ! Le buste plié en deux sur la corbeille à linge, elle parti à la recherche d’éventuelles chemises sales nécessitant un rafraîchissement ‘via’ le pressing. Les jambes flageolantes, les yeux fermés et le cœur meurtri, j’attendais impuissant le cri d’horreur de ma mère découvrant un homme nu dans ma salle de bain. Elle en ressortit heureuse les bras chargés de tissus enchevêtrés aux couleurs pastel de mes chemises de la semaine, tout en continuant à son humeur ses bons conseils sur la vie. Elle se dirigea d’un pas alerte en direction de la porte de sortie.
- Je suis rassurée de te voir en bonne santé… A bientôt mon amour…
Le « à bientôt mon amour » s’adressait au palier car elle était déjà dehors. J’étais pétrifié. Sûr et certain qu’elle avait découvert la vérité. J’étais troublé et confus. J’avais du mal à imaginer une quelconque explication avec maman. L’air hagard, Il sorti de la salle de bain.
- Elle s’est tirée… ?
- T’étais où ? Elle t’a vu ?
- Je ne crois pas, j’étais caché dans la baignoire derrière le rideau de douche…
- Puuufff…
Les yeux pleins de malice, il cru bon de rajouter en imitant ma mère juste pour m’achever :
- Mon poussin…
- Fais pas chier !
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