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La femme phallique

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Femmes coquines et infidèles près de chez vous :


Je sonne à la porte et une superbe brune m’ouvre en souriant.
Elle est habillée d’une guêpière bleue, d’un adorable slip assorti et de bas à couture tendus par ses jarretelles.
Malgré son abondante chevelure et ses traits fins qui la rendent ultra féminine, je devine sous sa lingerie arachnéenne un renflement équivoque à la naissance de ses cuisses.
Troublé par cette ambivalence, je craque devant cette magnifique créature qui m’invite à la suivre.
Après quelques banalités échangées, elle s’assoit prés de moi en me posant des questions plus précises :
Pourquoi es- tu venu me voir ?
- Parce que tu es plus féminine que la plupart des autres femmes en ayant une queue entre les jambes.
- Tu as également une plus grande expérience du plaisir masculin.
- C’est vrai, mais avant de commencer, il faudra que tu me laisses t’initier à certaines pratiques, me dit-t-elle d’un ton enjôleur.
- Rassure toi, j’ai toute mon après midi pour te faire vibrer, rajoute-t-elle en me décochant un regard prometteur.

Puis, elle me déshabille en glissant sournoisement sa main entre mes cuisses.
Ma queue se redresse d’un coup lorsqu’elle empoigne mes bourses pour jauger mon potentiel.
- Tu me plais et tu as un sexe épais comme je les aime, m’affirme-t-elle en souriant.

Elle ouvre sa penderie et me dévoile sa collection de corsets, guêpières, porte jarretelles en m’invitant à faire mon choix.
- Désormais, je vais t’appeler Sandra et m’adresser à toi au féminin, me dit-t-elle.
- Tu ne te reconnaîtras plus lorsque je t’aurai coiffée, maquillée, habillée.

Je m’assois devant la coiffeuse en la laissant s’occuper de moi.
Elle commence par poser mes faux cils et m’appliquer du fard à paupières.
Poursuivant la séance, elle souligne mes lèvres d’un rouge ardent et choisit une perruque mi courte très glamour pour achever ma métamorphose.
- Maintenant, habille toi vite, je suis impatiente de te voir avec tes dessous ma chérie.

Avec émotion, j’enfile la lingerie coquine qui m’a fait craquer pendant que Natacha me lace dans le dos un corset ivoire en dentelle marron.
Elle place ensuite de généreuses prothèses en silicone dans mes bonnets 105c.
- Tu n’as rien à m’envier ma belle, car ils sont aussi lourds et denses que les miens, me dit-t-elle en ne résistant pas à l’envie de me palper les seins.

Je contemple un moment cette fille superbe.
Sa longue chevelure auburn tombe en cascade sur ses épaules et encadre son visage sensuel. Sa poitrine généreuse menace à tous moments de faire exploser les fines dentelles de sa guêpière.
Contrastant avec son éclatante féminité, j’entrevois sa queue gonflée de désir dans la transparence de ses dessous.
Natacha est irrésistible…
Elle se rend compte de mon trouble et me dit :
- Encore un peu de patience, je finis de t’habiller.

Comme envoûtée, je la laisse me glisser un adorable slip sur les hanches.
Fendu en son milieu, il entoure mon sexe d’un écrin satiné en exposant mon œillet à son regard torride.
- Tu es craquante avec cette dentelle qui me dégage l’accès à tes reins, se réjouit-t-elle.

Enfin, elle accroche mes bas de couleur crème aux huit jarretelles enrubannées de mon corset.
Me voyant peu assurée sur mes talons aiguilles, elle m’aide à me glisser dans une superbe robe de nuit fendue sur le côté qui laisse totalement découverte ma cuisse gainée de nylon.
Puis, elle rabat mon sexe vers l’arrière pour que je me sente plus femme.
Bouleversée par l’aspect érotique de cette lingerie, je ressens un plaisir indéfinissable à me contempler devant le miroir.
J’admire mes formes généreuses en prenant des poses suggestives.
J’aime me voir sangler dans mon corset qui comprime mes seins et fait ressortir ma croupe.
J’adore sentir la tension de mes bas quand je marche perchée sur mes escarpins.
Natacha s’approche de moi brûlante de désir.
- Tu as un cul d’enfer, s’exclame t-elle.

Arborant un sourire coquin, elle glisse habilement sa main dans mes dessous à la recherche de mon sexe enfoui entre mes cuisses.
Elle décalotte mon gland d’un geste précis et commence à me masturber lentement.
J’ai rapidement une érection spectaculaire qui m’enflamme les sens :
- Laisse moi te faire l’amour Natacha, lui dis-je en l’implorant du regard.

Elle me fait m’allonger sur une table médicale face à une glace murale en me murmurant à l’oreille :
- Je vais d’abord te faire découvrir de nouveaux plaisirs.

Avec une lueur d’excitation dans les yeux, elle place mes talons aiguilles dans les étriers en poursuivant d’une voix douce.
- Ecarte bien les cuisses ma belle.

Puis, elle m’attache solidement les poignets et les chevilles.
Je suis à la fois excitée et inquiète de me voir entravée de la sorte.
Contemplant mon sexe en érection qui jaillit par la fente de mon slip ouvert, elle s’exclame faussement en colère.
- Je vais devoir te faire jouir maintenant pour que tu puisses mieux résister au traitement que je te réserve.

Elle se penche sur moi en m’embrassant avec fougue pendant que sa main me caresse les cuisses à la jonction des bas.
Elle la remonte ensuite vers mes fesses en effleurant mon oeillet.
L’effet est prodigieux et ma verge jaillit de son écrin de dentelle en soulevant mon déshabillé d’une manière indécente.
Me lançant un regard brûlant, Natacha me masturbe lentement en plongeant son majeur dans mes fesses.
C’est une véritable experte des pratiques anales qui fait rapidement monter mon désir.
- Tu vois ma chérie, l’avantage avec une fille comme moi, c’est que je sais mieux qu’aucune autre te faire bander.

Avec beaucoup de maîtrise, elle gratte lentement mon frein avec son ongle en massant ma glande d’amour avec la pulpe de son doigt.
Ses caresses irrésistibles m’amènent au bord de l’orgasme.
- Tu vas jouir du cul ma belle, m’assure-t-elle.

Quelques secondes plus tard, un flot de semence blanchâtre sort lentement de mon gland et se répand en une coulée régulière sur mon corset et mes bas.
Avec application, Natacha presse mon périnée et ma queue pour recueillir mes dernières giclées de sperme dans sa bouche.
Je reste toute étourdie, les yeux mi clos et en extase pendant qu’elle achève de me vider.
Mettant à profit mon relâchement, elle poursuit la séance.
- Je vais maintenant m’occuper de ton clito et dégager l’accès à ta grotte, me chuchote-t-elle à l’oreille

Armée d’un rasoir, elle saisit ma queue en me lançant un regard ambigu.
Je frémis lorsque la lame glacée glisse le long de ma verge en supprimant toute pilosité.
C’est avec soulagement que je la vois se concentrer sur mon œillet qu’elle rase minutieusement en prévision de nos jeux.
Enfin, elle égalise avec soin les contours de mon gazon en sculptant un triangle parfait.
Satisfaite du résultat, elle abandonne son arme pour suspendre une poche plastique remplie d’eau à une patère placée au dessus de ma tête.
Soulevant mes bourses d’une main, elle me plonge une canule dans l’anus pour commencer le lavement.
Pendant que mes intestins se remplissent, elle me caresse le sexe en le faisant vivre et grandir entre ses doigts.
Le visage au niveau de ses hanches, je vois qu’elle ne reste pas indifférente à ce spectacle.
Plaquée contre son ventre par une forte érection, sa queue sortant de son string dépasse maintenant la hauteur de son nombril.
Elle se balance avec la régularité d’un métronome au moindre de ses gestes.
Complètement subjuguée, je la contemple avec surprise n’ayant jamais imaginé que Natacha puisse être montée de la sorte.

Cette fille superbe qui peut remporter de nombreux concours de beauté à un sexe vraiment impressionnant.
Après un bref échange complice du regard, elle le plonge dans ma bouche.
Je le pompe alors sans m’arrêter jusqu’à ce qu’un flot de sperme fuse dans ma gorge en éclaboussant mes lèvres.
Puis, elle se met à califourchon sur moi pour me presser le ventre et me faire évacuer dans un récipient toute l’eau que j’ai dans l’intestin.
Quelques instants plus tard, nous nous mettons tête bêche et je ne résiste pas à l’envie de lui titiller la rondelle pendant qu’elle commence à me sucer.
Prenant l’avantage, elle coince ma tête entre ses cuisses en la recouvrant de sa lingerie.
Je m’enivre alors des senteurs de jasmin et de patchouli qui embaument ses dessous en se mélangeant à l’odeur de sa peau.

A moitié étouffée, je suis au bord de l’orgasme lorsqu’elle interrompt sa fellation.
Sans me quitter des yeux, elle enfile une paire de gants lubrifiés.
Bien assurée sur ses talons aiguilles, elle se plante entre mes jambes en contemplant mon cul offert et sans défense.
- Je vais maintenant t’élargir l’anneau ma chérie.

Une vague de plaisir me parcourt le ventre lorsque son majeur se glisse dans ma grotte.
Sans hésitation, elle rentre très vite deux autres doigts en massant ma glande avec insistance.
- Tu mouilles beaucoup et tu es déjà bien ouverte, constate-t-elle étonnée.

Examinant attentivement mon oeillet, elle effleure les renflements qui le bordent.
Très vite renseignée sur mes pratiques anales, elle me dit :
- Je vois que tu as déjà pris des gros calibres et que tu aimes cela.
- Eh bien, tu vas être comblée ma chérie, s’exclame-t-elle.

Elle agite devant mes yeux un imposant gode noir muni d’un manche.
Le tenant à deux mains, elle l’applique contre ma rondelle.
Etant devant la glace, je la vois forcer mon passage en essayant sans succès de m’empaler.
Agacée après plusieurs tentatives infructueuses, elle me dit d’une voix ferme :
- Pousses fort ma belle.

La forte pression qu’elle exerce fait blanchir mon œillet qui cède d’un coup en laissant s’engouffrer l’énorme dard dans mes reins.
Je laisse échapper un cri qui surprend Natacha et l’arrête net dans son élan.
Puis se reprenant, elle continue à m’embrocher en tournant le gode dans mes fesses pour l’enfoncer plus profondément.
Maîtresse insatiable, elle s’active sans faiblir en fouillant les moindres replis de mon fourreau.
- Je vais bientôt t’exploser le clito ma belle, me dit-elle en se penchant sur moi.

Le contraste de son beau visage et de son langage m’excite au plus au point.
Déchaînée, Natacha me pilonne les reins jusqu’à ce que j’explose.
La pression de mon sperme est telle qu’il gicle en jets puissants sur mon visage.
Pendant mon orgasme, elle maintient le gode enfoncé jusqu’au manche en le sentant tressauter dans sa main à chacun de mes spasmes.
Excitée par ce spectacle, elle le retire d’un coup sec de mon ventre pour poursuivre ses jeux.
Elle brandit alors un mandrin encore plus impressionnant constitué de nombreux anneaux ayant un diamètre croissant jusqu’à la racine.
- Il va te donner des sensations fortes, m’assure-t-elle

Elle me le montre cyniquement sous tous les angles en le posant sur ma poitrine pour que je visualise ce qui m’attend.
Un moment plus tard, lorsque qu’elle l’empoigne à nouveau, je regrette fortement de ne pas pouvoir serrer les jambes, étant toujours écartelée et offerte à ses caprices.
Avec perversité, elle le fait coulisser un moment entre mes cuisses et l’inquiétude me gagne quand je le vois se rapprocher de ma grotte.
- Tu vas prendre un gode de sept cent grammes dans les fesses me souffle-t-elle à l’oreille en l’appuyant fortement contre ma rosette.

Elle l’enfonce à moitié dans mes reins en m’arrachant mes premiers râles de plaisir et de douleur qui la galvanise.
Je ressens une douleur lancinante qui s’amplifie au fur et à mesure que mes chairs s’écartent pour laisser le passage à ce pieu monstrueux.
Mes plaintes redoublent son ardeur et c’est avec exaltation qu’elle voit mon oeillet se refermer sur le dernier anneau.
Avec un certain sadisme, elle maintient le gode pressé contre son genou tout en m’embrassant pour étouffer mes plaintes.
Au bout d’un moment, elle le retire de mon fourreau en inondant mes fesses d’un gel lubrifiant et antalgique à l’aide d’une canule.
Puis, elle m’enfonce sa culotte en dentelle dans la bouche en me bâillonnant avec l’un de ses bas.
- Je vais maintenant passer aux choses sérieuses, me dit-t-elle en s’installant entre mes cuisses.

J’attends avec crainte la suite des événements.
Elle plonge ses cinq doigts lubrifiés dans mon ventre en les tournant pour les rentrer plus facilement.
- Laisse toi aller ma belle, tu n’auras pas mal avec le gel antalgique que je viens de te mettre s’exclame-t-elle en me sentant un peu nerveuse.

Agitée et déstabilisée, je tire inutilement sur mes liens pour me détacher.
Le corps en arc de cercle, je lui facilite involontairement la tâche lorsqu’elle pousse sa main dans mon ventre.
Elle me soulève avec son bras qui m’empale et bloque son coude contre la table d’examen en me regardant m’embrocher moi-même par le poids de mon corps.
Elle en profite aussitôt pour introduire son autre main.
Sans me quitter des yeux, elle me pompe la queue en godillant lentement dans mes fesses.
Fascinée, je vois dans le miroir mon anneau se refermer lentement sur ses poignets.
Natacha est maintenant très excitée et prend un plaisir pervers à me violer de la sorte.
Quand elle m’a suffisamment élargi le passage, elle retire une de ses mains et m’enfonce lentement l’autre jusqu’au coude.
- Je sens ton pouls battre dans ton anus, me dit-t-elle d’une voix altérée par l’émotion.

Puis, elle me masturbe avec un savoir faire étonnant jusqu’à ce que j’éjacule en jets puissants dans sa gorge.
Elle sent alors mes sphincters se contracter avec force sur son poignet en témoignage du plaisir qu’elle me donne.
- Je vois que tu as aimé cette séance car tu mouilles beaucoup ma chérie, s’exclame-t-elle en se retirant de ma croupe.

Peu après, elle me libère de mes liens et m’invite à prendre un cocktail bien mérité.
Au bout d’un moment, assise sur son tabouret, Natacha me décoche un regard torride en croisant et décroisant ses jambes avec une lenteur calculée pour me laisser entrevoir ses jarretelles.
Avec un regard en coin, elle fait crisser ses bas en frottant ses cuisses l’une contre l’autre.
Puis, elle soulève sa nuisette en me dévoilant sa longue queue dressée contre sa guêpière.
- Elle ne demande que tes caresses, me dit-elle d’un air suppliant.

Brûlante de désir, elle m’entraîne vers son lit.
- Fais moi l’amour, je n’ai aucun tabou, me dit-t-elle

Elle s’allonge sur le dos en massant mon sexe entre ses cuisses gainées de nylon.
Son regard se trouble lorsque ma verge luisante de désir, laisse échapper quelques gouttes blanchâtres sur ses bas.
Ne pouvant plus attendre, je lui dis d’un ton suppliant :
- Donne moi tes fesses ma belle.

Elle se met alors sur le ventre et m’offre son anneau qui se contracte avec la montée de son désir.
Natacha me fixe d’un regard de braise et se prépare à mon assaut en écartant ses globes à deux mains.
- Baise moi, s’exclame- t-elle.

J’écarte fébrilement la fente de son slip en la pénétrant d’abord lentement.
Une fois mon gland passé, je m’enfonce d’un coup jusqu’à la garde.
Etonnée d’être déjà complètement empalée, Natacha ferme les yeux pour savourer son plaisir.
Collée contre elle, je caresse ses seins sublimes en sentant ses bourses cogner contre les miennes à chaque va et vient.
Devant le contraste de cette fille hyper féminine et phallique, je bande comme un fou.
Très expérimentée, Natacha contracte ses muscles intimes sur ma queue en se trémoussant contre mon ventre.
Pendant un long moment, elle me comble de bonheur sans que je me lasse d’explorer ses reins.
Soudain, elle s’arrête et se lève pour retirer quelques objets d’un tiroir.
- Je reprends l’initiative et tu ne vas pas le regretter, m’annonce t-elle.

Elle me culbute sur le lit en riant.
Puis, elle m’enfonce l’une après l’autre des boules anales dans les fesses en me mettant un anneau pénien lorsqu’elle me voit en pleine mon érection.
Ravie du résultat, elle s’empale d’un coup sur mon sexe.
- Je le sens mieux, me dit-t-elle satisfaite.

Adoptant la position « en petites cuillères », elle se tortille sur mon dard en se mordant les lèvres pour retenir ses cris.
Très excitée, elle me souffle à l’oreille :
- Maintenant ne bouge plus.

Elle se balance lentement d’avant en arrière et presse ma queue avec ses muscles intimes qui deviennent une véritable pompe à sperme.
- Je vais jouir, lui dis-je d’une voix étranglée.

Aussitôt, elle tire sur le fil qui pend entre mes jambes et sort d’un coup les cinq boules anales de mon fourreau.
Je laisse échapper un cri de plaisir pendant que ma semence se déverse en flot brûlant dans son ventre.
Peu après, nous décidons de nous accorder un repos bien mérité jusqu’à ce que Natacha insatiable me demande de reprendre nos jeux.
Un sourire aux lèvres, elle se masturbe lentement sans me quitter des yeux.
- J’ai une forte envie de te baiser, me dit-t-elle.

Lorsqu’elle s’avance vers moi, j’ai les yeux rivés sur son sexe monstrueux qu’elle va me planter dans les reins.
Impatiente de passer à l’action, elle m’allonge sur le lit en plaçant un coussin sous mon ventre.
Elle contemple un moment mes longues jambes mises en valeur par mes escarpins, mes cuisses gainées de nylon et mes fesses encadrées par les jarretelles de ma guêpière.
- Tu as encore l’oeillet grand ouvert, s’exclame-t-elle.

Galvanisée par ce spectacle, elle me chevauche sans plus attendre.
Elle se masturbe un moment dans le sillon de mes fesses avant de pointer sa queue contre ma rosette.
Par jeu, je l’empêche de me pénétrer en tortillant de la croupe.
Sa queue gonflée de désir me pilonne sans trêve en cherchant à forcer mon passage.
Elle finit par arriver à ses fins en m’arrachant un cri de douleur.
Je m’ouvre alors au diamètre croissant de son pic à glace.
Allongée sur moi, elle me baise sous tous les angles dans un rythme effréné.
Sortant parfois de mes reins, elle se laisse retomber de tout son poids en m’embrochant jusqu’à la racine de son sexe.

Plaquée contre le lit, les seins écrasés sur le matelas, je me sens défaillir.
J’entends les claquements excitants de son ventre sur mes fesses tout en sentant ses attributs me fouetter les cuisses à chaque va et vient.
Lorsqu’elle s’arrête, je perçois mieux les pulsations de son sexe.
Décidée à lui porter le coup fatal, je mobilise mes muscles anaux entraînés à donner du plaisir.
Dans le même temps, ma main plonge entre ses cuisses et se referme sur ses bourses.
Je les tire en arrière pour décalotter son gland et provoquer une forte tension sur son frein.
Natacha essaye de m’échapper pour retarder son orgasme mais je me colle contre elle en me trémoussant habilement sur sa queue.

Elle ne peut plus résister à mon massage fessier et je sens la chaleur de son sperme fuser en moi par saccades.
Totalement assouvie et reconnaissante, elle m’embrasse à pleine bouche
Après un repos bien mérité, Natacha veut me faire une ultime gâterie.
- Prends moi une dernière fois, me dit-t-elle.
Nous sommes allongées sur le côté et je bande mollement mais suffisamment pour la pénétrer car son œillet est toujours grand ouvert.
Une fois dans ses reins, elle me demande de ne plus bouger et remonte un vibro le long de ma verge.
Lorsqu’il est bien en place, elle actionne le moteur en me couvant du regard.
J’éprouve un plaisir indescriptible lorsque je sens sa paroi anale vibrer contre mon gland.
La stimulation est trop forte et je tente de me retirer pour ne pas jouir trop vite.
- Reste dans mon cul, m’ordonne-t-elle en se collant contre moi et en amplifiant les vibrations du jouet.

Quelques secondes plus tard, je ne résiste plus à l’orgasme qui m’emporte en me vidant dans ses reins.
- A ton tour de m’exploser le clito me dit-t-elle en sortant le jouet de ses fesses.

Je le pose habilement sur son gland qui grossit sous l’effet des stimulations.
Peu à peu son désir monte crescendo et elle me supplie de conclure
- Fais mois jouir maintenant ma chérie, je ne peux plus attendre.

Malgré son souffle court, je retarde encore sa délivrance.
Soudain, elle se tétanise en libérant un flot de sperme qui inonde sa guêpière.
Epuisées par nos jeux, nous décidons de dormir ensemble.
Dans la nuit, me croyant endormie, Natacha me viole à plusieurs reprises.
A moitié réveillée, je la laisse me prendre dans toutes les positions.
Bercée par ses va et vient, je retiens difficilement mes gémissements de plaisir lorsqu’elle se répand à plusieurs reprises dans mon ventre.
Au petit matin, Natacha s’étire et cambre sa magnifique poitrine en me disant :
- Cette nuit, j’ai pu réaliser mon fantasme en te baisant plusieurs fois pendant ton sommeil.
- J’ai tellement déchargée dans ta chatte que j’ai du t’enfoncer un plug pour retenir le sperme qui s’échappait de tes fesses.

Nous restons enlacées en imaginant un autre scénario pour notre prochaine rencontre.


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