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Lola, la libertine

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Femmes coquines et infidèles près de chez vous :


Préface

Sa première pensée fut celle d’un exercice littéraire coquin ou d’un fantasme. C´est une histoire d´amour de plus étranges. Marisa Valverde avec un mélange de malice, de provocation et d’indécence. La femme part trois jours à São Paulo détaillés pour les occasions mémorables. Les pensées se bousculent. C’est fou comme le cerveau peu s’attacher aux détails dans des moments comme cela. Tout de même, difficile de ne pas être troublé, d’une certaine façon, cette organisation, cette rigueur ressemblaient bien à qui se met en scène. Un homme est une femme différente dans divers contextes et époques. Arrivent deux crimes. Le criminel la belle Marisa Valverde épouse d´écrivain Gilles Valverde qu´avait inspire d´une manière ou d´une autre un de ses livres, lui qu´a ses livres au moins des millions de ventes. Elle avait le trouvé dans un trou de rats. On craignait alors que la crise ne touche à sa fin, et que la ville ne sombre dans le chaos. Lola Melvitch, une vicieuse en sexe. Jamais un livre érotique ne vous donnera autant de plaisir, de en découvrant toutes ces costumes absolument incroyable.

Un

L´atmosphère est épaisse. Le temps était orageux et la mer déchaînée, La maison craquait sous les rafales que venaient du front de mer. Il ne pleuvait pas, Mais les nuages étaient sombres et massifs, Le ciel était menaçant, Mais ne semblait pas vouloir rompre. À l´horizon, Quelques rayons de soleil perçaient les nuages. Des faisceaux obliques épars éclairaient l´Océan et se déplaçaient poétiquement sur l´eau. La belle brune Marisa avait l´impression d´être dans un livre d´Agatha Cristie. Elle a sortit Son téléphone de la porche dans l´idée de trouver son mari, mais Il n´a pas de réseaux. Quelle tuile.
Autour d´elle tout était devenu normal comme avant. La majestueuse salle de séjour était intact, Exhibant fièrement toute des quatre coins du monde. La richesse indécente de son mobilier, de ses pentures accrochés aux murs, et de ses innombrables et luxueux bibelôs qui provenaient des quatre coins du monde.
Marisa Valverde, mesure 1m70, a les cheveux qui tombent sur les épaules, de couleur châtain clair. Ses yeux sont d’un vert émeraude magnifique. Ses lèvres sont d’une douceur exquise, sa peau douce. En effet elle est dotée d’une bouche pulpeuse soigneusement maquillée d’un rouge un peu trop vif. Son petit sourire espiègle est un avantage à sa beauté. Le physique n’est pas en reste. Ses seins sont ronds, fermes et doux. Un ventre plat naturellement, et des fesses rebondies. Elle s’était faite toute belle, sexy et à la limite de la provocation. Une petite robe courte de couleur rouge dont le devant pouvait s’ouvrir par de petits boutons dont elle avait pris soin de laisser les trois du haut ouverts. De cette façon, même si elle était menue, sa poitrine serait malgré tout visible par celui qui le voudrait. Les hommes qui se retournent sur son passage finissent par avoir des idées, et parfois des initiatives osées. Elle s’était découvert des dons et un penchant pour l’exhibition nisme et s’amusait à me provoquer dans divers endroits publics en croisant très haut ses cuisses ou en simulant de ramasser quelque chose pour dévoiler à tous les yeux bien placés une vue érotique de son entrecuisse. Marisa Valverde était heureuse de savoir que tous les hommes avaient envie de cette belle femelle, Toujours prête et disponible pour satisfaire ses mâles.
Marisa a toujours été extrêmement vorace sur le plan sexuel étant elle-même très vicieuse de nature. Elle est ce que l’on peut appeler une belle femme. La belle brune pense au sexe quasiment en permanence. En tout cas, c’est une obsession. La moindre évocation un peu connotée, son cerveau décroche et elle éprouve les plus grandes difficultés à se contrôler. Elle se met alors à chercher n’importe quel moyen de donner satisfaction à toutes sortes de pulsions. Ça peut être fatiguant parfois, mais c’est globalement une situation dont je me réjouis. Le mari s’en amuse et il ’en profite toujours au maximum. Elle lui raconte tout et on finit par baiser comme des maniaques.
Elle peut se permettre de s’habiller comme elle le souhaite, tout lui va. Les escarpins rouges choisis sont aussi du plus bel effet et montrent un contraste saisissant avec le noir et mettent en valeur l’ensemble, Elle s’était faite toute belle, sexy et à la limite de la provocation. Une petite robe courte de couleur rouge dont le devant pouvait s’ouvrir par de petits boutons dont elle avait pris soin de laisser les trois du haut ouverts. De cette façon, même si elle était menue, sa poitrine serait malgré tout visible par celui qui le voudrait. Les hommes la regardent dans la rue, la sifflent. les regards masculins se tourner vers elle. Certains osent des sourires, d’autres par leurs regards semblent et veulent lui montrer qu’ils la déshabillent. Cette situation ç’excite, Petit à petit, Marisa se faisait une fixation sur les mecs et laissait apparaître un certain enthousiasme à les voir. Sa chatte mouillait encore plus qu’avant. Elle avança, jouant de sa beauté sans que cela paraisse fait exprès, comme une prédatrice, féline à souhait. Et les hommes qu’elle croise, s’il ne leur a pas été donné de voir quoi que ce soit, ils peuvent facilement imaginer. Elle était belle et impudique. Elle est mariée avec un écrivain célébre Gilles Valverde, et un voyeur incorrigible. Depuis plusieurs ans qu´il sont mariés, Mari cocu... Ça l’excitait tellement que l’éjaculation ne tardait pas. En fait, l’idée de voir sa femme accrochée au pénis d’un autre homme l’envoûtait. Gilles avait tellement envie de voir Marisa faire l’amour avec un autre homme et qu’elle le fasse aussi régulièrement que possible.
Ces derniers temps, les soirées étaient plutôt monotones, les journées aussi d’ailleurs. Non que le train-train les engourdissait, mais ils n’étaient vraiment pas sur la même longueur d’onde. Elle en était arrivé à avoir plus de relations masculines qu’avec sa chère et tendre. Il a envie qu’elle rentre encore couverte de son odeur et pleine de son sperme. Jusqu’à ces derniers événements qu´il allait tenter de lui faire vivre, rien de particulier à signaler. Un manque de confiance en soi? En l’autre? Un abus d’imagination? Une paranoïa?
C´est un mari merveilleux qu´elle aime beaucoup, mais elle ne peut pas atteindre l´orgasme avec lui. Les choses semblent devenir plus ennuyeuses, fades et banales tous les jours. Qu´est-il arrivé à l´entousiasme, La surprise, Le plaisir et la folie qu´ils avaient avant. l’idée de voir sa femme coucher avec un autre homme l’a toujours excité. Il aimerait boire le mélange de sperme et de mouille de sa femme et la lécher passionnément. Il y a environ 6 mois, elle a fini par l’avouer que cette idée l’excitait et qu’elle s’était même plusieurs fois masturbée en pensant à un certain Jessé qui habite plus loin dans le quartier. Oui, sentir le mari ainsi galvanisé à l’idée d’être cocu. Au bout de quelques temps je pris l’habitude de demander à Marisa de lui raconter pendant qu´il lui faisait l’amour, ce qu’elle aimerait faire avec Jessé. Elle devenait terriblement excitée, son sexe mouillait et devenait encore plus chaud. Elle lui racontait à quel point elle fantasmait de le senti r poser ses mains sur elle, caresser son corps, se faire lécher, toucher son sexe et surtout de se faire prendre.
L’été dernier, Elle avait décidé d’aller passer une fin de semaine en vacances. Marisa Valverde avait réservé pour trois nuits dans un hôtel de luxe en São Paulo. La belle mariée met simplement une robe légère sans aucun sous-vêtement. C’est un plaisir qu’elle me fait depuis quelques années. Après avoir laissé tomber le soutien-gorge, elle accepte maintenant d’être également sans culotte pendant les vacances. D’ailleurs, Le mari croit qu’elle y a pris goût.
Alors, elle a commencé à préparer une valise pour le week-end et d´emporter une tênue sexy. Il est 13h et elle attend sagement à la maison. On sonne à porte une voie à l´interphone. Elle ouvrit grand la porte.

- Madame Valverde? bonjour madame”.
- Certainement.
- C´est votre chauffeur pour aller au aéroport.

Elle avait ouvri la porte d´entrée devant elle, un homme de coutume noir. Il lui demande après ses bagages. La surprise commence bien, une limosine. Elle indique as valise qu´il prend et l´escorte vers la voiture, Ils arrivent au terminal1 “LATAM” sûrement. Alors son portable sonna. C´est Gilles son mari.

- Tu es où, chérie?
- En chemin d´aérorport.
- Marisa, une question de pure curiosité . C’est vraiment si important? Tu vas me faire être cocu n´est pas?
- Tu veux que je m’offre à autre? Tout ce que tu veux ? C’est à dire? Tu es sûre que ce serait un cadeau? répliquait-elle en riant.
- Pourquoi pas? Eh bien, réaliser un de mes fantasmes, par exemple….
- Chacun porte sa croix. Tu sais ce que j’ai dans la tête… Oui et je te préviens, j’aime aussi en dire. Lorsque je suis excitée, je ne me retiens plus. Mais pas d’insultes ou de vulgarités. Je sui prête. Je vais t´aider.
- Tu as pris une tenu sexy?
- Plusieurs, mon amour. Bon, je me suis décidée… dit-elle.
- Je t’attends, mais écoute-moi bien: je veux une preuve de ta sincérité.
- Une preuve de ma sincérité? Je ne comprends pas.
- Tu porteras une robe ample et… Pas de culotte en dessous.
- Hein? Ça veut dire quoi? Tu ne serais pas un peu pervers?
- Je ne pense pas : aurais-tu porté ton choix sur un pervers? Une robe large et pas de culotte.
- Tu peux m’expliquer? Je n’ai pas compris ce que tu entends par preuve de sincérité.
- Tu vas tout de suite comprendre.
- Pendant vos ébats, je vais filmés tout avec une caméra cachée.
- Superbe, mon amour. Les mots sont comme de la musique! Je vais me masturbé comme un fou, Tu sens comme c’est bon, ça? Et tu penses à une belle queue bien dure? Tu veux lui dire quel est l’un de tes fantasmes les plus secrets?
- Oui, bien sûr, mais je dois t’avouer quelque chose. J’aime ça, avoir plus d’une bite… Être baisée pour un énorme Black. Je revê avec une bite noire. Alors, tu dois être au courant de…
- OK, bonne idée. Je la trouve un peu folle. Tu veux me faire ce plaisir, le temps que nous sommes toujours ensemble…?

Elle arrivait à São Paulo. La ville grise et bruyante, la journée, la foule, des touristes se melaient aux flux de voitures. Sur fond des klasons et pollution, mais quand tombe la nuit tout s´éclaire, tout s´apaise sur la metrópole. Elle offre toutes possibilites, les rues s´illuminent, les théâtres et les restaurants prennent vie. À la course de la journée s´impose le vertige dessorties. Les néons verts dansent au rythme des classiques. Le portable d´elle sonna:

- Tu fais quoi? Je t’attends.
- J’arrive à São Paulo, j’arrive! Je pense que oui, elle sera bonne notre soirée. Excellente même. Oui, je suis ta salope.
- Je crois que c’est le moment d’ouvrir ton cadeau.

Son côté exhibitionniste s´éveille elle s´imagine déjà à sa place. Le sexe est omniprésent dans sa vie il occupe des pensés d´une façon qu´elle qualiierait de maladive qui obséquiéuse suspecte qui cachait mal leurs véritables intention. Marisa était habillé d´une petite robe en tout cas plus coute que ce qu´elle porte d´habitude qui laisse apercevoir ses bas quand elle se pense un peu trop, rien de mieux pour exciter les mecs, Elle savait qu´ils adorent ça. Le décolleté est impressionnant, elle se porte sans soutien-gorge. Elle laisse deviner sa poitrine et bien sûr, ses chassures avec la fameuse semelle rouge. Elle avait l´impression de debarquer dans autre monde, à tel point qu´elle fut passe d´un vertige, un mélange d´excitation et appréhension. Dans la réception um jeune homme la dévore du regard. Elle avait registres des regards vicieux, leurs grimaces complices et leurs expressions suggestives que cachent mal leurs esprits pervers et etc... La soirée avait plutôt bien commencé, Comment aurait-elle ce douter qu´elle tornerait bientôt un tel désir de son mari être cocu? Elle était tout excitée à l´idée, de cette fois serait peut-être la bonne. Quelle soirée, quel spetacle.
Dans l´entrée d´hôtel le portienr la salue d´un bref mouvement de Tetê, puis laissa errer son regard sur le décor. Plusieurs miroirs aux encadrements lumineux fluos réfléchissaient um comptoir longeant le mur central derrière lequel elle voyait quelques clients.
Dans l´hôtel Marisa claque la porte dernière elle pour valser ses escarpins. Défit son chignon la chevelure que chuta en cascade le long de ses rins. La belle brune déboutonna sa robe, dévoilant une poitrine haute et ferme. Libéres, les mamelons durcirent, Alors, elle passa à la salle de bain pour se mettre à son aise.
Fière de son corps, Le miroir offrait la vue une image désirable, des fesses ronds, une taille fine, ses hanches bien déssinées et dês seins magnifiques. Mais était-le suffisant pour avoir une vie sexuelle complete et épanouie? Hèlas, non. Elle charchait une jouissance profonde, pure et sauvage. Celle qui hasse une femme pantelante et amoureuse. Son corps ne réagissait aux solicitations que de manière méchanique. Marisa se sentait forte, invensible et... En manque de sexe. Marisa est une femme au charme incroyable et à la sensualité à fleur de peau. Une recherche systématique, elle voulait une aventure. Maintenant elle parle avec son mari voyeur au portable. Il veut savoir tout d´elle.

- Tu penses le trouver comment, cet étalon?
- Il y a plein de possibilités pour une femme décidée à tromper son mari. Je peux aller en cinema. porno, me faire draguer.
- Ça commence à me plaire tout ça. Et ça ne te gênerait pas de sucer plusieurs bites?
- S’il le faut, je le ferai. Si son désir l´exige je ne peux te refuser ça, fais donc si cela est ton désir.
- Tu dois y aller sans culotte.
- Tu es fou, je ne peux pas me promener sans culotte. Comment ferait-il pour s’en rendre compte?
- Pourquoi pas? Pour lui, je suis sûr qu’il aimerait bien tout voir. Tu serais sûre de lui plaire! Ça, je sais que ça t’exciterait, tu m’as déjà dit que tu aimerais que je me branle pendant qu’un autre te baise.
- C’est vrai, c’est un de mes fantasmes, tu vas te masturber alors? Tu veux vraiment qu’il me prenne? C´est une drogue bien douce. J’aime le sexe.
- Plus tu parles, plus tu me excites . Je serais curieux de entendre à través de son portable ça, oui. Alors là, je vais bander comme jamais.
- Mon propre mari qui me dit d’aller me faire foutre! La longueur des cornes de mon mari est proportionnelle aux sexes des mes amants.
- Oui, va te faire foutre, puisque tu en as envie.
- Tu as tout à fait raison. Quitte à me faire baiser, autant que ce soit vraiment à fond. Je sortirai le grand jeu. La question est de savoir avec qui.
- Tu es folle! tu auras de la chance. Tu verras, tu pourras me faire jouir facilement si tu sais y faire.
- Sois plus claire... N’essaye pas de me faire peur, ma décision est prise. C’est vrai qu’il y a un risque, mais je serai prudente. Pourquoi pas! Tu serais curieux d´entendre tout.
- C´est d´en profiter tant que tu veux.


Leur jeu devient de plus em plus enivrant du fait qu´elle ne soie plus genée de désirer aussi la liberté sexuelle. C´est une sorte de jeu pervers que lui procure un mysterieux bien-être difficilement définissable. Un mari qui devient progressivement voyeur de ses propes formes. À chaque fois le plaisir est intense et le désir l´envahit, son coeur bat à chamade pour s´échaper au tsunami qui prend possession de son corps. Maintenant, il se déconnecte de la réalité pour vivre son voyeurisme. L´épouse se fait baiser par autre serait toujours la solution. C´est une fantasme que lui poursuit.
Sur le moment, pauvre de lui, il ne cherchait qu’à provoquer sa tendre et fidèle épouse, l’idée qu’elle puisse passer à l’acte me paraissait tellement irréelle et improbable. Gilles doit même l’avouer, Il était excité par cette image de sa femme se donnant à un autre, Il avait toujours eu le fantasme de la partager dans un trio avec un autre homme, c’était un fantasme, un délire qu´ils évoquions ensemble souvent en faisant l’amour.
L’atmosphère étouffante invite beaucoup de gens à flâner et à siroter une boisson fraîche aux terrasses des cafés, à l’ombre des parasols. Tu portes une légère robe d’été sans rien dessous, excitante à souhait dans ses chaussures à hauts talons. Rien que de la regarder marcher dans la rue cela trouble tous ses sens et nombre de regards la déshabillent. Le vent qui pénétrait dans son entrejambe sur le trajet aura au moins eu la vertu de refroidir le feu qu’elle a ressenti dans son ventre. Des flashs, comme des images de films pornos, défilaient dans sa tête. Sa jeunesse a quand même été bercée dans un climat d’interdits et d’hypocrisies. Bien sûr, parfois, il se passe bien des choses dans un ciné porno, d’ailleurs, souvent le spectacle est dans la salle et pas sur l’écran… Elle pénétrait dans la ville en sous-terrain sans l´apercevoir. La femme est habillée sexy. Elle s’aperçut très vite du regard des hommes, certains regardaient les seins. Tout juste avait elle eu le temps de voir l´avenue Paulista et le quartier chic, les jardins avec ses immeubles en briques rouges habillés d´escaliers de secours métaliques.
Une femme est plutôt forte, grosses fesses, grosses cuisses, mais assez grande et un beau visage de brune, surtout l’été où ses cheveux noir naturellement, de très gros seins, lourds, qui sans le soutien-gorge s’étalent magnifiquement en tombant sur le buste. Elle baissait la tetê car ses cheveux flotaient dans tous les sens. Cela la fit rire.
Un peu stressée, elle se décide à entrer dans le complexe cinématographique pour y acheter une place. Alors elle allait entrer dans un cinema pornô. Elle était devant le cine pour voir Le dernier film sortit ce mercredi. Marisa s’insère dans la file d’attente. Marisa voulait se faire prendre comme une chienne dans le cine. Dans la file, l’attente n’est pas très longue. Marisa allait suivre dans le couloir qui menait à la salle de cinéma. C’est une belle et ronde brune. Elle porte une poitrine lourde et blanche et une paire de fesses très généreuses, que ses petites culottes ont en général le plus grand mal à contenir. Elle a pris un billet pour la première salle et ne se souvient même plus du titre du film.
Assise dans un confortable fauteuil en cuir turquoise, jambes croisées, Marisa observait le hall du cinéma. Elle se sentait encore plus observée. Ce cercle du plaisir lui donnait chaud. Elle espérait que tout ce monde n’allait pas se retrouver dans la même salle qu’elle. En accord avec les règles du jeu, elle avait choisi sa tênue trop sexy. le décolleté en V laissait apparaître discrètement la naissance de ses seins. Jambes sublimées par un voile rouge semi-opaque. Escarpins à talons fins en daim noir. Cela fonctionnait à la perfection. Elle sentait le regard des hommes se poser sur elle. Cette mise à nu publique, accompagnée de la perspective de ce qui pouvait se passer dans l’obscurité, lui fit durcir les seins. Elle fut rassurée quand une salle s’ouvrit et draina vers elle la quasi-totalité des gens présents dans le hall. Après quelques minutes supplémentaires d’une attente qui la rendait fébrile, l’accès à leur salle fut enfin autorisé. Elle regarda un par un les hommes qui pénétraient dans la salle. Ses pensées la firent rougir.
La climatisation de la salle serait salvatrice. La pièce agencée avec un grand écran circulaire avait de belles dimensions, une sorte de petite pente, façon gradins de cinéma avec d’énormes fauteuils très confortables qui tendaient les bras. Ça y était. Elle avait entré dans le décor de leur machiavélique plan exhibo-érotique. La salle est immense et il n’y a presque personne. Elle se sent bien, à l’abri des regards.
La salle déjà plongée dans une demi-pénombre, il n’y a pour l’instant que quatre personnes. Elle était plongée dans l´obscurité. Marisa a décidé de se mettre à l’avant-dernier rang. C’est de là qu’elle distingue parfaitement la totalité du grand écran. Le film va bientôt commencer et elle pressent que ça ne va pas la captiver. La plupart des hommes séduisants étaient accompagnés, et les rares solitaires qui se présentaient à la caisse faisaient de bien improbables amants. À chaque fois son plaisir de s´exhiber l´l´envahit. Il est intense, réel.
Elle s´installe insidieusement dans un jeu de séduction tellement excitant difficile d´envisager. Un coup d’œil furtif à droite puis à gauche et à droite pour voir si personne ne la remarque, un gros bonhomme black prend ses aises, un énorme cornet de pop-corn en main, Dès que leurs regards se croisent, Elle reste littéralement figée par la beauté de cet Black. Tous les poils de son corps se redressent et son coeur bat la chamade. Il est quand mêmetrès séduisant. Marisa portait une robe courte avec un décolleté intéressant. Il suppose que ça doit être sa proie! En arrivant au fauteuil choisi, avec de grands gestes elle qui a eu pour effet de laisser remonter sa rone juste assez haut pour prouver qu’elle ne portait pas de culotte. Sans dire um mot alors, Il déboutonne lascivement un a un les boutons de son pantalon la regardant et dévoilant progressivement sa bite noire dressé. Maintenant le Black exhibe une énorme bite noire à elle, La brune regarde, plus le stress augment e, La boule à l´estomac ne fait qu´augmenter. Elle savait que le futur de son mariage était lié à cette aventure. Après quelques minutes elle se sent de plus en plus à l´aise. de plus Puis elle se bloque dans le fond de son fauteuil. Marisa sentit une décharge d’adrénaline parcourir son corps. Elle lui lança un regard provocateur, jeta un œil sur lui. Marisa lui regarde avec désir mordillant la levre.


- Ça vous plaît de me regarder, Madame? Je peux continuer? Vous voulez que je continue? Demande le mec.
- Ah, vous êtes devin? Faites comme vous voulez. J’ai lu dans un magazine que les hommes aiment les mots crus. Et on est entre nous. Alors fais pas ton bourge. Montre-moi ta grosse queue!

Et ne remarque pas beaucoup plus les deux ombres se rapprocher d’elle, de part et d’autre. Mais il sent bien que deux personnes s’assoient, de chaque côté d’elle. Elle n’ose pas les regarder, avec ses lunettes elle a trop peur d’avoir l’air débile. Mais elle sent la chaleur de deux mains se rapprocher de ses deux cuisses. Elle peut presque les sentir maintenant. Doucement.
Qui ne risque rien n’a rien… Sans cesser de regarder l’écran face à elle, Elle tourne un peu la tête vers lui, tout en souriant, sans amorcer le moindre geste. Marisa voisine croise et décroise ses jambes, afin qu´il puisse mieux les admirer, ce que il fait. Ses mains effleurent sa peau. Et les deux se rapprochent dangereusement de l’intérieur de ses cuisses. Elle sent la chaleur reprendre de plus belle dans son ventre. Les mains remontent, lentement, jusqu’à arriver à quelques centimètres de son con, maintenant tout trempé. Elle sent déjà presque les doigts caresser ses lèvres, quand ils rebroussent brusquement chemin, retournent vers le genou, glissent délicieusement sur ses mollets, sur les chevilles. Elle veut du sexe, elle en aura. Puis il se dégagea et lui prit la main pour la placer sur son sexe. Elle sentit qu’il bandait.


- Vous bandez très fort, cher monsieur, chuchote-t-elle à demi admirative.
- Ne faites pas la bourgeoise. Vous avez la chatte mouillée, pas vrai ? Disons que ça vous excite de me regarder me branler. Vrai? Dit-il, sans cesser son lent mouvement sur sa verge.


Mariée à un homme qu’elle aimait. Elle allume son portable et parle avec son époux. Gilles Valverde, époux de Marisa avait pour l´habitude de s´arrêter là en fin d´après-midi.

Pour ajouter à son plaisir, il fait un temps sublime: juste un petit nuage pour faire beau, la température oscille entre 18° et 20° au lever du jour, 30° et 35° au plus chaud de la journée. Il s´installé à la terrasse d´un bar situé à l´angle de la rue Leblon et de la rue Florida. Dans son champ de vision. Il découvrait sur sa gauche l´enfilade de murs d´une FAC, surmontés pour la coupole de son horloge, et à sa droite l´église de Saint Sebastien. Il déposa sa serviette sur la chaise voisine de la sienne et déplia le journal du soir qu´il venait d´acheter. Le temps passe, pas de coup de fil. Il regarde stupidement le combiné téléphonique qui reste désespérément muet. Tout cela me semblait si improbable, impossible même.
Il était perdu dans ses pensées quand son portable avait sonné. Il était trois heures de l’après-midi en Búzios et pourtant il faisait déjà presque nuit… Dans ses ruele étroites et sinueuse comme une falaise. Par la suíte elle restreingenait son intérêt par les pratique du sexe et à des flirtes sans importance avec hommes mariés. Le ciel était lugubre comme son compte en banque, une fine bruine détrempait tout la réaction fut immédiate... Son épouse libertine en São Paulo et il était préocupé... Mais Il sont en parfaite harmonie C’est dingue, cette complicité . À partir de ça, la sexualité devient plus intense, inventive, et à ce moment. Le mari y prend un grand plaisir. Par lui Marisa était une émeraude épanouie et resplendissante dont la pureté illuminait ses jours et ses nuits. Par elle l´amour est un jeu presque frivolité. Elle s´amuse à parcourir tout la gamme des plaisirs, seule deux ou à plusieurs abusant de son beau visage faussement naïve pour duper les plus ex perientes.
Elle divaguait dans une réelle cruauté des relations interdites, cachées et méprisable. Elle se vit dans l´inconscience de sés pervers désirs irréalisables. Il en a fallu des convergences pour que cela se produise. Marisa Valverde avait un regard fixe, inexpressif et froid. Elle observe toujours avec la patience d´une pédatrice qui attend son heure. Elle devient alors aérienne et légère vers tous les admirateurs que l´entourent. Elle est une femme belle et feline. Cette obsession de jouissance extrême, de son atitude provocatrice. C´est une déesse que les dieux l´ont envoyée pour explorer enfin l´infini du ciel et da galaxie.
Immédiatemnt il sort du bar pour parler au privé avec son épouse. Ill allait à sa grande maison des années 80 près de là. Il savait qu´elle avait des choses intéressants à lui dire.

- C´est mon mari voyeur qui veut en participer... Chéri, je suis à São Paulo dans un cine pornô. Cela faisait tellement longtemps que tu me le demandais. Je pense que ça te plait. Ça marche. Je suis toute mouillée. Ça marche, dit-elle.
- Devant ton mari?
- Oui, au contraire, ça m’excite pas mal de faire des cochonneries devant mon mari, pas toi?
- Oui, c’est vrai, mais je ne pensais pas que ça allait se passer comme ça.
- Énormement. Allez, ma belle, profite. J’aimerais que tu ailles bosser habillée comme au cinéma… Comme ça… Juste pour me faire plaisir. Dans un cinéma cela n’aura jamais de véritables conséquences puisque ici, personne ne te connaît. Révéle-moi tout... Tu feras ce que tu veux comme tu le veux. Personne ne te connaît et t’en auras rien à foutre si par malheur tout cela venait à se dévoiler. Tu peux m’en dire plus?
- Tu es merveilleux, je suis très excitée. J’ai peur un peu aussi. Bel homme, Ses mains fortes m´obrigeaient à me frotter contre sa queue qui semblait éclater et Il a attrapé ma chatte, chéri.
- C’était comment, raconte-moi… Je n’arrête pas d’y penser. Tu n’as rien en dessous?
- Comme tu aime. Tu es un homme fantastique. Je t’aime et tu me rends heureuse.
- Sérieusement? Qu’est-ce qui t’arrive, aujourd’hui. Ça te plairait, vraiment?
- On verra… Tu veux que je continue?
- Bien Sûr... Et je serais fou de m’opposer au désir d’une femme comme vous, avec la soif sexuelle qui vous fait perdre la tête? T’es vraiment extraordinaire, Marisa. Vous ne pouvez pas vous masturber? Demanda le mari.
- Je ne pouvais presque respirer. J´ai respiré son odeur.
- Mon érection est rendue douloureuse par la vision de votre corps. Vous me faites un effet du tonnerre. Mais si vous préférez, je peux aussi vous baiser. Vous préférez que je vous fasse l’amour plus doucement? Je sais faire aussi…
- Tu as promis, ma belle: maintenant, il faut assumer. Prends-le, ma belle épouse; c’est pour toi qu’il est dans cet état, dit le mari.

En réalité, mon cœur battait la chamade, ce mélange d’excitation, de peur, de jalousie, Il fut ravi de cette initiative. La sensation est une nouvelle fois intense. Elle était três excite. De son côté, Tout naturellement, il fus pris d’une belle érection complètement nue et libre dans son pantalon. Un type s´exhibe à elle pourtant les yeux d´elle toujours rivés à l’incroyable colonne de chair. Cependant, elle restait les yeux fixés sur l’énorme engin, Il lui fit un clin d’œil.
Elle regardait, fascinée, le visage troublé. Il avançait maintenant son bassin vers elle, se branlant d’une main et caressant de l’autre ses couilles, qu’il avait prestement extirpées de son slip. Deux grosses boules pleines, à la mesure du reste. Il palpait ainsi les gros seins à travers le tissu de la robe, puis descendis la main entre ses cuisses ouvertes pour caresser sa motte moite. L’intérieur des cuisses que la belle écarta progressivement, jusqu’à ce que ses lèvres intimes s’entrouvrent sur de voluptueuses profondeurs.

- Tu aimes vraiment ça, on dirait!
- C’est vrai ; je n’aurais jamais pensé que je pouvais jouir de cette façon. C’est ça, j’ai pris le risque, mais il ne faut pas jouer avec le feu.
- Tu es vraiment une sacrée garce. Et ça te fait toujours le même effet?
- Je ne sais pas, à vrai dire, c’est la première fois qu’un homme me fait ce que tu viens de me faire.
- Tu me rends fou, tu as des nichons sublimes, une chatte plus que bonne.Tu es magnifique. Je vais te baiser tout de suite.

Marisa a jeté un coup d’oeil vers le mec: elle avait le souffle court, le regard fixe et vitreux, rivé sur le bel engin. Inconsciemment peut-être, ses lèvres s’étaient entrouvertes, comme mues par un désir de succion avec une étrange fascination. Avec Le portable allumé Gilles entend tout en se masturbant.

- Ma chérie, tu aimes te faire baiser comme ça? Ça m’excite terriblement, mais je veux que ça te plaise aussi. Vas-y, je t’écoute, provoque le mari.
- Alors, machinalement, j’ai tourné la tête vers lui et alors là, j’ai eu le plus gros choc de ma vie! En effet, je regardais effrontément sa bite, lui, tout en se branlant.
- Tu aime ça, les grosses bites. Elle est belle, hein! lui demande le mari.
- Monstrueuse! Si, je te jure! Enorme! Tu aurais bien aimé voir ça. Tu as peut-être raison. Ta grosse bite, est bien longue et bien raide.
- Prends-la en main, chérie, Branle-le.
- Franchement ça t’a plu? Tes désirs sont des ordres. Qu’elle est grosse et dure! a ajouté sa femme, dans un souffle.
- Une vraie diablesse, dit l´époux.

Comme si elle avait lu ses pensées, À nouveau, à l’écran, une scène érotique est projetée. Elle fait monter en moi encore plus d’excitation. Les personnages font l’amour dans le lit de l’homme. Il n’est pas forcément très tendre avec la demoiselle. Elle ne semble pas s’offusquer pour autan, Alors, elle lui demanda:

- Vous avez bien aimé ma queue, pourtant.
- Elle est belle, ta queue…
- Et elle est assez grosse pour vous, alors?
- Presque trop, oui. J’ai cru que tu allais me déchirer.
- Je peux la sucer?
- Oh oui ! Vas-y, ma chérie, pompe-le!
- Oui, suce-moi, a renchéri le bonhomme.
- Mon mari est d’accord. Que c’est bon… Que c’est bon! Ça t’a plu?
- C’était parfait !
- Je suis tellement heureuse de te donner du plaisir.
- Pourquoi tu t’arrêtes?
- J’allais jouir. Attendez un peu. Je suis trop excité.
- Tu nous entend petit cochon? Je vais te montrer comment faut la baiser ta bonne femme dit le Black.


Elle s’activait maintenant avec plus de vigueur. Ses deux mains, du coup, couraient sur l’incroyable colonne de chair. son regard trouble était rivé sur le magnifique pieu et surtout, ses lèvres, comme entrouvertes, témoignaient de l’envie qu’elle semblait avoir de la sucer. Elle mouilla beaucoup ses lèvres et de sa salive lui coula sur la tige… Cela scintillait avec les faibles lumières de la salle de cinéma. Alors... Agenouillée maintenant, le visage à la hauteur du gros chibre, la bouche béante, comme prête à l’avaler, elle se déchaînait comme une hystérique sur l’objet de son excitation. Quelle sensation curieuse et troublante que d’observer ainsi sa femme, l’être le plus cher et le plus intime, agenouillée de la sorte devant un autre homme, pratiquant sur lui ce qu’il est convenu d’appeler une pipe! Quels sentiments étranges et complexes peuvent pousser un mari à offrir de la sorte sa femme à un autre, pour y puiser un intense plaisir! La voilà totalement décomplexée, féline comme jamais, chienne comme jamais, à sucer cet étranger avec autant de vigueur et de passion. Plus rien ne comptait, semblait-il, pour elle, que ce plaisir qu’elle prenait à s’enfoncer profondément la bite gonflée. Sa bouche, maintenant distendue, s’efforçait d’en avaler le plus possible, dans un bruit de succion de plus en plus sonore. Puis des bruits divers, froissements, chuintements, lui parvinrent. Les gemissements remplissaient les oreilles du mari d´autre côté de la ligne.

- Oui, vas-y! continuait à grogner le type. Ah! C’est trop bon! Vas-y! Dit le Mec.
- Oui, ma chérie ! Régale-toi bien! Mange-la toute! Suce-la profond! Lèche-lui les couilles, suggére le mari au portable.
- Quelle pompeuse, renchérit le bonhomme. Le mari entend d´autre côté.
- Qu’elle est bonne! Qu’elle est grosse, Mais ça va me dilater. Ce serait plus prudent en effet. Et tu resteras mon seul vrai amant, celui qui a le droit de jouir dans mon ventre et de me remplir de sperme, dit l´épouse.
- Promets-moi d’arrêter si je te le demande.
- D’accord, c’est promis. Je ne sais pas si je vais te laisser aller jusqu’au bout, il me déchires. Je sens ta queue énorme pour ce passage.
- Tu m’avais promis d’arrêter si je te le demandais.
- Bien sûr que je la sens, et profond. C’était trop bon, je ne pouvais plus me retenir.
- Pour la première fois, c’était dommage de ne pas tout te mettre au fond, non? Ça t’a plu?
- J’ai eu très mal, surtout au début. Ce ne serait pas désagréable sans cette douleur. Après en fait, j’ai bien aimé, ce qui m’a surtout plu.
- Je suis content pour toi. Ça m’a rendu fou.
- Tu es vraiment un des meilleurs coups que je connaisse, tu sais, une vraie chaudière. Sa chatte me rend dingue. Je ne sais pas si c’est très normal d’aimer la bite à ce point, dit le mec.
- Il me regardait, mon mari, alors que l’homme me proposait sa verge pour que je le suce.
- Il me regardait, le cocu, alors que l’homme me caressait le minou.
Il me regardait alors que je recouvrais la bite inconnue d’un préservatif.
- Tu n’as pas aimé? Il ne te plaisait pas?
- Si, mon Chéri, c’est juste que j’avais peur que tu n’apprécies pas.
- Je veux que ces hommes me fassent jouir. Je veux voir avec la jouissance qui vient.


Sa fente était gluante de mouille. Sa caresse a dû multiplier ses sensations, car visiblement elle se déchaînait à présent comme une folle sur le gros truc tendu. Et Le mari se branlait frénétiquement en imaginant la scène.

- Tu veux que je te la mette maintenant?
- Oh oui, vas-y, maintenant, je suis en feu.
- T’es super bonne! lui dit-il en la regardant. Je vais bien te récompenser.
- Oh putain, c’est bon s’exclame-t-elle.

Il a pris sa femme par les hanches. Elle a eu peur, du coup: n’allait-il pas la déchirer? Comment un engin pareil allait-il pouvoir entrer dans sa petite chatte juteuse? Ca ne semblait pourtant pas être une inquiétude pour sa chérie. Au contraire, même: il se sembla qu’elle s’était cambrée davantage, pour accueillir plus aisément l’énorme biroute! Elle avait alors imaginé avec trouble l’engin écarter les lèvres gonflées du minou de sa cochonne d’épouse. Elle sent son gland passer ses lèvres et s’enfoncer puissamment, elle mord ses lèvres pour étouffer un cri de jouissance; et ce n est que le début de ces coups puissants, elle le sait.

- Mon Dieu. Comment est-ce possible? Il m’a pénétrée lentement, sans effort, et ce mandrin que j’ai sucé s’est glissé en moi, dans mon plus intime, écartant mes chairs avec une facilité que j’aurais cru impensable.
- Continue... Continue, mon amour, dit le mari.
- Défonce-moi encore! Mets-moi ta bite bien profond! C’est trop bon ! Ohhh…
- C’est pas possible! Il va la déchirer imagine l´époux.
- Je pourrai vous jouir dans la chatte?
- Non. Pas de ça.
- Très bien. Je respecte.
- Je vais crier. Oui, met la moi. Je n´ai jamais, pris autant dans ma vie. Entend le mari d´autre côté.

Mais en même temps, je regardais avec fascination la lente mais certaine progression de la grosse queue dans l’étroit fourreau de sa chérie. Sa chatte gourmande s’offrait sans remord à la pénétration monstrueuse! Elle hurlait sans retenue maintenant. Son vagin élastique acceptait sans difficulté l’étonnante pénétration. Ses mains crispées sur les hanches voluptueuses de son épouse, il s’enfonçait pratiquement tout entier. De son côté, à entendre sa femme ainsi baisée, à l’entendre ainsi hurler son plaisir, Il prenait un pied fou. Il se branlait comme un forcené.


- Oh oui, c’est bon, trop bon. Tu aimes, mon amour?
- Oui! Elle est bonne, sa queue! Tu te régales! Vas-y, baise-la bien! Défonce-la! Dit le mari d´autre côté de la ligne.
- Et toi, le mari, tu es d’accord? Ton mari a raison, tu as un con de reine, tous les mecs qui te passeront dessus te le diront.
- Fais ce qu’elle te demande, vas-y, baise-la, jouit dans la chatte et remplis-la de foutre puisque c’est ce qu’elle veut.
- Tu es un gros salaud, tu sais, dit Marisa.
- Tu entend mari cocu, elle est bonne, ta copine, sa copine aime… Une vraie… Une vraie petite chienne… Elle aime ma queue!
- Bien sûr qu’elle est bonne! Dit Marisa.
- T’entend, mari cocu? Baise-moi… Baise-moi bien fort, disait-elle.

Le pubis du gars, maintenant, claquait régulièrement contre les fesses de son épouse adorée. Les cris allaient crescendo. De multiples orgasmes semblaient secouer sa femme. Elle sembla trembler de tout son corps. Elle poussa un cri d’extase, comme une déchirure de tout son être. Lui aussi semblait s’être laissé aller à jouir. Agrippé aux hanches charnues, il s’épanchait maintenant à longs jets dans l’intimité de sa femme, Pendant un moment, ils sont restés comme soudés l’un à l’autre, comme pour prolonger le fort plaisir qui les avait unis. Puis, comme au ralenti, Bientôt son amant s’abandonne lui aussi dans un spasme qui tend sa verge dans son vagin et l’inonde d’un liquide épais qui s’écoule entre ses cuisses. Le mari a imaginé le sexe encore gonflé s’extraire doucement, comme avec regret, du ventre de son épouse. Marisa se tordait comme sous une violente décharge électrique, elle cria, cria, se tendit comme un arc et retomba inerte. Pendant un long moment, leur respira tion tout comme la sienne resta haletante, puis se calma peu à peu. Les choses ont été très rapides, alors.


- Vous êtes très jolie, et vos jambes toutes bronzées sont splendides, dit l’homme.
- Tu m’as baisée magnifiquement, tu sais. J’ai joui comme une folle. Je viens de connaître l’orgasme le plus violent de toute ma vie! Je n’arrive pas à croire que j’ai réalisé mon fantasme avec toi et avec mon mari.
- Merci mon vieux, merci de partager ta femme avec moi, je suis content de la baiser.
- Oui! Vous êtes deux beaux salauds… mais j’aime tout ce que vous me faites. Au fait, tu as aimé le film? Demanda le mari.
- Quel film? Vous n’avez tout de même pas l’intention de me faire mourir de plaisir? Tu sais, la magie n’agit pas avec tout le monde. Je suis bouleversée par l’instant d’érotisme que nous vivons ensemble.
- Sans vouloir ta mort, après t’avoir admirée avec le joli mandrin. Tu es vraiment complètement dingue…
- Putain, c’est délicieux. Vous ne pouvez pas imaginer ce qui se déroule dans une cinéma en grande ville. Un peu de chance… Ou de provocation de ma part. Une vraie Sodome... J’espère que tu as aimé.
- Évidemment. Mais toi, tu as le choix, on peut faire ça avec ou sans moi.
- Tu es sérieux?
- Bien sûr, il n’y a pas de mal à se faire du bien, tout à l’heure.

Le mec avait regagné le salon en se rajustant et en refermant sa braguette le plus discrètement possible. C’était le moment de vérité, les belles paroles de son mari étaient-elles vraiment assumées? Elle a promis de faire tout ce qu´il désirait. Ces vacances ont été surprenantes, riches en découvertes. Cet excès de libido déclina peu à peu, laissant place à ce qu´il pourrait appeler « un stress post cocufiage ». Heureusement cette phase « post cocufiage » ne dura qu’une semaine ou deux et lui reprîme peu à peu une vie normale. La vie allait continuer, mais une chose était certaine: cela ne serait plus un petit fleuve tranquille. Puis elle est rentré à Búzios. Quelques jours après. Cette expérience a ravivé leur sexualité. Il lui suffit de songer à ces moments pour qu’un désir profond s’empare de son mari.

- J’ai dû en rêver toute la nuit. Viens là, il faut que tu sois belle pour tes amants. Qui sait si tu ne vas pas en rencontrer un aujourd’hui?
- Je te plais?
- Tu plairais à tout le monde! Tu veux que je lui dise que j’ai envie d’être cocu?
- Oui... Je suis une salope et que tu es un cocu. Si l’expérience nous plaît et que je ne me refrène pas,

Elle décida de s’habiller sexy. Elle voulait plaire, séduire. Elle voulait faire tourner les regards, susciter le désir
Le week-end suivant ils se retrouvaient au « Bahama ». Dans ce club, on y trouvait des pistes de danse, un DJ, un bar, des sièges confortables et, bien sûr, des coins câlins. Au premier abord, cela ressemblait bien plus à une boîte de nuit qu’à un club échangiste et ça l’allait plutôt bien. La soirée était réservée aux couples et la fréquentation était bien plus jeune que la dernière fois, il dirait la quarantaine en moyenne.

- C´est un club libertin. Es-tu bien conscient que si ça me plaît, tu risques de devoir me partager?
- Tu parles d’une soirée à la con!
- Tu aurais préféré une soirée télé, avec une émission bien débile. Mais ça, tu peux le faire tous les soirs de ta vie.
- C’est intime quand même! Oh, choisis-le pour moi: je préfère avoir la surprise.
- Oui, d´accord, bien sûr que j’en suis conscient! Mais je serai avec toi, alors je ne me sentirai pas cocu… Au contraire, je pense que ça pourrait même me plaire. Ce qui m’exciterait le plus serait de te voir, toi, prendre du plaisir…
- Je suis certaine qu’on va passer un très bon moment. je crois qu’il faudrait simplement trouver une idée pour redonner du piment à nos relations, enfin…
- Cela t’excite? L’ambiance ne te déplaît pas apparemment! Aurais-tu vu quelque chose d’intéressant? Le mec à ta gauche, ça fait bien dix minutes qu’il n’a d’yeux que pour toi et il se rapproche de plus en plus.
- Quoi donc? Que ce mec puisse se branler en me matant? Moi, je n’ai aucune honte qu´il m´a humée, baisée, aimée.
- Si ça ne te dérange pas, cela ne me pose pas de problème. La queue me sembla d’un coup énorme.
- La taille n’avait pas une grande importance pour moi, je savais bien que pour les hommes il s’agissait là d’un sujet tabou et d’une question d’orgueil.

Elle se levait en disant à l´homme:

- Ô oui, tu me plais!
- Je te fais quel effet?
- Tu veux le savoir? Approche-toi.

Elle se levait en disant à l´homme:

- Allons aux coins câlins, nous y serons plus tranquilles!

Elle pendait mollement, un filet de sperme s’en échappait encore et elle portait les traces de son dernier assaut.

- C’est incroyable ce que tu me baises bien !
- Je fais de mon mieux, mais son mari ne te satisfait donc pas ?
- Si, bien Sûr

- Mon pauvre chéri, tu m’as attendue tout ce temps! Je suis désolée. Tu n’as pas pris de plaisir?
- Si, bien évidemment. De toute évidence. Tu gémis, tu cries pendant l’amour?
- Non, on a des voisins qui ne supportent même pas le bruit. J’ai aussi adoré le sucer… Surtout… bien monté. Elle était bien plus grosse et meilleure que la tienne mon chéri… Qu’est-ce qu’elle était bonne! T’en penserais quoi si je continuais de te faire cocu, mon chou? J´avoue avoir du mal à me satisfaire uniquement de toi…
- Il t’a bien baisée, tu sais.
- Oui.
- Étais-tu vraiment sérieuse, ou bien cela était-il juste dans le but de m’exciter? Bien sûr, ma puce…, Plus que jamais!
- Bien sûr que j’étais sérieuse… Si, bien sûr, je jouis avec lui, répondit-elle, timidement, tout en se blottissant contre lui.
- Alors, je suis sûre que tu vas t’en souvenir.
- Oui, je m’en souviens…


Búzios. Une merveilleuse ville du Rio de Janeiro – Brésil, L’été bat son plein sur les plages. Tous les gens du quartier sont milliardaires. Il y a là plus gardes de corps que policiers. Les habitants du banlieuse des pécheurs. Les résidents ont l´habitude de marcher sur la plage au bout de la mer tous les matins et less après-midi. C´et un des lieux plus beau du planète. Brigitte Bardot avait une maison de vacances là. Tous les gens du quartier étaient devenus vrais amis, moins un, l´écrivain célébre de romans Gilles Valverde. Il était considére le Victor Hugo brésilien. Il est difficile de trouver un coin plus accueillant que Búzios. Une ville du litoral brésilien que quelqu´un se sentait en sécurité. Paradise chosie par les touristes français pendant ses vacances. Une beauté naturel capable d´offusquer Cap d´Agde. Ambiance vital pous cherher sexe sans lendemain. C´est la maior concentration de cocus, cuckolds du monde. Belles femmes de corps sculptural presque nues sur l a sable tous les jours. L´été toute l´année 35º de chaleur. Elle est considérée la Sodome et Gomorre brésilenne. Clubs de sexe partouse, plages de nudismes, bôites mondanes, cine pornô et etc...
Búzios était un endroit très beau et très tranquille unique en son genre qui alors Il y avait des crimes biensûr, mais la plupart étaient des crimes contre la proprieté.
Marisa Valverde était une vicieuse en cocaïne et connaissait Rodrigo Souza, jeune beau black musclé quand elle cherchait la drogue et l´attration physique fut immédiate. Marisa ne sait pas vraiment expliquer pourquoi cet homme l’a fascinée quasi instantanément avec les absences de son mari elle s´est rencontré presque tout les jours avec Rodrigo qui était connu dans le monde du crime comme “Gegê du poudre”. Son corps fin et musclé était presque entièrement tatoué. Des écarteurs dans les oreilles, un piercing dans le nez, les cheveux ras, une espèce ce crête décolorée, le look grunge parfait. C’est au tout premier regard qu´elle s´est senti attiré par lui. Une attraction animale, irréfléchie, un peu instinctive. Sexy. Divine.

- Vous-êtes mariée?
- Oui...
- Vous savez, il y a beaucoup d’hommes qui aiment voir leur femme dans les bras d’un autre homme, prendre du plaisir. Et pour une femme, s’abandonner à un autre devant son mari est une source de plaisir incroyable. Croyez-moi, c’est très fort et ça témoigne d’un amour réciproque incroyable…
- Avoir la chance de joindre l’utile à l’agréable est assez rare. Vous pouvez me tutoyer, vous savez!
- Heu… OK! Je vais vous chercher… Euh… te chercher ça!
- Cela vous a vraiment plu?
- Oh, oui! dit-il directement et sincèrement.
- Vous aimez?
- C’est… Euh… Comment dire… Spécial! J’ai très envie de vous!

C’est trop. Une bombe riche comme Marisa l’invite chez elle dans une luxueuse villa et lui dit avoir envie de lui. Non, il ne croit pas à ça!

- Avoir la chance de joindre l’utile à l’agréable est assez rare. Quel homme résisterait à la tentation.
- Tu as peut-être ouvert la boîte de Pandore, dit-elle.

Le foulard qui doit sortir de chez Hermès ou Dior. Ses jambes croisées sont habillées de bas nylon discrètement décoré et terminées par des chaussures à hauts talons. Son parfum, qui doit venir d’une grande marque, tout en étant discret, l’entoure d’une fraîcheur printanière. Elle est trop distinguée pour venir seule dans une salle du centre-ville! Le mari est sûr qu’elle cache quelque chose. Alors elle avait décidé de prendre le taureau par les cornes et de vivre, vivre maintenant, vivre bien, rire, profiter, aimer. À ce moment-là, lui et elle étaient dans la même société.
Il avait eu, jusqu’à la rencontrer, de nombreuses aventures avec des filles de rien, des baiseuses déchaînées, des frigides qui essayaient de se soigner, des amoureuses pathétiques, des nymphos gourmandes, des intéressées, des alcoolisées et des droguées..
Une attraction animale, irréfléchie, un peu instinctive. Pour la première fois de sa existence, elle avait eu le sentiment que peut-être elle pourrait le lier à quelqu’un de façon durable. On avait passé plusieurs soirées ensemble à discuter, à chanter à rire, à danser, à faire du sport, et vraiment le courant passait super bien. Elle se sentait tellement bien avec lui.
Bref, une amitié tranquille qui dura quelques mois, avec des coups de téléphone, Ses lèvres se sont posées sur les sienne; elle avait eu un frisson, comme un éclair brisant le ciel noir un soir d’orage. Son esprit était lucide, mais son corps ne suivait plus, engageant alors un combat des plus féroces entre le désir que lui procurait cet homme. cela serait le début d’une situation compliquée; mais Marisa était irrésistiblement attirée par lui, tous lês deux mariés et il fallait qu´elle sache où cela la mènerait.
Le soir nous avons peu parlé, pas du tout même. La courbe de température était favorable. Ils avaient fait l’amour la première fois dans une chambre d’hôtel, mais elle ne perdrait pas de temps à décrire cet acte. Non seulement cet jeune homme était charismatique, mais il possédait un organe splendide. Cet jeune black est un amant fabuleux: il a révélé en elle l’amour du sexe, et l’amour tout court, finalement.

- Mes fesses sont trop grosses.
- Je ne sais plus quoi te dire. Je les trouve très bien moi. Magnifiques, même.
- Arrête, c’est limite indécent!
- C’est vrai. Mais c’est très intime… Mais putain, que c’est beau…

- Tu as une queue, bien dure et bien juteuse. J’aime ta queue.
- T’es bonne, toi. T’es profonde.
- Tu n’as pas résisté non plus.
- Quoi? Tu veux me baiser? Tu veux planter ta queue en moi Oh, tu dramatises tout.
- C’est toi qui en profites… Tu n’as jamais joui avec ton mari
- Il n’y a pas d’autre homme… Pour l’instant
- Tu n’es pas déçu, j’espère?
- J’ai acheté de la vaseline ce matin. J’ai envie d’essayer. Je veux te sentir dans mon petit trou.
- Tu as un joli cul.

Elle se regarde dans le miroir et se trouve pas mal pour ses 35 ans. Elle est bien proportionnée 1,58 m, 53 kg, de jolis seins remplissant son 90b. Presque la même silhouette qui a fait craquer le jeune Black.

- Alors? Tu aimes?
- Tu es magnifique.
- Merci, mon chéri, tu es trop gentil. Tu es un amant extraordinaire, dit Marisa à son amant.
- Pas du tout, c’est la vérité.


Jolie femme de treinte-cinq ans, brune, cheveux courts et aux yeux noisette. Marisa entretient les courbes fermes de son corps. Des seins souples et d’une rondeur parfaite, des hanches généreuses surmontent ses jambes galbées. Son visage innocent et lisse cachait une femme chaude et entreprenante. Seule nuance, elle passa sous sa robe à boutons des sous-vêtements en dentelle rose, plus sexy, pour exciter un peu plus son amant. Se laisserait-elle honorer ou pas, cela dépendait de la tournure de la soirée, mais l’hypothèse n’avait jamais été rejetée lors de nos allusions coquines. Elle se regarde dans la glace. Le rouge lui monte aux joues. Le même rouge ou presque que cette mini robe dos nu qu’elle s’est décidée à acheter. Jamais elle n’a porté une robe aussi sexy. Elle dévoile beaucoup de choses, son dos bien sûr, mais aussi ses cuisses, très haut, sans compter le décolleté très plongeant. Pour compléter, elle a acheté les chaussures d’été à lanières et talons hauts… Rouges elles aussi. Elle hésite encore.

- Ferme les yeux, mon chéri.
- D’accord.
- Mais tu ne peux pas porter ça en public.
- Pourquoi ? Je te fais honte?
- C’est pas ça, mais enfin, tu es une femme mariée.
- Je pensais te faire plaisir. Je suis déçue.
- Écoute. Ce n’est pas ça, mais tu es trop belle là-dedans. J’ai peur de te perdre, moi.
- Mais non, idiot, tu sais bien que c’est toi que j’aime. Pas un autre.
- Excuse-moi d’avoir réagi comme ça.
- Oh mon amour, tu es merveilleux.
- Approche un peu…


Un mois plus tard, en chez-elle dans sa maison au bout de la mer.


- Oh, mon chéri, cette résidence à plage est vraiment magnifique.
- Oui, on est super bien.
- Je peux mettre la robe rouge?
- D’accord, j’ai envie que tous les hommes soient jaloux de moi.
- Chic! Avec le string rouge?
- Euh… doucement tout de même…
- Je te fais marcher, tu sais bien que tu es et tu resteras le seul. Je ne te quitterai pas de la soirée. Allez, je vais la passer.
- Vous êtes déjà montés dans une Porsche?

Elle allait avec lui à la garage de la maison.

- Non, jamais. Et notre voiture?
- Ne vous inquiétez pas.

Les voilà dans la superbe Porsche Carrera jaune de son mari. Marisa a confié le volant à son amant qui est définitivement conquis. Marisa s’emploie à la faire rire en commentant la conduite hésitante de Rogério. Il en profite pour la dévorer des yeux. Marisa croise son regard, baisse les yeux, troublée.
Ils allaient à une boîte mondaine, ambience totalement liberée à sexe du hasard. Ils sont à destination d’un endroit connu comme un grand classique du libertinage. Arrivée de l´entrée de la boîte, la voiture est gare enfin l´enseigne lc´est incrit ”Le Bahama” Il croit avoir entendu de bonnes choses à propor.
Cet endroit a un salon énorme et pas facile de répérer dans l´obscurité. Les femmes portent tenus plus sexy que les autres. Dans le grand salon, des couples assis sur des canapés de velours rouge s’échangent des regards. des femmes se déhanchent sous des faisceaux de lumière multicolores. Au bar, des hommes seuls sirotent des alcools en observant la clientèle entrer. Autour d´eux, des couples s’exhibent en se caressant les cuisses ou l’entrejambe. Sous une lumière tamisée, certains d’entre eux entreprennent des masturbations mutuelles discrètes.
- Tu vas voir qu´on va passer une bonne soirée.
- Super...
- Tu es super belle dans ta robe. J’ai vu plein de mecs qui n’arrêtent pas de te regarder.
- Arrête, flatteur.
- Ils doivent attendre de voir ta culotte
- Oh! Espèce d’obsédé, elle rit.
- Chérie, le grand Black musclé qui s’occupe la table devant nous. Il est le proprietaire du lieu et était fasciné pour sa beauté.

Gegê observa Marisa, toujours assise confortablement et regardant avec beaucoup d’intérêt la scène qui se déroulait sous ses yeux. Elle esquissa un sourire à l´homme que l´harcela des yeux.. Marisa croisait et recroisait ses jolies jambes galbées, ce qui était source supplémentaire d’excitation.

- Alors on fait comment?
- Laisse-toi faire. Il est um fort cliente de drogue.

La table devant eux le Black luteur de MMA la mate scandaleusement. Marisa est remarquée par João, le riche propriétaire de plusieurs restaurants et boîtes de nuit de Búzios. Tout en écoutant la musique, elle observait discrètement cet inconnu. Son regard vint se perdre plusieurs fois vers Marisa, jusqu’à ce qu’il attire son attention d’un sourire contenu. Elle finit par tomber sous le charme de cet homme. Marisa va laisser éclater toute sa sensualité et découvrir de nouveaux plaisirs.

- Tu as vu?
- Quoi?
- La grosseur de la bosse. Je ne savais pas que tu regardais ça.
- Oui, mais j’aimerais réaliser d’autres phantasmes. Comme toutes les femmes. Cela m’amuse. Tu aimes voir ta femme jouer la petite salope, non? C’est toi qui vas me mener le truc, propose-moi des défis discrètement et on verra si j’accepte ou pas. C’est ce que tu voulais?
- J’ai l’impression que je te fais de l’effet. Ce soir cela arrivera… surtout si tu me fais des trucs…
- Mets-toi à ma place! Comment veux-tu que je me sente aimée et Désirée. Tu sais ce dont j’ai envie? Oui j’aimerais bien. Lui glissa-t-elle dans l’oreille.

En tout cas, Marisa fait tout pour le montrer en évitant soigneusement de ne pas croiser les jambes et même de les écarter un peu. Un gros silence s’établit. il comprend enfin que la libido de sa amante a explosé. Ensuite... Doucement Marisa se leva, fit glisser sa robe pourpre pour apparaître en une sage lingerie rouge. Elle s’approcha de black.

- J e peux m´assessoir?
- S´il vous plaît. Tu veux aller boire quelque chose?
- Non, j’ai envie de toi. Viens, je connais un endroit où on sera tranquilles.
- Vous avez la peau très douce. Et cette robe rouge vous dévoile à ravir.
- C’est… C’est la première fois que je la mets. Mais J’aime que tu me désires, j’aime voir ton excitation, tu m’excites très fort…

Elle est hystérique, folle de désir, mais ça lui plait, miracle.

- Pourquoi? Il ne voulait pas, c’est ça ?
- Oui. Ce n’est pas notre style, on est plutôt réservés, vous savez.
- Laissez-vous aller, vous êtes trop sexy comme ça.
- Je suis mariée et j’aime mon amant, vous savez...
- Je n’ai pas l’intention de vous séparer. Juste envie de vous… découvrir un peu. C’est tout. Détendez-vous.

Marisa n’a rien dit. Son esprit dit non. Mais petit à petit, cette main inconnue qui caresse son dos fait hésiter son corps. La main remonte sur sa peau nue, passe sur le flanc, va effleurer un sein.

- Non. S’il vous plait.
- De quoi avez-vous peur?
- Que… que Gegê me voie.
- Je ne voudrais pas être méchant. Mais je crois qu’il vous a oubliée pour l’instant. Laissez-vous aller. J’ai envie de te prendre comme une chienne, lui murmura-t-il.

Doucement, la main a repris sa caresse. João s’est écarté juste un instant pour permettre à sa main de prendre le mamelon gauche. Marisa sent cette main différente de celle de son amant sur elle. Cette main qui sait si bien caresser. Elle s’abandonne. Pose la tête sur l’épaule de João. Presque vaincue. Heureusement le slow se termine. Mais un autre commence. João prend la main de Marise.

- Venez.
- Où allons-nous ?
- Sur ma terrasse privée. Je vais vous montrer l’océan. C’est magnifique.

Elle a suivi. Croyant sans doute que João allait en rester là. Elle remarque juste en montant les escaliers le regard coquin de quelques types qui ont dû apercevoir le petit string rouge et les marques de bronzage. Gegê, de loin, a aussi vu Marisa partir avec le luteur. Mais le serveur l’a rassuré.


- Je vais lui montrer sa terrasse face à la mer. Il en est très fier. On les rejoindra pour le feu d’artifice. T’inquiète pas.
- Je vais tuer cette pute.

Son cœur accélère immédiatement. Un mélange de satisfaction et de déception l’envahit. Cette sensation est très bizarre. Il vut qu´elle est en plein plaisir et elle est sur le point d’exploser. Sa cigarette est sur le point de se terminer, Il hésite à en allumer une autre. Elle voulait aller plus loin dans ce jeu.

Sur la terrasse, Marisa est appuyée contre la rambarde, face à l’océan éclairé par la pleine lune. Derrière elle, Jack lui parle du paysage qu’elle devine. Il se colle à elle. Marisa frémit.
Les deux mains de Jack se sont posées sur ses hanches sous le dos nu. Elles progressent dangereusement.


- Non, João, s’il vous plait.
- Pourquoi?
- On pourrait nous voir.
- Personne ne nous dérangera. Laisse-toi aller… Je sais que tu en meurs d’envie… Ne t’inquiète pas. Il ne verra rien. Continue à parler normalement.

Elle ne sait plus que faire que dire. Perdue, la tête un peu embuée par l’alcool. Elle sent ces deux mains qui glissent sur sa peau. Elle murmure un « non » sans conviction. Ce sera le dernier. Les deux mains ont empaumé ses seins, les agacent, roulant les tétons. Jamais son mari ne lui a fait ça. Elle se mord les lèvres. Les lèvres de João se posent sur son cou, remontent, cherchent ses lèvres. Il se colle à elle, elle sent son désir contre ses fesses. Elle a honte, mais elle se cambre, renverse sa tête, offre sa bouche. Une main a quitté un sein, descend, sur le ventre, puis plus bas. Le petit string rouge est une bien maigre défense. Les doigts glissent vers son petit bouton puis plus bas… João triomphe.

- Prends-moi, j’ai trop envie! Regarde, comme tu m’as fait mouiller, me lança-t-elle en riant.
- Dis-moi de quoi tu as envie, petite coquine.
- De ta…
- Allez, dis le mot!
- De ta queue.
- D’accord, tu vas l’avoir, à une condition.
- Dis-moi…
- Tu m’obéiras chaque fois que tu seras avec moi.
- D’accord. Je t’obéirai.
- Bien alors, recule-toi, tu peux venir. Allez, branle-toi avec ma queue.


Il en prend possession, sa main posée à plat entre les cuisses de Marisa. Elle est trop excitée. Elle commence à onduler des hanches sous cette main inquisitrice. La fusée de réglage technique du feu d’artifice vient d’exploser. João comprend qu’il a peu de temps. Il soulève Marisa, l’assoit sur la rambarde. Il ouvre son pantalon.


Marisa n’a pas protesté. D’ailleurs, elle n’en a plus la moindre envie. Assise, avec pour seul vêtement sa petite robe rouge roulée sur ses hanches, elle se laisse écarter les cuisses. Elle sent le gland contre sa vulve. Il était tel qu´elle l’avait imaginé, une tige noire de 20 cm et d’un calibre impressionnant.

- Vas-y, baise-moi comme une chienne! Ne t’arrête pas, me supplia-t-elle. C’est trop bon, tu es raide comme un bout de bois. Va plus vite et plus fort. Putain, je viens déjà! Continue! Oui… Putain! Oui! Oh! Oui!

Elle jette un regard trouble et vague à João lorsque celui-ci s’enfonce en elle. Oh… Ce sexe différent, plus gros, plus long que celui de son mari! Les premières fusées explosent. En bas, Gegê se retrouve bloqué au pied de l’escalier. Marisa a relevé ses cuisses. Elles sont autour de la taille de João qui la pilonne. Elle gémit, ondule sous ses coups de boutoirs. Au-dessus d’eux, le feu d’artifice éclate colorant le corps nu de Marisa en rouge, en bleu, en vert… João se déchaîne. Elle crie son plaisir. Trop tard pour s’arrêter. Son petit cri initial s’est transformé en un long beuglement de femme bien prise et superbement baisée. La jouissance l’emporte à nouveau alors qu’elle sent les jets déversant le liquide chaud en elle. Elle jouit et jouit encore. Bouquet final, le luteur se vide en elle.
Il lui remet les pieds sur terre en l’embrassant sur la bouche, longuement.
De retour dans le couloir, elle rencontre des difficultés à progresser en raison du nombre de personnes occupant l’endroit.
Ce moyen bien agréable lui a permis de connaître des situations et des plaisirs insoupçonnés à chaque fois, mais surtout de réussir ses missions avec succès. Elle avait envie d’un contact charnel, se remémorer les films de son passé sensuel l’avait enflammé… Il avait même présenté Love et la magie sensuelle leur avait fait connaître des moments enflammés. Elle prend plaisir à se remémorer ces moments enregistrés dans sa boîte à images. Dans la voiture, Marisa est silencieuse.

- Tu es bien Marisa?
- Trop bien. J’aurais envie que ça dure longtemps. Merci mon cœur pour ce merveilleux moment cela fait longtemps que je voulais.
- Et Le luteur?
- Ne me parle pas de ça. Il est trop con. Il est comme beaucoup de mecs. Si cela t’excite…
- C’était bien cette soirée, ma chérie, non?
- Oui, oui, très bien.
- C’était bien, le feu d’artifice vu de la terrasse.
- Le feu d’artifice? Ah, oui, oui, très bien. Très joli.
- Tu ne t’en rappelles même plus?
- Oh si ! C’est dommage que tu n’aies pas été avec moi.
- Tu as choisi de t’amuser, eh bien après tout je ne vois pas pourquoi je n’en ferais pas autant.
- La fraîcheur de l’océan, l’excitation, les deux peut-être.


Au contrairement à la colère de Gegê qui monte. Une bataille entre anges et démons. Mais, les démons sont les plus forts.

- Alors, mon chéri? Qu’est-ce qui ne va pas?
- Dégage! Tu me fais honte.
- Je te fais honte, mais pourquoi?
- Tu t’es conduite comme une pute avec le luteur.
- Arrête! Sulement mon mari pouvait parler avec moi comme ça. Pas vous.
- Pourquoi t’es allée avec ce type?
- Parce que tu n´est pas mon mari.
- Et moi, je ne pensais pas avoir une garce. Comme amante.

La femme en est toute retournée. Perturbée même. Dans chez-elle, Marisa se retourne, ivre de cólère.

- Écoute-moi bien, Gêge. Écoute-moi au lieu de t’énerver.Tu es un trafiquant de merde, plus rien. Sortez de ma maison et pas rentre plus. Le luteur est bien meilleur que vous... Si tu joues encore le jaloux ou le macho, sortez...

C´est une nuit d´été typique. Elle est resté impassible, l´oeil interrogateur. Il avait montré de l´incompréhension mais, elle pense qu´inconsciement elle faisait semblant de jouer naïve. Elle ne savait plus que dire, elle était en panique, La brune était figé, de se laisser aller par la peur. Marisa s’éloigne d’un pas énervé. Elle regagne la chambre. Gegê allait à cuisine et avait prendu une énorme couteau.

- Vous avez La chance de faire ce que vous aimez. Tes paroles, tes acts ont des conséquences. Sera une pute à moins au monde.

Elle croit que rien d´affreux ne peut arriver. Quand ça Police s´approche de la garage de la maison Il y avait un silence de mort, des jornaliste et les lumières des gyrophares. La Police est arrivé devant la scène du crime à ça avait les rubans, jaunes partout.
Il avait fait sexe force avec elle avant de la tuer. Les enquêteurs tentent une approche differente. Ils avaient demande à Gegê une fois au poste et será emmené dans une salle d´interrogatoire. Ils ont commencé à lui poser des questions sur la soir de dimanche. Il avait reste très confusa u repondre ou Il était dans le dimance soir du crime. La police savait qu´il ment toujours. Ils etaient sûrs qu´était lui l´assassin. Il a été arrêté. Ils peuvent révéler la preuve contre lui à la Justice.

- Tu vas être emmené à prison pour la mort de Marisa Valverde. Les pérites avaient trouvé à través de son ADN sur le sperme dans la vulve de la victime. Tu avaís eu relations sexuelles avec la victime puis cousa vez provoque la mort à coups de couteau.
- Impossible. Je suis innocent.
- C´est pour ça que nous devons faire qu´il faut. Vous devez l´expliquer au juge pas à nous. Menotte-le.

Mais les habitants de Búzios vont bientôt découvrir qu´il ne faut pas se fier aux apparences. Le téléfone de la urgence sonnait, quelqu´un les a transmis un appel de détresse non vérifié a appelé les secours, mais personne n´a parlé aux regulateurs. La Police a essayer de rappeler la personne en question se croisent mais sans succès. Donc ils ont envoyé deux agents sur place pour voir. Une policière arrivait avec son partenaire à voir qui se passait tiens, elle n´a allumé ni sirene, ni fard spéculation sait jamais sur quoi elle va tomber. L´agente avait venu avec en renfort. Elle toujours avait vécu dans ce quartier donc elle sait reconnaître ce qui est normal et ce qui ne l´est pas. Née en prochant de la maison elle a tout de suíte remarqué des signaux d´alarmé dans moins de la fenêtres étaient ouvertes et la TV et la lumière était allumée. Alors elle se préparait pour une sitation potentiellement étrange, dangereuse.
Au lieu d´entrer par la porte de devant alors que personne ne respondait oui, elle a essayé de passe par dernière. La policière n´a pas réussi. Elle n´a conclu que personne n´était entre par derrière et que ce passage était rarement emprunté. Alors les policers sont retourné à l´avant de la maison. Elle et l´autre ont dégainer les armes après à vous en servir, La porte n´était pas verouillée. À ce moment elle était três vigilante et elle a traversé le vestibule, elle est arrivé dans séjour, c´est là qu´elle a vu quelqu´un étendu par terre, elle avait remarque que sa gorge avait été tranchée. Elle n´a pas d´habitude de constater la morte de quelqu´un c´était choquant pour elle de devoir constater pour elle, de contater un décè. Ce qui la frappé ouais c´est que malgré de cette blessure extrêmement grave il y a pas de sang par terre. La policière avait des frissons pour le faite d´elle reconnaître la victime. C´était l´épouse d´un écrivain célébre qu´était a Rome à divulguer s on dernier Roman. Une vraie tragédie. C´était Le monde à l´envers,. Alors, comment c´était possible?
La rue avait été bloquée par les voitures de Police et le logement ou le meurtre avait été commis était délimite par des banderoles jaunes qui en enterdisaient l´accès ce genre de précaution l´avaient toujours fatigues sachant que cette décon no servait qu´à épater les journalistes. Cette précision signifiait donc qu´il s´agissait d´un meutre violent.
Elle se demandait qui a fait ça? Dehors elle remarque sang par terre. Elle a vu beaucoup de sang frais. Il faisait noir et elle prende sa torche Il ne pas de sens, Il ne pleuvait pas une goutte et Il faisait chaude, et allant dans jardin elle entendit un bruit dos. Elle avait mis le pied dans une flaque. Elle a regardé ses bottes qui étaient recouvertes de sang. En vrai elle était sur la scène du crime. Elle ignore qui s´est pasé. Elle était choquée par ce qu´elle y trouve, la femme avait 35 ans.

- Je ne crois pas. Comment elle a pu me faire ça? Se demandait le mari.

Alors la Police avait arrivé à la maison du trafiquant et là ils avaient trouvé le caquete et le pantalon Jeans révéle pour le garde de rue. Le garde avait revele quels choses importants à résoudre le crime. Pour aider il essayait de décrire les yeux et de se rappeler de son visage. C´était un homme noir, 1m70, fort, qu´avait une casquette de baseboll de couleur unique ouais Il portait une veste en jeans. Il avait faite un portait robot d´assassin qu´avait été envoyé à tous les agents de patrouille du coin. Ils avaient examine tous les pistes possibles. Un policier a affirmé que l´homme du dessine robot proche de l´image d´un connu trafiquant de drogue de la ville. Ensuite s´est faire La cueillette d´ADN du suspect.

- Tu as fait une mauvaise action, dit l´enquêteur à Rogério Sousa.

Trois mois plus tard un noir trafiquant de drogue est detenu et accusé de la mort de l´épouse de l´écrivain. L´ADN trouvé dans la vagin de la victime est compatible au ADN du trafiquant. Il était l´assassin de la socialite de Búzios. Rodrigo Souza avaít été condamné à 30 ans de prison fermé.
Lola Melvitch. Réussir était devenu son obsession. Et la réussite passait par des études brillantes et l’accès à des réseaux d’influence. Ambitieuse et presque arriviste. Cette autre fille qui aime qu’on la touche, qui se laisse caresser par le premier venu, lui transmettait ses sensations charnelles, ses émois, ses frissons.
Lola s’équipa de sa longue serviette ainsi que de son flacon de crème solaire puis emprunta le sentier d’une dizaine de mètres qui menait à l’étendue de sable blanc. Elle fut soulagée de porter ses lunettes de soleil tant la blancheur du sable était vive. La chaleur écrasante de la mi-journée poussa la belle femme à s’installer à l’ombre d’arbres qui jouxtaient la plage. Une fois sa serviette arrangée, elle s’enduisit de crème solaire puis s’en fut d’un pas nonchalant vers la mer. Il était impossible de dire si elle montait du mer ou si elle descendait du ciel. Elle étouffait même La clameur permanente des grands boulevards qui faisait surement vibrer le sol.
Elle ne fut pas longue à s’immerger dans l’eau transparente tant la température était agréable, elle marche lentement, appréciant ce moment de solitude. Sur la plage, il n’y avait que quelques couples profitant des rayons du soleil. Elle était sur la plage la caresse du soleil sur sa peau était un pur délice, elle se laissa glisser dans le sommeil.
Elle se séchait au soleil en lorgnant vers les dunes. Elle marchait doucement dans les dunes. La marche sous le soleil de plomb était assez éprouvante, la sueur les brûlait les yeux. La plupart à l’époque des belles femmes qu´offraient leurs seins aux caresses du soleil pour la plus grande joie de tous les mâles fréquentant la plage. La blonde est bien huilée. Elle veut parfaire son bronzage. Elle allonge les bras vers le haut, le long de sa tête, de manière à offrir aux rayons l’intérieur des bras et des aisselles. Écarte les cuisses. Femme aux hanches voluptueuse et la taille fine, une superbe blonde. Avec ses yeux verts et son regard provoquant, elle souhait d être maîtresse de son voisin.
Le soleil a le droit de caresser tout son corps. Perdu dans ses pensés Lola ne voit pas le temps passer. Son bain de soleil a même pas des couleurs. La brune dorée du soleil de fin d´après-midi et son halo lumineux créaient sûrement une spècie d´illusion. Il n´y avait absolument aucune possibilite qu´une femme soit magnifique au point de scintiler. Lola representait la femme pour qui tous les hommes se battaient. La blonde qui les mettait à genoux. Sompteuse, sensuelle, voluptueuse. La femme de revê de tous les mecs. C´était le coup de foudre sensuel. C´était une femme qui quelqu´un pourrait ignorer. Elle toujours préférait de loin divertir les riches et les priviégies et les encourager à la baiser.
Lola marche sur la sable dans un lieu un peu désert avec ses gros seins nus et un petit bikini que mal couvrait son sexe. Elle était là pendant 10 minutes regardant la beauté d´Océan Atlantic. Maintenant Lola voit juste sur la gauche, plus proche encore de elle, la tête et le buste nu d’un homme à moitié caché derrière un rocher. Lola ne te distingue pas, mais elle soupçonne son regard d’envie sur son corps exhibé. Elle bombe sa poitrine ronde et ferme, sa fierté de femme. Son corps provoque-t-il une émotion dans ton phallus au point de le durcir? Pourquoi moi?
La belle blonde fait semblant de ne pas le voir et l’observe mieux, son regard occulté par ses lunettes de soleil. il ne semble pas hostile, son physique lui semble même agréable avec de beaux cheveux noirs mi-longs, une carrure assez sportive quand elle avait reconnu comme son voisin écrivain. Son regard se fait alors brillant quand il percute le sien. La chaleur forte, la transpiration coule sur son front, inonde ses aisselles et ruisselle dans les sillons situés entre ses cuisses et maintenant son sexe totalement lisse. Les talents à libertinage de Lola se pouvait qu´inspirer à l´un de se masturber devant elle. Elles´enthousiame à l´idée de s´exhiber aussi. Tous la motivait de mettre en scène ses fantasmes quelui excitait autant. Son style se caracterisait par une cotation litteraire de “Marquis de Sade”, Au voir le voisin elle avait écarté son biquine pour laisser sa vulve charnue au regard d´homme. Les mecs aiment les chattes bien taillées. Quoi de plus merveilleux! L e voyeur semble devenir nerveux, il la mitraille désormais sans plus chercher la discrétion, il met son lourd appareil en bandoulière et sort alors son membre bien dressé de son slip de bain où il devait étouffer. Ses tétons pointent fièrement vers le ciel. Debout, bien campé sur ses jambes, il se branle en la regardant, de son autre main il enserre ses lourds testicules et les tire vers le bas, Lola n’avait jamais vu un homme se masturber pareillement et cela lui rend encore plus folle.
Alors, elle s’offre à ce type comme la plus vicieuse des traînées, de ses mains elle ouvre devant lui grand sa vulve le provoquant de la plus vulgaire façon. Durant deux secondes elle le vois ruisselant de sueur se branler frénétiquement, son sexe est imposant et attirant. Ses yeux brillent d´excitation. Une fois couché sur le dos, elle s’empresse de s’agenouiller au-dessus de lui, sa croupe juste au-dessus de son visage l’empêchant ainsi. Elle commence des lors à saisir son membre tout frais et salé pour le lécher.

- Ça te plaît?
- Tu parles que ça me plaît... C´est... Je n´en crois pas mes yeux. Laisse-moi, le faire. Tu crois que je peux, mon chéri? Il qui était, tout de même la cible de ses désirs.
- Euh… Pourquoi pas, si tu veux.

Une fois que son sexe a repris vigueur, elle s’empresse de l’engloutir, de tourner ses lèvres autour de son gland, elle mime du mieux qu´elle peut les salopes qu´elle avait vues dans les films pornos, sa verge qui prenait des dimensions imposantes sous ses coups de langue et ses allers-retours avec sa bouche.

- Tu sembles si heureuse, la journée a été bonne?
- Plus que tu ne pourrais l’imaginer.
- Tu es vivant et je t’aime, mon amour.
- Tu es sensible, tu ne vas pas me laisser comme ça. Tu devrais l´inviter à la maison.
- Hum ! Quelle perverse tu fais! Je sais que ça te plaît. J’aime quand tu me parles avec amour.

Le mari a su qu’il l’avait totalement inondée lorsque Il avait senti sur sa langue le goût particulier du foutre. Sa liqueur coulait de partout; il léchait cette cette chatte ruisselantes de plaisir; Lola écartait de ses mains ses grandes lèvres afin de mieux se faire lécher mis elle lui ordonna un nettoyage complet.
- Tu penses à lui?
- Pas forcément, non, mais tu m’en parles alors j’y pense, dès que je peux. Je suis déjà allée trop loin. C’est trop risqué. Oui, on peut voir ça comme ça, effectivement, on ne m’a forcée à rien.
- Justement si. Tu es déjà allée très loin. Tu dois aller au bout. Menteuse! Mon amour, je sais que tu en as envie.
- T’as bon. J’arrive même pas à bosser… Détends-toi, laisse-moi aller. Je me suis laissée prendre au jeu.
- C’est pas le problème. Tu attends mon autorisation pour le laisser jouir dans ta petite chatte, c’est ça? Et tu penses à quoi ?
- À ton avis?
- À sa queue?
- T’as encore bon. Je le sens encore en moi. Je sais pas. Ce soir c’est compliqué. Quand je me lève, je pense à lui. Et ça dure toute la journée.
- Si c’est ce que tu veux, pourquoi pas? Merde tu veux son sperme ou pas? Tu m’expliques où tu étais hier soir?
- Avec lui, Qu’est-ce qui se passe, calme-toi, enfin.. c’était extraordinaire. J’ai la chatte en compote ! Il m’a littéralement défoncée. Tu sais... Tu as de gros problèmes d’érection,

Lola sembla surprise, mais son regard tendre lui confirma qu’elle allait me faire ce plaisir. Un gros silence s’établit. L´époux comprend enfin que la libido de sa femme a explosé et que pour la garder il va devoir changer toutes ses priorités. Le choix est vite fait. Son épouse aimait les jeux de séduction.
Tous les matins, Lola Melvitch se leva tel un robot, une rotine qui lui plaisait bien. Tout était prêt de la veille; la cafetière était programmée, sa tênue était déjà choisie, et son petit déjeuner n´attendait qu´à être dégusté. Tout ceci faisait partie de son train-train quotidien. Dès la deuxième sonnerie au cadran, elle sautait du lit marchait en direction de la salle de bain en laissant tomber sa culotte au sol. Puis, assise dans la douche elle se laissait réveiller par l´eau chaude. Ce matin-là il faisait un superbe soleil la blonde se surprit à penser à ce qu´elle avait fait la veille, non sans regretter de s´être couchée aussi tard, elle sentait encore les doigts de son amant sur son corps. Ce type savait exactement comme la pendre à ce dernier mot, elle sourit car prendre était celui qui convenait le mieux à cette courte nuit. Une fois réveillée, elle coupa l´eau et sortait de la baignoire. Elle attrapa la serviette au passage et la noua autour d´elle. Au coup ell e frissonna pas de doute, cette journée promettait d´être froide. Sentant l´odeur du café qui s´était répandre dans tout l´appartement elle s´en servit une tasse, ajouta un peu de lait et allait s´installer devant la télévision juste à temps pour entendre le présantateur annoncer qu´il faisait sur la ville. Elle se contempla dans le miroir. Ses cheveux blonds et longs tombaient jusqu´au milieu de son dos, alors que ses manifiques yeux verts lui apparaissent plus cernes qu´à l´habitude. Elle traça un fin trait noir sur ses paupières, juste à la base de cils et appliqua une poudre d´une teinte légèrement rosée sur ses joues, satisfaite du résultat, elle se défit de sa serviette et en tênue d´Eve alla dans sa chambre.

- Chéri... Le voisin. Il m’a baisée hier comme jamais on ne m’avait baisée. Il abusé de moi, m’a malmenée, m’a utilisée. Il m’a traitée comme une femme, comme un corps de femme. Il s’est déchaîné sur moi, plusieurs fois, et j’ai pris un plaisir énorme.

- Tu me fais heureux, comme un voyeur que je suis.
- Je sais oui, mais il faut que tu saches.
- Vous-êtes une épouse merveilleuse.
- Je ne veux pas le perdre. Aujoud´hui je serai là pour lui.
- Tu as vu son membre?
- Je avoue que ça paraît impressionant, C´est une belle bite. Beaucoup des femmes doivent fantasmer face à pareille outil.

La perplexité si lisait maintenant sur le visage de la belle blonde. Lola mit des sous vêtements et mira à nouveau, grande, mince, maquillée et en petite tênue, elle dégage un côté femme fatale qu´elle mettait rarement en valeur. Repensant à la soirée de la veille, son corps em demandait encore. Si elle aimait le sexe, elle aimait moins l´idée qu´elle aimait cela. Elle voulait tout et rien à la fois. La blonde aimait qu´un mec la désire et qu´il l´aime et qu´il reclame sa présence plus que quelques heures par semaines.
Dans la maison voisine, comme tous les matins, Gilles Valverde se leva tel un robot. Une rotine qui lui plaisait bien. Tout était prêt de la veille. Puis sous la douche chaude il se réveiller pour complet. Puis Il attrapa sa serviette au passage et la noua autour de lui sentant l´odeur de café qui s´était répandue dans toue la maison. La cafetière programmée, sa tênue déjà choisi et son petit déjeuner n´attendait qu´a être degusté tout ceci faisait part de son train-train quotidien. Il s´em sevit une tasse ajouta um peu de lait et Allá s´installer devant La télévision juste à temps pour entendre Le presentateur annoncer qu´il faisait au Rio de Janeiro 25° de chaleur; C´est le moment que choisit son chien “Pacheco” pour venir se blottir près de lui. Le chien est presque un fils à lui.
La grande salle d´attente la grande horloge affichait 8;35 Lola mit de sous-vêtements et mira à nouveau, grande, mince, maquillée et en petit tênue elle dégageait un côté femme fatale qu´elle metteait rarement en valeur.. Repensant à la soirée de la veille elle glissa un rouge à lèvre, son corps en demandant encore si elle aimait le sexe. C´était la chose qu´elle plus amait. La montre de Madame Melvitch 8;40. À croire que les sentiments réels pour lui, étaient pure excitation sexuelle. Elle voulait tout et rien à la fois. Elle aimait qu´il la désire, qu´il l´aime et qu´il reclame sa presence plus que quelques heures par semaine. Lola prend une tasse de café, son paquet de cigarettes. Elle n´avait presque fermé l´oeil de la nuit. Alors, elle allume sa cigarette et tira dessus à plein poumons. Sa première bouffée représentait son nirvane du matin.
Son voisin Gilles Valverde écrivain célébre de 40 ans arrivait à sa maison dans un quartier chique devant la mer. La belle blonde Lola Melvitch est folle de lui. Au le voir entrer dans sa garage avec sa Porsche jaune, elle se dit: “Merci d´être venu mon Prince enchanté, je n´avait guére le choix”. Elle est mariée avec un puissant entrepreneur qu´elle hériteras à sa mort un empire industriel. Lola avait lu le livre “les oiseaux volent” de Gilles Valverde et avait reste fascinée par son talent littéraire. Un jour elle avait le vus dans la plage de Búzios, qui était un refuge des milliardares.
Le couple pratique le libertinage depuis une dizaine d’années, pour renforcer leur libido. Expérimentés, ils s’adaptent aux désirs des uns et des autres tout en ayant une préférence pour les partenaires actifs et imaginatifs. Complices et moderes. Lola indique également sa préférence pour la pluralité. Il met deux serviettes épaisses dans un sac et Il annonce à sa femme: Leur labrador jaune court le long de la clôture et aboie au passage des piétons.


- Viens, Lola, on va aller faire un petit tour à la plage!
- À cette heure-ci?
- Quand je dis à la plage, c´est la plage.
- Oh-oh, toi, tu as une idée cochonne derrière la tête!
- Exactement, ma chérie!
- T’es vraiment un vicieux. T’es un gros cochon, toi
- T’as pas le droit de dire ça!
- T’es irrécupérable!
- Tu es ravissante comme ça! Et très estivale! Ah quoi tu penses?
- Il m’est venu une idée, un fantasme à assouvir. Je dois avouer… Notre voisin, l´écrivain. On peut lui faire confiance?
- La situation ne te semble pas trop… Étrange? Ne faites pas la bourgeoise. Vous avez la chatte mouillée, pas vrai ?
- Je n’en sais rien. Le destin est parfois capricieux! Oh, tu sais, j’ai vécu plus étrange. Oui! Depuis, j’ai décidé de bien vivre et de profiter.
- Vous pouvez lui faire confiance. Dans quel ordre? Sexe puis plage? Plage puis sexe? Ou sexe à la plage?
- Tu compliques tout! Ne jamais me mettre au défi, mon petit mari… tu ne sais pas jusqu’où je suis capable d’aller…

Il faut dire que depuis le décès de sa femme il s’était laissé aller. Trois ans déjà. Trois ans, cela commence à être trop long pour ne pas s’être remis sur les rails correctement. Mais depuis cet évènement tragique, il donnait chaque instant de libre à son talent d´écrivain. de ce qu’il s’était passé, des manques sentimentaux, des pleurs communs mais surtout de la vie qui doit continuer.
Il va faire petite sortie en bord de mer afin de respirer l’air frais marin de cette fin de journée quand il a vu sur la plage. Blonde avec une visage de Sharon Stone faisant toplex à côté de son mari. Elle se redressa avec une certaine précipitation, comme pour chasser ces idées coupables de son esprit. Elle continue de plus belle. Une ultime résistance, une ultime contraction, puis un premier jet fuse, se libérant de la tension accumulée! Je se laisse aller, essayant de garder la tête froide pour cause de conduite. Plus bas entre ses jambes, c’est le feu d’artifice! La coquine avait bien remarqué que le regard de son voisin était attiré par son tee-shirt, sous lequel pointaient ses seins, pleins, mais fermes et libres de tout soutien-gorge. Ils sont toujours sources d’envies et de fantasmes très… Charnels. Quant à ses jeux libertins, ils progressent dans un climat de confiance réciproque qui les offre des sensations toujours plus variées que les amène à expérimenter des si tuations nouvelles. En ce qui lui concerne, jouer les cocus-voyeurs lui convient parfaitement. Lola se sentait vaseuse comme après une longue soirée passe à boire des coktails sauf que cette fois elle n´avait plus patience.

- Ma petite exhibe t’a plu?
- Oh oui, énormément, tu peux la refaire autant que tu veux.
- Je la ferai que devant le voisin, t’emballe pas.
- Pas de soucis. On dirait qu´il veut la dévorer. Qu’est-ce qu’il t’arrive cet après-midi? Tu as rêvé de sexe ou quoi?
- J’ai eu envie tout l’après-midi. Je me suis même masturbée deux fois en penser sur notre voisin. Je le trouve bien mignon. Mais Il est intelligent et inacessible. Un homme brillant.
- Il edite des livres grand public, bourrés de sentiments. Tu peux bien dû profiter de ta superbe silhouette sur la plage, ce n’était qu’un jeu, dit le mari.
- Ce n’est pas une mauvaise idée. Tu ne serais pas un peu voyeur, mon chéri?
- Tu ne t’es pas changée. Depuis qu´il a devient veuf de sa femme, Il dépérit.
- Ça te gêne? Il y a quelque chose de grave? Comme ça tu seras libre d’accès! C’était la "sex-renaissance".
- Tu commences à devenir exhibitionniste et nymphomane.
- Vous avez bien resumé. Alors, tu es d’accord?
- C’est d’accord. De toute manière. Il te dragué?
- Problème? Je dois lui inspirer confiance.
- Non... Que veux-tu de lui? Tu veux lui attirer pour l´anarcher.
- Je veux établir une relation amicale avec lui. C´est ça.

Pour tout dire, sa petite femme lui faisait l’effet d’une bombe sexuelle ainsi habillée: elle était sublimement sensuelle et féminine, et infiniment désirable. Le soleil est déjà bas dans le ciel et la plage est presque déserte. Plus aucune trace de son amant. Avec ce climat caniculaire en début d’été, les vieilles habitudes de protection à l’ardeur du soleil sont vite reprises Mais un peu plus tard... De longues jambes. Avec sa chevelure bouclée et blonde, sa compagne dévoile un visage ovale sans encombre avec un front haut traduisant une ouverture d’esprit et une perspicacité; un menton en avant énergiqu; des yeux verts en amande souriants. Sa femme feuillette la page des spectacles du journal et jette son dévolu sur un film récent intitulé “Cinquante nuances de Grey”.

- Comme tu m’avais dit que tu fantasmais sur le voisin, Le voilà.
- Tu vas gâcher mon plan?
- Absolument...
- Quelle émotion… c´est vous, le voisin célébre. Bienvenu à bout du monde, Je veux juste regader ce joli visage, dit elle.

Il se pencha sur elle pour lui faire la bise et elle se laissa faire, un peu perturbée par la prestance de cet homme. En vrai gentleman. Bien plus à l’aise qu’elle, il prit la discussion à sa charge. Les présentations d’usage assurées, la conversation démarra doucement, sans pour autant captiver l’attention de la belle femme.

- Merci beaucoup, Bonjour la plus belle femme du monde lui répondu souriant.
- Tu es mon beau voisin dit-elle sans se preoccuper avec la presence de son mari. Vous voulez vous baigner? Je ne sais pas nager. Chéri, je te présente Gilles Valverde, mon galant courtisant.
- C’est ça, en effet. Et avoir l’immense plaisir de t’avoir comme femme!
- L’immense plaisir, Que penses-tu de ma femme?
- Rien de spécial… Pourquoi me demandes-tu cela?
- Eh bien, je pense qu’elle t’apprécie vraiment fort.
- Ah bon? Je ne m’en étais pas rendu compte. Je suis désolé, je n’ai rien fait pour cela. Il est vrai qu’elle est très jolie… Mais ne t’en fais pas : même si je la trouve vraiment bien faite de sa personne, tu ne risques rien avec moi, dit-il…
- Qu’est ce qu’il y a? Tu ne va pas le laisser comme ça… Demanda-t-elle.
- Bien sûr, je ne galvaude pas mes mots. Ça t’a pas gêné que son épouse soit topless devant moi?
- Non, t’inquiète pas, elle ne le fait qu’avec toi, il n’y aucun souci. C’est davantage un jeu de séduction.
- Tu es veuf mais n´avez pas l´air bouleversé pas ce qui s´est passé? Elle doit tant vous manquer.
- Bien sûr que je le suis. C´était terrible. Tous les jours je ressens un vide en moi. J´ai crises d´angoisse. Je suis traumatisé. C´est un rituel, j´ai prend des antidepressieurs. Elle avait une dépendance progressive au risque. Une chute pour gens mauvais. L´unique chose qu´avait pu l´arrêter fut sa propre mort.
- Désolée... Vous êtes écrivain. Vous écrivez sur quoi?
- Sur le meurtre, le sexe, la violence.
- J´ai fini de lire son livre. Ce sont des personnages magnifiques. Vous arrive-t-il d´écrire sur vous même?
- Pas suis forme autobiographique.
- Vraiment? Pourquoi? Comment tu fais? Où trouves-tu tes idées?
- Peut-être parce que j´aime écouter les gens se révéler. Ma mère appellait ça le cerveau de l´écrivain. Tous les dénouements possibles défilent dans ma tetê plein de fins differents, c´est difficile de faire taire la voix.. J´ai essayé de vivre la fin.
- La voix? Quoi qui se passe dans ton cerveau?
- Oui... Quelque chose de plus positif. C´est une voix intérieure. Cite moi quelque chose que vous avez peur?
- De rien... J´aime prendre de risque. Tu sais que j´aime en vous? Vous aimez contrôler la situation, comme moi.
- Je trouve que je suis bon romancier. Vous êtes une medecin?
- Oui. Je suis formé en psychiatrie. Je dirais que tu es extrêmement doué, intelligent qu´oscile entre un sentiment de omnipotence divine, une besoin compulvive de se prouver compétent et capable des rencontres conseqüentes. Ça me rend dingue.
- Bravo... Baravo... Bravo dit-il.
- Je sais que tu baise bien.
- C´est parce que je suis hyper bien motivé. Je te dis que je fais mon mieux.
- C´est vraiment intelligent. Vous êtes different de ce que j´imaginais.
- Je peux être ce que vous voulez.


Lola se disait que cet homme, Viril, costaud, sûr de lui et charismatique. peut-être, pourrait la secouer et la sensation était loin d’être désagréable. D’ailleurs, en s’interrogeant pour la première fois réellement sur ce qu’elle pensait de lui, elle sentit une envie irrésistible de se lover dans ses bras puissants. La conversation continua, et elle adopta une posture séductrice en réponse à ses désirs naissants. Regards de biche, mouvements aguicheurs, mise en avant de sa poitrine, elle essayait, surtout quand elle voyait que son homme les observait, de se comporter comme une vraie allumeuse.


- Tu me rassures, ça m’a mis mal à l’aise par rapport à toi.
- Y’a aucun problème.
- Non... Et vous vivez au bord de la plage! C´est absurde.
- À son côté gauche. Vous me raccompagnez? Je sais que vous en mourez d´envie.
- C’est le fruit défendu de ses désirs de me voir avec un autre et de mon imagination de sadique joueuse. Il m’a avoué qu’il aimait bien me voir flirter avec des hommes très tôt, et même qu’il apprécierait que ça aille plus loin. Voilà, tu sais tout.
- Vous pouvez aller si tu le veut, Mais si tu y vas, il faudra que tu sois la plus belle possible, je veux que tu lui en mettes plein la vue… et surtout que tu me racontes tout, dans les moindres détails… Dit le mari.
- Bon, si mon mari le veut, j’y vais. Pourquoi pas ! Depuis le temps que j’ai envie de découvrir ce monde, c’est une occasion rêvée. Elle se montre féline et malicieuse à souhait. Je suis crevée. Je vais me coucher. Tu viens, chéri.
- Je vais rester une minute, le temps de fumer une dernière cigarette. J’arrive.
- N’aie pas peur: je ne suis pas folle, ni nymphomane. Il m’a dit qu’il avait un fantasme et… De me voir baiser avec un autre homme, c’est ça?

Elle aimait de sentir sa chatte se mouiller en prévision de ce qui va suivre. Le mari a décidé de mettre par écrit sa vie sexuelle si riche à un âge que certains peuvent qualifier de mûr, voire plus, bref quand vous passez du qualificatif de MILF.
Lorsque leurs lèvres se sont collées ensemble, Lola était en train d’embrasser son cavalier, en se tournant, elle voyait la main de Gilles passée sous la robe. Il lui caressait la poitrine libre de soutif et elle sentait ses pointes durcir sous ses mains. Lorsqu´il a entraîné dans le chambre du couple, Il avait juste eu le temps de voir Lola enlever sa culotte et la poser sur un meuble. Entre la porte et le lit, sa robe est tombée à ses pieds et elle a atterri sur le lit en culotte. Gilles l’a ôté son dernier rempart, s’est penché sur elle et sa bouche est venue se coller sur son abricot à bord du lit, les cuisses ouvertes au maximum elle offrait son entrejambe sans pudeur à son amant. Une fois nu, il est venu se mettre en 69 sur elle et elle a pu le sucer, Après un premier orgasme, elle lui a demandé de la prendre, il l’a pénétrée, elle a entouré ses cuisses avec ses jambes et Gilles l’a baisée, mais tout ça sans perdre de temps.

- Tu es vraiment très bien faite.
- Putain, ce qu’il est gros! Chéri, tu me remplit totalement.
- Ne t’inquiète pas, petite fleur. Ce sera notre secret.

Il a entamé un coït puissant et on a joui presque en même temps.

- Maintenant tu es beau et mon amant, hein? C’est aussi un amant extraordinaire.
- Et ton mari? Et ton mari ne disait rien?
- Il est un voyeur. Il aime l´idée d´être cocu concentant. Viens donc me montrer de plus près de quoi tu es capable. Tu n’as rien à craindre; quoi que je fasse, mon mari n’a pas le droit de s’y opposer.
- Lola! J’ai envie de vous. Vous voulez bien? Je crois que je ne vous suis pas indifférent.
- Tu m’excites. J’ai terriblement envie de toi! Je suis folle de vous, Gilles...

Ils avaint réalisés ses délires les plus fou, du sexe parfait, une pleine osmose. Chacune de ses retrouvailles était de plus en plus charnelle et passionnelle. Elle avait trouvé Gilles un amant fabuleux.
De retour à la plage, Lola, habillée d’une petite robe d’été, assez courte afin de mettre ses jolies jambes en valeur. Son sperme ne coule le long de ses jambes. Satisfaits et comblés. L´époux eut le temps d’apercevoir une fine traînée blanche et luisante couler le long de la cuisse de son épouse.

- Tu es une véritable bombe au lit.
- C’est une façon simpliste de voir les choses. C’est que tu m’as bien baisée.
- J’espère que ce n’est pas ce que vous avez vu qui vous a troublée à ce point.
- Non, rassurez-vous. Juste trop de plaisir.
- Tu veux plus de fantaisies? Je comprends.
- Alors tout est parfait. Si vous êtes satisfait, nous le sommes aussi. N’est-ce pas, Lola?
- Naturelement, chéri...
- Votre femme est magnifique! Ta femme n’est pas timide, lui lancé-il.
- Non, elle est très coquine, et j’aime ça. J’adore voir ma femme plaire autant.
- Tu es fou, on va nous voir!
- Depuis que je t’ai vue, je ne pense plus qu’à une chose, dit Lola.

Lola Melvitch était une belle femme pleine de vie, sportive, cultivée et sociable. Tout ce qui était visible dans sa vie pouvait créer l’envie, mais elle n’était pas envieuse. Elle le croyait aussi, et jusqu’à peu sa vie ressemblait à celle dont elle avait rêvé. Mais les mois passant, elle avait senti son mari de moins en moins présent, de moins en moins attentif, de plus en plus fermé. Mariée à un homme lui aussi bien de sa personne, socialement très actif, sportif et instruit, plein de bonnes manières, elle avait tout pour être heureuse. Elle aimait trop le sexe. Puis Gilles les laisse son numéro de portable et disparaît au-delà de la dune. Il est cocu. La preuve est là-haut. En plus, manifestement depuis un moment. Son épouse est décidément imprévisible et tellement vivante. Venait de naître en lui un fantasme nouveau, celui de la pousser encore plus loin, encore plus fort; repousser ses limites. Il craignait que si je n’assouvissais pas ses fantasmes, j’en devienne aigrie et invivable. Il n’imaginait pas vivre avec une femme renfermée et résignée, et préférait être cocu que malheureux. Lola restée un moment à essayer de comprendre ce qu’il voulait lui dire. Comment pouvait-on être ou cocu ou malheureux? Pouvait-on être un cocu heureux, ou un non-cocu malheureux? Elle avait du mal à s’y retrouver. Il a fini par m‘avouer une certaine tendance au masochisme. Il avait besoin quélle lui fasse du mal pour ressentir des poussées salvatrices d’adrénaline. Elle était de plus en plus attirée par son voisin, et avait fini par succomber à la tentation. Il ne pouvait pas lutter contre une « bouffeuse de chattes » comme il dit.

- J’ai passé une excellente soirée. C’est la première fois que je fais une chose pareille, et c’était vraiment surprenant.
- Moi aussi, je me suis bien amusée. Je pense qu’il a apprécié aussi! Je le connais, je sais reconnaître les signes! Il m’a baisée et rebaisée. Nous avons fait l’amour tendrement, doucement, longtemps. J’ai adoré sa salive, sa sueur et son sperme.
- Il t’a fait jouir?
- Ah, tu veux vraiment savoir? Eh bien, voilà. Oui.
- Oui ! Ça veut dire quoi, « oui »?
- Ben, ça veut dire oui… Il me fait jouir comme une dingue.
- Indécent mais terriblement tentant. Vous êtes allumée?
- Tu rigoles? Complètement inondée! J’avais une grosse envie. Une énorme. Il m’a baisée comme un dieu, comme un homme. C’est ça qui me manquait.

Les cauchemars ont petit à petit cédé la place à des fantasmes plus ou moins réalistes, à des images diffuses, à des illusions euphorisantes. Ils partagèrent quelques secondes de complicité, un regard amoureux qui témoignait comme ils tenaient l’un à l’autre. Puis, en une seconde, son sourire laissa place au masque froid et impersonnel de la domina. Elle était toujours surprise de ses réactions, de la confiance totale qu’il lui exprimait et du degré d’abandon auquel il se laissait chaque fois un peu plus aller. Elle n’avait jamais pensé un jour faire ce qu’elle venait de faire. Tout à ses insécurités, elle n’avait même jamais imaginé qu’un homme qu’elle aimait tant se plierait un jour ainsi à sa volonté. Lola se sentait tellement puissante, tellement forte quand elle le soumettait, et l’ivresse de son pouvoir la gonflait d’une fierté qui la faisait rayonner.

Chaque matin Il voit son beau visage au sortir de la garage. Il la voit portant une robe rouge dont le décolleté en V plonge joyeusement jusqu’au nombril, un peu comme la robe en lamé. il est évident que le soutien-gorge est absent… Quant au dos, on dirait deux grosses bretelles rouges partant des épaules jusqu’à sa chute de reins partielle révélée. Ça, c’est pour le haut. Pour le bas, la robe descend à ses chevilles, mais est largement fendue sur les côtés jusqu’à son tour de taille. Là aussi, il est évident que la culotte comme le string sont absents. Il a commencé ignorer qu´elle était mariée. Impossible e eviner qu´arrivera. Elle semblait totalement seule au monde. Mais Il sentait que ça finirait mal. C´est pourquoi après ce premier rencontre il besoin de l´a fuie comme la peste. Il était préoccupé par son proche roman et Il n´avait pás le droit à l´erreur. Riche idée il espere le livre plairer.

- Tu es satisfaite? Demanda le mari.
- J’espère bien pouvoir te dire « oui »… tout à l’heure. Tu es adorable avec moi. Tu l’as toujours été. Mon plaisir, ce sera le sien.
- C’est avec sa grosse queue qu’il ta séduite, n’est-ce pas?
- Peut-être... Il n´est pas seulement écrivain. Il a d´autres talents.
- Tu veux qu´il te prenne encore?
- Oui... Tu me laisses essayer avec lui?
- Bien Sûr... Non, mais à une condition.
- Laquelle?
- Tu m’expliqueras comment il a fait pour te faire jouir aussi souvent. Tu vas pouvoir le faire autant que tu veux.
- C’est bestial, violent, il me traite comme une pute, j’adore. Chéri, tu es un mari merveilleux.
- Tu as vraiment l’intention d’aller plus loin?
- J´aimerais... La petite chatte est trempée, elle a très envie d’une bonne queue, et moi je ne vais pas m’en priver.
- Les illusions n´aident pas dans la vie.
- Tu es heureuse?
- C’est un peu tôt pour le dire. Des fois oui. Des fois je suis un peu perdue.
- Perdue?
- Oui. J’aime toi. J’aime ce qu’on vit ensemble.


Plus que tout, son irrésistible désir sexuel qui la pousserait à se donner à cet homme. Une semaine avait passé, et le voici en déplacement professionnel pour quelques jours à l’étranger sans possibilité de revenir à la maison. La séparation fut compliquée... À mesure que les heures passaient, son cerveau montait en ébullition.

- Si on l’invite, tu me laisses y aller?
- Euh… oui, pourquoi ?
- Et ça te plaît de faire ça?
- J’adore allumer les mecs, ça m’excite tellement que parfois j’aurais aimé aller jusqu’au bout.
- Je joue à Basic instinct.
- Tu quoi?
- Basic instinct… Le film, insista-t-elle.
- J’ai bien compris… et alors ?
- Alors… je croise et je décroise, Euh, à force de croiser, il se pourrait que ma robe soit remontée assez pour dévoiler le haut de mes bas et la pointe d’une jarretelle.
- Mais tu vas t’arrêter, oui?
- Pourquoi, tu vas me mettre la fessée… Ou mouiller ton boxer?
- Je ferai mieux de t’inviter avant alors!

Dans la grande demeure de Lola. La nuit était étrangement tranquille, laissant naître en douceur ce dimanche de fin d’été. La chaleur du mois de juin lui avait fait opter pour une robe légère. À destination, sa femme à demi assoupie combla le voyeur. Lola l’avait offert de vivre des moments intense: sa nudité, sa peau, ses rondeurs, ses seins lourds, sa toison. Dans cette posture, la robe offrait les cuisses et le ventre à ses yeux. Elle baisse le pare-soleil pour profiter du miroir. Elle souligne le contour de ses lèvres avec un crayon et pose le rouge sur celles-là en remontant des commissures vers le milieu de la bouche. Elle prend dans son sac un petit vaporisateur et diffuse le parfum sur son cou,

- C’est pour ton mari ou pour tes amants que tu t’épiles?
- Mon mari n’a jamais vu mon minou tout lisse; c’est la première fois que je m’épile intégralement. Je voulais faire bonne impression ce soir; j’espère que ça te plaît.
- Et mets ta jolie robe rouge, et aussi… Ses seins sont dardés sous la petite robe, la robe est courte… sous le dos nu, beaucoup trop courte. Sa cuisse est dénudée. Tout en continuant sa douce torture. Lola, j’aimerais bien te voir avec le beau collier de coquillages qu’on a trouvé sur l’île. Un homme est avec elle. Un voisin special. Et Il lui fait l’amour. Il va adorer, dit le mari.

- Un scandale ou une intrusion de mari cocu, non. Tu vas voir, c’est un très bon amant.

Un miroir! Quoi de plus banal qu’un miroir! Un joli maquillage soulignait ses yeux verts, un rouge à lèvres appliqué avec soin et une parure de bijou comprenant un collier et les boucles d’oreilles assorties, complétait sa tenue. Aux pieds, elle avait opté pour une paire de sandales rouges à talons hauts. Ses ongles de mains et de pieds étaient vernis d’un joli rouge en accord avec son maquillage. La grande classe… Lola baissait La tetê pour qu´il passe le collier autour du cou. Elle était rayonnante et élégante. Les pensées se bousculent. C’est fou comme le cerveau peu s’attacher aux détails dans des moments comme cela.

- Je veux voir ta bite bien dure.
- Je vais te libérer de toute cette tension.
- Tu es l’homme de ma vie…
- Tu es insatiable, dit le mari.
- J´ai des trucs de prévus.
- Du genre?
- On dinera trois, dimanche. Vous devez l´invité.

La table était déjà dressé avec une nappe blanche et des bougies. Les couverts étaient poses sur des serviettes couleur taupe soigneusement pliées en retangles. Il avait même pris soin Le mettre un bouquet de três belle roses rouges au milieu de table. Il avait acheté une chanpagne français “Don Perignon” qu´il avait disposé dans un grand seau à glacê. Une lumière spéciale, des bougies avec la musique classique en fond sonore. Le mari avait soigné ces moindres détails. La sonnette retentit... En entrant, Gilles lui serra la main et fit la bise à Lola.

- Bonsoir Gilles, fit le mari en lui tendant la main. Tu vas bien?
- Oui... Ne t’inquiète pas. Tout va bien.
- Je ne sais pas trop quoi faire… Mais tu n’as rien à craindre, mais tu as disparu? dit Lola.
- C´est mon petit côté bohème. Je me donnerais le temps de découvrir qui je suis. Une hypothèse en physique théorique dans un universe paralèle. J´ai pense à vous toute la semaine, Vous avez pense à moi?
- Oui... Moi aussi, Gilles... Èvidement.
- Vous voulez quoi?
- Embrassez-moi, même si c´est une folie. Tout me plaît chez-vous, votre façon de parler, peu m´importe. Ce que vous dites, j´aime vous écouter et j´aime quand vous me caressez.
- Tu as vu comme mon épouse est belle ce soir! Tu sais, quand on sait la prendre, ma chérie est chaude comme une braise… Un vrai volcan!
- Tu as la chatte en feu, ma jolie, je vais bien m’occuper de toi.
- J´ai envie de sentir votre corps sur le mien. Je vous désirez et jê crois que soie reciproque.
- Bien Sûr...

À ces mots, elle invita l´écrivain à s’asseoir dans le canapé et elle prit place à ses côtés. Lorsqu’elle croisa les jambes, l’insidieuse robe fendue s’ouvrit largement, découvrant à moitié ses cuisses. Ses longues jambes blanches, chaussées de fins escarpins, émergèrent alors de la robe noire comme d’un écrin, tels des joyaux graciles. Le regard fut immédiatement attiré par ce charmant tableau, parfaitement orchestré par Lola et d’où émanait une intense tension érotique. Il découvrit à ce moment que la robe longue de la blonde, loin d’être aussi sage qu’il l’avait d’abord cru, était en fait fendue sur le devant jusqu’à mi-cuisses, ce qui permettait à tout moment d’apercevoir ses jambes de princesse!

- Tu n’as rien contre le champagne, cria Nicolas à l’adresse d’Antoine depuis l’autre bout de la pièce?
- Bien sûr que non!
- Alors champagne pour tout le monde!

Le mari revint avec un plateau sur lequel trônait un Bollinger accompagné de trois flûtes en cristal. Il déposa le plateau sur la table basse et se mit en devoir d’ouvrir la bouteille.

- Bollinger, le champagne de James Bond ! Il fallait bien ça pour fêter ce moment où ma femme va se faire sauter sous mes yeux !
- Ne soit pas vulgaire, veux-tu, mon chéri. Je te rappelle que c’est toi qui l’as voulu. Aurais-tu déjà des regrets?
- Le seul regret que j’ai est de ne pas pouvoir participer. Tu es si désirable ce soir, ma chérie… !

Le bouchon ayant sauté, le mari de Lola remplit les verres, les distribua et s’assit dans l’autre coin du canapé.

- À nos amours, fit-il en levant son verre!
- À la tienne, répétèrent-ils !


Lola se prêta à chaque fois à son petit jeu pervers. La libertine veut encore profiter de son bel amant.

- Mets-nous plus un peu de musique, mon chéri. Tu sais, la playlist des slows… J’ai très envie de danser!
- Tu vas me rendre fou de toi! dit Gilles.

Le mari regarde la salle où Gilles fait bouger sa femme. Il trouve leur manière de danser… perturbante. Ils sont très collés, et bizarrement c’est sa femme qui cherche le contact. C’est sensuel en diable. Il voit même sa femme venir coller son cul contre le sexe de son amant. Celui-ci en profite pour l’attraper par les hanches et la coller encore plus.
L´époux ne se fit pas prier et se mit à genoux immédiatement. Puis, non sans une certaine émotion, il glissa ses deux mains sous la robe longue. Ce ne fut pas aisé. La robe la moulait si bien que ses mains ne parvenaient pas à se frayer un passage le long des cuisses. Aussi dut-il la trousser pour atteindre l’objet convoité. Levant le regard sur elle, il crut bon de se justifier :


- Ta robe est si serrée, je n’arrivais pas à passer les mains.
- Fais ce qu’il faut, dit-elle un large sourire aux lèvres, mais dépêche-toi de m’enlever cette culotte!
- Allez petit cocu, regarde ta femme faire la chienne !
- T’occupe pas d’elle, Gilles. Bourre-la! Enfonce-lui ta bite bien profond!

Les yeux toujours clos, elle se contenta d’afficher un large sourire en guise de réponse et soupira longuement.

- Je suis au paradis, mon chéri… Quelle extase! Ça, c’est une bite bien raide! Regarde la belle queue qui va me baiser, mon chéri! Branle-toi, profite du spectacle!
- Tu me sens, fit-il en bougeant légèrement son sexe?
- Tu parles si je te sens! Je me sens complètement remplie! Sa bite est tendue au maximum, Il a envie de cracher son foutre!
- Je veux que tu regardes ton mari pendant que je te baise. T’es une bonne chienne soumise, je parie… dit l´amant.


Elle monte et descend sur cette tige dure et droite qui ne crache toujours pas sa semence. Elle jouit plusieurs fois, cet homme est diabolique! Lola n’en peux plus, il est toujours aussi vigoureux. Il a joui en elle. Sa douce pleurait de plaisir, son corps faisait des soubresauts, Il avait joui aussi, c’était irréel. Le mari était assis sur le canapé, ne ratant rien du spectacle. Il avait sorti sa bite et commençait à se caresser.
- Regarde comme il aime quand tu es à un autre! Tu as aimé que ton homme te voie jouir comme une pute, je suis sûr.
- Je vais jouir ne t’arrête plus. Fais-moi jouir! Oui, fais-moi jouir! Oui, c’est terrible! Oui, oui, je jouiiis…

Elle jouit, adressant à son aimé un sourire de remerciement. La femme regarde vers lui avec un sourire de victoire et un clin d’œil qui ne fait que confirmer sa realisation sexuelle. Et cette petite perverse revenait avec le string souillé de sperme et lui le présentait comme un trophée… Oui, bizarrement, quand sa femme revient en sentant le sperme… Il était curieux. Il était cocu mais comblé.

- Je serais ravi qu´on se voie, qu´on continue à discuter dit Gilles.
-Voilà mon mari, à bientôt.
- Tu es un homme fantastique. Je t’aime et tu me rends heureuse. Dit elle au mari.

L´amour compte plus que tout et c´est angoissant. Gilles était amoureux de Lola. Gilles est tombé sous le charme de Lola, de son allure androgyne, de sa manière de faire l’amour aussi. Enfin, ça l´était pour lui. Après tout, quel est le problème? Amoureux n’est pas l’amour, faut pas confondre. Être amoureux est un sentiment plus animal qu’humain, qui naît de conjonctions pas toujours claires. Une histoire d’attraction et de réception sans réelles certitudes, où l’inconscient et les phéromones prédominent, tyranniques. Comment tombe-t-on amoureux? C´est quoi, ce délire, bordel?”
Le fin de semaine suivant est sans intérêt et monotone, surtout qu´elle ne voit son voisin écrivain pendant ces deux derniers jours et arrivait enfin au week-end. Elle rigole suíte à cette tirade qui lui fait três plaisir. Elle est si heureuse de pouvoir s´occuper de son amant et Il lui rend bien. Bon, sexuellement. Il ne peut pas beaucoup lui satisfaire pour le moment et ça lui manque, mais elle comprend la situation.
Un an plus tard avait se réalisé un nouveau jugement du assassin de l´épouse d´écrivain Gilles Valverde, Il avait invite Lola Melvitch pour être témoigne de accusation. Au le voir assis devant le juge elle avait le trouvé un noir viril, beau, intéressant. Lola avait maintenant les yeux brillants, et il a perçu toute la provocation de sa remarque malicieuse. Si son gage était de nature à la déstabiliser, elle pouvait se prendre à son propre jeu. Il luisait la luxure, et elle a eu du mal à jouer encore les indifférentes. Elle a fini par tourner vers l´accusé son visage souligné par un sourire carnassie. il avait sans doute croisé le regard de Lola, et y avait lu du désir. Quand il avait confessé même étant marié qu´il faisait sexe avec la victime presque tout le jour chez-elle. La belle Lola decouvrait três vite une chose surprennant. Sa virilité. Lola a eu presque un orgasme dans le tribunal. Lola a plongé dans ses yeux un regard malicieux. À partir de ça, elle avait pass e à rêver avec le condamné tous les jours. Elle se montrait plus sensuelle, plus féminine, plus coquette dans ses manières et dans ses tenues vestimentaires. Elle était obsédée par lui. Elle n’ a jamais autant eu envie d’ un homme.

- Ils te plaisent? Lui ai-je demandé.
- Oui. J´ai envie de lui.
- Il est un homme dangereux.
- Je suis bien plus....
- Ça, ça m’excite! Dit le mari.

Les jours sont difficiles à passer, dans l’attente de ses jeux. C'est pourtant une véritable descente aux enfers qui l'attend. Le plaisir de posséder, de faire céder, de foutre à poil et de sauter oui. C’est ça qui compte. Enfin le moment… Le pouvoir qu’elle exerce sur ces hommes qui la veulent au bout de leur queue fait partie de ses plaisirs. Ceux-là, elle aime les posséder, les faire attendre, les frustrer puis les faire exploser. Elle les contrôle, elle les manipule. Ils croient la posséder mais c’est elle qui les possède, c’est elle qui joue. Et parfois c’est du tout cérébral, du tout dans la tête.
Lola a acheté une petite robe jugée trop sexy par son mari. Néanmoins, celui-ci lui concède de pouvoir la porter lors des vacances. Habillée d’une robe blanche courte pour mettre en valeur son bronzage, la femme se maquille légèrement, parfume son cou, ses seins et son pubis. Sa robe à boutons de haut en bas laisse deviner sa poitrine bronzée; on découvre la naissance de ses seins sans soutien-gorge. En bas, les derniers boutons non fermés font entrevoir ses cuises galbées à chaque pas. Lola allait habillée comme ça à leur rendez-vous dans une prison.
La vie allait continuer, mais une chose était certaine: cela ne serait plus un petit fleuve tranquille. Dans sa vie privée, c’est un autre homme. Heureusement. Il est sensible, compréhensif, joyeux parfois, très cultivé, et s’intéresse à tout. Nos conversations intimes ou entre amis sont toujours riches et animées. Avec son époux, elle s´est libérée. Non seulement il la laisse s’amuser, mais il l’y incite. Elle est femme sérieuse; mais quand elle se lâche, elle se lâche. Lola sait qu’une fois habillée pour sortir, si elle est un peu provoc. Elle avait opté pour un maquillage léger. Il faut dire qu´elle est un peu exhib. J’aime bien qu’on la regarde. Le regard qui lui ravit le plus c’est celui de son mari, mais il aime que les hommes bavent. Les femmes en général aiment qu’on les désire, mais souvent leur éducation les bloque. Elle n’a pour sa part aucun problème avec ça. C´est beau d´avoir eu le courage de changer tout ça. Il faut se ressembler pour comprendre comme c´est dur. Le monde est plein de bons amants. À quoi les reconnaît on? Lola a de classe, est sexy, mais pas vulgaire. Elle aimait une extase pleine, unique, animale. Elle est libre.
Il aurait aimé qu’il le stoppe dans ses élans. Pas à chaque fois, non, mais de temps en temps quand même. Dans sa petite tête a germé un poison subtil, lui mettant chaque jour davantage moralement en difficulté. Il avait beau lui dire que le pacte était clair et la relation solide, il ne pouvait s’empêcher de tester ces sentiments obscurs qui l’envahissaient. Le mari n’est pas libertin: il est libertaire. Et il ne connaît pas la jalousie. Jamais. Il n’a reculé devant aucune provocation, allant jusqu’à hurler bien plus fort que son plaisir réel quand un amant lui faisait jouir devant lui, juste pour qu’il soit jaloux, mais rien n’y a fait.
Il la regarde avec son regard de Chacal. Pourquoi est-ce qu´ elle a peur? Une tigresse prête à mordre ou à griffer. Ils s´ embrassent tendrement et longuement, ce qui l’échauffe rapidement en général, comme si sa bouche, sa langue, ses lèvres étaient directement reliées à ses zones érogènes. Elle avait ouvert sa ceinture et elle lui avait défait son pantalon. Son sexe a jailli, lui aussi. Il ne porte jamais rien en dessous. Un sexe aux dimensions surprenantes: son diamètre devait bien faire dans les sept à neuf centimètres! Son membre se dressait vers le ciel, large et long. Le gland était d’ un marron un peu plus foncé que le fourreau. Il se dégageait de l’ ensemble une puissance animale. Elle avait une envie irrésistible de sentir son sexe en elle. Sa verge était dure, droite un peu courbe. Il est énorme, mais était doux, il était parfait. Il la regarde avec son regard de chacal. Pourquoi est-ce qu´elle a peur?
Lentement sa bouche s’ approche, et accueille ce membre jusqu’au fond de sa gorge. Il avait un haut le cœur, puis commence à le sucer en le regardant droit dans les yeux, puis commence à le sucer en le regardant droit dans les yeux. Elle l´avait roulé une pelle à sa queue; il a gémi. Il l’ a branlé d’ une main pendant qu´elle le pompait. Sa queue était trop longue pour qu´elle la mette entière dans la bouche; quel morceau! Il sentit le contact d’ une main agripper ses cheveux et accompagner ses va-et-vient de plus en plus ardents. Lola l’ avait sucé, pompé, aspiré; il a gémi, mais il s’ est retiré. Il l’ a dit qu’ il ne voulait pas jouir tout de suite. Le noir était aux anges.
Elle était véritablement content de l´aventure sexuelle, et constate avec plaisir qu’ il est naturellement zen. Le moment qu´ils avaient passé ensemble, bien que très sexuel, avait une toute autre dimension.

- Suce-le que je veux te baiser. Tourne-toi. Montre-moi tes jolies fesses.
- J’ ai peur d’ avoir mal. Tu es si gros!
- Laisse-toi faire. T’ es libre... Tu fais ce que tu veux!

Elle commence à le sucer goulûment avec des bruits de succion très sexy. Et effectivement elle sort sa queue et commence à lui branler devant ce spectacle. Une vraie chienne! Elle le regarde dans les yeux tout en léchant sa queue et lui caressant les couilles. Elle voit le black se crisper. Elle ouvre grand la bouche et dirige le jet de foutre sur sa langue tendue. Le mari voit ce sperme épais sur la langue de sa femme. Elle se rapproche de moi et, tout en lui regardant, l’avale. Il n’en peux plus, il veut le même traitement! Mais au lieu de lui sucer, elle l’embrasse à pleine bouche, mêlant sa langue à la sienne. Elle sent la bite, le sperme. Elle se dit alors que le spectacle n’est pas fini, qu’elle veut se faire défoncer devant son cocu de mari, qu´il regarde bien, qu´il n´est qu’un petit pédé qui aime goûter le sperme dês mants de sa femme. Tout en parlant elle lui serre les couilles. Elle voit son excitation et bizarrement ses insultes l’excitent encore plus. Le mari ne sait pas quoi faire, il reste dans le fauteuil comme un con.

- Viens me mettre sa queue dans la chatte, petit chien. Elle est trop grosse, j’ai besoin d’aide. Doucement... T´es beaucoup trop empressé.
- Détends-toi... T´ es trop serré, je n´ arrive à bouger.
- Tu aimes ma grosse queue, Mari cocu?
- Oui, mais quel engin! C’ est monstrueux… Oui je veux bien essayer.
- Monstrueux de plaisir tu veux dire! Putain, connard! Tu veux que je te fasse un dessin? Crache sur sa queue et suce-la pour qu’elle soit bien humide! Dit Lola.
- Vous voulez me prendre par derrière? demanda-t-elle après un moment. Faites-le doucement s’il vous plaît. Regarde la belle queue qui va me baiser, mon chéri! Branle-toi, profite du spectacle! Il ne sait pas pourquoi mais il s’exécute, Il crache sur sa queue et la prends en bouche. Elle sent le sperme et bizarrement je trouve la sensation agréable. L´époux la prends à fond dans sa bouche, le branlant en même temps. Sa femme lui mate en se moquant de lui.


• — Tu vois, petit chien, tu aimes la bite, tu n’es qu’une petite pute…

Et l’enfonça, apparemment sans aucune difficulté. Elle se l’enfonça presque jusqu’au bout! Mais quelle garce, alors… Elle était vraiment prête à se faire baiser. Elle poussait des petits gémissements, encore et encore, puis un cri final de belle envergure.

- Allez petit cocu, regarde ta femme faire la chienne! Oh ouiiiiiiiii! Elle est grooooooosse! Elle est boooooonne! Baise-moi, salis-moi, souille-moi, mon salaud. Je vais jouir ne t’arrête plus. Fais-moi jouir! Oui, fais-moi jouir! Oui, c’est terrible ! Oui, oui, je jouiiis…

Il sentait presque le sperme buter au fond de son vagin, par saccades. ”Quelle giclée, mon vieux! Quel orgasme!” Du sperme commença à s’ écouler en continu de son ouverture laissée béante… Des filaments de sperme coulent de son sexe.

- Chéri. Je jouis, J’ai joui comme une folle mais je n’en peux plus. Vous êtes trop gros, hurla-t-elle.

Ils avaient jouis bruyamment. Le mari avait vu le sexe de black se gonfler et décharger dans sa femme. Elle s’écroule sur lui et reste une minute sans bouger, sans parler. L´époux lécha doucement le sexe béant. Il se releva et se masturba. Redressé, le petit chien va devoir tout nettoyer. Elle se soulève tout doucement de la bite de son amant. Des filaments de sperme coulent de sa chatte.

- Viens nettoyer, petit chien, viens mon cocu lécher le foutre d’un autre. Lèche, connard!

Finalement devant les insultes de sa femme, j’y mets toute son excitation, lui écarte les lèvres pour aller glisser sa langue bien au fond de sa chatte. L´époux nettoyé tout, Il avale tout. Il en profite même pour glisser sa langue dans son cul. Il avait l’impression d’être un animal! Elle lui dit alors qu’il faut qu´il nettoie également le black. Celui-ci a sa bite qui pend mollement. Il la regarde en se marrant. Néanmoins il le prends en bouche et l’aspire. Il reste du sperme sur sa queue. Il en profite pour le branler doucement.

- Cocu et pédé… J’espère que tu as apprécié car ce n’est qu’un début, parce que moi j’ai adoré!
- Alors, satisfait, mon cocu chéri? Tu peux constater que je suis vraiment prête, non ? Je suis une bonne élève, hein ? Tu sais... En prison mon nouvel amant fait des jours sans sexe. Il n´a eu aucune pratique sexuelle en trois semaines. Imagines-toi ce que m´a arrivé? Il avait me prend et élargir ma vulve, dit elle au mari.
- Et tu t´ aimé l´ expérience, non?
- Oui... Il dit qu’il veut me revoir, qu’il est amoureux de moi. Il est un étalon d´ autre monde. T´es le meilleur des maris.
- Amoureux? et toi tu lui as dit quoi?
- J’ai pas répondu. J’ai juste dit que moi aussi je voudrais le revoir.
- Quand ?
- Dès que je peux. Je sais pas. Ce soir c’est compliqué.
- Mon amour, je sais que tu en as envie.
- C’est pas le problème. C’est trop risqué. J’aimerais bien mais c’est risqué.

Le mari l’écoutait quand même, en bon cocu qu´il était. Elle avait sa voix sexuelle, celle qui fait, à son avis, qu’un mec a nécessairement envie de la rencontrer et qu’il ne peut qu’imaginer des torrents de délices avec son épouse. Elle en disant simplement « c’est d’accord ». La nouvelle aventure de Lola dans la penitenciaire començait très bien. C´ est une relation amoureuse.
. Le detenu black dans la prison attendait impatiemment la visite de l amante. C´ était le jour où Lola venait le voir. Elle et son mari avait entré dans la penitenciaire et les prisionniers se surpassaient pour la complimenter, qu´elle le veuille ou non. Ces marques d´appreciation devenaient plus inventives. Mais Lola ne se sentait pas flattée. En fait, ele commençait à apprehender... L´autre attention est qu´elle se sentait ridicule sut le lieu.
Elle avait achèté une mini-tv, et un circulataire d´air que déjà se trouvé dans la cellule à sa disposition.

- Lola! T´es une femme spéciale. Merci m´avoir aidé. C´est genial. C´est vraiment genial.
- Ok... Je suis toute à vous pour une heure. On pourrait commencer par faire sexe.
- Montres-moi ta chatte rasée.
- Nous avons 58 minutos à passer ensemble.
- Ce serait plus sexy en parlant d´abord de choses coquines.
- Chéri! Prend la bite et la suce bien. Je la veux bien dure...

Elle lui sourit à peine, mais avec une douceur infinie. Elle l’ excite comme jamais, il la trouve belle, provocante, délicieusement obscène. Il s’ agenouille entre ses jambes, approche de son sexe du sien et commence masturber avec un mouvement sûr et précis. Sa bite est dure et tendue au maximum. Sans plus réfléchir, il empoigne son sexe et il le branle doucement avec naturel. Lola est restée dans cette indecente, les jambes écartés, le sexe trempé, le corps couvert de sueur. Elle n´aura pas froid avec la chaleur qui irradie: ce feu qui éclaire diviniment son corps nu.

- Suce-moi, mon chéri cocu. Nettoyes-tout comme t´ en fais avec mon mec.

Sa bouche atteint son sexe lisse. Sa langue salue gentiment la vulve, la plus sensible, la reine du plaisir buccal. Ses lèvres et sa langue se multiplient. Il l´émmène, trois loin. Progressivement, sous ce controle discret et péremptoire. Sa langue continuait à massager les grandes lèvres et, à travers elles, le mistérieux clitoris. Ses gémissements se suspendent au paroxysme de la volupté. La langue imprimait un va-et-vient entre ses grandes lèvres luisants de spermes, concentre les promesses de plaisirs dévastateurs, les attentes les plus folle.
Il l´avait un fantasme romantique à partager avec elle; mais il était un sale pervers qu´a des problèmes à résoudre avec la justice. Ses rapports sexuels étaient incoroyable, c´était comme une opéra. Quand elle faisait l´ amour avec le black, on dirait que le soleil brillait plus fort, que l´herbe était plus vert que tout à plus de goût. Elle avait fait l´amour à trois avec son mari et le detenu. Mais le black est un égocentrique et narcissique. Les images de son rêve s’ estompèrent peu à peu. Les scènes du songe avaient été d’une telle clarté que son mari en était totalement bouleversé. Il fallait que ça change. Pour le bandit, plus rien ne marchait comme il voulait. C' est alors qu' il décide d' élaborer un plan diabolique pour changer définitivement et irrémédiablement le cours de son existence, un plan qui va l'obliger à disparaître à jamais, à quitter celle qu' il aime plus que tout pour toujours. il n’ y en avait plus. Tuer le mari.
Dans sa maison... Lola s´éveilla en sursaut, et les yeux ouverts dans l´ombre. Elle avait l´impression que quelque chose d´anormal venait de la tirer de son sommeil, mais elle était incapable de dire s´il s´agissait d´un cri, d´un choc, ou peut-être même d´uin coup de tonnerre. Dehors, le vent soufflait en rafales. Elle pensa que les domestiques avaient dû oublier de fermer les fenêtres du rez-chaussée, et pour en avoir le coeur net, elle alluma l´électricité et sauta du lit. Lola était en pyjama; il lui suffit de glisser les pieds dans ses mules pour être prête à descendre. La cage d´escalier monumentale, était obscure, mais d´en pas parvenait la musique d´un slow fox.

- Il est mort, son mari. Assassiné, dit le chauffeur.
- Mon Dieu! Balbutia, Lola

Son émotion était telle que Lola dut s´appuyer à la muraille pour ne pas tomber. Dans la penitenciaire. Un couteau en plein coeur. L´effusion de sang dans la cellule de la prison, oû il s´y trouvé pour visiter le bandit de la lumière rouge. Manche de sang dans la poitrine, Tache d´un rouge sombre s´étalait sur la chemise de la victime. Il suffisait de jeter un coup d´oeil sur le visage pour comprendre comme l´avait annoncé que la mort avait fait son ouvre. La nouvelle de l' assassinat du mari de Lola se répandit dans le quartier avec la rapidité d' une traînée de poudre, provoquant la stupéfaction générale, et d' innombrables commentaires.
Son mari a été assassiné dans le jour de visites pour l´amant de son épouse dans une cellule de la prison. Le sexe, la drogue l´alcool, ce jour là il a vu l´enfer. Il est tombé à coups de couteau improvisé, l’ imbécile, dans le piège qu´il lui tendait. Il l´ fait mourir d´une manière perverse. Du sang, dusang, du sang. Il y avait du sang coagulé partout. C´était un crime violent.
Pendant le trajet aucun mot dans la voiture. La route dans l´obscurité défile sous la lumière des phares. Il n´y a qu´une quinzaine de kilomètre et parcours est vite effectué.
Lola Melvitch c´est une dame du monde, grande, svelte, brune, très jolie, les traits réguliers. Elle était vêtue de noir. Un peu plus tard elle allait se trouvé devant le cadavre de son mari. On entend des chuchotements, des pleurs etouffés. Elle était sous le choc de la mort de son mari. Six heures ce sont écoulées et elle ne parvient pas à réaliser ni accepter la sinistre vérité, ses yeux drouillés de larmes revivent la scène. On ne s´attendait pas à toutes les surprises que cachalt le meurtre. Une tragédie... Une heure n´est pas écoulée qu´une seconde pour la femme reconnaitre son mari dans le cadavre.
Elle adorait les mauvais garçons. Surtout le trop mauvais. Mais il y a des limites. La socilite Lola Melvitch pensait avoir le monde à leurs pieds. Mais le bandit sous-estimait la blonde, riche au point d´être capable de mettre la justice à genoux. Lola a commencé de plus en plus stressée... Maintenant elle était à l´agonie. L´amant avait tué son mari. Il y a un silence de mort. Mais il était en prison. Il ne restait plus que le tuer. Il était le dernier obstacle devant son chemin. Voilà à quel point ce type était diabolique et sans pitié. Il se croyait invulnérable.

Un jour un avocat allait rechercher Lola dans au millieu de l´aprês-midi.. C’ était un homme d’ une trintaine d’ années, tête nue, vêtu d’ un trench couleur mastic pas très propre. C´est un avocat célébre à 10.000 dollars de l´heure qu´elle a reçu la visite. Tout d’abord, il y eut à prévoir les détails d’ordre pratique: elle avait porté un soin particulier à son corps. Épilée de près, comme il aime, le corps enduit d’une huile parfumée qui laissait sa peau luisante et satinée, elle enfila la robe noire fendue jusqu’en haut des cuisses, et dont le décolleté se terminait par un lacet, ce qui permettait à tout moment de transformer cette robe sexy en robe provocante. Elle finit sa toilette en relevant ses cheveux en un chignon vaguement négligé, elle se doutait de toute manière qu’elle ne resterait pas coiffée longtemps! Elle enfila enfin ses chaussures à talons, celles qui s’attachaient à la cheville à l’aide d’une lanière en forme de serpent. Elle aimait ces chaussures parti culièrement, car elles lui permettaient de sembler plus grande que son mètre soixante dix, tout en étant suggestive à ceux qui portaient attention aux détails.

- Bonjour Lola Mervitch! Je suis le docteur Johnson Oliveira. Tu es très en beauté.
- Merci. Plaisir, docteur.
- Et qu’attends-tu de moi exactement?
- Faire justice... Justice... Il avait un foulard de soie carré blanc et rouge autour du cou. Il a tué por asphyxie. Les traces de doigts laissent à supposer qui a été etranglé à mains nues.
- J´ai combien tu as dû soffrir en perdant son mari. Je veux ta permission pour faire ce que j´ai a faire.
- Tu connais la reponse à cela. L´argent ce qui mesure des décisions d´un homme. Avec des grands risques, on obtient de grandes récompenses.Vous ne savez de rien de moi.

Sa voix est menaçante.

- Dans ce monde, les femmes ne peuvent pas avoir l´air faibles.
- Tu me donnes envie de enfreindre.
- Pourquoi s´arrête là?
- Je fais mon boulot. Je peux faire la justice avec l´assassin de son mari dans la cellule si tu veux...
- Ça te plaît, enfeindre les régles? Entournez en moins trois lois? J´espèr que tu va réussir.
- C´est mon fatal instinct, madame.
- Il est un monstre. Je ne peux pas me permettre ça. J´étais toujours à combattre son feu avec le feu. Je vois en toi, un homme qui obtient tout ce que tu veut. Je l´ai su dès que je t´ai vu.
- Je suis complètement d´accord. Vous êtes une bombe sexuelle, Diablesse.
- Alors qu’attendez-vous de moi?
- Que diriez-vous d’un jeu?
- Alors, finissons qu´on a commencé et tu auras peut-être ce que tu veux. Autant que vous voudrez…
- L´argent?
- Oui... L´argent et peut-être, sexe. Si je laisser me peloter quelques minutes. Et pourquoi pas montrer tes talents?

Alors, Il prend un lourd enveloppe qu´elle avait posé sur as table basse. Il le prend et sort dans le couloir vers la sortie. Ce manque d’émotion, est-il en elle-même? Peut-être. Donc, Elle se livre à la meilleure interrogation du soi. Pour trouver ses sentiments quand elle fait l’engagement émotionnel et sexuel. La question est valide, car, pour faire une confidence personnelle ici.
Cétait à peine la fin de l´après-midi, mais le crépuscule vient vite dans ses derniers jours. La brume annonciatrice du soir, grise prenait déjà possession de la ville. Lola était là, simplement dans sa Volvo grise métalique. Elle étouffait même la clameur permanente de justice pour La mort de son mari. Sa haîne faissait sourdement vibrer le sol. Elle était l´avant-garde des ténèbres et de la nuit. C´éait ainsi chaque jour, ses défenses entraient en action des que la blonde passait à l´offensive. Elle consulta sa montre, Il était 17heures. Il restait encore une heure et demie à d´autre collégue de cellule tuer le Black dans la prison. Dans ce exact momment elle prend son portable l´allume et parle avec le Black dans La prison.

- Allô! C´est moi Lola.
- Oui. Vous voilà enfin. Je suis content que tu me souviens.
- Je me souviens de beaucoup de choses malefiques de vous.
- Tu te soucis de moi.
- Suffisament pour savoir que tu avait tué mon chéri mari. Le moment est venu. Je vais être son cauchemar, animal.
- Pour moi vous savez, c´est la même chose au risque de se répéter. Lola! Parfois il faut accepter la réalité.
- Sa réalité n´est pas la mienne. J´ai toujours un plan, des changements sont en route.
- Tu es inspiré parle désir d´une vie facile, du luxe, de la débauche. Tout que ce lui import c´est de retrouver le soleil à bord de la piscine avec beaucoup de fric.
- Mon instinct se trompre rarement. Votre final est arrivé... Je suis ici por entendre ses cris de terreurs, ordure.

Dans ce moment Il a reçu plusieurs coups de couteau sur la poitrine. La voix impitoyable et exaspérant clamait:

- Secours... Secours... Secours. À l´aide... À l´aide,,, Lola entend avec un sourire les lèvres. Moins un fil-de-pute au monde.

L’orage et le tonnerre ont fait place à une sublime éclaircie. Ses spasmes longs sont délicieux à vivre. Il n’arrête pas de lui parler, ce qui lui rend folle, et lui traite de « petite Princesse Pute », exactement la femme qu´elle est. Lola três sexy était totalement incapable de prononcer une phrase intelligente ou polie, mais elle savait qu´elle avait terriblement besoin de vivre une belle romance. Rougir n’est absolument pas son style. Probablement les émotions et la confusion de ce qu´elle vient de vivre. Elle n´allait pás cesser de regarder sa montre jusqu´à ce que le téléphone sonne. L´avocat lui téléphone pour l´informer quelque chose de spéciale.

- Allô! Lola. J´ai une super nouvelle à t´annoncer. Il est déjà bu de la même poison que son mari.
- C´est cool. Vient chez-moi ce soir.
- Comme tu veux, mais j’étais contente de te revoir.
- Tu m’excites. J’ai terriblement envie de toi! Je l’espère bien aussi Madame, pour votre plaisir et pour le mien.
- Il faudra que tu patientes encore un peu et en plus, la soirée te réserve encore bien des plaisirs…


C’était une demeure ancienne et solide, résolument austère, Les parents de Lola en firent l’acquisition dans les années 80 et après bien des efforts, ils parvinrent à lui redonner son lustre en redécouvrant de ravissantes boiseries XVIII. Cet été-là, le temps avait été idéal, ensoleillé et chaud, et juillet tirait déjà à sa fin. Dosormais, depuis de quelques jours, Lola avait bien changé. Desormais, elle coiffait sa longue chevelure blonde avec soin se maquillait legèrement et portait des talons vertigineux. Le sentiment qui commençait à la dominer était de le faire une dernière fois, de le faire au moins une fois… Après un léger temps de surprise, elle se sent particulièrement curieuse et émoustillée par cet ordre sibyllin. Elle commence par partir à la recherche de vêtements coquins. Rapidement, elle rassemble une jolie paire d’escarpins, des bas autoportants et un splendide bustier. Elle a de jolis seins. Lourds mais encore fermes. Des tétons qui pointent avec la fraî cheur de l’eau et des aréoles bien dessinées. Il faut un peu plus de temps pour choisir un string noir. Après quelques essais, elle s’arrête sur un morceau de tissu minimaliste qui met particulièrement ses fesses en évidence. C’est très sensuel mais peu confortable. La blonde a l’impression qu´il allait deviner qu´elle est pratiquement nue. Si Lola se sent un peu vulgaire, elle s’apprécie en femme dévergondée.
La blonde regarde sa montre. Il est déjà 21 heures. Il avait arrivé avec un bouquet de roses rouges. Alors, l´avocat allume une cigarette. Elle le trouvait beau. Il semblait détendu, heureux. Elle reprit ses pensées libidineuses tout en l’admirant. Enfin devant lui, légèrement vêtue comme une agente provocatrice, sexy en diable. Elle était curieuse de voir si il l´allait bien draguée. Son sommeil était agité de rêves érotiques. Elle se réveilla et passa en revue tous les hommes qu’elle connaissait et qui la draguaient plus ou moins ouvertement. L´avocat... Elle avait tout de suite senti qu’il n’était pas insensible à ses charmes. Cela se voyait dans ses regards et dans son attitude.
Lola s’était finalement rendu compte qu’elle avait besoin de vivre des aventures sexuelles indépendamment de l’amour. Son corps réclamait davantage. Elle savait que, maintenant, elle pourrait laisser libre cours à ses pulsions. Son cœur bat de toutes ses forces. Il faut également savoir qu´elle était veuve depuis six mois et qu´elle n’a eu aucune relation sexuelle depuis tout ce temps.

- Bravo vous êtes vraiment très élégante ce soir. Voilà c’est ici. Ce collier vous va très bien.
- Merci.
- Tu vas bien?
- A priori comme toi… C’est toujours comme ça.
- Vous ètes trop romantique.
- Vous êtes très belle, Princesse.
- Et tu es marié?
- Non... Divorcé.
- Super...
- Vous pouvez me donner l´argent?
- Oui, le voilà, dit-elle avec un lourd enveloppe sur main.
- Merci beaucoup. Tu es une femme sensationnelle.
- Trinquons à cette soirée, à nous, au plaisir…
- Vous avez vraiment une très belle maison, si grande et spacieuse.
- Oui, vous avez aimé la déco en haut? demande Lola.
- Oui, vraiment charmant, on voit vraiment l’art d’agencer les couleurs.


Ils flûtent se cognent les unes aux autres, promesse d’une soirée inoubliable… Lola le cherche du regard, lui qui a l’air si détendu, si sûr de lui…. Elle voit chez lui le désir grandir à son égard, et elle sent à quel point ça l’excite… Le champagne commence à faire son effet, elle se détends tout en sentant une agréable chaleur lui monter aux joues. La blonde commence à discuter de tout et de rien, la discussion est agréable, tout le monde semble détendu et la bouteille de champagne est déjà presque vide.
Elle but du vin pour se donner du courage. Quelques verres qui eurent raison de son inhibition. Habillée d’une légère robe d’été, elle sentit le froid sur son corps qui lui donna aussitôt la chair de poule. Ses fesses sont magnifiques. L’alcool, la complicité, l’excitation, tout les emmène vers une voie nouvelle qu´ils avaient prévue… Un grand silence! Son corps vibre longuement… Les secondes passent, aucun bruit…
Elle se tourne vers lui et l’embrasse longuement, profondément. Elle revient vers lui et sans hésiter passe ses mains dans son dos et dégrafe son soutien-gorge! Il voit ses deux seins aux aréoles sombres, elle les exhibe. Rondes, bien dessinées, fermes. Son corps n’a aucune rondeur. Elle a un physique de rêve et ferait tomber beaucoup d’hommes sous son charme si elle se mettait plus en valeur. Essence même du fruit de toutes les attentes, élixir d´une moelle émotive d´un désir débordant jusqu´à l´euphorie. Une bonheur sporadique, martelée par l´émotion de ce moment faisant trembler tous les membres. Plus qu´une chose, de vivre l´aventure de son épouse, la plus intense, la plus généreuse, la plus mystérieuse, la plus heureuse, la plus vivante. Doucement il plongerait ce buste, lui lacerait à l´assaut de ces tétons dressés tels des standarts et attendant qu´il les mordille ou q´il les suçote. Ces deux monts érogènes quémandant toujours plus de baisers et de touchers pour gli sser sur le ventre voluptueux et accueillant, chaud.
Un ventre invitant à le caresser, se contractant, se relâchant sous des effleurements plus que souhaites. Il continue son chemin sur ce corps de femme en emoi. Là ou le visage d´un homme fougueux et heureux semble conquistar ce qu´il vient de festoyer. Sa barbe mal rasée en est témoin, Il fut bonde se blottir tout contece sexe. Aspirée en ce temple chaud et humide. Alors, il se leve... À cette seconde, Lola sent son sexe contre ses fesses. Il est dur et appuie fort contre elle. Il était totalement incapable de prononcer une phrase intelligente ou polie. Les images de Lola três sexy étaient trop present dans son sprit. Son regard, insistant, la trouble.
Toute nue en talons, le spectacle doit être assez excitant. Ostensiblement, elle écarte délibérément les jambes, ondulant sur place, se frottant toujours à son sexe tout dur.

- Tu embrasses comme un roi, mon chou, tes mains sur mes fesses et ta queue bien dure contre moi me rendent folle.
- Laisse-le te prendre; pense que c’est moi, que c’est ma queue…

De son pantalon un sexe rose et pointu se mit à sortir et à la désigner. Quelle étrange vision, la scène était surréaliste. Le regard de Lola était littéralement aimanté par ce pénis. La blonde était à nouveau devant le phallus, elle ne savait que faire, comment s’y prendre? Sa chatte était si brûlante et humide. Son état d’excitation était indescriptible. Elle décida à passer timidement le bout de ses doigts au contact de ce sexe. Il était chaud. Le sexe y réagit même en frémissant! Ce sexe bestial maltraitait Lola, mais heureusement l’étrange éjaculation permanente de taré en elle venait lubrifier cet accouplement démoniaque. Le phallus la pénétrait tout doucement, centimètre par centimètre pour atteindre le fond de sa matrice. Puis les mains imprimèrent un lent mouvement où elle sentait cette bite sortir et rentrer complètement en elle. Une telle sensualité l’étonna. La douleur faisait peu à peu place au plaisir. des gémissements de plus en plus rapprochés et puissants, chaque mouvement de la bite libérait quantité de sperme hors de son vagin et couler le long de ses jambes. Quelle étrange sensation que d’être remplie par ce flux continu… Lola finit par jouir elle-même. Elle fut saisie d’un premier orgasme en sentant lui se décharger de son foutre brûlant en elle. Elle pensait que ce fut fini, mais elle eut une étrange sensation d’avoir en elle une boule qui grossissait et qui empêchait le phallus de se retirer tandis qu’il continuait d’éjaculer abondamment. Il faisait sexe comme un cheval. Au bout de quelques minutes d’angoisse l’homme diabolique finit par se retirer, non sans la faire jouir une dernière fois…
Une goutte de sueur, une simple goutte longeand l´échine de celle ou celui lui recevant avec délice. Tombant du front d´un chancheux sentant ses joues rosir et son pouls galoper dans ses veines. Le filtre le plus incorrigible d´amour plongeant entre les seins de celle lui recueillant avec délicatesse.
La nuit avait été trop courte... Lors de cette soirée, L´avocat n’avait plus quitté Lola: autoproclamé (et désiré, voulu comme…) son protecteur, il l’avait conduite jusqu’aux plus hauts sommets du plaisir. … Et si elle avait pris goût à la chose…? Est-ce qu’elle comptait recommencer avec cet homme, ce fouteur diabolique?

Fin

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