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Vacances innoubliables
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Femmes coquines et infidèles près de chez vous :
Je m’appelle Marie-Hélène, j’ai 19 ans et je reviens de vacances. Jusque là, rien d’anormal, je suis une fille tout à fait classique avec mes idées sur la vie et mes goûts en matière de relation humaine. Je suis partie deux semaines avec ma cousine et son mari. Ils avaient loué un mobil home dans les Pyrénées et nous avions décidé de faire quelques randonnées et quelques sommets. Ma cousine est de trois ans mon aîné et son mari a déjà 29 ans. Pour moi, ils représentent un couple ordinaire avec leurs petites manies et leurs disputes passagères. Ils forment un couple sympa avec mon cousin par alliance, Pascal, qui n’arrête pas de faire le clown et de sortir une connerie toutes les minutes. Ma cousine, Sonia, est un peu plus discrète comme elle l’a toujours été mais, grâce à son mari, elle se déride un peu et cela lui va très bien.
Dans la vie, je suis seule car je n’éprouve aucune envie d’être avec quelqu’un pendant mes études. Je suis des cours de géophysique et de biologie moléculaire, cela me prend tout mon temps et je ne sors jamais ou très exceptionnellement.
C’est à cause de cela que ma cousine m’a forcée pour venir avec elle en vacances. Sur le coup, j’avais dis non car je voulais préparer ma rentrée prochaine en étudiant chez mes parents. Puis, sous la pression de mes parents qui ne voyaient pas d’un bon œil leur fille rester dans l’ombre d’une chambre pour bosser tout l’été, je me suis décidée à aller voir dehors si le monde valait le coup. Sur ce point, je n’ai pas été déçue, autant sur le point paysage que sur le point personnel.
Je suis arrivée chez ma cousine le vendredi matin, la veille du départ et nous avons passé une bonne partie de la journée à faire les boutiques pour acheter ce qui nous manquait. Les chaussures, les sacs, les fringues et tous les petits trucs pour pouvoir faire des balades en montagne sans devoir appeler les secours au moindre changement de temps.
Le soir, Pascal préparait la voiture en utilisant chaque millimètre carré pour tout caser. Il faisait une température proche de celle de la fusion du plomb et il était torse nu plein de sueur.
Je le regardais faire et je regardais son corps bouger. Je me suis surprise à fantasmer sur lui pendant quelques instants. Je le voyais travailler en sueur et je trouvais que c’était un beau mec et que ma cousine avait de la chance de l’avoir. Loin d’être jalouse, c’était la première fois que je le voyais, non pas travailler, mais avec un regard… féminin. J’ai tellement l’habitude d’étudier tout ce que j’observe, j’y porte un regard analyste et je mets très rarement des sentiments dans mes relations. A ma grande honte, bien que je m’en moque éperdument, j’étais encore vierge avant mon départ en vacances. Pourtant, certaines copines ont fait beaucoup d’efforts pour me mettre en relation avec tel ou tel mec du lycée ou du campus, mais je n’ai jamais trouvé un intérêt dans une relation intime. Tous les mecs que l’on m’a mis dans les pattes étaient d’une platitude organique désastreuse et inintéressante. Bref, je m’égare !
Je regardais Pascal ranger les affaires et il se retourna pour me demander de lui passer un sac de fringues. Il me dit : « Je crois que j’ai trouvé une place pour toi entre la glacière et les pompes de randonnée ! ».
Je lui répondis immédiatement : « Fait pas trop d’effort pour moi, si je peux rester là, ce sera mieux ». Il me regarda avec un regard un peu triste, ce qui me toucha. Il avait l’air sincère dans son attitude et le fait que je ne vienne pas avait l’air de le peiner réellement. Il me dit sur un ton ferme « Tu viens, même si je dois t’accrocher sur les barres du toit… d’ailleurs si tu trouves les menottes dans ma table de chevet, cela m’aiderait pour pas que tu te sauves ». Sonia arriva sur ces entrefaites et demanda « Qui cherche des menottes ? ». Je répondis « C’est Pascal qui veut m’accrocher avec. ». Sonia rigola et me dit « Ca commence bien entre vous deux, vous voulez que je prenne aussi le fouet et les clous ? ». Pascal se mit à rire en disant « Arrête, tu m’excites… ». Je haussai les épaules et quittai le garage avec la mine boudeuse tellement je n’avais pas envie de partir.
Dans la soirée, je pris un livre d’étude et commençai à lire un chapitre sur les ressources sous-marines. Sonia, pendant ce temps, regardait une série américaine à la télé avec Pascal qui venait de sortir de la douche. Pendant les publicités, Pascal se leva et vint regarder ce que je lisais. Il me posa quelques questions sur le contenu de ma lecture et commença à me parler des possibilités d’exploitations des nodules sur les grands fonds sablonneux. Je fus surprise par ses connaissances, et sa présence à mes côtés était agréable. Il sentait bon, son déodorant était très agréable et il était torse nu. Son corps rayonnait d’une chaleur rassurante et douce, il me parlait posément et je découvrais une facette de ce cousin que je ne connaissais pas. Il sortait toujours quelques bêtises avec des jeux de mots (mais où pouvait-il trouver toutes ces conneries à dire ? comme disait ma cousine, maintenant, je comprenais sa réflexion) mais il s’intéressait vraiment à ma lecture.
Il était debout à côté de moi et quand je baissais mon regard vers mon livre, mon regard était étrangement attiré vers son caleçon qui laissait voir un renflement vers la jambe gauche. Je ne voulais pas regarder ses hanches mais à plusieurs reprises, je me surpris à regarder l’endroit où se trouvait son sexe. Il ne vit pas que je regardais et il continua à discuter avec moi. Au bout d’un moment, il me dit « Allez, je te laisse travailler » et retourna vers Sonia sur le canapé. Mon esprit ne put se concentrer de nouveau sur mon étude et au bout de dix longues minutes, je fermai mon livre et allai rejoindre le couple sur le canapé. Je m’assis près de Pascal.
J’avais un pyjama fermé qui ne laissait rien voir de mon anatomie étant du style pudique. Sonia, quant à elle avait un haut léger à fines bretelles qui laissait voir son profond décolleté à la limite de ses tétons. Ma cousine n'est pas trop mal foutue, elle a une ossature un peu forte mais à force d’exercice et de sport, elle tient une ligne sympa. Ses fesses sont bien rondes et ses seins ont une forme bien galbée avec un 90C très honorable. Quand je me compare à elle, je suis un peu plus forte mais avec la même taille de seins, les miens étant un peu plus ronds.
En fin de soirée, je me sentais toute bizarre à côté de Pascal, je ne pouvais pas me concentrer sur le film et je me demandais si je ne couvais pas une cochonnerie. Une fois au lit, je n’arrivais pas à dormir avec la tête envahie par Pascal dans des scènes torrides. Le lendemain matin, je me levai avec une tête horrible ayant pratiquement pas dormi.
Le petit déjeuner pris, tout le monde grimpa dans la voiture et nous primes la route des vacances. Pendant les deux premières heures, Pascal conduisit avec moi à l’arrière dormant à point fermé.
Après la pause, Pascal reprit la route et j’étais à l’avant. Je m’imaginais partir en vacances avec mon mari et ma cousine à l’arrière. J’avais le cœur chaud et je trouvais que ces vacances étaient finalement une bonne chose. La route me parut courte et nous arrivâmes dans le camping après nous être trompé seulement deux fois. La suite est l’inévitable installation avec le déballage très rapide de ce qui a été tellement long à ranger dans la voiture. Le lit double pour ma cousine et son mari et le petit lit pour moi…normal ! Pascal fit quand même une remarque qui me travailla longtemps « Et si tu es gentille, tu auras le grand lit ! ». Que voulait dire cette réflexion ? Avec Pascal, on ne savait pratiquement jamais s’il déconnait ou s’il parlait sérieusement ! Cette fois ci, je dois avouer qu’une partie de moi espérait qu’il ne déconnait pas. La journée continua avec la visite du village et un tour au syndicat d’initiative pour chopper tous les prospectus possibles. La soirée fut une soirée de travail pour organiser notre emploi du temps pour les deux semaines à venir.
Le lit m’accueillit tranquillement. Au milieu de la nuit, une envie de faire pipi me réveilla et j’ouvris doucement la porte pour aller aux toilettes. Dans la chambre de ma cousine, des petits bruits laissaient imaginer que le couple avait commencé les activités de vacances. Tout doucement, je m’avançais vers leur porte et j’écoutais les bruits. Ma cousine gémissait avec des « hummm » et des « ohhh » et des « c’est bon… ». J’entendais aussi Pascal dire des « t’es belle » et des « j’adore » et … tout plein de petits dialogues qui indiquaient qu’ils appréciaient les vacances.
A les entendre, mon corps réagit et mon ventre se chauffa, mes seins se contractèrent et ma tête devint songeuse. J’allai aux toilettes pour faire mon pipi dans le plus grand silence possible. Les WC étaient à côté de leur chambre et je devais faire très attention. Pendant tout mon pipi, ils ne s’arrêtèrent pas et de retour dans mon lit, je ne pus que me soulager de ne pas m’être fait entendre. Par contre, pour m’endormir, ce ne fut pas très simple. Ma tête était remplie de ma cousine nue et de son mari nu aussi. Ma main glissa doucement vers mon bas-ventre et dans ma culotte pour me caresser. J’eu un orgasme rapidement et en étouffant mes gémissements dans mon oreiller. Malgré ma masturbation, mon esprit ne put effacer l’image de ma cousine et de son mari. Dans une excitation inhabituelle pour moi, je finis par retirer ma culotte et me caressai encore et encore. Dans mes efforts, j’enfonçais deux à trois doigts en moi pour imaginer la pénétration d’un sexe en moi.
Je ne me rappelle plus quand je me suis endormie mais le matin, j’ai eu un mal fou à émerger. Ma cousine ouvrit la porte de la chambre et me força à me lever. Je n’avais pas ma culotte qui devait être coincée dans les méandres des draps. Un rapide coup d’œil dans la chambre vérifia qu’elle n’était pas visible et je me mis à table les fesses nues sous mon pyjama. Tout le monde était assis et je m’aperçus que deux boutons de mon pyjama étaient retirés. J’en remis un seul ne voulant pas faire ma prude alors que je m’étais masturbé une bonne partie de la nuit.
Après le petit déjeuner, Sonia m’emmena dans la salle de bain pour vite se laver. Elle se mit nue et fila dans la douche. Je me lavai les dents et ensuite, Sonia se sécha pendant que j’entrai dans la douche. Sonia ne rata pas le fait que j’avais les fesses à l’air. Elle me demanda : « Tu ne mets plus de culotte pour dormir, toi ? ». Je levai les épaules en rétorquant « J’ai 19 ans maintenant et si je veux dormir le cul à l’air, ça me regarde ! ». Sonia rigola et me répondit « Ne te fâches pas ma chérie, je suis contente que tu te dérides un peu, j’espère que tu n’es plus vierge ! ». Je ne répondis pas et préférai me laver. En sortant de la douche, Pascal avait nettoyé la cuisine et rangé les chambres. Je devins toute rouge quand je vis ma culotte trôner en évidence sur les draps pliés de mon lit. Il fallait que ce soit Pascal qui la trouve. La honte mortelle me toucha et je m’empressai de la prendre pour la glisser dans mon sac de linges sales.
La matinée continua dans les préparatifs de la première randonnée et personne ne parla de l’incident de la culotte. Je fulminais intérieurement dans mon coin. Comment pouvais-je avoir laissé ma culotte à la vue de ce mec ? Qu’est-ce qu’il était venu fouiller dans ma piaule et toucher mes fringues ? Je rageais et pestais prête à faire un meurtre. L’ambiance dans la voiture était pourtant à la fête au fur et à mesure que nous arrivions vers le point de départ de la randonnée. Pascal gara la voiture sur un bas côté et nous mîmes les chaussures et chacun prépara son sac. Sonia me lançait des regards désapprobateurs parce que je faisais la gueule. Je continuais quand même à être en colère même si ça faisait chier tout le monde mais je me voyais mal dire à haute voix que j’en voulais à son mec d’avoir trouvé ma culotte que j’avais retirée pour me caresser. Seul Pascal avait l’air content comme d’habitude et je crois que c’était ça qui me mettait dans une rage folle. Ce mec touche mes vêtements intimes et il est content de lui.
La randonnée commence et je suis le rythme tranquille de la montée. A chaque pas, je repassais les derniers faits et je décidai de faire le vide si je voulais passer des vacances reposantes. J’oscillais entre la colère et le sentiment de vengeance car s’il avait touché ma culotte, il n’était pas prêt de toucher autre chose venant de moi. Je n’allais pas lui faire de cadeau à ce con.
Jusqu’à midi, nous montons régulièrement et Pascal est toujours aux petits soins avec les deux filles qui l’accompagnent. Je ne réponds à aucune de ses gentillesses mais il continue quand même à être agréable. Cette manière d’être me colle les boules et j’aimerais lui mettre des gifles. Dans un sous-bois, on se trouve un coin en retrait et on commence à manger. Vers la fin du repas à base de pain frais pris du matin, Sonia s’éloigne pour faire ses besoins. Dès que Sonia n’est plus visible, Pascal me demande s’il a fait quelque chose de mal. Je lui lance un regard noir et …et… et je ne sais pas comment lui dire.
Pascal, après mon moment de silence me parle tout doucement : « C’est moi qui ai insisté auprès de tes parents pour que tu viennes en vacances avec nous parce que j’étais sûr que cela te ferait du bien. Je suis très content que tu sois là avec nous mais si vraiment, c’est une galère pour toi, je peux te ramener chez toi demain. Je n’ai pas envie que l’on passe deux semaines à se pourrir la vie pour un détail. Ok ? ».
Sur ces paroles, ma colère baisse très vite et je me trouve conne d’avoir été si égoïste. Après un moment de réflexion, je lui réponds doucement « ok ! je reste mais ne touche plus à mes affaires ! ». Pascal eu l’air surpris et un grand sourire s’afficha sur son visage. Il me dit tout joyeux « C’est pour ça …elle est tombée des draps quand j’ai fait le lit et je me voyais mal la laisser traîner par terre. La prochaine fois, je ne m’occuperai pas de ta chambre si tu as peur que je trouve d’autres choses. Ce matin, je l’ai fait pour te rendre service et pas pour jouer le voyeur. Je te demande pardon. ». Je me retrouvais comme une conne avec mon caractère de chienne et je réussis juste à dire un petit « mouais » souligné d’un sourire de paix. Pascal sourit aussi et me dit en retour « Entre nous, j’ai été surpris par le style de culotte, je pensais que tu portais plutôt des strings ». Je fis la moue pour lui faire remarquer que le sujet était sensible mais il éclata de rire et se leva en disant « Allez, je vais aller vidanger aussi moi… ». Il s’éloigna en riant toujours et me laissa toute seule.
Sonia revint et me demanda si ça allait. Je lui dis que ça allait et que je me sentais bien. Sonia m’indiqua que je n’étais pas très cool depuis le départ. Je m’excusai et lui promis d’être plus cool dans l’avenir. Pour rompre le silence qui suivit, je dis à Sonia que son mari était super gentil. Sonia sourit doucement et me dit sous couvert du grand secret « Et je crois qu’il t’aime vraiment beaucoup, j’en suis presque jalouse. Tu sais que c’est lui qui a fait le forcing auprès des parents pour que tu viennes avec nous. Et encore, tu ne sais pas tout mais je t’assure que tu as de la chance d’avoir un cousin par alliance comme lui ». Sur ce, Pascal revint et tout le monde reprit les sacs pour repartir vers l’objectif de notre montée.
Pendant la suite de la journée, j’appréciais le paysage et je prenais un réel plaisir à être dans les montagnes. L’ambiance était bon enfant et la balade se déroula dans de très bonnes conditions. A la croisée d’un chemin, Pascal en profita pour nous arroser avec l’eau d’une petite cascade et avec Sonia, nos maillots mouillés collaient au corps. Mon maillot laissait voir le dessin de mon soutif et le maillot de Sonia montrait le relief de dentelle. Pascal fit mine de ne rien voir mais je me demandais s’il ne voyait vraiment rien. Tout se passa très bien jusqu’au retour à la voiture. Nos jambes n’en pouvaient plus et j’avais l’impression que mes pieds allaient prendre feu si je mettais de la paille à côté.
Le retour au mobil home se fit vite et j’eu le privilège d’accéder à la douche en premier. Je me changeais en prenant soin de prendre une belle culotte et de ne pas mettre de soutif. Les paroles de Pascal et Sonia lors de la pause m’avaient travaillé un peu et je trouvais effectivement que j’avais de la chance d’avoir un cousin comme lui. Je pensais à demain matin et s’il devait trouver ma petite culotte, il verrait de quoi je suis capable mais il serait déçu parce qu’il était hors de question que je me colle une ficelle dans les fesses pour faire fantasmer un mec. Enfin, voilà mon caractère de guerrière qui refaisait surface !
Sonia et Pascal prirent la suite dans la douche. Ensuite, petite soirée BBQ et un jeu de société TRIVIAL POURSUIT pour la nuit. Je fut surprise de voir que Pascal ne connaissait pas uniquement des blagues à la con mais il avait une culture générale assez bien fournie. Je gagnai quand même la partie grâce à des questions sur la chimie et l’histoire. La bonne ambiance nous amena jusqu’au lit où chacun pu se reposer. Je passai une bonne nuit et le matin, je me réveillai sereine avec encore la culotte sur moi. Avant de me lever, j’étais presque sur le point de la retirer pour la mettre sous les draps mais c’était un peu osé comme idée et cela pouvait créer un scandale.
Petit déjeuner tranquille et suivi de la douche avec ma cousine. Je voyais la mine de ma cousine pas dans sa grande forme. Elle me dit qu’elle avait ses règles et que ça gâchait un peu les vacances. Je trouvais qu’elle en faisait beaucoup pour des règles et qu’à part le problème des couches qui donnent chaud, c’était supportable. Sonia me dit « J’avais prévu de faire l’amour pendant toutes les vacances et je suis emmerdée par ses maudites règles. » Je levai les épaules car je n’avais pas de solutions. Après m’être lavée les dents je lui dis avec un petit sourire « Tu ne veux quand même pas que je prenne ta place pour faire plaisir à ton mec. ». Sans se démonter, Sonia me répondit « Arrête, si je lui propose, il serait prêt à accepter, depuis le temps qu’il fantasme sur toi ! ». Elle me cloua le bec et aussitôt, elle dû se rendre compte qu’elle avait trop parlé car elle devint toute rouge et bafouilla un « enfin…je crois…c’est un mec quoi ! …j’en n’ai que pour deux ou trois jours…oh merde ! ». Je dois avouer que l’idée d’être avec Pascal était intéressante mais il me semblait très merdique comme situation que je me fasse sauter par le mari de ma cousine pour la remplacer pendant ses règles. La matinée se passa sans autre allusion et mon esprit réussi à être occupé par des visites de caves et d’une grotte. C’était à la limite du truc chiant à en vomir mais nous avions fait ce choix en groupe. A la fin de la dernière visite, Pascal se mit au volant de la voiture et nous demanda de lui faire une promesse. Il nous dit « Plus jamais ça ! ». D’un commun accord, nous nous mirent à crier un OUI haut et fort tellement nous avions trouvé cette journée longue. Nous avons fini prêt d’un torrent pour manger notre casse-croûte à la fraîcheur de la montagne.
Au retour dans le mobil home, nous nous sommes affalés sur le grand lit pour jouer au LOVE TRIVIA, un jeu avec des questions sur l’amour…très relatif car les questions étaient surtout basées sur de la littérature et des sondages. Pascal gagna et à chaque tour, un gage était donné au perdant. Pascal gagna un baiser sur la bouche de la part de sa femme (ouf) et une promesse aveugle de ma part. Il me fit promettre d’être gentille avec tout le monde pendant deux semaines. C’était une boutade et je réussis à rester zen sans prendre la mouche. Me retrouver sur le grand lit pendant la soirée avec ma cousine et son mari me rendait toute chose et je me disais qu’ils avaient fait l’amour au même endroit il y avait à peine plus de 2 jours.
J’étais allongée à la place de Pascal et j’utilisais son oreiller pour poser ma poitrine. J’imaginais Pascal dormir dans quelques instants à l’endroit où j’avais posé mes seins. C’était excitant et les questions du jeu me procuraient aussi une petite excitation. Nous rigolions beaucoup et le jeu grivois me libérait l’esprit. Sonia rigolait en me regardant bizarrement comme si elle était contente pour moi de quelque chose que je ne comprenne pas. Elle proposa de faire une partie en strip-tease mais Pascal lui dit que je ne voudrais pas et que c’était le truc à faire en couple. Sur le coup, j’étais entièrement d’accord avec lui mais l’idée de me déshabiller devant lui était tentante. Et puis, si je gagnais, c’est lui qui se retrouverait à poil. L’idée du jeu n’alla pas plus loin et vers 1h00 du matin, Pascal se leva pour aller aux toilettes et se changer pour dormir. Sonia en profita pour me demander si je voulais dormir avec eux.
Je lui répondis : « T’es dingue ! ». Elle attendit une autre réponse puis dit « bon, tant pis ».
Pascal revint dans son caleçon et sans vraiment le vouloir, je regardais vers son sexe que je voyais ballotter sous le fin tissu. Je me demandais à quoi il pouvait ressembler. Je chassais rapidement cette idée de ma tête et me leva pour aller me préparer à dormir. Je croisais Sonia dans la salle de bain. Elle enfilait sa chemise de nuit à fines bretelles. En la regardant, je trouvais que cette tenue, la rendait très sexe. Je lui demandai si elle avait une autre pour moi car j’avais que des gros trucs qui tenaient chaud. Elle rigola en me disant qu’elle avait une nuisette mais que je n’allais sûrement pas la vouloir. Elle sortit alors d’une valise, une nuisette en satin. En me la montrant, je me demandai si c’était fait pour cacher quelques chose ! Elle rigola de voir ma tête et commença à la replier pour la ranger en disant « Tu vois, je t’avais dis que ce n’était pas pour toi ». Relevant le défi, je la lui pris doucement des mains et lui dit : « Merci mais je crois que j’ai un gage pendant deux semaines. Tu ne me connais pas beaucoup ma chère cousine ! ». Sonia fit des yeux tout ronds et sortit de la salle de bain en me disant « Tu m’épates ! ».
Seule dans la salle de bain, je fis ma toilette intime et j’enfilai le déshabillé. Je voyais mes tétons pointer à travers le tissu et la longueur du vêtement s’arrêtait juste sous ma culotte. J’avais le choix entre, je montre mes seins ou je montre ma touffe. Puisque ma cousine m’avait lancé un défi, je devais le relever. Je retirai ma culotte et la rangeai dans le sac de la salle de bain. Ma toison châtain se voyait si je levais les bras et mes seins se voyaient si j’osais me baisser un peu. Je pris un miroir et le mis derrière moi. En me baissant, d’une part, on voyait mes seins devant mais mes fesses se voyaient derrière. Le dilemme pour moi car si je sortais comme ça, c’était une incitation au viol. En sortant de la salle de bain, Je vis que la porte de la chambre de ma cousine était ouverte et Pascal et Sonia attendaient patiemment que je sorte. Pascal poussa un « bravo » soutenu par un sifflement approbateur. Quant à ma cousine, elle me dit « Ben ma cochonne, tu es vraiment splendide ». J’étais rouge et je n’osais bouger de peur qu’un mouvement dévoile ma féminité. Je réussis à dire « Ouais, ben vous pouvez rêver pour que je vienne vous dire au revoir. ». Pascal me répondit « Si c’est un problème, je voudrais bien venir mais ma femme m’a accrochée au lit ». Je dis « A demain » et m’enfermai dans ma chambre.
A la lueur de ma petite lampe, je me regardais dans cette tenue bien trop courte pour moi. J’étais pour ainsi dire nue. Je voyais mes seins et ma touffe. J’étais adossée contre le mur sur mon lit avec mes jambes relevées. Si quelqu’un rentrait à cet instant, il pouvait voir mon sexe sans problème. Je trouvais ça excitant malgré tout et sans vraiment le vouloir, mon corps se relâchait et devenait en proie à des pulsions sexuelles. Je tentais de retenir mon corps mais il m’échappait complètement. Je sentais mes seins se contracter et ma vulve doucement devenir molle et chaude. Mon esprit me forçait à devenir une autre moi et je fus tentée d’ouvrir mes cuisses pour regarder mon corps s’ouvrir. J’avais l’impression de me transformer comme le papillon qui sort de sa chrysalide. Je glissais ma main sur ma hanche et je posais un doigt sur ma chatte. Mon doigt rencontra la douceur chaude et humide de mon sexe ouvert. Le contact me créa un choc électrique qui ne fit qu’accentuer les sensations. L’onde se propagea dans tout mon corps avec un effet de plus en plus incontrôlable. J’avais envie qu’on me prenne, j’avais envie d’être à la merci de caresses sans fin, j’avais envie de baisers, j’avais envie d’ouvrir mes cuisses et d’offrir mon sexe, j’avais envie de devenir un objet de plaisir et de me laisser envahir par des ondes de plaisir tout au long de la nuit. Je sentais mon sexe s’inonder de cyprine et mes seins commençaient à me faire mal tellement ils étaient contractés.
Je fermai les yeux et tout mon esprit était envahi de corps nus. J’entendis un grincement qui me fit sursauter et je vis ma cousine dans l’encadrement de la porte. Elle me regardait sans aucune gêne mais moi, j’étais morte de peur et de honte, je serrai mes genoux, puis après quelques secondes, je me rappelai que ma chatte ouverte était visible. Je relevai le drap sur moi et demandai à Sonia ce qu’elle voulait. Sonia entra dans la chambre et ferma la porte. Elle s’approcha de moi et mit sa main sur celle qui tenait le drap. Elle appuya doucement pour me faire baisser la main. Son sourire était rassurant et ma main se reposa avec le drap. Sonia regarda le drap et me dit « Tu l’as tout mouillé ! Tu sais que tu es belle dans cet état ? ». Dans ma confusion, l’esprit encore embrumé, je lui demandai « Qu’est-ce que tu fous ici ? ».Sonia regarda vers la tâche sur les draps et me dit « Tu as fait une super sensation à Pascal et je viens te dire que ma proposition tient toujours. En plus, je vois que tu es dans tous tes états et que tu es prête à venir ». Je lui répondis « Mais que racontes-tu ? Tu veux que je me fasse sauter par ton mari ? T’es malade ma grande ! Et puis pour mon état, ce sont mes affaires et je trouve que tu t’occupes de choses qui ne te regarde pas ». Sonia se pencha pour regarder ma chatte encore légèrement ouverte et toujours baveuse. Elle me dit « Tu es ma petite cousine et je viens de te découvrir une vraie femme. Tu es superbe et j’aime mon mari. Si tu fantasmes sur lui, je te propose de venir dormir avec nous et il arrivera ce que tu décideras.
Depuis notre mariage, il y a trois ans, il t’a remarquée et nous parlons souvent de toi. Il est même arrivé qu’il me fasse de petits scénarios avec toi dans l’action. Je t’aime ma chérie et c’est bien parce que tu es ma cousine que je te propose ça. Si tu es toute seule dans cet état, c’est que tu es malheureuse et seule. Je te propose de vivre l’amour avec mon mari et je resterai à côté de toi. ». Je lui demandai « C’est Pascal qui t’a demandée de venir ? ». Elle me répondit sans hésiter « Et bien non, tu vois. Quand je lui ai parlé des possibilités de te faire l’amour, il a dit clairement non car il ne voulait pas perdre ton amitié ». Je trouvais ça super sympa et raisonnable mais une partie de moi criait du fin fond de mon ventre « dis OUI ! ».
Sonia se releva et sortit doucement. Je voulais dire oui mais je voulais dire non. Au moment où Sonia fermait la porte, je lui dis « OK, j’arrive ». La porte s’ouvrit sur le visage de Sonia qui resplendissait. Je me levai et arrivai doucement avec l’idée de fuir au fin fond de mon lit et de retrouver mon gros pyjama bien protecteur. Sonia me prit par la main et m’emmena vers la porte de sa chambre fermée. A chaque pas, je devenais de plus en plus réticente en me demandant pourquoi je faisais cette marche vers… vers quoi d’ailleurs ? J’allais devenir un objet sexuel temporaire pour servir le besoin d’un mec qui ne peux pas se faire sa femme ! Je m’arrêtai et parlai doucement à Sonia : « Non, qu’est-ce que tu fais ? T’es vraiment tarée comme nana. Je ne vais pas me faire sauter à ta place à chaque fois que tu as tes règles ! ». Sonia se retourna et me répondit sans se vexée : « Si tu crois ça, tu te trompes énormément. Pascal t’aime depuis qu’il t’a vue à notre mariage. Pascal m’aime et jamais il ne me quittera. Par amour pour lui et par amour pour toi, que je vois seule depuis tellement longtemps, je veux vous rendre heureux tous les deux. Qu’il te fasse l’amour ne me dérange pas. Je pense que tu es encore vierge et la première expérience est très importante. J’ai raté la mienne et j’ai eu du mal à refaire confiance en un mec. Pascal a réussi à me faire découvrir des plaisirs que je ne soupçonnais même pas. Je t’offre le plus beau cadeau que je puisse faire.
Maintenant, si tu veux rester seule et faire ton expérience par toi-même, j’espère que tu seras heureuse. Maintenant, je t’assure d’une chose, je ne veux pas que tu te fasses violer pour me faire plaisir et celui de mon mari, je ne suis pas détraquée à ce point là. Si tu veux, tu viens maintenant t’allonger entre Pascal et moi. Je pense que Pascal te respectera comme il me respecte et il ne fera jamais ce que tu ne veux pas qu’il te fasse. D’accord ? ».
Je réfléchissais à pleine vitesse mais les idées s’entrechoquaient sans pouvoir établir une réflexion posée. J’avais tellement envie de faire ce grand pas et en même temps je refusais d’aller m’offrir comme on donne un bonbon à un gosse. Je décidai quand même de donner une chance à ma cousine car je lui avais toujours fait confiance et à aucun moment elle ne m’avait trahie. Je laissai Sonia ouvrir la porte de la chambre et j’entrai à sa suite. Je n’osai faire le moindre geste de peur de découvrir mon corps. La chambre était plongée dans le noir et je devinai Pascal allongé sous les draps. Il ne bougeait pas et semblait dormir. Sonia ouvrit les draps pour me laisser entrer dans le lit. Avec toutes les précautions possibles pour que le tissu continue de cacher l’essentiel de mon corps, je me plaçai sur le matelas à côté de Pascal mais pas trop près quand même. Pascal ne bougeait pas et me tournait le dos. Sonia s’allongea à côté de moi et le drap recouvrit ce trio. Après un moment de silence complet, Sonia gloussa doucement et me dit à voix basse : « Ecoute mon gros bébé comment il dort. ». Effectivement, en écoutant attentivement, la respiration de Pascal était longue et tranquille. Je commençais à me relaxer. Le risque qu’il me touche était écarté. Je me suis endormie après un long moment durant lequel je surveillais les moindres gestes et les moindres changements de respiration. Finalement, je sombrai dans un grand sommeil bien après Sonia qui dormait aussi à point fermé.
Le matin, j’émergeai doucement d’un sommeil profond malgré toutes les peurs qui m’avaient perturbé la veille. En ouvrant doucement les yeux, je voyais Sonia qui dormait face à moi. Mes peurs de la nuit revinrent rapidement et j’écoutais silencieusement pour savoir si Pascal dormait. Rien. Rien derrière moi. Rien comme si Pascal me surveillait silencieusement. Je devais me retourner pour vérifier mais je sentais que le fin tissu que je portais ne couvrait plus grand chose. J’étais sauvée par le drap qui me couvrait jusqu’aux épaules. Dans un mouvement lent, je me retournai et ouvris à peine les paupières. Le mur ! J’étais seule dans le lit avec ma cousine ! Je levai la tête et regardai la chambre. La porte était fermée et j’étais seule dans la chambre avec elle encore endormie. Je me regardais et je vis un de mes seins qui s’était sauvé de sa faible protection et la nuisette qui était remontée jusqu’au dessus de mon nombril. Je me tournai pour regarder Sonia qui dormait sur le côté . Elle avait une main sous l’oreiller et l’autre sur le côté. Elle avait toujours des positions pour dormir digne d’une accidentée de la route. De par ce fait, et grâce à son déshabillé, on voyait sa culotte et pratiquement ses seins. Bravo pour l’image des filles de la famille. Deux salopes dans un pieu avec un mec pour les prendre ! Mes peurs de la veille étaient moins fortes que je ne le pensais et j’étais presque déçue que Pascal ne soit pas à côté de moi ce matin. Soudain, je pensais à ce qu’il avait fait pendant que je dormais ! Il avait dû se rincer l’œil on me matant le cul ! Ca y est ! je rageais comme j’en avais l’habitude.
Un bruit dans la pièce principale me fit sursauter. Je remis les bretelles de la nuisette et rangeai mon sein à sa place. Le frottement du tissu sur mes tétons créait une contracture de mes tétons que je ne pouvais pas contrôler. Si jamais Pascal entrait à ce moment là, il verrait mes seins pointer et imaginerait des choses. A vrai dire, c’est mon corps qui parlait en réagissant à des caresses qu’il désire sûrement plus que ma tête ! Sonia commença à bouger et cligna des yeux. Elle réussit à sortir un « coucou » avec une voix pâteuse à en faire une poterie. Elle s’étendit de tout son long ce qui fit glisser le drap prit dans ses pieds. Je laissais le tissu glisser et découvrir mon bas ventre. « Faites qu’il rentre maintenant ! » mes pensées me trahissaient et je commençais à devenir une autre femme. Je commençais à désirer être… je ne sais pas vraiment…mais j’avais envie qu’un homme s’occupe de moi. J’avais envie de caresses, de tendresse, d’amour. J’étais sur le lit, assise en tailleur avec la nuisette relevée et ma chatte offerte à la vue. N’étant pas chaude comme de la braise, mon corps ne laissait voir qu’une touffe de poils. En me regardant, je voyais qu’un maillot ne me ferait pas de mal afin d’éviter d’avoir un Yeti entre les jambes. Je me levai et remis mes affaires en place. Un rapide coup d’œil dans la petite pièce ne me donna pas l’occasion de m’habiller plus convenablement. Heureusement, l’armoire contenait les culottes de ma cousine. J’enfilai une culotte et un soutif assorti. Maintenant, je me sentais un peu plus à l’aise. La poitrine de Sonia n’avait pas la même forme que la mienne mais son soutif contenait mes seins sans problème après un petit réglage. Je sortis de la chambre et fis un rapide tour aux toilettes. Pascal était à table avec un jeu de mots croisés ou de SUDOKU.
Juste un petit « bonjour » fusa entre nous s’en que je m’y attarde. Sonia sortit de la chambre et demanda à Pascal si cela faisait longtemps qu’il était réveillé. Il regarda l’heure et dit « à peu près une heure, mais je n’arrivais plus à dormir. Rend toi compte, j’ai fais un rêve bizarre. Je dormais avec ma femme et je me retrouve avec deux femmes dans mon lit ! J’ai préféré me lever avant de toucher à quoi que ce soit ».
Il souriait, content de sa connerie. Je me mis à sourire aussi parce que ça réflexion n’était pas méchante. Durant le petit déjeuner, Pascal me demanda pourquoi j’étais venu dormir avec eux. Je regardais Sonia qui me fit un signe de la tête pour m’indiquer que je devais me démerder toute seule. Je répondis alors : « J’ai eu peur cette nuit alors j’ai eu l’idée de dormir avec vous ». Pascal réfléchit et me répondit : « Cool ! Attention tout de même, je suis un obsédé sexuel et si tu dors à côté de moi dans des tenues comme celle-ci, je ne suis pas sûr de résister toutes les vacances ! ». Je commençais à rougir et enfouis ma tête dans mon bol.
La douche avec ma cousine fut spéciale car Sonia me regardait avec un regard étrange. Quand j’étais dans la douche, elle s’approcha de moi et me demanda si je voulais qu’elle me frotte le dos. N’y voyant pas d’objection, j’acceptais mais les frottements étaient plutôt des caresses douces et langoureuses. Me tournant vers elle pour lui dire de me repasser le gant de toilette, je la vis avec un doux sourire sur le visage et sa respiration était rapide, ses seins contractés et tendus alors que la chaleur et l’humidité de la pièce approchait du climat équatorial. Sonia me regarda et me dit « T’es une belle nana maintenant. Je craque pour toi tu sais ? ». Elle me donna le gant et se pencha pour m’embrasser sur l’épaule. La voir dans cet état m’amusait et je lui demandais « Tu ne serais pas entrain de me draguer toi ? Tu n’as as encore digéré le baiser de tes douze ans ? ». Elle rigola en disant « Un p’tit baiser d’adolescente qui voulait apprendre à embrasser sur la bouche…ce n’est pas une déclaration d’amour ! Je te trouve seulement vraiment belle et désirable. Depuis que nous sommes en vacances ensemble, je te vois changer de jour en jour et devenir une superbe nana. Je me demande comment tu n’as pas encore fait craquer la moitié du campus ! ».
Je me décide à voir jusqu’où elle veut aller et prend le parti de jouer son jeu. Je suis curieuse de voir ce que ma grande cousine est capable de faire. Je lui demande « Est-ce que tu as un rasoir ? Je dois raser mon Yeti ». Sonia plonge dans sa trousse de toilette et en ressort un rasoir. Je lui prends des mains et je lui demande comment elle me verrait taillée.
Elle se releva et montra sa toison brune taillée sur les ailes pour laisser juste une petite toison verticale. « Tu peux faire une élagage comme moi ! ». Je voyais la chatte de ma cousine en gros plan et c’était assez intéressant. Je lui proposai de prendre le rasoir et de me faire le maillot comme elle l’entend sans toutefois tailler tout.
Elle prit un réel plaisir à me tailler la toison. Je la voyais rouge, la respiration pressée, les seins tendus. Je me tenais debout avec une jambe sur le bord de la baignoire. Sonia, à genou, avait tout le loisir de regarder ma fente et elle ne s’en privait pas. Elle avait une grande attention de ne pas me couper et posait ses doigts sur l’intérieur de ma cuisse ou sur l’aine pour ne pas faire de blessure. La situation commençait à m’exciter et malgré mon self control, je sentis mon ventre se chauffer et commencer à dilater mon bas ventre. Sonia le remarqua tout de suite et pu voir mes lèvres s’écarter doucement pour finir comme une fleur à s’ouvrir sur ma vulve rosée et luisante de mouille. Sonia me demanda si ça allait. Je lui répondis : « Oui, c’est pas mal comme sensation. Et toi, tu y arrives ? ». Elle me regarda et dit « Je crois que c’est presque fini. ».
Je sentais les doigts de Sonia s’approcher de plus en plus de mon clito sous couvert de tenir la peau pour me raser. Je commençais à avoir les jambes flageolantes tellement l’excitation était forte. Sonia me rinça avec le jet qu’elle passa sur mes lèvres gonflées. La réaction fut immédiate comme si des milliards d’aiguilles m’électrisaient le sexe. Sonia m’averti « Attention, je vais te rincer » et sans attendre, elle glissa ses doigts le long de mes lèvres dans ma vulve ouverte. Je réussis à contenir un cri mais mes jambes ne tenaient plus et je faillis tomber dans la baignoire. Sonia me dit « Une vrai femme magnifique ».
Je ne pouvais pas lui demander d’arrêter tellement l’excitation était forte et ses caresses étaient bonnes. Dans un sursaut de lucidité, je lui pris la main et la dégagea de mon sexe. Je m’accroupis dans la baignoire et me retrouva à sa hauteur. Elle était rouge comme une pivoine et sans rien dire, nous nous sommes approchées pour nous embrasser à pleine bouche. Nos langues se trouvèrent et notre baiser fût de loin le plus beau baiser de ma vie. A l’époque de notre adolescence, nous nous étions embrassées juste pour connaître la sensation du baiser sur la bouche mais jamais les sensations n’avaient été aussi puissantes. Tout mon corps était tendu et Sonia se plaquait contre moi. Nos poitrines étaient collées et mes seins me faisaient mal tellement j’étais tendue. Notre baiser dura longtemps et nous étions devenu deux amantes plutôt que deux cousines. Mon esprit avait explosé et la réalité m’avait complètement échappée. Notre baiser s’interrompit pour que nous puissions reprendre notre respiration.
Pascal demanda à la volée : « Hep ! Les filles, vous faites votre sieste là-dedans ? ». Sonia se retourna violemment vers la porte et me regarda aussitôt après. Elle répondit avec difficulté en bafouillant : « Euh…ça va…on arrive… ». Je regardais Sonia sans savoir quoi dire et Sonia était dans le même état que moi. Petit à petit, nous nous mîmes en mouvement pour reprendre un court normal d’activités dans une salle de bain. J’avais repris possession de mon corps et de mes idées. A vrai dire, cette impression était fausse car j’avais surtout les idées embrumées.
Comme des zombies, sans parler, nous nous sommes préparées et avons laissé la place à Pascal qui patientait tranquillement. Sonia s’isola dans la chambre et j’allais chercher le pain pour les casse-croûtes du midi. On était mardi et ma vie prenait un rythme complètement aux antipodes de mes principes et de mes habitudes. En trois jours, j’ai dormi dans un lit prête à faire l’amour avec mon cousin par alliance, je me suis masturbée devant ma cousine, je me suis faite touchée par ma cousine et je l’ai embrassé à pleine bouche comme une vrai lesbienne. Qu’est-ce que je faisais ?
Perdu dans mes pensées, je me suis perdue dans le camping. J’ai facilement retrouvé mon chemin mais j’avais vraiment la tête ailleurs. Je découvrais que j’aimais ma cousine. Je l’aimais comme une cousine mais j’avais des sentiments beaucoup plus profonds. Merde alors, j’étais lesbienne avec ma cousine. Jamais je n’aurais cru cela de moi. Etant plus petite, j’avais joué aux parents et on dormait ensemble mais jamais je n’avais eu de pulsion amoureuse envers elle. Maintenant, je me demandais si j’étais normale. J’avais tellement adoré quand elle avait sa main sur mon sexe que c’était perturbant. En fait, c’était moi qui lui avais donné mon sexe pour qu’elle me touche. C’était moi qui l’avais attirée. C’était moi qui lui avais montré mon sexe ouvert la veille au soir. Sans vraiment m’en rendre compte, c’était moi qui avais allumé ma cousine.
Je tombais de haut en arrivant à cette conclusion car je découvrais une facette de moi que je n’imaginais absolument pas.
C’est à partir de ce moment que je décidais d’écrire un journal. Ce que vous lisez viens de ce jour où j’ai voulu écrire tous mes actes et tous mes sentiments, toutes mes réflexions. J’ai été étonnée quand je l’ai relu après les vacances car j’avais oublié la plupart de mes pensées.
Cette journée a été très dure car nous avons fait notre premier sommet à 2500m et avec Sonia, nous avons trébuché sur chaque gros caillou qui se trouvait sur notre route. A nos têtes, on voyait bien que ça n’allait pas. Je repassais en boucle les dernières aventures et je voyais bien que Sonia était dans le même état. Pascal faisait ce qu’il pouvait pour nous venir en aide. Arrivés près du but, il nous a même proposé de faire demi-tour car j’avais un mollet bleu suite à une chute sur un rocher et Sonia n’arrivait pas à reprendre son souffle. Pascal portait quasiment tout le bardas avec le maximum qu’il avait pu prendre de nos sacs.
Finalement, le sommet arriva et le sourire revint avec le panorama éblouissant. Nous nous prîmes pour des explorateurs et nous avons vidé la batterie de l’appareil photo en prenant toutes les poses de vainqueur possibles. Quand on revoit les photos aujourd’hui, on a plutôt l’impression de regarder une sortie de match de rugby mais sur le moment, nous étions des vainqueurs. La descente se fit plus facilement hormis les ampoules. Sur le chemin final, Sonia me prit la main et nous étions heureuse d’être ensemble. Pascal se mit entre nous et la chaleur de sa main dans la mienne était bénéfique. A la fin de la balade, j’étais heureuse, tout simplement heureuse. Pascal nous félicitait et on voyait qu’il était heureux pour nous d’avoir réussi cet exploit. Il nous embrassa chaudement en disant que ce soir, ce serait le resto assuré. Sonia demanda un temps mort pour faire une soirée cocooning peinarde pour se remettre de la journée. Deux voix contre une, Pascal dû se rendre et il nous promis des massages pour nous remettre de nos bobos.
Sur la route du retour, je sombrais avec Sonia à l’arrière de la voiture. Pascal nous réveilla arrivés au mobil home. Zombi 1 et Zombi 2, tels étaient nos nouveaux noms. Une douche à tour de rôle pour éviter la répétition des péripéties du matin, de toute façon, la fatigue avait pris le pas sur le reste. Pascal prépara le repas. Un repas digne d’un homme puisqu’il a ouvert deux boites qu’il a fait réchauffer. Repas sur la terrasse avec un bol d’air rafraîchissant.
Ensuite, il nous proposa de nous mettre à l’aise pour le massage relaxant. Sonia mis sa nuisette habituelle et j’en fis autant avec la nuisette de la veille. Je gardais ma culotte et laissais à Pascal le loisir de voir mes fesses. Pour ma poitrine, j’avais pris comme décision de lui montrer si il la voyait. J’avais de beaux seins et si il les voyait, il ne pourrait que constater que c’était vrai. Sonia s’allongea avec moi sur le lit. Allongées sur le ventre nous attendions la suite des événements. Pascal sorti un tube de baume qu’il avait acheté dans une pharmacie pendant notre sieste dans la voiture. Il commença par Sonia qui fut massée de haut en bas avec l’odeur du baume qui envahissait la chambre. Sonia enleva sa nuisette pour permettre à Pascal de la masser sur tout le dos sans être ennuyé par le tissu. Elle s’endormi avant la fin du massage. Je la regardais dormir avec un visage détendu. Je la trouvais belle. Elle avait un petit nez entouré de deux beaux yeux d’un vert turquoise. Ses cheveux légèrement ondulés s’étalaient sur ses épaules jusqu’au bas de ses omoplates. Elle était belle et c’était ma cousine. J’étais fière d’avoir une cousine comme elle.
Pascal se mit à côté de moi et me demanda comment on faisait. Je relevais la nuisette tout en gardant mes seins cachés dans le tissu. Il commença à mettre du baume sur les épaules après avoir passé le maximum de tissu au dessus de ma chevelure. Le baume était chaud et les caresses sur le haut du dos me faisaient un bien fou. Je sentais les mains courir sur mon corps et venir de temps en temps sur le côté de ma poitrine comprimée mais sans toucher la peau de mes seins. Le massage descendit sur les reins et les hanches. Tout mon corps se relaxait et j’avais l’impression qu’il me retirait des poids au fur et à mesure du massage. Pascal baissa légèrement le tissu de la culotte pour descendre plus bas sur la colonne vertébrale. Je le laissais faire car j’avais confiance en lui. Il mit du baume sur mes cuisses et commença des longues allés et venus le long de mes cuisses. Ses caresses remontaient entre mes jambes mais jamais plus loin que le raisonnable. A aucun moment, je n’eu l’impression qu’il profitait de la situation. Soit il était raisonnable, soit il était tellement crevé qu’il voulait en finir et dormir. Le massage continua jusqu’au pied mais j’avoue ne pas avoir tout vécue. J’ai dû sombrer vers le massage des chevilles car après, j’ai un grand vide. Le lendemain, Pascal nous a avoué qu’il nous a recouverte et que nous n’avions fait aucun mouvement. Cela ne m’étonne absolument pas.
Le mercredi matin, j’avais un peu froid et je me blottissais contre la chaleur d’un corps. Ma main attrapa un morceau de nuisette pour la tirer vers le bas. Cette merde ne cachait rien et en plus j’avais froid. Un bras m’enveloppa et une douce chaleur me couvrit. La main sur mon ventre me caressait doucement. C’était bon et la chaleur que me procurait cette caresse irradiait dans mon corps. Je bougeais lentement pour me coller encore plus au corps contre moi. Je savais que c’était Sonia et j’étais bien avec ma cousine. Mon esprit se mit en alerte quand je me rendis compte que la main sur mon ventre semblait forte. J’ouvris les yeux doucement et je voyais Sonia face à moi. Aïe, aïe, aïe ! C’était Pascal qui me caressait. Mon Dieu, que devais-je faire ? Je me voyais mal me lever et lui mettre une tarte, surtout que ses caresses étaient bonnes.
Finalement, je le laissais faire. Il me caressait le ventre et j’avais l’impression tout doucement que la main bougeait. Sur le moment, c’était imperceptible mais sa main remontait. C’était excitant comme caresse car ça me réchauffait et ce n’était pas violent du tout. Je laissais faire toujours et la main remontait doucement. A un moment, un doigt toucha la peau de mon sein, juste sous mon sein droit. Un frisson parcouru tout mon être. C’était la première fois que je laissais un homme me toucher. Une réaction se produisit en moi et ma respiration devint plus rapide, mon sang circula rapidement en moi et chauffa toute mon anatomie. Mes seins se durcirent et ils se contractèrent. La main de Pascal revint petit à petit et caressa un peu plus le dessous de mon sein. Maintenant, je trouvais que les caresses n’évoluaient pas assez vite. Je voulais bouger pour que mon sein approche de sa main mais j’avais peur qu’il retire sa main et que tout s’arrête. Pascal continuait toujours aussi doucement ses caresses mais cela devenait insupportable tellement c’était long.
Je me décidai de jouer le tout pour le tout et de lui imposer où mettre sa main.
Juste avant de bouger, je m’aperçu que Sonia me regardait. Elle voyait bien le mouvement de la main de Pascal sous la nuisette près de mes seins et elle souriait. Sonia était toujours torse nu sauf si elle s’était habillée durant la nuit mais pour le moment, elle était sous les draps à me regarder me faire caresser le ventre. Dans un geste le plus doux possible, je pris la main de Pascal dans la mienne et la monta pour la plaquer sur ma poitrine. Sonia me fit la mine de dire Bravo. Pour couronner le tout, je poussais mes fesses en arrière pour bien faire sentir à Pascal que j’en voulais encore. Pascal passa ses doigts sur mes tétons tendus et j’avais des électrisations partout dans le corps. C’était super bon. Pascal passait d’un sein à l’autre en les caressant doucement. Il les prenait et caressait tout le contour du sein pour finir par le téton. En moi, la réaction en chaîne attaqua mon bas ventre et je sentais mon sexe devenir brûlant. Sonia bougea vers moi et écarta le haut de la nuisette pour regarder les mains de Pascal sur mes seins. J’avais l’impression que ça l’excitait de me voir me faire peloter. Elle fit glisser le drap et je pu voir qu’elle était encore torse nu avec des tétons comme les miens, tendus à mort. Elle me caressa le visage et me déposa un baiser sur l’épaule, puis sur la joue. Je sentais Pascal se frotter contre moi et j’avais l’impression que je sentais son sexe dur contre ma fesse. Sonia souleva ce qu’elle pouvait de la nuisette et glissa sa main sur ma poitrine. Mes seins étaient caressés, malaxés, pincés, chauffés et cela me faisait le plus grand bien. Le bras de Pascal se dégagea et laissa la place à Sonia.
Sonia tira sur la nuisette pour la retirer et je fis quelques mouvements pour l’aider. Elle réussi à retirer la nuisette et la balança à terre. Pendant ce temps là, Pascal avait mit sa main sur ma hanche et me caressait la cuisse en allant sur mes fesses. Sonia s’allongea contre moi et m’embrasse sur la bouche. J’étais envahie de frisson avec une sensation de bien-être étonnant. Je laissais Pascal me caresser et j’embrassais ma propre cousine avec une délectation sans retenue. Mon corps s’offrait complètement et mes hanches oscillaient contre le sexe de Pascal que je sentais contre mes fesses. Les mains de Pascal s’aventurèrent vers le devant de ma culotte. Je sentais les doigts longer l’élastique de mon dessous et commencer à glisser entre ma peau et le tissu. J’avais hâte que cette main découvre mon pubis fraîchement taillé. Pascal devait être excité car il ne tarda pas à glisser sa main sous ma culotte vers ma toison qu’il atteignit. J’avais le ventre en feu mais j’étais tellement occupée à embrasser Sonia que les sensations se mélangeaient. Sonia me caressait les seins en me les prenant à pleine main pour les écraser et pincer doucement le téton. Elle glissa doucement vers mes seins et commença à me lécher et à prendre un téton dans la bouche. La sensation était délicieuse et je me mis à pousser de petits gémissements à chaque coup de langue qu’elle me donnait sur la pointe du téton. Je mis ma main sur sa chevelure pour la retenir sur ma poitrine. Elle arriva à dire entre deux tétés : « Tu es bonne ma chérie ».
Dans un très court moment de lucidité, je me demandais ce que je faisais ici, coincée entre ma cousine et son mari. Et puis cette question perdit tout son intérêt quand la main de Pascal alla encore plus bas vers mon clito. Je n’en pouvais plus, il fallait qu’il vienne sur mon bouton pour le prendre. Il était trop lent. Je n’en pouvais plus d’attendre. Sonia dû comprendre ce qui se passait en moi car elle glissa sa main entre mes jambes pour la plaquer sur le tissu qui recouvrait ma fente. Sonia fit aussitôt « Ohhh ! Tu es trempée ma chérie ! Laisse moi retirer ta culotte, elle ne te sert plus à rien… ».
Sans attendre une réponse de ma part, elle se redressa et quitta mes seins pour se mettre vers mes hanches qui hochaient toujours contre le sexe de Pascal. Sonia attrapa le bord de ma culotte et tira dessus pour la faire descendre. La culotte glissa sur ma hanche et Sonia arriva avec plusieurs mouvements de ma part à baisser ma culotte jusqu’à mes chevilles. Voilà que j’étais nue et Pascal en profita pour glisser un doigt sur mon clitoris gonflé de désir. Il maniait son doigt avec une grande connaissance de l’anatomie féminine car il réussissait à créer une multitudes de stimuli qui faisaient monter mon excitation à un point que le plaisir arriva comme jamais. Pris dans le tourbillon de l’orgasme qui m’envahissait, je n’entendis que vaguement Sonia dire à Pascal « Humm, elle sent bon ». Je ne compris pas de suite de quoi elle parlait car j’eu mon premier orgasme de la journée et pour ainsi dire, le premier de ma vie de femme. Je tremblais de partout et je ne retenais plus du tout mon corps. Je me surpris toute seule à pousser un cri qui ressemblait plutôt à un râle long et rauque.
Sonia souleva ma jambe libre et ouvrit mes cuisses. Je sentis que mon sexe était pénétré sans aucun problème tellement j’étais trempée. Sonia avait glissé ses doigts dans ma vulve écartelée par le désir. Pascal lâcha mon clito et bougea derrière moi. Je me pris un sein dans ma main et commença à me peloter.
Je prenais un malin plaisir à me caresser la poitrine alors que jamais je ne le faisais avant. Pascal se colla contre moi, dans mon dos et je sentais sa chaleur. Il devait être nu. Je n’avais absolument plus peur de ma nudité, ni de ce qui pouvait se passer. Je sentis Sonia retirer ses doigts de ma chatte toujours trempée et ma vulve fut envahie par le sexe de Pascal. Mes chairs s’écartèrent pour laisser entrer le sexe de Pascal qui me pénétrait doucement. La sensation, ou je devrais dire les sensations étaient extraordinaires. D’un coup, c’est mon corps qui fit le mouvement en arrière pour faire entrer Pascal plus loin en moi. Je poussais un gémissement de bien-être tellement la pénétration était délicieuse. Je m’attendais à avoir mal mais c’était tout le contraire. Pascal s’enfonça en moi encore plus loin en moi.
Sonia faisait des commentaires et elle devait regarder mon sexe se faire envahir. Je l’entendais dire « Ohh, c’est magnifique », « Super », « C’est trop bon », « Oh, mon Dieu »… Ma défloraison semblait faire de l’effet à ma cousine et elle poussait des gémissements pratiquement en même temps que moi. Je glissais sur le ventre et Pascal écrasa son bassin sur mes fesses pour me pénétrer complètement. Il commença des allés et venues avec une lenteur qui donnait le temps à chaque sensation de se déverser en moi. Je faisais l’amour et c’était exceptionnel. Ma vulve était comprimée par le sexe de Pascal et le frottement de son sexe dans le mien était l’entrée dans un monde inconnu de ma sexualité. Mon bassin se tendait en arrière pour créer une pénétration différente et des frottements sur l’avant ou l’arrière de mon vagin. Je sentis la main de Sonia qui se glissait sur mon sexe gonflé pour écraser le clito. Les électrisations de mon clito ajoutées à la pénétration de mon vagin me lançaient des ondes de plaisirs jusque dans le fond de mon esprit. Pascal me prit par les hanches et me demanda de me redresser. Ne sachant pourquoi ce changement alors que les mouvements étaient délicieux, je m’exécutais avec regret. A quatre pattes, Pascal attrapa ma poitrine qui pendait de tout son poids et continua à me pénétrer. Le changement de position changea aussi les sensations et les frottements. Je poussais des « hummmm » langoureux à chaque fois que le sexe tapait dans le fond de mon vagin. Je sentais un orgasme monter doucement en moi. Sonia n’arrêtait pas de dire « Humm, c’est bon ».
D’un coup, Sonia changea de place et se glissa sous moi. Je la regardais faire et voyais son corps nu se dandiner pour passer sous moi. Soudain, je compris qu’elle voulait mettre son visage sous mon sexe pour me voir me faire pénétrer. Je trouvais cela complètement dingue qu’elle apprécie ce genre de vision. La position de ma cousine tête bêche sous moi me força à lever les mains pour laisser son corps s’allonger dans le même axe que moi. Je fermais les yeux à chaque mouvement en moi et quand je les ouvrais, j’avais une vue directe sur la toison de ma cousine. Ses jambes étaient entrouvertes et je voyais ses lèvres écartées. C’était la première fois que je voyais un sexe de femme d’aussi près et l’odeur âcre qu’il dégageait semblait envahir mon esprit. Je vis les jambes de ma cousine se replier et ses abdominaux se contractèrent. Dans l’instant qui suivi, je sentis la tête de ma cousine s’approcher de mon ventre et je devinais plus que je sentais réellement la bouche de Sonia m’attraper le clito et le titiller avec sa langue. Je réussis à dire « Non » et à mettre la main vers mon ventre pour la repousser. Pascal accéléra au même moment et je dû me retenir pour ne pas tomber en avant. J’en voulais à ma cousine de me prendre le sexe en bouche mais d’un seul coup, les spasmes de l’orgasme m’envahir et Pascal s’enfonça complètement en moi. Je sentais son sexe pulser et une pointe de chaleur chauffa le fond de mon ventre. Pascal s’agitait dans tous les sens en moi et il était comme secoué par des spasmes qui le faisaient taper au fond de mon vagin. A chaque coup de boutoir, une décharge électrique se diffusait en moi et dès le début de l’agitation de Pascal en moi, mon corps répondit aussitôt dans un orgasme terrible qui me fit trembler. J’avais complètement oublié Sonia qui m’aspirait le clitoris et qui faisait glisser sa langue sur mon bouton gonflé et je la laissais faire. Pascal poussa plusieurs grognements et je me joins à lui dans les cris et les gémissements. Mes bras fléchirent et je posai ma tête entre les cuisses toujours écartées de Sonia. Pascal continuait d’être en moi et il me caressait les seins doucement.
Je n’étais plus vierge. Cette phrase revenait en moi en boucle avec une sorte de satisfaction rafraîchissante. Je respirais difficilement comme si j’avais couru pendant une heure. Ma respiration était chaude et j’avais du mal à reprendre mon souffle. J’ouvrais les yeux et j’avais le sexe de Sonia à moins de vingt centimètres de mon visage. Je sentais Sonia me lécher le sexe et ses coups de langue étaient très agréables. Je voyais ses lèvres roses et humides ouvertes sur sa vulve d’un rose plus profond. Un fil de cyprine liait les lèvres entre elles et une goutte de mouillure coulait vers les fesses. Sonia me léchait le sexe avec une telle gourmandise que je me disais qu’elle devait y trouver du plaisir. Avec un sentiment partagé entre le dégoût et le désir de découverte, je m’avançais doucement vers le sexe de ma cousine et embrassa l’intérieure d’une de ses cuisses. Je sentis Sonia trembler et cela me donna envie de recommencer. Un autre baiser sur sa cuisse, puis encore un autre un peu plus près de son sexe. Sonia tendit une jambe et écarta son autre jambe pour me laisser accès à son sexe sans problème. Je regardais le sexe de ma cousine vivre. C’était impressionnant à quel point j’apprenais de chose sur mon propre corps en regardant celui de ma cousine.
Ses fesses se contractaient de manière aléatoire et de ce fait, les lèvres vivaient aussi. Mes baisers approchaient de plus en plus de son sexe dont l’odeur me berçait. Pascal devait me regarder et cela lui donna une seconde vigueur car je sentis sa queue devenir plus présente en moi. Il recommençait à bouger dans ma chatte qui en redemandait. Maintenant que j’avais goûté au cul, je n’allais pas laisser passer l’occasion d’en avoir plus ! Sonia gémissait de plus en plus et elle ne quittait pas mon clitoris et mes lèvres. Pascal me caressait les seins et finit par se pencher sur moi pour me rejoindre vers le sexe de Sonia. Ma position était très «X » car j’étais complètement cambrée avec mon bassin basculé en arrière pour que Pascal puisse me pénétrer complètement.
Pascal me chuchota dans le creux de l’oreille : « Je t’aime ma chérie, tu es vraiment merveilleuse ! ». Cela me toucha jusqu’au fond de mon cœur et j’étais tout simplement heureuse. En réponse à cette déclaration, je lui répondis : « Qu’est-ce que tu veux que je fasse ? ». Il me répondit sans attendre : « Glisse un doigt dans son sexe et fait moi goûter ». La réponse ne m’étonna presque pas et sans attendre, je positionnais mon index face au sexe de Sonia, juste entre ses lèvres et le fit entrer jusqu’à la garde. La chaleur et la douceur du sexe de ma cousine enveloppèrent mon doigt et cette sensation était bonne. Je sortais le doigt recouvert de cyprine et le tendit vers le visage de Pascal qui se trouvait à côté de moi. Je le regardais happer mon doigt et le sucer avec délectation. Mon doigt dans la bouche de Pascal qui le léchait avec gourmandise m’excitait. Il me dit « A ton tour maintenant ». Je retournais donc entre les cuisses de ma cousine et avança mon doigt vers ses lèvres. Je vis le sexe de ma cousine se contracter et une goutte de mouillure sortit de son vagin. Je fermais les yeux pour ne pas être dégoûtée et j’enfonçais mon index dans le sexe de ma cousine. Je sortais mon doigt et m’approcha pour le mettre dans ma bouche. J’avais toujours les yeux fermés et ma bouche devait être à moins de trois centimètres du sexe ouvert. Le goût de ma cousine entra dans ma bouche et Pascal se redressa pour s’agiter en moi. Le fait que je sois sur le sexe de Sonia avait dû l’exciter car ses mouvements étaient fermes et vifs. L’odeur insistante du sexe de ma cousine, la cyprine en bouche, Sonia me titillant le clitoris avec sa bouche et Pascal faisant ses mouvements, tout cet ensemble me faisait tourbillonner la tête et j’ouvris la bouche pour tendre la langue vers le sexe de ma cousine. Je croyais que son sexe était éloigné de ma bouche et je fus surprise de sentir la chaleur sur le bout de ma langue. N’y tenant plus, j’approchais mon visage et ma bouche se plaqua sur le sexe de Sonia. Sans hésiter, ma langue tendue se glissa entre les lèvres de ma cousine et le goût de cyprine entra complètement en moi.
Sonia cria sans retenue et son cri créa en moi comme une réaction en chaîne. Dans les dix minutes qui suivirent, je gourmandais le sexe de ma cousine qui me le rendait très bien. Pascal arrivait à peloter les seins de Sonia et les miens à tour de rôle. Il éjacula en moi pour la deuxième fois et cette fois-ci, je sentis son liquide se répandre en moi. Sonia eut un orgasme démesuré juste avant et je sente son sexe se crisper pendant que je la léchais. J’ai rapidement pris goût à lécher le sexe de ma cousine. C’est un plaisir que je ne soupçonnais pas du tout et depuis, j’ai aussi appris à me lécher. C’est un plaisir très particulier mais ceci est hors du contexte de mon histoire. Après l’orgasme dévastateur de ma cousine, elle se libéra de sa position et vint s’allonger à côte de moi pour me donner un énorme baiser sur la bouche. C’est à ce moment là que je me suis rendu compte que j’avais le goût du sexe de ma cousine et de mon propre sexe dans la bouche. De plus, nous dûmes suspendre nos baisers à plusieurs reprises car des poils pubiens s’étaient invités dans nos bouches.
Après l’éjaculation de Pascal en moi, il me titilla le clitoris pour ne pas me laisser en reste. Je glissai ma main sur mon sexe et toucha pour la première fois le sexe gonflé de Pascal dans mon sexe. Pascal eu l’air d’apprécier et sentir entre mes doigts son sexe humide entrer et sortir de ma féminité déclencha en moi un enchaînement de vagues de plaisirs. Finalement, Pascal sortit de moi et s’allongea à côté de moi. Je le regardais haletant et complètement en sueur. Il me donna un baiser et je fermais les yeux tellement c’était bon de l’embrasser. Personne ne parlait. Chacun reprenait sa respiration et chacun était perdu dans ses pensées, ou du moins ce qu’il en restait. Je fus la première à parler ; « C’était super, j’ai tout adoré…on le refait quand ? ». Sonia se mit à rire sans retenue et me dit « Tu es une vraie dépravée, toi ! ». Pascal souffla et dit : « Maintenant, les filles, vous faites un peu entre vous parce que moi, c’est mon heure de pause ! ». Tout le monde rigola et la matinée se continua avec une bonne douche pour tout le monde et un bon déjeuner copieux. C’était le mercredi 5 juillet 2006 et c’est le plus beau jour de ma vie de femme.
La suite des vacances fut gâchée par les vraies règles de ma cousine qui arrivèrent dans le milieu de la deuxième semaine. Cela ne l’a pas empêchée de me brouter le minou et de pomper le sexe de Pascal. J’ai eu le privilège d’avoir le sperme de Pascal sur moi et dans la bouche. La première fois, j’ai failli m’étrangler avec le jet de sperme qui a atterri directement sur ma glotte. Avec Sonia, nous avons même testé le sperme dans le soutif… agréable sur le coup mais c’est très éphémère. En deux semaines de vacances, j’ai appris sur l’acte amoureux et les possibilités entre hommes et femmes, des choses que je ne soupçonnais même pas. En revenant, j’avais la tête bien plus ouverte qu’avant et ma vision sur les femmes, l’amour, le 69, le sexe en général avait bien changé. Je me suis découverte une nouvelle passion que j’espère pouvoir partager encore longtemps avec ma cousine et son tendre mari. Durant le reste des vacances, nous avons fait encore quelques randonnées mais nous étions pressés de rentrer le soir pour pouvoir nous retrouver après une bonne douche pour une soirée super coquine. Avec Sonia, nous avons fait les boutiques et j’ai jeté mes fringues de grand-mère pour me mettre en valeur dans des fringues plus recherchées. Mes dessous ont changés et mon vieux pyjama est parti à la benne. Les vacances m’ont coûtés un fric monstre mais ça en valait le coup d’après les critères de Sonia et Pascal.
J’ai découvert avec admiration les transformations du corps féminin pendant la pénétration. J’ai vu ce que ma cousine regardait pendant ma défloration. J’ai vu le sexe de Pascal gonflé et devenir droit et dur. J’ai vu le sexe de ma cousine s’ouvrir et s’humidifier et j’ai surtout vu le sexe de Pascal pénétrer ma cousine. La beauté des lèvres qui s’écartent pour laisser entrer le sexe gonflé. Je ne sais pas si je suis devenu une vraie détraquée du sexe mais je trouve la pénétration vraiment exceptionnelle à voir.
Aujourd’hui, j’ai plusieurs projets et je compte bien le faire avant d’être trop flétrie :
- Il paraît que les blondes n’ont pas beaucoup de poils pubiens et j’espère en voir une vraie un jour pour lui bisouter le minou et si possible la regarder se faire pénétrer.
- Il paraît aussi que les rousses sentent fort, j’espère aussi en trouver une pour vérifier si c’est une bêtise ou non et ce sera l’occasion de goûter à ce type de femmes.
- J’ai comme projet la sodomie. Avec Sonia qui n’est pas chaude et Pascal qui n’est pas non plus un adepte, nous avons comme projet d’essayer au moins une fois pour voir.
- J’espère pouvoir faire des photos de mes expériences et des petits films pour pouvoir me les repasser dans les moments de blues. Sonia est devenue pudique quand je lui ai proposer mais Pascal semble être très chaud pour le faire… on verra bien dans le futur.
- Pour les garçons, je verrais si j’en trouve un qui me va, pour le moment, j’ai le mari de ma cousine qui me comble et avec qui, nous avons quelques expériences à faire.
J’espère que mon histoire vous a plu et sachez que je suis plus délurée que ma cousine alors qu’avant les vacances, l’inverse était réellement un calvaire pour moi. Mes parents ne savent rien et je pense que cela est mieux pour eux.
Marilou.
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Dans la vie, je suis seule car je n’éprouve aucune envie d’être avec quelqu’un pendant mes études. Je suis des cours de géophysique et de biologie moléculaire, cela me prend tout mon temps et je ne sors jamais ou très exceptionnellement.
C’est à cause de cela que ma cousine m’a forcée pour venir avec elle en vacances. Sur le coup, j’avais dis non car je voulais préparer ma rentrée prochaine en étudiant chez mes parents. Puis, sous la pression de mes parents qui ne voyaient pas d’un bon œil leur fille rester dans l’ombre d’une chambre pour bosser tout l’été, je me suis décidée à aller voir dehors si le monde valait le coup. Sur ce point, je n’ai pas été déçue, autant sur le point paysage que sur le point personnel.
Je suis arrivée chez ma cousine le vendredi matin, la veille du départ et nous avons passé une bonne partie de la journée à faire les boutiques pour acheter ce qui nous manquait. Les chaussures, les sacs, les fringues et tous les petits trucs pour pouvoir faire des balades en montagne sans devoir appeler les secours au moindre changement de temps.
Le soir, Pascal préparait la voiture en utilisant chaque millimètre carré pour tout caser. Il faisait une température proche de celle de la fusion du plomb et il était torse nu plein de sueur.
Je le regardais faire et je regardais son corps bouger. Je me suis surprise à fantasmer sur lui pendant quelques instants. Je le voyais travailler en sueur et je trouvais que c’était un beau mec et que ma cousine avait de la chance de l’avoir. Loin d’être jalouse, c’était la première fois que je le voyais, non pas travailler, mais avec un regard… féminin. J’ai tellement l’habitude d’étudier tout ce que j’observe, j’y porte un regard analyste et je mets très rarement des sentiments dans mes relations. A ma grande honte, bien que je m’en moque éperdument, j’étais encore vierge avant mon départ en vacances. Pourtant, certaines copines ont fait beaucoup d’efforts pour me mettre en relation avec tel ou tel mec du lycée ou du campus, mais je n’ai jamais trouvé un intérêt dans une relation intime. Tous les mecs que l’on m’a mis dans les pattes étaient d’une platitude organique désastreuse et inintéressante. Bref, je m’égare !
Je regardais Pascal ranger les affaires et il se retourna pour me demander de lui passer un sac de fringues. Il me dit : « Je crois que j’ai trouvé une place pour toi entre la glacière et les pompes de randonnée ! ».
Je lui répondis immédiatement : « Fait pas trop d’effort pour moi, si je peux rester là, ce sera mieux ». Il me regarda avec un regard un peu triste, ce qui me toucha. Il avait l’air sincère dans son attitude et le fait que je ne vienne pas avait l’air de le peiner réellement. Il me dit sur un ton ferme « Tu viens, même si je dois t’accrocher sur les barres du toit… d’ailleurs si tu trouves les menottes dans ma table de chevet, cela m’aiderait pour pas que tu te sauves ». Sonia arriva sur ces entrefaites et demanda « Qui cherche des menottes ? ». Je répondis « C’est Pascal qui veut m’accrocher avec. ». Sonia rigola et me dit « Ca commence bien entre vous deux, vous voulez que je prenne aussi le fouet et les clous ? ». Pascal se mit à rire en disant « Arrête, tu m’excites… ». Je haussai les épaules et quittai le garage avec la mine boudeuse tellement je n’avais pas envie de partir.
Dans la soirée, je pris un livre d’étude et commençai à lire un chapitre sur les ressources sous-marines. Sonia, pendant ce temps, regardait une série américaine à la télé avec Pascal qui venait de sortir de la douche. Pendant les publicités, Pascal se leva et vint regarder ce que je lisais. Il me posa quelques questions sur le contenu de ma lecture et commença à me parler des possibilités d’exploitations des nodules sur les grands fonds sablonneux. Je fus surprise par ses connaissances, et sa présence à mes côtés était agréable. Il sentait bon, son déodorant était très agréable et il était torse nu. Son corps rayonnait d’une chaleur rassurante et douce, il me parlait posément et je découvrais une facette de ce cousin que je ne connaissais pas. Il sortait toujours quelques bêtises avec des jeux de mots (mais où pouvait-il trouver toutes ces conneries à dire ? comme disait ma cousine, maintenant, je comprenais sa réflexion) mais il s’intéressait vraiment à ma lecture.
Il était debout à côté de moi et quand je baissais mon regard vers mon livre, mon regard était étrangement attiré vers son caleçon qui laissait voir un renflement vers la jambe gauche. Je ne voulais pas regarder ses hanches mais à plusieurs reprises, je me surpris à regarder l’endroit où se trouvait son sexe. Il ne vit pas que je regardais et il continua à discuter avec moi. Au bout d’un moment, il me dit « Allez, je te laisse travailler » et retourna vers Sonia sur le canapé. Mon esprit ne put se concentrer de nouveau sur mon étude et au bout de dix longues minutes, je fermai mon livre et allai rejoindre le couple sur le canapé. Je m’assis près de Pascal.
J’avais un pyjama fermé qui ne laissait rien voir de mon anatomie étant du style pudique. Sonia, quant à elle avait un haut léger à fines bretelles qui laissait voir son profond décolleté à la limite de ses tétons. Ma cousine n'est pas trop mal foutue, elle a une ossature un peu forte mais à force d’exercice et de sport, elle tient une ligne sympa. Ses fesses sont bien rondes et ses seins ont une forme bien galbée avec un 90C très honorable. Quand je me compare à elle, je suis un peu plus forte mais avec la même taille de seins, les miens étant un peu plus ronds.
En fin de soirée, je me sentais toute bizarre à côté de Pascal, je ne pouvais pas me concentrer sur le film et je me demandais si je ne couvais pas une cochonnerie. Une fois au lit, je n’arrivais pas à dormir avec la tête envahie par Pascal dans des scènes torrides. Le lendemain matin, je me levai avec une tête horrible ayant pratiquement pas dormi.
Le petit déjeuner pris, tout le monde grimpa dans la voiture et nous primes la route des vacances. Pendant les deux premières heures, Pascal conduisit avec moi à l’arrière dormant à point fermé.
Après la pause, Pascal reprit la route et j’étais à l’avant. Je m’imaginais partir en vacances avec mon mari et ma cousine à l’arrière. J’avais le cœur chaud et je trouvais que ces vacances étaient finalement une bonne chose. La route me parut courte et nous arrivâmes dans le camping après nous être trompé seulement deux fois. La suite est l’inévitable installation avec le déballage très rapide de ce qui a été tellement long à ranger dans la voiture. Le lit double pour ma cousine et son mari et le petit lit pour moi…normal ! Pascal fit quand même une remarque qui me travailla longtemps « Et si tu es gentille, tu auras le grand lit ! ». Que voulait dire cette réflexion ? Avec Pascal, on ne savait pratiquement jamais s’il déconnait ou s’il parlait sérieusement ! Cette fois ci, je dois avouer qu’une partie de moi espérait qu’il ne déconnait pas. La journée continua avec la visite du village et un tour au syndicat d’initiative pour chopper tous les prospectus possibles. La soirée fut une soirée de travail pour organiser notre emploi du temps pour les deux semaines à venir.
Le lit m’accueillit tranquillement. Au milieu de la nuit, une envie de faire pipi me réveilla et j’ouvris doucement la porte pour aller aux toilettes. Dans la chambre de ma cousine, des petits bruits laissaient imaginer que le couple avait commencé les activités de vacances. Tout doucement, je m’avançais vers leur porte et j’écoutais les bruits. Ma cousine gémissait avec des « hummm » et des « ohhh » et des « c’est bon… ». J’entendais aussi Pascal dire des « t’es belle » et des « j’adore » et … tout plein de petits dialogues qui indiquaient qu’ils appréciaient les vacances.
A les entendre, mon corps réagit et mon ventre se chauffa, mes seins se contractèrent et ma tête devint songeuse. J’allai aux toilettes pour faire mon pipi dans le plus grand silence possible. Les WC étaient à côté de leur chambre et je devais faire très attention. Pendant tout mon pipi, ils ne s’arrêtèrent pas et de retour dans mon lit, je ne pus que me soulager de ne pas m’être fait entendre. Par contre, pour m’endormir, ce ne fut pas très simple. Ma tête était remplie de ma cousine nue et de son mari nu aussi. Ma main glissa doucement vers mon bas-ventre et dans ma culotte pour me caresser. J’eu un orgasme rapidement et en étouffant mes gémissements dans mon oreiller. Malgré ma masturbation, mon esprit ne put effacer l’image de ma cousine et de son mari. Dans une excitation inhabituelle pour moi, je finis par retirer ma culotte et me caressai encore et encore. Dans mes efforts, j’enfonçais deux à trois doigts en moi pour imaginer la pénétration d’un sexe en moi.
Je ne me rappelle plus quand je me suis endormie mais le matin, j’ai eu un mal fou à émerger. Ma cousine ouvrit la porte de la chambre et me força à me lever. Je n’avais pas ma culotte qui devait être coincée dans les méandres des draps. Un rapide coup d’œil dans la chambre vérifia qu’elle n’était pas visible et je me mis à table les fesses nues sous mon pyjama. Tout le monde était assis et je m’aperçus que deux boutons de mon pyjama étaient retirés. J’en remis un seul ne voulant pas faire ma prude alors que je m’étais masturbé une bonne partie de la nuit.
Après le petit déjeuner, Sonia m’emmena dans la salle de bain pour vite se laver. Elle se mit nue et fila dans la douche. Je me lavai les dents et ensuite, Sonia se sécha pendant que j’entrai dans la douche. Sonia ne rata pas le fait que j’avais les fesses à l’air. Elle me demanda : « Tu ne mets plus de culotte pour dormir, toi ? ». Je levai les épaules en rétorquant « J’ai 19 ans maintenant et si je veux dormir le cul à l’air, ça me regarde ! ». Sonia rigola et me répondit « Ne te fâches pas ma chérie, je suis contente que tu te dérides un peu, j’espère que tu n’es plus vierge ! ». Je ne répondis pas et préférai me laver. En sortant de la douche, Pascal avait nettoyé la cuisine et rangé les chambres. Je devins toute rouge quand je vis ma culotte trôner en évidence sur les draps pliés de mon lit. Il fallait que ce soit Pascal qui la trouve. La honte mortelle me toucha et je m’empressai de la prendre pour la glisser dans mon sac de linges sales.
La matinée continua dans les préparatifs de la première randonnée et personne ne parla de l’incident de la culotte. Je fulminais intérieurement dans mon coin. Comment pouvais-je avoir laissé ma culotte à la vue de ce mec ? Qu’est-ce qu’il était venu fouiller dans ma piaule et toucher mes fringues ? Je rageais et pestais prête à faire un meurtre. L’ambiance dans la voiture était pourtant à la fête au fur et à mesure que nous arrivions vers le point de départ de la randonnée. Pascal gara la voiture sur un bas côté et nous mîmes les chaussures et chacun prépara son sac. Sonia me lançait des regards désapprobateurs parce que je faisais la gueule. Je continuais quand même à être en colère même si ça faisait chier tout le monde mais je me voyais mal dire à haute voix que j’en voulais à son mec d’avoir trouvé ma culotte que j’avais retirée pour me caresser. Seul Pascal avait l’air content comme d’habitude et je crois que c’était ça qui me mettait dans une rage folle. Ce mec touche mes vêtements intimes et il est content de lui.
La randonnée commence et je suis le rythme tranquille de la montée. A chaque pas, je repassais les derniers faits et je décidai de faire le vide si je voulais passer des vacances reposantes. J’oscillais entre la colère et le sentiment de vengeance car s’il avait touché ma culotte, il n’était pas prêt de toucher autre chose venant de moi. Je n’allais pas lui faire de cadeau à ce con.
Jusqu’à midi, nous montons régulièrement et Pascal est toujours aux petits soins avec les deux filles qui l’accompagnent. Je ne réponds à aucune de ses gentillesses mais il continue quand même à être agréable. Cette manière d’être me colle les boules et j’aimerais lui mettre des gifles. Dans un sous-bois, on se trouve un coin en retrait et on commence à manger. Vers la fin du repas à base de pain frais pris du matin, Sonia s’éloigne pour faire ses besoins. Dès que Sonia n’est plus visible, Pascal me demande s’il a fait quelque chose de mal. Je lui lance un regard noir et …et… et je ne sais pas comment lui dire.
Pascal, après mon moment de silence me parle tout doucement : « C’est moi qui ai insisté auprès de tes parents pour que tu viennes en vacances avec nous parce que j’étais sûr que cela te ferait du bien. Je suis très content que tu sois là avec nous mais si vraiment, c’est une galère pour toi, je peux te ramener chez toi demain. Je n’ai pas envie que l’on passe deux semaines à se pourrir la vie pour un détail. Ok ? ».
Sur ces paroles, ma colère baisse très vite et je me trouve conne d’avoir été si égoïste. Après un moment de réflexion, je lui réponds doucement « ok ! je reste mais ne touche plus à mes affaires ! ». Pascal eu l’air surpris et un grand sourire s’afficha sur son visage. Il me dit tout joyeux « C’est pour ça …elle est tombée des draps quand j’ai fait le lit et je me voyais mal la laisser traîner par terre. La prochaine fois, je ne m’occuperai pas de ta chambre si tu as peur que je trouve d’autres choses. Ce matin, je l’ai fait pour te rendre service et pas pour jouer le voyeur. Je te demande pardon. ». Je me retrouvais comme une conne avec mon caractère de chienne et je réussis juste à dire un petit « mouais » souligné d’un sourire de paix. Pascal sourit aussi et me dit en retour « Entre nous, j’ai été surpris par le style de culotte, je pensais que tu portais plutôt des strings ». Je fis la moue pour lui faire remarquer que le sujet était sensible mais il éclata de rire et se leva en disant « Allez, je vais aller vidanger aussi moi… ». Il s’éloigna en riant toujours et me laissa toute seule.
Sonia revint et me demanda si ça allait. Je lui dis que ça allait et que je me sentais bien. Sonia m’indiqua que je n’étais pas très cool depuis le départ. Je m’excusai et lui promis d’être plus cool dans l’avenir. Pour rompre le silence qui suivit, je dis à Sonia que son mari était super gentil. Sonia sourit doucement et me dit sous couvert du grand secret « Et je crois qu’il t’aime vraiment beaucoup, j’en suis presque jalouse. Tu sais que c’est lui qui a fait le forcing auprès des parents pour que tu viennes avec nous. Et encore, tu ne sais pas tout mais je t’assure que tu as de la chance d’avoir un cousin par alliance comme lui ». Sur ce, Pascal revint et tout le monde reprit les sacs pour repartir vers l’objectif de notre montée.
Pendant la suite de la journée, j’appréciais le paysage et je prenais un réel plaisir à être dans les montagnes. L’ambiance était bon enfant et la balade se déroula dans de très bonnes conditions. A la croisée d’un chemin, Pascal en profita pour nous arroser avec l’eau d’une petite cascade et avec Sonia, nos maillots mouillés collaient au corps. Mon maillot laissait voir le dessin de mon soutif et le maillot de Sonia montrait le relief de dentelle. Pascal fit mine de ne rien voir mais je me demandais s’il ne voyait vraiment rien. Tout se passa très bien jusqu’au retour à la voiture. Nos jambes n’en pouvaient plus et j’avais l’impression que mes pieds allaient prendre feu si je mettais de la paille à côté.
Le retour au mobil home se fit vite et j’eu le privilège d’accéder à la douche en premier. Je me changeais en prenant soin de prendre une belle culotte et de ne pas mettre de soutif. Les paroles de Pascal et Sonia lors de la pause m’avaient travaillé un peu et je trouvais effectivement que j’avais de la chance d’avoir un cousin comme lui. Je pensais à demain matin et s’il devait trouver ma petite culotte, il verrait de quoi je suis capable mais il serait déçu parce qu’il était hors de question que je me colle une ficelle dans les fesses pour faire fantasmer un mec. Enfin, voilà mon caractère de guerrière qui refaisait surface !
Sonia et Pascal prirent la suite dans la douche. Ensuite, petite soirée BBQ et un jeu de société TRIVIAL POURSUIT pour la nuit. Je fut surprise de voir que Pascal ne connaissait pas uniquement des blagues à la con mais il avait une culture générale assez bien fournie. Je gagnai quand même la partie grâce à des questions sur la chimie et l’histoire. La bonne ambiance nous amena jusqu’au lit où chacun pu se reposer. Je passai une bonne nuit et le matin, je me réveillai sereine avec encore la culotte sur moi. Avant de me lever, j’étais presque sur le point de la retirer pour la mettre sous les draps mais c’était un peu osé comme idée et cela pouvait créer un scandale.
Petit déjeuner tranquille et suivi de la douche avec ma cousine. Je voyais la mine de ma cousine pas dans sa grande forme. Elle me dit qu’elle avait ses règles et que ça gâchait un peu les vacances. Je trouvais qu’elle en faisait beaucoup pour des règles et qu’à part le problème des couches qui donnent chaud, c’était supportable. Sonia me dit « J’avais prévu de faire l’amour pendant toutes les vacances et je suis emmerdée par ses maudites règles. » Je levai les épaules car je n’avais pas de solutions. Après m’être lavée les dents je lui dis avec un petit sourire « Tu ne veux quand même pas que je prenne ta place pour faire plaisir à ton mec. ». Sans se démonter, Sonia me répondit « Arrête, si je lui propose, il serait prêt à accepter, depuis le temps qu’il fantasme sur toi ! ». Elle me cloua le bec et aussitôt, elle dû se rendre compte qu’elle avait trop parlé car elle devint toute rouge et bafouilla un « enfin…je crois…c’est un mec quoi ! …j’en n’ai que pour deux ou trois jours…oh merde ! ». Je dois avouer que l’idée d’être avec Pascal était intéressante mais il me semblait très merdique comme situation que je me fasse sauter par le mari de ma cousine pour la remplacer pendant ses règles. La matinée se passa sans autre allusion et mon esprit réussi à être occupé par des visites de caves et d’une grotte. C’était à la limite du truc chiant à en vomir mais nous avions fait ce choix en groupe. A la fin de la dernière visite, Pascal se mit au volant de la voiture et nous demanda de lui faire une promesse. Il nous dit « Plus jamais ça ! ». D’un commun accord, nous nous mirent à crier un OUI haut et fort tellement nous avions trouvé cette journée longue. Nous avons fini prêt d’un torrent pour manger notre casse-croûte à la fraîcheur de la montagne.
Au retour dans le mobil home, nous nous sommes affalés sur le grand lit pour jouer au LOVE TRIVIA, un jeu avec des questions sur l’amour…très relatif car les questions étaient surtout basées sur de la littérature et des sondages. Pascal gagna et à chaque tour, un gage était donné au perdant. Pascal gagna un baiser sur la bouche de la part de sa femme (ouf) et une promesse aveugle de ma part. Il me fit promettre d’être gentille avec tout le monde pendant deux semaines. C’était une boutade et je réussis à rester zen sans prendre la mouche. Me retrouver sur le grand lit pendant la soirée avec ma cousine et son mari me rendait toute chose et je me disais qu’ils avaient fait l’amour au même endroit il y avait à peine plus de 2 jours.
J’étais allongée à la place de Pascal et j’utilisais son oreiller pour poser ma poitrine. J’imaginais Pascal dormir dans quelques instants à l’endroit où j’avais posé mes seins. C’était excitant et les questions du jeu me procuraient aussi une petite excitation. Nous rigolions beaucoup et le jeu grivois me libérait l’esprit. Sonia rigolait en me regardant bizarrement comme si elle était contente pour moi de quelque chose que je ne comprenne pas. Elle proposa de faire une partie en strip-tease mais Pascal lui dit que je ne voudrais pas et que c’était le truc à faire en couple. Sur le coup, j’étais entièrement d’accord avec lui mais l’idée de me déshabiller devant lui était tentante. Et puis, si je gagnais, c’est lui qui se retrouverait à poil. L’idée du jeu n’alla pas plus loin et vers 1h00 du matin, Pascal se leva pour aller aux toilettes et se changer pour dormir. Sonia en profita pour me demander si je voulais dormir avec eux.
Je lui répondis : « T’es dingue ! ». Elle attendit une autre réponse puis dit « bon, tant pis ».
Pascal revint dans son caleçon et sans vraiment le vouloir, je regardais vers son sexe que je voyais ballotter sous le fin tissu. Je me demandais à quoi il pouvait ressembler. Je chassais rapidement cette idée de ma tête et me leva pour aller me préparer à dormir. Je croisais Sonia dans la salle de bain. Elle enfilait sa chemise de nuit à fines bretelles. En la regardant, je trouvais que cette tenue, la rendait très sexe. Je lui demandai si elle avait une autre pour moi car j’avais que des gros trucs qui tenaient chaud. Elle rigola en me disant qu’elle avait une nuisette mais que je n’allais sûrement pas la vouloir. Elle sortit alors d’une valise, une nuisette en satin. En me la montrant, je me demandai si c’était fait pour cacher quelques chose ! Elle rigola de voir ma tête et commença à la replier pour la ranger en disant « Tu vois, je t’avais dis que ce n’était pas pour toi ». Relevant le défi, je la lui pris doucement des mains et lui dit : « Merci mais je crois que j’ai un gage pendant deux semaines. Tu ne me connais pas beaucoup ma chère cousine ! ». Sonia fit des yeux tout ronds et sortit de la salle de bain en me disant « Tu m’épates ! ».
Seule dans la salle de bain, je fis ma toilette intime et j’enfilai le déshabillé. Je voyais mes tétons pointer à travers le tissu et la longueur du vêtement s’arrêtait juste sous ma culotte. J’avais le choix entre, je montre mes seins ou je montre ma touffe. Puisque ma cousine m’avait lancé un défi, je devais le relever. Je retirai ma culotte et la rangeai dans le sac de la salle de bain. Ma toison châtain se voyait si je levais les bras et mes seins se voyaient si j’osais me baisser un peu. Je pris un miroir et le mis derrière moi. En me baissant, d’une part, on voyait mes seins devant mais mes fesses se voyaient derrière. Le dilemme pour moi car si je sortais comme ça, c’était une incitation au viol. En sortant de la salle de bain, Je vis que la porte de la chambre de ma cousine était ouverte et Pascal et Sonia attendaient patiemment que je sorte. Pascal poussa un « bravo » soutenu par un sifflement approbateur. Quant à ma cousine, elle me dit « Ben ma cochonne, tu es vraiment splendide ». J’étais rouge et je n’osais bouger de peur qu’un mouvement dévoile ma féminité. Je réussis à dire « Ouais, ben vous pouvez rêver pour que je vienne vous dire au revoir. ». Pascal me répondit « Si c’est un problème, je voudrais bien venir mais ma femme m’a accrochée au lit ». Je dis « A demain » et m’enfermai dans ma chambre.
A la lueur de ma petite lampe, je me regardais dans cette tenue bien trop courte pour moi. J’étais pour ainsi dire nue. Je voyais mes seins et ma touffe. J’étais adossée contre le mur sur mon lit avec mes jambes relevées. Si quelqu’un rentrait à cet instant, il pouvait voir mon sexe sans problème. Je trouvais ça excitant malgré tout et sans vraiment le vouloir, mon corps se relâchait et devenait en proie à des pulsions sexuelles. Je tentais de retenir mon corps mais il m’échappait complètement. Je sentais mes seins se contracter et ma vulve doucement devenir molle et chaude. Mon esprit me forçait à devenir une autre moi et je fus tentée d’ouvrir mes cuisses pour regarder mon corps s’ouvrir. J’avais l’impression de me transformer comme le papillon qui sort de sa chrysalide. Je glissais ma main sur ma hanche et je posais un doigt sur ma chatte. Mon doigt rencontra la douceur chaude et humide de mon sexe ouvert. Le contact me créa un choc électrique qui ne fit qu’accentuer les sensations. L’onde se propagea dans tout mon corps avec un effet de plus en plus incontrôlable. J’avais envie qu’on me prenne, j’avais envie d’être à la merci de caresses sans fin, j’avais envie de baisers, j’avais envie d’ouvrir mes cuisses et d’offrir mon sexe, j’avais envie de devenir un objet de plaisir et de me laisser envahir par des ondes de plaisir tout au long de la nuit. Je sentais mon sexe s’inonder de cyprine et mes seins commençaient à me faire mal tellement ils étaient contractés.
Je fermai les yeux et tout mon esprit était envahi de corps nus. J’entendis un grincement qui me fit sursauter et je vis ma cousine dans l’encadrement de la porte. Elle me regardait sans aucune gêne mais moi, j’étais morte de peur et de honte, je serrai mes genoux, puis après quelques secondes, je me rappelai que ma chatte ouverte était visible. Je relevai le drap sur moi et demandai à Sonia ce qu’elle voulait. Sonia entra dans la chambre et ferma la porte. Elle s’approcha de moi et mit sa main sur celle qui tenait le drap. Elle appuya doucement pour me faire baisser la main. Son sourire était rassurant et ma main se reposa avec le drap. Sonia regarda le drap et me dit « Tu l’as tout mouillé ! Tu sais que tu es belle dans cet état ? ». Dans ma confusion, l’esprit encore embrumé, je lui demandai « Qu’est-ce que tu fous ici ? ».Sonia regarda vers la tâche sur les draps et me dit « Tu as fait une super sensation à Pascal et je viens te dire que ma proposition tient toujours. En plus, je vois que tu es dans tous tes états et que tu es prête à venir ». Je lui répondis « Mais que racontes-tu ? Tu veux que je me fasse sauter par ton mari ? T’es malade ma grande ! Et puis pour mon état, ce sont mes affaires et je trouve que tu t’occupes de choses qui ne te regarde pas ». Sonia se pencha pour regarder ma chatte encore légèrement ouverte et toujours baveuse. Elle me dit « Tu es ma petite cousine et je viens de te découvrir une vraie femme. Tu es superbe et j’aime mon mari. Si tu fantasmes sur lui, je te propose de venir dormir avec nous et il arrivera ce que tu décideras.
Depuis notre mariage, il y a trois ans, il t’a remarquée et nous parlons souvent de toi. Il est même arrivé qu’il me fasse de petits scénarios avec toi dans l’action. Je t’aime ma chérie et c’est bien parce que tu es ma cousine que je te propose ça. Si tu es toute seule dans cet état, c’est que tu es malheureuse et seule. Je te propose de vivre l’amour avec mon mari et je resterai à côté de toi. ». Je lui demandai « C’est Pascal qui t’a demandée de venir ? ». Elle me répondit sans hésiter « Et bien non, tu vois. Quand je lui ai parlé des possibilités de te faire l’amour, il a dit clairement non car il ne voulait pas perdre ton amitié ». Je trouvais ça super sympa et raisonnable mais une partie de moi criait du fin fond de mon ventre « dis OUI ! ».
Sonia se releva et sortit doucement. Je voulais dire oui mais je voulais dire non. Au moment où Sonia fermait la porte, je lui dis « OK, j’arrive ». La porte s’ouvrit sur le visage de Sonia qui resplendissait. Je me levai et arrivai doucement avec l’idée de fuir au fin fond de mon lit et de retrouver mon gros pyjama bien protecteur. Sonia me prit par la main et m’emmena vers la porte de sa chambre fermée. A chaque pas, je devenais de plus en plus réticente en me demandant pourquoi je faisais cette marche vers… vers quoi d’ailleurs ? J’allais devenir un objet sexuel temporaire pour servir le besoin d’un mec qui ne peux pas se faire sa femme ! Je m’arrêtai et parlai doucement à Sonia : « Non, qu’est-ce que tu fais ? T’es vraiment tarée comme nana. Je ne vais pas me faire sauter à ta place à chaque fois que tu as tes règles ! ». Sonia se retourna et me répondit sans se vexée : « Si tu crois ça, tu te trompes énormément. Pascal t’aime depuis qu’il t’a vue à notre mariage. Pascal m’aime et jamais il ne me quittera. Par amour pour lui et par amour pour toi, que je vois seule depuis tellement longtemps, je veux vous rendre heureux tous les deux. Qu’il te fasse l’amour ne me dérange pas. Je pense que tu es encore vierge et la première expérience est très importante. J’ai raté la mienne et j’ai eu du mal à refaire confiance en un mec. Pascal a réussi à me faire découvrir des plaisirs que je ne soupçonnais même pas. Je t’offre le plus beau cadeau que je puisse faire.
Maintenant, si tu veux rester seule et faire ton expérience par toi-même, j’espère que tu seras heureuse. Maintenant, je t’assure d’une chose, je ne veux pas que tu te fasses violer pour me faire plaisir et celui de mon mari, je ne suis pas détraquée à ce point là. Si tu veux, tu viens maintenant t’allonger entre Pascal et moi. Je pense que Pascal te respectera comme il me respecte et il ne fera jamais ce que tu ne veux pas qu’il te fasse. D’accord ? ».
Je réfléchissais à pleine vitesse mais les idées s’entrechoquaient sans pouvoir établir une réflexion posée. J’avais tellement envie de faire ce grand pas et en même temps je refusais d’aller m’offrir comme on donne un bonbon à un gosse. Je décidai quand même de donner une chance à ma cousine car je lui avais toujours fait confiance et à aucun moment elle ne m’avait trahie. Je laissai Sonia ouvrir la porte de la chambre et j’entrai à sa suite. Je n’osai faire le moindre geste de peur de découvrir mon corps. La chambre était plongée dans le noir et je devinai Pascal allongé sous les draps. Il ne bougeait pas et semblait dormir. Sonia ouvrit les draps pour me laisser entrer dans le lit. Avec toutes les précautions possibles pour que le tissu continue de cacher l’essentiel de mon corps, je me plaçai sur le matelas à côté de Pascal mais pas trop près quand même. Pascal ne bougeait pas et me tournait le dos. Sonia s’allongea à côté de moi et le drap recouvrit ce trio. Après un moment de silence complet, Sonia gloussa doucement et me dit à voix basse : « Ecoute mon gros bébé comment il dort. ». Effectivement, en écoutant attentivement, la respiration de Pascal était longue et tranquille. Je commençais à me relaxer. Le risque qu’il me touche était écarté. Je me suis endormie après un long moment durant lequel je surveillais les moindres gestes et les moindres changements de respiration. Finalement, je sombrai dans un grand sommeil bien après Sonia qui dormait aussi à point fermé.
Le matin, j’émergeai doucement d’un sommeil profond malgré toutes les peurs qui m’avaient perturbé la veille. En ouvrant doucement les yeux, je voyais Sonia qui dormait face à moi. Mes peurs de la nuit revinrent rapidement et j’écoutais silencieusement pour savoir si Pascal dormait. Rien. Rien derrière moi. Rien comme si Pascal me surveillait silencieusement. Je devais me retourner pour vérifier mais je sentais que le fin tissu que je portais ne couvrait plus grand chose. J’étais sauvée par le drap qui me couvrait jusqu’aux épaules. Dans un mouvement lent, je me retournai et ouvris à peine les paupières. Le mur ! J’étais seule dans le lit avec ma cousine ! Je levai la tête et regardai la chambre. La porte était fermée et j’étais seule dans la chambre avec elle encore endormie. Je me regardais et je vis un de mes seins qui s’était sauvé de sa faible protection et la nuisette qui était remontée jusqu’au dessus de mon nombril. Je me tournai pour regarder Sonia qui dormait sur le côté . Elle avait une main sous l’oreiller et l’autre sur le côté. Elle avait toujours des positions pour dormir digne d’une accidentée de la route. De par ce fait, et grâce à son déshabillé, on voyait sa culotte et pratiquement ses seins. Bravo pour l’image des filles de la famille. Deux salopes dans un pieu avec un mec pour les prendre ! Mes peurs de la veille étaient moins fortes que je ne le pensais et j’étais presque déçue que Pascal ne soit pas à côté de moi ce matin. Soudain, je pensais à ce qu’il avait fait pendant que je dormais ! Il avait dû se rincer l’œil on me matant le cul ! Ca y est ! je rageais comme j’en avais l’habitude.
Un bruit dans la pièce principale me fit sursauter. Je remis les bretelles de la nuisette et rangeai mon sein à sa place. Le frottement du tissu sur mes tétons créait une contracture de mes tétons que je ne pouvais pas contrôler. Si jamais Pascal entrait à ce moment là, il verrait mes seins pointer et imaginerait des choses. A vrai dire, c’est mon corps qui parlait en réagissant à des caresses qu’il désire sûrement plus que ma tête ! Sonia commença à bouger et cligna des yeux. Elle réussit à sortir un « coucou » avec une voix pâteuse à en faire une poterie. Elle s’étendit de tout son long ce qui fit glisser le drap prit dans ses pieds. Je laissais le tissu glisser et découvrir mon bas ventre. « Faites qu’il rentre maintenant ! » mes pensées me trahissaient et je commençais à devenir une autre femme. Je commençais à désirer être… je ne sais pas vraiment…mais j’avais envie qu’un homme s’occupe de moi. J’avais envie de caresses, de tendresse, d’amour. J’étais sur le lit, assise en tailleur avec la nuisette relevée et ma chatte offerte à la vue. N’étant pas chaude comme de la braise, mon corps ne laissait voir qu’une touffe de poils. En me regardant, je voyais qu’un maillot ne me ferait pas de mal afin d’éviter d’avoir un Yeti entre les jambes. Je me levai et remis mes affaires en place. Un rapide coup d’œil dans la petite pièce ne me donna pas l’occasion de m’habiller plus convenablement. Heureusement, l’armoire contenait les culottes de ma cousine. J’enfilai une culotte et un soutif assorti. Maintenant, je me sentais un peu plus à l’aise. La poitrine de Sonia n’avait pas la même forme que la mienne mais son soutif contenait mes seins sans problème après un petit réglage. Je sortis de la chambre et fis un rapide tour aux toilettes. Pascal était à table avec un jeu de mots croisés ou de SUDOKU.
Juste un petit « bonjour » fusa entre nous s’en que je m’y attarde. Sonia sortit de la chambre et demanda à Pascal si cela faisait longtemps qu’il était réveillé. Il regarda l’heure et dit « à peu près une heure, mais je n’arrivais plus à dormir. Rend toi compte, j’ai fais un rêve bizarre. Je dormais avec ma femme et je me retrouve avec deux femmes dans mon lit ! J’ai préféré me lever avant de toucher à quoi que ce soit ».
Il souriait, content de sa connerie. Je me mis à sourire aussi parce que ça réflexion n’était pas méchante. Durant le petit déjeuner, Pascal me demanda pourquoi j’étais venu dormir avec eux. Je regardais Sonia qui me fit un signe de la tête pour m’indiquer que je devais me démerder toute seule. Je répondis alors : « J’ai eu peur cette nuit alors j’ai eu l’idée de dormir avec vous ». Pascal réfléchit et me répondit : « Cool ! Attention tout de même, je suis un obsédé sexuel et si tu dors à côté de moi dans des tenues comme celle-ci, je ne suis pas sûr de résister toutes les vacances ! ». Je commençais à rougir et enfouis ma tête dans mon bol.
La douche avec ma cousine fut spéciale car Sonia me regardait avec un regard étrange. Quand j’étais dans la douche, elle s’approcha de moi et me demanda si je voulais qu’elle me frotte le dos. N’y voyant pas d’objection, j’acceptais mais les frottements étaient plutôt des caresses douces et langoureuses. Me tournant vers elle pour lui dire de me repasser le gant de toilette, je la vis avec un doux sourire sur le visage et sa respiration était rapide, ses seins contractés et tendus alors que la chaleur et l’humidité de la pièce approchait du climat équatorial. Sonia me regarda et me dit « T’es une belle nana maintenant. Je craque pour toi tu sais ? ». Elle me donna le gant et se pencha pour m’embrasser sur l’épaule. La voir dans cet état m’amusait et je lui demandais « Tu ne serais pas entrain de me draguer toi ? Tu n’as as encore digéré le baiser de tes douze ans ? ». Elle rigola en disant « Un p’tit baiser d’adolescente qui voulait apprendre à embrasser sur la bouche…ce n’est pas une déclaration d’amour ! Je te trouve seulement vraiment belle et désirable. Depuis que nous sommes en vacances ensemble, je te vois changer de jour en jour et devenir une superbe nana. Je me demande comment tu n’as pas encore fait craquer la moitié du campus ! ».
Je me décide à voir jusqu’où elle veut aller et prend le parti de jouer son jeu. Je suis curieuse de voir ce que ma grande cousine est capable de faire. Je lui demande « Est-ce que tu as un rasoir ? Je dois raser mon Yeti ». Sonia plonge dans sa trousse de toilette et en ressort un rasoir. Je lui prends des mains et je lui demande comment elle me verrait taillée.
Elle se releva et montra sa toison brune taillée sur les ailes pour laisser juste une petite toison verticale. « Tu peux faire une élagage comme moi ! ». Je voyais la chatte de ma cousine en gros plan et c’était assez intéressant. Je lui proposai de prendre le rasoir et de me faire le maillot comme elle l’entend sans toutefois tailler tout.
Elle prit un réel plaisir à me tailler la toison. Je la voyais rouge, la respiration pressée, les seins tendus. Je me tenais debout avec une jambe sur le bord de la baignoire. Sonia, à genou, avait tout le loisir de regarder ma fente et elle ne s’en privait pas. Elle avait une grande attention de ne pas me couper et posait ses doigts sur l’intérieur de ma cuisse ou sur l’aine pour ne pas faire de blessure. La situation commençait à m’exciter et malgré mon self control, je sentis mon ventre se chauffer et commencer à dilater mon bas ventre. Sonia le remarqua tout de suite et pu voir mes lèvres s’écarter doucement pour finir comme une fleur à s’ouvrir sur ma vulve rosée et luisante de mouille. Sonia me demanda si ça allait. Je lui répondis : « Oui, c’est pas mal comme sensation. Et toi, tu y arrives ? ». Elle me regarda et dit « Je crois que c’est presque fini. ».
Je sentais les doigts de Sonia s’approcher de plus en plus de mon clito sous couvert de tenir la peau pour me raser. Je commençais à avoir les jambes flageolantes tellement l’excitation était forte. Sonia me rinça avec le jet qu’elle passa sur mes lèvres gonflées. La réaction fut immédiate comme si des milliards d’aiguilles m’électrisaient le sexe. Sonia m’averti « Attention, je vais te rincer » et sans attendre, elle glissa ses doigts le long de mes lèvres dans ma vulve ouverte. Je réussis à contenir un cri mais mes jambes ne tenaient plus et je faillis tomber dans la baignoire. Sonia me dit « Une vrai femme magnifique ».
Je ne pouvais pas lui demander d’arrêter tellement l’excitation était forte et ses caresses étaient bonnes. Dans un sursaut de lucidité, je lui pris la main et la dégagea de mon sexe. Je m’accroupis dans la baignoire et me retrouva à sa hauteur. Elle était rouge comme une pivoine et sans rien dire, nous nous sommes approchées pour nous embrasser à pleine bouche. Nos langues se trouvèrent et notre baiser fût de loin le plus beau baiser de ma vie. A l’époque de notre adolescence, nous nous étions embrassées juste pour connaître la sensation du baiser sur la bouche mais jamais les sensations n’avaient été aussi puissantes. Tout mon corps était tendu et Sonia se plaquait contre moi. Nos poitrines étaient collées et mes seins me faisaient mal tellement j’étais tendue. Notre baiser dura longtemps et nous étions devenu deux amantes plutôt que deux cousines. Mon esprit avait explosé et la réalité m’avait complètement échappée. Notre baiser s’interrompit pour que nous puissions reprendre notre respiration.
Pascal demanda à la volée : « Hep ! Les filles, vous faites votre sieste là-dedans ? ». Sonia se retourna violemment vers la porte et me regarda aussitôt après. Elle répondit avec difficulté en bafouillant : « Euh…ça va…on arrive… ». Je regardais Sonia sans savoir quoi dire et Sonia était dans le même état que moi. Petit à petit, nous nous mîmes en mouvement pour reprendre un court normal d’activités dans une salle de bain. J’avais repris possession de mon corps et de mes idées. A vrai dire, cette impression était fausse car j’avais surtout les idées embrumées.
Comme des zombies, sans parler, nous nous sommes préparées et avons laissé la place à Pascal qui patientait tranquillement. Sonia s’isola dans la chambre et j’allais chercher le pain pour les casse-croûtes du midi. On était mardi et ma vie prenait un rythme complètement aux antipodes de mes principes et de mes habitudes. En trois jours, j’ai dormi dans un lit prête à faire l’amour avec mon cousin par alliance, je me suis masturbée devant ma cousine, je me suis faite touchée par ma cousine et je l’ai embrassé à pleine bouche comme une vrai lesbienne. Qu’est-ce que je faisais ?
Perdu dans mes pensées, je me suis perdue dans le camping. J’ai facilement retrouvé mon chemin mais j’avais vraiment la tête ailleurs. Je découvrais que j’aimais ma cousine. Je l’aimais comme une cousine mais j’avais des sentiments beaucoup plus profonds. Merde alors, j’étais lesbienne avec ma cousine. Jamais je n’aurais cru cela de moi. Etant plus petite, j’avais joué aux parents et on dormait ensemble mais jamais je n’avais eu de pulsion amoureuse envers elle. Maintenant, je me demandais si j’étais normale. J’avais tellement adoré quand elle avait sa main sur mon sexe que c’était perturbant. En fait, c’était moi qui lui avais donné mon sexe pour qu’elle me touche. C’était moi qui l’avais attirée. C’était moi qui lui avais montré mon sexe ouvert la veille au soir. Sans vraiment m’en rendre compte, c’était moi qui avais allumé ma cousine.
Je tombais de haut en arrivant à cette conclusion car je découvrais une facette de moi que je n’imaginais absolument pas.
C’est à partir de ce moment que je décidais d’écrire un journal. Ce que vous lisez viens de ce jour où j’ai voulu écrire tous mes actes et tous mes sentiments, toutes mes réflexions. J’ai été étonnée quand je l’ai relu après les vacances car j’avais oublié la plupart de mes pensées.
Cette journée a été très dure car nous avons fait notre premier sommet à 2500m et avec Sonia, nous avons trébuché sur chaque gros caillou qui se trouvait sur notre route. A nos têtes, on voyait bien que ça n’allait pas. Je repassais en boucle les dernières aventures et je voyais bien que Sonia était dans le même état. Pascal faisait ce qu’il pouvait pour nous venir en aide. Arrivés près du but, il nous a même proposé de faire demi-tour car j’avais un mollet bleu suite à une chute sur un rocher et Sonia n’arrivait pas à reprendre son souffle. Pascal portait quasiment tout le bardas avec le maximum qu’il avait pu prendre de nos sacs.
Finalement, le sommet arriva et le sourire revint avec le panorama éblouissant. Nous nous prîmes pour des explorateurs et nous avons vidé la batterie de l’appareil photo en prenant toutes les poses de vainqueur possibles. Quand on revoit les photos aujourd’hui, on a plutôt l’impression de regarder une sortie de match de rugby mais sur le moment, nous étions des vainqueurs. La descente se fit plus facilement hormis les ampoules. Sur le chemin final, Sonia me prit la main et nous étions heureuse d’être ensemble. Pascal se mit entre nous et la chaleur de sa main dans la mienne était bénéfique. A la fin de la balade, j’étais heureuse, tout simplement heureuse. Pascal nous félicitait et on voyait qu’il était heureux pour nous d’avoir réussi cet exploit. Il nous embrassa chaudement en disant que ce soir, ce serait le resto assuré. Sonia demanda un temps mort pour faire une soirée cocooning peinarde pour se remettre de la journée. Deux voix contre une, Pascal dû se rendre et il nous promis des massages pour nous remettre de nos bobos.
Sur la route du retour, je sombrais avec Sonia à l’arrière de la voiture. Pascal nous réveilla arrivés au mobil home. Zombi 1 et Zombi 2, tels étaient nos nouveaux noms. Une douche à tour de rôle pour éviter la répétition des péripéties du matin, de toute façon, la fatigue avait pris le pas sur le reste. Pascal prépara le repas. Un repas digne d’un homme puisqu’il a ouvert deux boites qu’il a fait réchauffer. Repas sur la terrasse avec un bol d’air rafraîchissant.
Ensuite, il nous proposa de nous mettre à l’aise pour le massage relaxant. Sonia mis sa nuisette habituelle et j’en fis autant avec la nuisette de la veille. Je gardais ma culotte et laissais à Pascal le loisir de voir mes fesses. Pour ma poitrine, j’avais pris comme décision de lui montrer si il la voyait. J’avais de beaux seins et si il les voyait, il ne pourrait que constater que c’était vrai. Sonia s’allongea avec moi sur le lit. Allongées sur le ventre nous attendions la suite des événements. Pascal sorti un tube de baume qu’il avait acheté dans une pharmacie pendant notre sieste dans la voiture. Il commença par Sonia qui fut massée de haut en bas avec l’odeur du baume qui envahissait la chambre. Sonia enleva sa nuisette pour permettre à Pascal de la masser sur tout le dos sans être ennuyé par le tissu. Elle s’endormi avant la fin du massage. Je la regardais dormir avec un visage détendu. Je la trouvais belle. Elle avait un petit nez entouré de deux beaux yeux d’un vert turquoise. Ses cheveux légèrement ondulés s’étalaient sur ses épaules jusqu’au bas de ses omoplates. Elle était belle et c’était ma cousine. J’étais fière d’avoir une cousine comme elle.
Pascal se mit à côté de moi et me demanda comment on faisait. Je relevais la nuisette tout en gardant mes seins cachés dans le tissu. Il commença à mettre du baume sur les épaules après avoir passé le maximum de tissu au dessus de ma chevelure. Le baume était chaud et les caresses sur le haut du dos me faisaient un bien fou. Je sentais les mains courir sur mon corps et venir de temps en temps sur le côté de ma poitrine comprimée mais sans toucher la peau de mes seins. Le massage descendit sur les reins et les hanches. Tout mon corps se relaxait et j’avais l’impression qu’il me retirait des poids au fur et à mesure du massage. Pascal baissa légèrement le tissu de la culotte pour descendre plus bas sur la colonne vertébrale. Je le laissais faire car j’avais confiance en lui. Il mit du baume sur mes cuisses et commença des longues allés et venus le long de mes cuisses. Ses caresses remontaient entre mes jambes mais jamais plus loin que le raisonnable. A aucun moment, je n’eu l’impression qu’il profitait de la situation. Soit il était raisonnable, soit il était tellement crevé qu’il voulait en finir et dormir. Le massage continua jusqu’au pied mais j’avoue ne pas avoir tout vécue. J’ai dû sombrer vers le massage des chevilles car après, j’ai un grand vide. Le lendemain, Pascal nous a avoué qu’il nous a recouverte et que nous n’avions fait aucun mouvement. Cela ne m’étonne absolument pas.
Le mercredi matin, j’avais un peu froid et je me blottissais contre la chaleur d’un corps. Ma main attrapa un morceau de nuisette pour la tirer vers le bas. Cette merde ne cachait rien et en plus j’avais froid. Un bras m’enveloppa et une douce chaleur me couvrit. La main sur mon ventre me caressait doucement. C’était bon et la chaleur que me procurait cette caresse irradiait dans mon corps. Je bougeais lentement pour me coller encore plus au corps contre moi. Je savais que c’était Sonia et j’étais bien avec ma cousine. Mon esprit se mit en alerte quand je me rendis compte que la main sur mon ventre semblait forte. J’ouvris les yeux doucement et je voyais Sonia face à moi. Aïe, aïe, aïe ! C’était Pascal qui me caressait. Mon Dieu, que devais-je faire ? Je me voyais mal me lever et lui mettre une tarte, surtout que ses caresses étaient bonnes.
Finalement, je le laissais faire. Il me caressait le ventre et j’avais l’impression tout doucement que la main bougeait. Sur le moment, c’était imperceptible mais sa main remontait. C’était excitant comme caresse car ça me réchauffait et ce n’était pas violent du tout. Je laissais faire toujours et la main remontait doucement. A un moment, un doigt toucha la peau de mon sein, juste sous mon sein droit. Un frisson parcouru tout mon être. C’était la première fois que je laissais un homme me toucher. Une réaction se produisit en moi et ma respiration devint plus rapide, mon sang circula rapidement en moi et chauffa toute mon anatomie. Mes seins se durcirent et ils se contractèrent. La main de Pascal revint petit à petit et caressa un peu plus le dessous de mon sein. Maintenant, je trouvais que les caresses n’évoluaient pas assez vite. Je voulais bouger pour que mon sein approche de sa main mais j’avais peur qu’il retire sa main et que tout s’arrête. Pascal continuait toujours aussi doucement ses caresses mais cela devenait insupportable tellement c’était long.
Je me décidai de jouer le tout pour le tout et de lui imposer où mettre sa main.
Juste avant de bouger, je m’aperçu que Sonia me regardait. Elle voyait bien le mouvement de la main de Pascal sous la nuisette près de mes seins et elle souriait. Sonia était toujours torse nu sauf si elle s’était habillée durant la nuit mais pour le moment, elle était sous les draps à me regarder me faire caresser le ventre. Dans un geste le plus doux possible, je pris la main de Pascal dans la mienne et la monta pour la plaquer sur ma poitrine. Sonia me fit la mine de dire Bravo. Pour couronner le tout, je poussais mes fesses en arrière pour bien faire sentir à Pascal que j’en voulais encore. Pascal passa ses doigts sur mes tétons tendus et j’avais des électrisations partout dans le corps. C’était super bon. Pascal passait d’un sein à l’autre en les caressant doucement. Il les prenait et caressait tout le contour du sein pour finir par le téton. En moi, la réaction en chaîne attaqua mon bas ventre et je sentais mon sexe devenir brûlant. Sonia bougea vers moi et écarta le haut de la nuisette pour regarder les mains de Pascal sur mes seins. J’avais l’impression que ça l’excitait de me voir me faire peloter. Elle fit glisser le drap et je pu voir qu’elle était encore torse nu avec des tétons comme les miens, tendus à mort. Elle me caressa le visage et me déposa un baiser sur l’épaule, puis sur la joue. Je sentais Pascal se frotter contre moi et j’avais l’impression que je sentais son sexe dur contre ma fesse. Sonia souleva ce qu’elle pouvait de la nuisette et glissa sa main sur ma poitrine. Mes seins étaient caressés, malaxés, pincés, chauffés et cela me faisait le plus grand bien. Le bras de Pascal se dégagea et laissa la place à Sonia.
Sonia tira sur la nuisette pour la retirer et je fis quelques mouvements pour l’aider. Elle réussi à retirer la nuisette et la balança à terre. Pendant ce temps là, Pascal avait mit sa main sur ma hanche et me caressait la cuisse en allant sur mes fesses. Sonia s’allongea contre moi et m’embrasse sur la bouche. J’étais envahie de frisson avec une sensation de bien-être étonnant. Je laissais Pascal me caresser et j’embrassais ma propre cousine avec une délectation sans retenue. Mon corps s’offrait complètement et mes hanches oscillaient contre le sexe de Pascal que je sentais contre mes fesses. Les mains de Pascal s’aventurèrent vers le devant de ma culotte. Je sentais les doigts longer l’élastique de mon dessous et commencer à glisser entre ma peau et le tissu. J’avais hâte que cette main découvre mon pubis fraîchement taillé. Pascal devait être excité car il ne tarda pas à glisser sa main sous ma culotte vers ma toison qu’il atteignit. J’avais le ventre en feu mais j’étais tellement occupée à embrasser Sonia que les sensations se mélangeaient. Sonia me caressait les seins en me les prenant à pleine main pour les écraser et pincer doucement le téton. Elle glissa doucement vers mes seins et commença à me lécher et à prendre un téton dans la bouche. La sensation était délicieuse et je me mis à pousser de petits gémissements à chaque coup de langue qu’elle me donnait sur la pointe du téton. Je mis ma main sur sa chevelure pour la retenir sur ma poitrine. Elle arriva à dire entre deux tétés : « Tu es bonne ma chérie ».
Dans un très court moment de lucidité, je me demandais ce que je faisais ici, coincée entre ma cousine et son mari. Et puis cette question perdit tout son intérêt quand la main de Pascal alla encore plus bas vers mon clito. Je n’en pouvais plus, il fallait qu’il vienne sur mon bouton pour le prendre. Il était trop lent. Je n’en pouvais plus d’attendre. Sonia dû comprendre ce qui se passait en moi car elle glissa sa main entre mes jambes pour la plaquer sur le tissu qui recouvrait ma fente. Sonia fit aussitôt « Ohhh ! Tu es trempée ma chérie ! Laisse moi retirer ta culotte, elle ne te sert plus à rien… ».
Sans attendre une réponse de ma part, elle se redressa et quitta mes seins pour se mettre vers mes hanches qui hochaient toujours contre le sexe de Pascal. Sonia attrapa le bord de ma culotte et tira dessus pour la faire descendre. La culotte glissa sur ma hanche et Sonia arriva avec plusieurs mouvements de ma part à baisser ma culotte jusqu’à mes chevilles. Voilà que j’étais nue et Pascal en profita pour glisser un doigt sur mon clitoris gonflé de désir. Il maniait son doigt avec une grande connaissance de l’anatomie féminine car il réussissait à créer une multitudes de stimuli qui faisaient monter mon excitation à un point que le plaisir arriva comme jamais. Pris dans le tourbillon de l’orgasme qui m’envahissait, je n’entendis que vaguement Sonia dire à Pascal « Humm, elle sent bon ». Je ne compris pas de suite de quoi elle parlait car j’eu mon premier orgasme de la journée et pour ainsi dire, le premier de ma vie de femme. Je tremblais de partout et je ne retenais plus du tout mon corps. Je me surpris toute seule à pousser un cri qui ressemblait plutôt à un râle long et rauque.
Sonia souleva ma jambe libre et ouvrit mes cuisses. Je sentis que mon sexe était pénétré sans aucun problème tellement j’étais trempée. Sonia avait glissé ses doigts dans ma vulve écartelée par le désir. Pascal lâcha mon clito et bougea derrière moi. Je me pris un sein dans ma main et commença à me peloter.
Je prenais un malin plaisir à me caresser la poitrine alors que jamais je ne le faisais avant. Pascal se colla contre moi, dans mon dos et je sentais sa chaleur. Il devait être nu. Je n’avais absolument plus peur de ma nudité, ni de ce qui pouvait se passer. Je sentis Sonia retirer ses doigts de ma chatte toujours trempée et ma vulve fut envahie par le sexe de Pascal. Mes chairs s’écartèrent pour laisser entrer le sexe de Pascal qui me pénétrait doucement. La sensation, ou je devrais dire les sensations étaient extraordinaires. D’un coup, c’est mon corps qui fit le mouvement en arrière pour faire entrer Pascal plus loin en moi. Je poussais un gémissement de bien-être tellement la pénétration était délicieuse. Je m’attendais à avoir mal mais c’était tout le contraire. Pascal s’enfonça en moi encore plus loin en moi.
Sonia faisait des commentaires et elle devait regarder mon sexe se faire envahir. Je l’entendais dire « Ohh, c’est magnifique », « Super », « C’est trop bon », « Oh, mon Dieu »… Ma défloraison semblait faire de l’effet à ma cousine et elle poussait des gémissements pratiquement en même temps que moi. Je glissais sur le ventre et Pascal écrasa son bassin sur mes fesses pour me pénétrer complètement. Il commença des allés et venues avec une lenteur qui donnait le temps à chaque sensation de se déverser en moi. Je faisais l’amour et c’était exceptionnel. Ma vulve était comprimée par le sexe de Pascal et le frottement de son sexe dans le mien était l’entrée dans un monde inconnu de ma sexualité. Mon bassin se tendait en arrière pour créer une pénétration différente et des frottements sur l’avant ou l’arrière de mon vagin. Je sentis la main de Sonia qui se glissait sur mon sexe gonflé pour écraser le clito. Les électrisations de mon clito ajoutées à la pénétration de mon vagin me lançaient des ondes de plaisirs jusque dans le fond de mon esprit. Pascal me prit par les hanches et me demanda de me redresser. Ne sachant pourquoi ce changement alors que les mouvements étaient délicieux, je m’exécutais avec regret. A quatre pattes, Pascal attrapa ma poitrine qui pendait de tout son poids et continua à me pénétrer. Le changement de position changea aussi les sensations et les frottements. Je poussais des « hummmm » langoureux à chaque fois que le sexe tapait dans le fond de mon vagin. Je sentais un orgasme monter doucement en moi. Sonia n’arrêtait pas de dire « Humm, c’est bon ».
D’un coup, Sonia changea de place et se glissa sous moi. Je la regardais faire et voyais son corps nu se dandiner pour passer sous moi. Soudain, je compris qu’elle voulait mettre son visage sous mon sexe pour me voir me faire pénétrer. Je trouvais cela complètement dingue qu’elle apprécie ce genre de vision. La position de ma cousine tête bêche sous moi me força à lever les mains pour laisser son corps s’allonger dans le même axe que moi. Je fermais les yeux à chaque mouvement en moi et quand je les ouvrais, j’avais une vue directe sur la toison de ma cousine. Ses jambes étaient entrouvertes et je voyais ses lèvres écartées. C’était la première fois que je voyais un sexe de femme d’aussi près et l’odeur âcre qu’il dégageait semblait envahir mon esprit. Je vis les jambes de ma cousine se replier et ses abdominaux se contractèrent. Dans l’instant qui suivi, je sentis la tête de ma cousine s’approcher de mon ventre et je devinais plus que je sentais réellement la bouche de Sonia m’attraper le clito et le titiller avec sa langue. Je réussis à dire « Non » et à mettre la main vers mon ventre pour la repousser. Pascal accéléra au même moment et je dû me retenir pour ne pas tomber en avant. J’en voulais à ma cousine de me prendre le sexe en bouche mais d’un seul coup, les spasmes de l’orgasme m’envahir et Pascal s’enfonça complètement en moi. Je sentais son sexe pulser et une pointe de chaleur chauffa le fond de mon ventre. Pascal s’agitait dans tous les sens en moi et il était comme secoué par des spasmes qui le faisaient taper au fond de mon vagin. A chaque coup de boutoir, une décharge électrique se diffusait en moi et dès le début de l’agitation de Pascal en moi, mon corps répondit aussitôt dans un orgasme terrible qui me fit trembler. J’avais complètement oublié Sonia qui m’aspirait le clitoris et qui faisait glisser sa langue sur mon bouton gonflé et je la laissais faire. Pascal poussa plusieurs grognements et je me joins à lui dans les cris et les gémissements. Mes bras fléchirent et je posai ma tête entre les cuisses toujours écartées de Sonia. Pascal continuait d’être en moi et il me caressait les seins doucement.
Je n’étais plus vierge. Cette phrase revenait en moi en boucle avec une sorte de satisfaction rafraîchissante. Je respirais difficilement comme si j’avais couru pendant une heure. Ma respiration était chaude et j’avais du mal à reprendre mon souffle. J’ouvrais les yeux et j’avais le sexe de Sonia à moins de vingt centimètres de mon visage. Je sentais Sonia me lécher le sexe et ses coups de langue étaient très agréables. Je voyais ses lèvres roses et humides ouvertes sur sa vulve d’un rose plus profond. Un fil de cyprine liait les lèvres entre elles et une goutte de mouillure coulait vers les fesses. Sonia me léchait le sexe avec une telle gourmandise que je me disais qu’elle devait y trouver du plaisir. Avec un sentiment partagé entre le dégoût et le désir de découverte, je m’avançais doucement vers le sexe de ma cousine et embrassa l’intérieure d’une de ses cuisses. Je sentis Sonia trembler et cela me donna envie de recommencer. Un autre baiser sur sa cuisse, puis encore un autre un peu plus près de son sexe. Sonia tendit une jambe et écarta son autre jambe pour me laisser accès à son sexe sans problème. Je regardais le sexe de ma cousine vivre. C’était impressionnant à quel point j’apprenais de chose sur mon propre corps en regardant celui de ma cousine.
Ses fesses se contractaient de manière aléatoire et de ce fait, les lèvres vivaient aussi. Mes baisers approchaient de plus en plus de son sexe dont l’odeur me berçait. Pascal devait me regarder et cela lui donna une seconde vigueur car je sentis sa queue devenir plus présente en moi. Il recommençait à bouger dans ma chatte qui en redemandait. Maintenant que j’avais goûté au cul, je n’allais pas laisser passer l’occasion d’en avoir plus ! Sonia gémissait de plus en plus et elle ne quittait pas mon clitoris et mes lèvres. Pascal me caressait les seins et finit par se pencher sur moi pour me rejoindre vers le sexe de Sonia. Ma position était très «X » car j’étais complètement cambrée avec mon bassin basculé en arrière pour que Pascal puisse me pénétrer complètement.
Pascal me chuchota dans le creux de l’oreille : « Je t’aime ma chérie, tu es vraiment merveilleuse ! ». Cela me toucha jusqu’au fond de mon cœur et j’étais tout simplement heureuse. En réponse à cette déclaration, je lui répondis : « Qu’est-ce que tu veux que je fasse ? ». Il me répondit sans attendre : « Glisse un doigt dans son sexe et fait moi goûter ». La réponse ne m’étonna presque pas et sans attendre, je positionnais mon index face au sexe de Sonia, juste entre ses lèvres et le fit entrer jusqu’à la garde. La chaleur et la douceur du sexe de ma cousine enveloppèrent mon doigt et cette sensation était bonne. Je sortais le doigt recouvert de cyprine et le tendit vers le visage de Pascal qui se trouvait à côté de moi. Je le regardais happer mon doigt et le sucer avec délectation. Mon doigt dans la bouche de Pascal qui le léchait avec gourmandise m’excitait. Il me dit « A ton tour maintenant ». Je retournais donc entre les cuisses de ma cousine et avança mon doigt vers ses lèvres. Je vis le sexe de ma cousine se contracter et une goutte de mouillure sortit de son vagin. Je fermais les yeux pour ne pas être dégoûtée et j’enfonçais mon index dans le sexe de ma cousine. Je sortais mon doigt et m’approcha pour le mettre dans ma bouche. J’avais toujours les yeux fermés et ma bouche devait être à moins de trois centimètres du sexe ouvert. Le goût de ma cousine entra dans ma bouche et Pascal se redressa pour s’agiter en moi. Le fait que je sois sur le sexe de Sonia avait dû l’exciter car ses mouvements étaient fermes et vifs. L’odeur insistante du sexe de ma cousine, la cyprine en bouche, Sonia me titillant le clitoris avec sa bouche et Pascal faisant ses mouvements, tout cet ensemble me faisait tourbillonner la tête et j’ouvris la bouche pour tendre la langue vers le sexe de ma cousine. Je croyais que son sexe était éloigné de ma bouche et je fus surprise de sentir la chaleur sur le bout de ma langue. N’y tenant plus, j’approchais mon visage et ma bouche se plaqua sur le sexe de Sonia. Sans hésiter, ma langue tendue se glissa entre les lèvres de ma cousine et le goût de cyprine entra complètement en moi.
Sonia cria sans retenue et son cri créa en moi comme une réaction en chaîne. Dans les dix minutes qui suivirent, je gourmandais le sexe de ma cousine qui me le rendait très bien. Pascal arrivait à peloter les seins de Sonia et les miens à tour de rôle. Il éjacula en moi pour la deuxième fois et cette fois-ci, je sentis son liquide se répandre en moi. Sonia eut un orgasme démesuré juste avant et je sente son sexe se crisper pendant que je la léchais. J’ai rapidement pris goût à lécher le sexe de ma cousine. C’est un plaisir que je ne soupçonnais pas du tout et depuis, j’ai aussi appris à me lécher. C’est un plaisir très particulier mais ceci est hors du contexte de mon histoire. Après l’orgasme dévastateur de ma cousine, elle se libéra de sa position et vint s’allonger à côte de moi pour me donner un énorme baiser sur la bouche. C’est à ce moment là que je me suis rendu compte que j’avais le goût du sexe de ma cousine et de mon propre sexe dans la bouche. De plus, nous dûmes suspendre nos baisers à plusieurs reprises car des poils pubiens s’étaient invités dans nos bouches.
Après l’éjaculation de Pascal en moi, il me titilla le clitoris pour ne pas me laisser en reste. Je glissai ma main sur mon sexe et toucha pour la première fois le sexe gonflé de Pascal dans mon sexe. Pascal eu l’air d’apprécier et sentir entre mes doigts son sexe humide entrer et sortir de ma féminité déclencha en moi un enchaînement de vagues de plaisirs. Finalement, Pascal sortit de moi et s’allongea à côté de moi. Je le regardais haletant et complètement en sueur. Il me donna un baiser et je fermais les yeux tellement c’était bon de l’embrasser. Personne ne parlait. Chacun reprenait sa respiration et chacun était perdu dans ses pensées, ou du moins ce qu’il en restait. Je fus la première à parler ; « C’était super, j’ai tout adoré…on le refait quand ? ». Sonia se mit à rire sans retenue et me dit « Tu es une vraie dépravée, toi ! ». Pascal souffla et dit : « Maintenant, les filles, vous faites un peu entre vous parce que moi, c’est mon heure de pause ! ». Tout le monde rigola et la matinée se continua avec une bonne douche pour tout le monde et un bon déjeuner copieux. C’était le mercredi 5 juillet 2006 et c’est le plus beau jour de ma vie de femme.
La suite des vacances fut gâchée par les vraies règles de ma cousine qui arrivèrent dans le milieu de la deuxième semaine. Cela ne l’a pas empêchée de me brouter le minou et de pomper le sexe de Pascal. J’ai eu le privilège d’avoir le sperme de Pascal sur moi et dans la bouche. La première fois, j’ai failli m’étrangler avec le jet de sperme qui a atterri directement sur ma glotte. Avec Sonia, nous avons même testé le sperme dans le soutif… agréable sur le coup mais c’est très éphémère. En deux semaines de vacances, j’ai appris sur l’acte amoureux et les possibilités entre hommes et femmes, des choses que je ne soupçonnais même pas. En revenant, j’avais la tête bien plus ouverte qu’avant et ma vision sur les femmes, l’amour, le 69, le sexe en général avait bien changé. Je me suis découverte une nouvelle passion que j’espère pouvoir partager encore longtemps avec ma cousine et son tendre mari. Durant le reste des vacances, nous avons fait encore quelques randonnées mais nous étions pressés de rentrer le soir pour pouvoir nous retrouver après une bonne douche pour une soirée super coquine. Avec Sonia, nous avons fait les boutiques et j’ai jeté mes fringues de grand-mère pour me mettre en valeur dans des fringues plus recherchées. Mes dessous ont changés et mon vieux pyjama est parti à la benne. Les vacances m’ont coûtés un fric monstre mais ça en valait le coup d’après les critères de Sonia et Pascal.
J’ai découvert avec admiration les transformations du corps féminin pendant la pénétration. J’ai vu ce que ma cousine regardait pendant ma défloration. J’ai vu le sexe de Pascal gonflé et devenir droit et dur. J’ai vu le sexe de ma cousine s’ouvrir et s’humidifier et j’ai surtout vu le sexe de Pascal pénétrer ma cousine. La beauté des lèvres qui s’écartent pour laisser entrer le sexe gonflé. Je ne sais pas si je suis devenu une vraie détraquée du sexe mais je trouve la pénétration vraiment exceptionnelle à voir.
Aujourd’hui, j’ai plusieurs projets et je compte bien le faire avant d’être trop flétrie :
- Il paraît que les blondes n’ont pas beaucoup de poils pubiens et j’espère en voir une vraie un jour pour lui bisouter le minou et si possible la regarder se faire pénétrer.
- Il paraît aussi que les rousses sentent fort, j’espère aussi en trouver une pour vérifier si c’est une bêtise ou non et ce sera l’occasion de goûter à ce type de femmes.
- J’ai comme projet la sodomie. Avec Sonia qui n’est pas chaude et Pascal qui n’est pas non plus un adepte, nous avons comme projet d’essayer au moins une fois pour voir.
- J’espère pouvoir faire des photos de mes expériences et des petits films pour pouvoir me les repasser dans les moments de blues. Sonia est devenue pudique quand je lui ai proposer mais Pascal semble être très chaud pour le faire… on verra bien dans le futur.
- Pour les garçons, je verrais si j’en trouve un qui me va, pour le moment, j’ai le mari de ma cousine qui me comble et avec qui, nous avons quelques expériences à faire.
J’espère que mon histoire vous a plu et sachez que je suis plus délurée que ma cousine alors qu’avant les vacances, l’inverse était réellement un calvaire pour moi. Mes parents ne savent rien et je pense que cela est mieux pour eux.
Marilou.
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